1
des jeunes filles assez fortes pour pouvoir tout
lire
, et il n’y aura plus besoin de roman catholique. » C’est ce qu’on pou
2
e comprenait, qui écrivit : « Quand les livres se
liront
-ils d’eux-mêmes, sans le secours des lecteurs ? Quand les hommes se c
3
nd peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on ne
lira
pas sans plaisir ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le ve
4
sur l’âme orientale de l’islam, que nous l’avons
lu
avec un intérêt si soutenu et parfois — je pense à certaines pages su
5
que vous le saurez un peu mieux quand vous aurez
lu
nos huit numéros. Il faut que notre revue reste cette chose unique et
6
lqu’un lorsqu’il écrivit certains vers qu’on peut
lire
plus haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Sont moi
7
r les générations nouvelles et leurs maîtres soit
lu
par tous ceux qui cherchent à s’orienter dans la crise moderne. M. Da
8
ard. Tenez, voici un traité de métaphysique, vous
lirez
ça en attendant. Très bien fait. Excellente méthode ! (Sort le Sens C
9
n livre ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le
lise
, mais il aime caresser la reliure qu’il doit avoir faite lui-même. Ca
10
e mon pays où je cherchais mon dernier papier, je
lus
mon nom en grosses lettres : c’était l’annonce du décès de mon père.
11
jours de Weber… Mais au fait, si vous n’aviez pas
lu
ce livre ? Ah ! sans hésiter, je vous ferais un devoir de ce plaisir.
12
de tel de vos confrères, si je dis : « Avez-vous
lu
… », vous voilà rouge ; et sur moi les foudres de votre paradis poétiq
13
? — Pour la vie ! Or je pense, à part moi : j’ai
lu
ça quelque part. Voyez ma franchise. Un peu grosse, n’est-ce pas ? D’
14
. Nous ne pouvons pas faire que nous n’ayons rien
lu
. Vous refusez de compter avec cette réalité de la littérature qui est
15
aux yeux clairs. Il déplia le journal et se mit à
lire
les pages d’annonces. On m’apporta une liqueur. Et quand j’eus fini d
16
e faite à Genève a révélé que les livres les plus
lus
du grand public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez le
17
n ramène des animaux aux yeux bizarres où je sais
lire
les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? dema
18
vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai
lu
ce livre, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien fran
19
x haute, aucune couleur vive. Les journaux qu’ils
lisent
annoncent chaque jour quelque catastrophe imminente, une révolution,
20
’eau que le garçon renouvelle de temps à autre, à
lire
des potins tout en essuyant une moustache de crème fouettée ? Budapes
21
phnés dedans, qui ne savent pas bien ramer et qui
lisent
des magazines au fil de l’eau, ce qui est le comble des vacances. À u
22
e Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)ba À
lire
ce petit livre et le parallèle qu’il établit entre le yogabb telle qu
23
ace dans notre enfance. À 5 ans, j’avais appris à
lire
, en cachette, avec une sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’éc
24
nt à leur manière. Un jour cela m’ennuya. Sachant
lire
, je ne pensais pas devoir suivre syllabe après syllabe les ânonnement
25
ns quelque indécence. Et d’abord, il faut pouvoir
lire
, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, voter et truqu
26
e de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à
lire
les journaux, mais en même temps que cette drogue, elle devrait fourn
27
ace dans notre enfance. À 5 ans, j’avais appris à
lire
, en cachette avec ma sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’écol
28
nt à leur manière. Un jour cela m’ennuya. Sachant
lire
, je ne pensais pas devoir suivre syllabe après syllabe les ânonnement
29
ns quelque indécence. Et d’abord, il faut pouvoir
lire
, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, voter et truqu
30
e de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à
lire
pour lire les journaux, mais en même temps que cette drogue, elle dev
31
atz et du travail bâclé. Elle apprend à lire pour
lire
les journaux, mais en même temps que cette drogue, elle devrait fourn
32
ngulier que l’esprit pénètre dans la poésie, vous
lirez
Mes Propriétés. Il se peut que vous les trouviez médiocrement riantes
33
s Trivia de Logan Pearsall Smith — je n’avais pas
lu
de livre où s’exprimât avec une pareille sécurité dans l’insolite, ce
34
e se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont
lu
la Mort difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du sujet ni de la
35
i du solide à équarrir. Et auparavant, j’aimerais
lire
un peu. Mes auteurs ? Goethe en tout temps ; Rodolphe Toepffer (admir
