1 e Barrès, nous offre plus qu’un agrément purement littéraire  : une leçon d’énergie. Il se pique de n’avoir pas connu, jusqu’à ce j

2 ntherlant, le sport et les jésuites », La Semaine littéraire , Genève, n° 1571, 9 février 1924, p. 63-65.

3 t du tout ! Il paraît qu’il est la seule attitude littéraire aujourd’hui concevable. Mais par quelles tricheries plus ou moins con

4 pations des plus modernes, problème de la réalité littéraire , problème de la personnalité. Leur Prologue pourrait presque aussi bi

5 co-génération ? Pour peu qu’ils sortent des cafés littéraires , nos poètes respirent le même air du temps. Leur originalité se retro

6 permettent, je crois, de parler d’un grand siècle littéraire irlandais ; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne fait pas. Car elle

7 ons par l’absurde de quelques problèmes moraux et littéraires  8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse. (« Nous sommes une gén

8 ce, d’une inquiétude. 8. « Certaines expériences littéraires sont plus dangereuses que des expériences réelles » (Marcel Arland).

9 Henry de Montherlant, chez Grasset », La Semaine littéraire , Genève, n° 1697, 10 juillet 1926, p. 335.

10 ez en formule une théorie assez proche du cubisme littéraire , et qu’il serait bien utile d’adopter, si l’on veut éviter les confus

11 les confusions qui sont en train d’ôter sa valeur littéraire au genre le plus encombré et le plus impur qui soit. On n’a pas ménag

12 , où l’on court le double risque de paraître trop littéraire aux philosophes, et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à M.

13 )x J’éprouve quelque gêne à porter un jugement littéraire sur ce nouveau tome des mémoires de Montherlant : dans ce récit plus

14 l du monde. h. « Soir de Florence », La Semaine littéraire , Genève, n° 1715, 13 novembre 1926, p. 547-548.

15 ce geste symbolique a déclenché tout un mouvement littéraire , celui-là même qui aboutit naguère au surréalisme. Tous les héros de

16 t, ici encore, prenons garde de confondre le plan littéraire avec le plan moral. Telle action peut paraître gratuite au lecteur pa

17 Pourtant, n’est-ce pas le schéma de tout un genre littéraire moderne, cette espèce de confession romancée dont les livres de Bopp,

18 noli me tangere fait courir, tant dans le domaine littéraire que dans celui de l’action. En littérature : refus de construire, de

19 liant cette revue. Nous ne sommes pas « une revue littéraire de plus » ; nous ne voulons pas être « l’expression de la jeunesse ro

20 uède et la Norvège.) On lit dans les Nouvelles littéraires , du 8 janvier 1927, l’information suivante : Mardi dernier a été cél

21 sympathique, dans le temps que sévit l’inflation littéraire la plus ridicule. Pourtant, qu’elle ne laisse point oublier que ce li

22 uleuse des statues7. » Il s’agit bien de critique littéraire  ! Nous sommes ici en présence d’une des tentatives de libération les

23 scandale qui a le mérite de n’être pas qu’un jeu littéraire . Mais enfin, c’est encore un Musset, seulement transposé dans notre s

24 omme on dit. Et qui sait tirer un admirable parti littéraire de son tempérament vif, insolent et ombrageux. « J’appartiens à la gr

25 de donquichottisme assez fréquent dans les cafés littéraires et dont il serait le premier à s’amuser ?   Février 1927. Relu Une va

26 re sa valeur de document humain, nuit à sa valeur littéraire . Je n’aime guère ce style abstrait, semé de redites et d’expressions

27 s que l’on a pu avancer pour légitimer l’activité littéraire , le plus satisfaisant, celui qui rend le mieux compte de la réalité,

28 rs (juillet 1927)p Ces « cahiers politiques et littéraires  »17, rédigés par Drieu la Rochelle et Emmanuel Berl, sont — avec la

29 un peu plus loin que la sempiternelle « stratégie littéraire  », de gazetiers ; au cœur de ces sujets qui paraît-il, ne sont pas d’

30 ns physiques, etc., qui accompagnent une création littéraire . Bien sûr, c’est cela, le malaise d’écrire. Bopp est très intelligent

31 tte attitude scientifique, vis-à-vis du phénomène littéraire . La « Promenade » du héros de Bopp est une sorte de pensum. Cela rend

32 avec Gérard », La Nouvelle Semaine artistique et littéraire , Neuchâtel, n° 7, 24 mars 1928, p. 105-108.