36
On pense à une Genève de l’islam. » Il semble, à
lire
notre auteur, que ce mélange de représentants de ne ordre de toutes l
37
que à mon histoire, dit l’auteur dans sa préface,
lisez
-la, et si vous la lisez, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant
38
l’auteur dans sa préface, lisez-la, et si vous la
lisez
, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’aient lu eux-mê
39
pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’aient
lu
eux-mêmes le livre. J’espère que les critiques ne le diront pas non p
40
sement en ces pages — et qui s’explique si l’on a
lu
la phrase par quoi se termine un précédent livre de notre auteur : «
41
La Princesse Blanche, Stock, éditeur. 17. Qu’on
lise
, par exemple, l’admirable Goethe, histoire d’un homme, d’Émile Ludwig
42
que, sobre et directe plus que tout ce qu’on a pu
lire
de plus vécu sur ces milieux. Finalement, la police accuse Eiichi d’a
43
é d’un ruisseau, il passa trois heures et demie à
lire
tout l’Évangile selon saint Matthieu, du premier chapitre au dernier,
44
x-mêmes si peu de questions, ou de si minimes. Je
lis
un article récent de Ramuz (sur le Travail), qui débute ainsi « Pourq
45
lante simplicité. Me tromperais-je ? Ai-je mal su
lire
tant de brillants essais sur le monde actuel et futur ? Est-ce le fai
46
e de Ramuz —, c’est qu’une seule page de ce livre
lue
avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans la vision grande
47
Précédé de la note suivante : « Le texte qu’on va
lire
est une réponse et un écho à l’étude Autour de l’humanisme en marche,
48
de leur monde confié aux manuels primaires, rate.
Lire
à petites doses. Vers la fin, qui est émouvante, décider que ceux qui
49
pecca fortiter » de Luther. Pour qui n’aurait pas
lu
d’autres ouvrages de Jouhandeau, les aphorismes qui composent l’Éloge
50
oins vraie celle-là. Les témoignages qu’on a pu
lire
plus haut définissent deux positions révolutionnaires malaisément com
51
r tout nous presse — les déclarations que l’on va
lire
. i. « Cahier de revendications [Présentation] », La Nouvelle Revue
52
n ramène des animaux aux yeux bizarres où je sais
lire
les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? dema
53
phnés dedans, qui ne savent pas bien ramer et qui
lisent
des magazines au fil de l’onde, au comble des vacances. À la table vo
54
ns fraude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai
lu
le journal après dîner.) Et tous les accessoires de leurs démences, d
55
uilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je
lis
Paracelse, méditant avec appétit sur ce qui va contribuer à bâtir mon
56
acelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je
lis
qu’il les prisait fort, ainsi que Boehme, dans sa jeunesse. Il m’y ra
57
ncret, de leur incarnation, qu’il est possible de
lire
les Affinités « sans y rien voir », comme on dit17. Mais lorsqu’on «
58
ssent, et parfois un œil égrillard. Impossible de
lire
Meister ce soir. Je ne sais pas ce qu’il y a, sinon que je dois reten
59
se humeur, les yeux mornes ou trop brillants ; ou
lisent
des feuilles communistes. Le « Bummelzug », interminablement, crache
60
a tête du Reich, et seuls les insensés voudraient
lire
ce qu’ils publient. Éducation L’obéissance militaire aux parent
61
a tête du Reich, et seuls les insensés voudraient
lire
ce qu’ils publient. Éducation L’obéissance militaire aux parent
62
phnés dedans, qui ne savent pas bien ramer et qui
lisent
des magazines au fil de l’onde, au comble des vacances. D’une table v
63
de Hölderlin.) Dès demain, discipline de travail.
Lire
. 21 mai 1929 Matinées végétales, depuis trois jours. Je me lève
64
ns fraude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai
lu
le journal après dîner.) Et tous les accessoires de leurs démences, d
65
uilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je
lis
Paracelse, méditant avec appétit sur ce qui va contribuer à bâtir mon
66
acelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je
lis
qu’il les prisait fort, ainsi que Boehme, dans sa jeunesse. Il m’y ra
67
ncret, de leur incarnation, qu’il est possible de
lire
les Affinités « sans y rien voir », comme on dit15. Mais lorsqu’on «
68
ssent, et parfois un œil égrillard. Impossible de
lire
Meister ce soir. Je ne sais pas ce qu’il y a, sinon que je dois reten
69
se humeur, les yeux mornes ou trop brillants ; ou
lisent
des feuilles communistes. Le « Bummelzug », interminablement, crache
70
d’une paroi verticale, noircie d’eau. J’avais pu
lire
sur les longs wagons bruns : Amsterdam-Basel-Milano-Zagreb-Bucuresti.
71
ra. » Ce mot me fut parole d’Évangile quand je le
lus
l’année dernière. À cette heure où Paris… Berne, 15 juin 1940
72
ce nœud d’idées, où je ne reconnais rien de déjà
lu
? Et de quel ciel me tombent ces visions surprenantes, où je reconnai
73
ge émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai
lu
ses lettres. Dernière d’une lignée très catholique, elle cachait ses
74
du parc, et devenait protestante en secret. J’ai
lu
ces pages de confidences pudiques, pleines d’idéal et de mélancolie,
75
châtel, pour tant de culture, pour tant de livres
lus
, relus, et de bon choix, accumulés depuis des siècles dans les maison
76
st-ce que le style ? Catherine, la fille de Gide,
lut
sa dernière réponse : — L’originalité de mon père. Gide s’éclaircit l
77
’humanité se retourne contre elle-même). Que doit
lire
un homme pressé, s’il demande aux livres autre chose que ce que peut
78
mars 1933)c Beaucoup de personnes, après avoir
lu
notre premier cahier, nous ont écrit ceci : « Quelles solutions prati
79
st un club. Nous conclurons sur cet aveu. L’ayant
lu
, peut-on encore attendre quelque chose d’un parlementaire, de quelque
80
religion du travail. On a l’air d’ironiser, mais
lisez
donc : vous serez pris, vous donnerez tort au traître, c’est-à-dire a
81
ésespérer de le revoir jamais ? Mais non, il faut
lire
d’abord Pierre Girard et Charles-Albert Cingria : La Rose de Thuringe
82
la qualité lyrique de l’humour de Pierre Girard.
Lisez
, ou relisez, dans la Rose de Thuringe, le récit du mariage de Virgini
83
eul auteur qui situe le problème dans sa réalité.
Lisons
ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y décrit un état d’âme tou
84
s la perspective biblique de la Création. Il faut
lire
ce chef-d’œuvre qu’est son dernier roman, Adam et Ève. C’est toute la
85
de vous-mêmes et de l’enjeu de l’existence, vous
lirez
Sara Alelia 2. La puissante mélancolie, le réalisme total qui éclaten
86
énervent nos vies de soucis dégradants. J’ai fait
lire
ce livre à des gens de toutes conditions, « de toutes croyances ou de
87
il dégage le sens général de son œuvre. On peut y
lire
ceci, en matière d’introduction : « Je suis et j’ai toujours été un a
88
tas 5. Non point que cet ouvrage ne mérite d’être
lu
par tous les amateurs de grand lyrisme intellectuel (le style admirab
89
ibuer autant aux philosophes qu’à ceux qui ne les
lisent
plus. Le public se figure que la philosophie est une activité qui ne
90
profond. On a même l’impression en le lisant, de
lire
pour la première fois un livre absolument profond. Non qu’il prétende
91
porte la précision suivante : « On a pu croire, à
lire
mon article du numéro 11, que je m’en prenais au livre de M. Jean-Ric
92
st beaucoup plus considérable qu’on le croirait à
lire
la presse politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse fr
93
es œuvres, mais encore on voit ces mêmes pasteurs
lire
sans sourciller la confession de nos églises, qui proclame le salut p
94
irait des volumes, et nourrit leurs entretiens. À
lire
certains récits du meilleur livre qu’on ait fait sur le Mouvement, Fo
95
ous croyons réellement à l’opinion publique. Nous
lisons
les journaux, voilà notre réalité. Le dimanche, nous allons quelquefo
96
ant l’instant présent se précipite. Ils n’ont pas
lu
Hegel, bien sûr, mais Hegel est dans tous nos journaux, Hegel domine
97
s qui demeure dans l’esprit, bien après qu’on l’a
lu
. En vérité, ce résumé laisse à peine entrevoir le véritable sujet de
98
journaux qui nous apprendront tout cela. Il faut
lire
Destin allemand, comme on lirait dans la conscience même d’un peuple.
99
tout cela. Il faut lire Destin allemand, comme on
lirait
dans la conscience même d’un peuple. Il faut avoir éprouvé par ce liv
100
ons-les à titre d’exemple, entre vingt autres, et
lisons
-les dans l’ordre chronologique, qui n’est pas dépourvu d’enseignement
101
turelle et région économique. On n’est pas sûr, à
lire
Déat, qu’il ait poussé très loin cette analyse. Et alors on ne peut s
102
et une présidence du Conseil « permanente » (?).