33 a tour de Hölderlin », La Quinzaine artistique et littéraire , Neuchâtel, n° 18, 15 juillet 1929, p. 354-356.

34 Valéry… — suffisent à nous rassurer sur la valeur littéraire de l’époque, mais non sur le sort de l’esprit. À côté d’eux, s’écrien

35 : Montherlant. Très suspects dans les « milieux » littéraires , l’un parce qu’il croit tout à fait, l’autre parce qu’il ne croit pas

36 n penchant au libertinage mental trois phénomènes littéraires partout ailleurs divergents : « Barrès dans son éthique, Maurras dans

37 vu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y suffit. Pour moi, je ne me sens pas trop embarrassé ; comme j’habit

38 art culinaire, du style d’un rôti, et en cuisine littéraire , de pensers mis à toutes sauces. Si M. Thibaudet connaissait l’hôte d

39 ression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important

40 rsations » ne ressortent nullement de la critique littéraire  ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à propos d’ouvr

41 ore l’Europe. 14. Dans un article des Nouvelles littéraires du 20 février, inaugurant une série d’études sur un nouvel humanisme

42 t signalé cette curieuse lacune de notre histoire littéraire  : pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’histoire. Enfin, voic

43 nnent. Plus encore que par leur valeur proprement littéraire et descriptive, elles nous paraissent intéressantes par tout ce qu’el

44 qu’il ne ressemble à rien serait une louange trop littéraire . C’est un livre entièrement simple qui nous introduit dans la connais

45 part de l’auteur, nul parti pris de « réalisme » littéraire , mais bien le signe d’une absence d’hypocrisie tout à fait insolite,

46 Parlant récemment, dans un article des Nouvelles littéraires d’un ouvrage de M. Édouard Martinet, intitulé André Gide, l’amour et

47 llé et profond de Gaston Frommel, dans ses Études littéraires et morales. Nous sommes certains d’intéresser les lecteurs de cette r

48 n de l’antique et du moderne, non du point de vue littéraire comme on le fit en France, mais du point de vue des valeurs vitales (

49 oyons-nous, n’a relevé, que les grands « succès » littéraires de l’année 1931 soient allés à trois romans d’écrivains protestants :

50 33. Bilan fort honorable du point de vue purement littéraire , si l’on tient compte de la faiblesse numérique des protestants franç

51 ée, poursuivra durant toute sa vie une « activité littéraire  ». Ces deux expériences seraient antithétiques si elles étaient super

52 ce qui n’est pas même le cas. De ce point de vue littéraire , la confrontation serait absurde, j’en conviens. Mais notre optique n

53 olontaire et soutenue. Ce n’est donc pas l’aspect littéraire de leur expérience qui doit conditionner notre vision. Non point qu’i

54 s éthiques et dans la divergence des réalisations littéraires . « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce

55 order cette question sous l’angle de la curiosité littéraire ou historique. Elle pose cependant un problème que la conscience inte

56 Drang » auquel Goethe devait donner l’expression littéraire la plus parfaite avec Werther. Et nous ne manquons pas de témoignages

57 umeur de la place. Dans toute la jeune génération littéraire et philosophique, c’est en vain que l’on chercherait un « esprit libr

58 ression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important

59 vement, d’une carte postale et d’une réminiscence littéraire . Ses deux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous

60 vu qu’on sache un peu d’allemand, — et l’allemand littéraire y suffit. Pour moi, je ne me sens pas trop embarrassé ; comme j’habit

61 art culinaire, du style d’un rôti, et en cuisine littéraire , de pensers mis à toutes sauces. Mais qui donc, parmi nos penseurs, m

62 il ait préfiguré certains aspects de ce mouvement littéraire parisien.

63 ression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important

64 vement, d’une carte postale et d’une réminiscence littéraire . Ses deux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous

65 t parfois scandaleux. Mais la « petite histoire » littéraire se borne à mentionner chez nous des rendez-vous de voyageurs discrets

66 goût des idées, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, était une sorte d’atteinte au « goût » tout court, c’est-à-

67 e : elle comporte moins de sacrifices que de prix littéraires et de coups de pied au derrière. Cette jeunesse a terriblement vieill

68 é certains écrits récents, publiés par des revues littéraires . Peut-être voulait-on faire allusion aux exercices de rhétorique prol

69 te occasion. Erreur qui lèse à la fois l’histoire littéraire , la dialectique et la poésie. Car : 1° Toute la poésie de la Réforme

70 re Lavanchy (Éditions “Je sers”) », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 585, 30 décembre 1933, p. 4.