Lisons
plus loin. « La France sera divisée en une vingtaine de régions, qui
103
an Giono (novembre 1934)g On ne devrait jamais
lire
les hebdomadaires. Ce sont des entreprises de démoralisation : 1° par
104
ts. Je le dis comme je le sens — parce que je les
lis
, naturellement — et je vous laisse le soin de me classer, si vous y t
105
on à cette Préface à une littérature, qu’on a pu
lire
ici le mois dernier. Ah ! nous sommes loin — (avec ces auteurs-là) —
106
me rappelle une bien bonne histoire, vous devriez
lire
ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus le nom du type qui
107
ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas
lu
le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il
108
osition spirituelle. Toutefois, l’exposé qu’on va
lire
n’est pas un résumé des idées défendues par les deux groupes cités (e
109
situation qu’ont été composés les essais qu’on va
lire
. Et si j’ose parler d’équivoque, c’est dans l’espoir qu’on voudra bie
110
me est toujours plus grand qu’on ne le croirait à
lire
des essais politiques. Aux heures où l’on y plonge, la vanité des pas
111
r tout nous presse — les déclarations que l’on va
lire
. Suivaient onze « témoignages » signés par Paul Nizan, Henri Lefebvr
112
oins vraie celle-là. Les témoignages qu’on a pu
lire
dans ce Cahier définissent deux positions révolutionnaires malaisémen
113
beaucoup plus considérable qu’on ne le croirait à
lire
la presse politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse fr
114
situation qu’ont été composés les essais qu’on va
lire
. Et si j’ose parler d’équivoque, c’est dans l’espoir qu’on voudra bie
115
me est toujours plus grand qu’on ne le croirait à
lire
des essais politiques. Aux heures où l’on y plonge, la vanité des pas
116
r tout nous presse — les déclarations que l’on va
lire
. Suivaient onze « témoignages » signés par Paul Nizan, Henri Lefebvr
117
oins vraie celle-là. Les témoignages qu’on a pu
lire
dans ce Cahier définissent deux positions révolutionnaires malaisémen
118
e n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À
lire
les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite, rédigés par d
119
paraît à première vue aussi exorbitante : je n’ai
lu
que de courts fragments des posthuma nietzschéens 66. Ce qui est cert
120
grossière, de la richesse de cet ensemble, que de
lire
avec eux les quelques pages de la première partie intitulées Religion
121
it il y a quelque mille ans. On croirait presque
lire
du Kierkegaard ! N’est-ce pas Kierkegaard, en effet, qui, cinquante a
122
de plus la mauvaise foi de Commune. Si vous aviez
lu
ce livre vous sauriez : 1° que je combats violemment la politique de
123
us fort. Attendrons-nous la prochaine guerre pour
lire
dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à tous ? L’o
124
viez perdu la référence. Permettez-moi de vous le
lire
. C’est à la page 512 du premier tome : « … n’avoir pas fait une expér
125
udain, j’eus une idée paradoxale : je proposai de
lire
l’Évangile. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bur
126
ouvrit d’elle-même à la page que je cherchais. Je
lus
ceci : « Mais il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodèm
127
murait machinalement les paroles que je venais de
lire
. Nous perçûmes enfin quelques mots : il monologuait, les yeux fixes.
128
« monument » du professeur Monod, et s’amusait à
lire
à ses voisins certains passages qui éveillaient tantôt des rires exce
129
s ondes radioactives du Salut.20 » L’étudiant qui
lisait
referma brusquement le gros volume et s’exclama : « Si ce n’est pas l
130
à ce terme malheureux. Assurément, il doit avoir
lu
Barth mieux que la plupart de ses confrères. C’est peut-être pourquoi
131
bas-fonds eux-mêmes ne savent que faire. Il faut
lire
l’effarante description de sa vie telle qu’il l’a racontée dans une e
132
aider le mouvement personnaliste à se développer.
Lisez
la revue Esprit , lisez L’Ordre nouveau , mettez-vous en rapport av
133
naliste à se développer. Lisez la revue Esprit ,
lisez
L’Ordre nouveau , mettez-vous en rapport avec leurs groupes : vous y
134
comprend mieux la portée de ce propos après avoir
lu
Tzara. Mais on ne comprend plus du tout la légèreté avec laquelle les
135
uement bouleversant. À cet égard, on fera bien de
lire
l’essai de René Daumal sur les Limites du langage philosophique. C’es
136
e réserve ce genre d’écrit, c’est de nous laisser
lire
dans le jeu d’un être humain : rien ne flatte mieux notre désir d’ubi
137
on qui donne lieu à la proposition qu’on vient de
lire
ne saurait être celle d’une société équilibrée. Où est l’esprit ? Que
138
es calomnies usées sur un Luther qu’on n’a jamais
lu
; l’introduction de cette anthologie contient, à cet égard, de navran
139
être aussitôt privé ». Et par contre ceci, que je
lis
dans Service inutile, n’est-ce pas l’écho de la virile légèreté du gr
140
Écriture nous parle. Serions-nous donc d’accord ?
Lisons
plus loin : « Le Sauveur n’a-t-il pas voulu au contraire leur faire v
141
e : la tradition, ce sont des textes. On peut les
lire
, si l’on sait le latin, réunis et classés dans n’importe quel Enchiri
142
ocrisie ! ⁂ La littérature rajeunit On a pu
lire
récemment dans le plus « littéraire » de nos hebdomadaires, l’écho su
143
t nous écrit d’Allemagne : « L’ami XXX n’a pas dû
lire
Mein Kampf. Ce n’est pas une “autobiographie” mais un ouvrage de comb
144
seconde personne est la règle ; aussi ne peut-on
lire
ces méditations sans se sentir pris à partie et directement engagé pa
145
e vue. Il s’est transformé en domaine. Il faut le
lire
comme un visage. Qu’est-ce qu’un domaine, qu’est-ce qu’une propriété
146
r, c’est-à-dire un pouvoir d’incarnation, vous le
lirez
toujours sur les traits de sa face. (Encore faut-il avoir des yeux po
147
e de Ramuz —, c’est qu’une seule page de ce livre
lue
avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans la vision grande
148
qu’ait jamais consenti Ramuz (c’est Une Main) je
lis
ceci : « Certains hommes tiennent pour un gain tout ce qui leur appor
149
sionné. Mais si l’on juge de la façon dont il est
lu
par la façon dont il est trop souvent cité, l’on pensera qu’il eût mi
150
. Cette chronique était déjà imprimée, quand j’ai
lu
dans les Cahiers du Sud une étude de Benjamin Fondane qui s’en prend
151
e n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À
lire
les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite, rédigés par d
152
é le cas de cet ancien Normalien qui ne sait plus
lire
. Ce qui lui permet de fourrer dans le même sac Kierkegaard et M. Duha
153
ctivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à
lire
leurs livres, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire
154
le plus beau du monde disaient-ils. Et l’on peut
lire
chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre « Le ni
155
n même temps qu’un peuple immense apprenait à les
lire
. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d
156
futur étudiant l’inventaire de Petit, comme nous
lisons
le Journal d’un bourgeois de Paris pour essayer de « voir » le xve s
157
nise, en dépit du progrès historique.) ⁂ Pour qui
lirait
, sans bien connaître Gide, l’avant-propos de son petit livre et cette
158
sis Cloots et les spectacles jacobins, qu’on a pu
lire
dans notre numéro d’avril 1936.) L’analogie est à peu près parfaite,
159
roblème de la culture. Lorsque l’on entreprend de
lire
un livre qui traite d’un « problème » précis, il est prudent de se de
160
faudra bien formuler, je voudrais que ceux qui me
lisent
distinguent ou pressentent une grande affirmation, une raison nouvell
161
ctivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à
lire
leurs livres, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire
162
le plus beau du monde, disaient-ils. Et l’on peut
lire
chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre : « Le
163
n même temps qu’un peuple immense apprenait à les
lire
. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d
164
complet désaccord avec la géographie physique. À
lire
nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent le
165
le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
lire
sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver allemand.) On s’eff
166
le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on
lire
la mesure à l’aiguille, au terme d’une opération correcte, ou préfère
167
erme d’une opération correcte, ou préfère-t-on la
lire
dans l’éclat et l’ampleur des effets que la force en son action propa
168
avantage parmi les lettrés qui seraient tentés de
lire
de la poésie. C’est bien une sorte de ressentiment — au sens nietzsch
169
sant. 67. Ceci écrit depuis un certain temps, je
lis
l’essai de Valéry intitulé : Le Bilan de l’Intelligence (Variété III)
170
t immédiat, tandis que j’écris et tandis que vous
lisez
. Comment réduire concrètement une désunion à ce point instinctive, co
171
seul exemple, celui de Mozart. Mais il suffit de
lire
ses Lettres pour constater que la « grâce » où il baignait ne l’a pas