71 ments. b. « D’un humour romand », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 593,24 février 1934, p. 4.

72 Dominicé (Éditions « Je sers ») », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 597, 24 mars 1934, p. 4.

73 ises, et le plus dépourvu qui soit d’enveloppes «  littéraires  » ou de fraudes rhétoriques, — c’est pour nous le premier témoignage

74 a l’aspect d’un chantier, et non point d’un salon littéraire . Il est tout animé de la joie de construire et d’abattre. Grande allu

75 t d’émeute et de chambardement, tantôt d’anarchie littéraire , tantôt de dictature économique. Pour Dandieu, comme pour les jeunes

76 légende de la vie quotidienne. Il y eut une école littéraire , à la fin du siècle dernier, pour soutenir que la réalité c’est le te

77 anche). Mais s’il est une justice dans le domaine littéraire , il faut prédire à Sara Alelia non pas un succès de saison, mais la c

78 us parle de lui dans les revues philosophiques et littéraires  ! Probablement, il s’en fût amusé : tout ce qui touchait à l’opinion

79 enté, l’ancêtre du gidisme et de l’« inquiétude » littéraire . Kierkegaard, avant tout, est un chrétien ; un chrétien peu rassurant

80 jours été un auteur religieux ; toute ma carrière littéraire se rapporte au christianisme, et en particulier à ce problème : comme

81 et une biographie de Kierkegaard », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 606, 26 mai 1934, p. 3.

82 elle de critiques qu’on nomme les « courriéristes littéraires  ». Ce n’est un secret pour personne qu’ils contribuent pour beaucoup

83 Mouvement des Groupes. — Kagawa », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 6, 4 août 1934, p. 3. f. Comme l’indique la note, il s’ag

84 uge l’art, — et le recrée. Nos griefs ne sont pas littéraires  ; ils sont, ils veulent être humains. Fin d’une littérature Je m

85 roit à l’essentiel de ce qu’il dit —, la critique littéraire de cette littérature n’a plus de sens réel, ni plus d’autorité. Criti

86 plus que littérature, et les fameuses « valeurs » littéraires , on sait qu’elles sont de peu de poids dans la balance politique. Tou

87 a (3 novembre 1934)g Voulez-vous un paradoxe ? Littéraire  ? Je détiendrais volontiers celui-ci : que le roman est un genre prot

88 u sujet d’un roman : Sara Alelia », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 629, 3 novembre 1934, p. 3. Une note de lecture plus court

89 nir au courant de ce qu’ils croient être la chose littéraire  ; 2° parce qu’ils incitent les écrivains de métier à écrire des stupi

90 nçais, dites-moi pourquoi, dans tout votre trésor littéraire , vous n’avez pas de livres remèdes ? Pourquoi vous ne pensez jamais a

91 çaise de Camille Jullian] », t. II, Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 635, 15 décembre 1934, p. 5.

92 uis la guerre sur le mot de révolution. Le public littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains surréalistes en les pren

93 t, l’aigreur des polémiques s’accroît, les revues littéraires deviennent des tribunes libres où s’expriment les tendances les plus

94 t, l’aigreur des polémiques s’accroît, les revues littéraires deviennent des tribunes libres où s’expriment les tendances les plus

95 nge, le 6 février 1934 fut une date de l’histoire littéraire  : elle inaugura le temps des moutons enragés. Fatigués de leur innoce

96 Allemagne mérite d’être confirmé par notre public littéraire . En quelques chapitres très simples, Thurneysen sait atteindre au cœu

97  Kierkegaard, Dostoïevski, Barth », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 645, 23 février 1935, p. 5.

98 vais Zola), l’intérêt humain faiblit, la critique littéraire reprend ses droits et proteste une fois de plus contre les poncifs po

99 ue, de réponses à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’analyses des « actualités ». Non que cela nous paraisse le moins

100 igence et la frivolité désastreuse de la critique littéraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les questions les plus tragiqu

101 et a pris son élan. C’est une admirable réussite littéraire , c’est aussi un roman d’aventures, et un roman d’idées, et une descri

102 leurs notions sur l’importance intellectuelle et littéraire du calvinisme, a donné lieu par contre à une véritable débauche de co

103 verons pas de l’estimer à nos mesures humaines et littéraires  ; mais ce qui importe plus que tout, c’est d’indiquer d’abord la « cl

104 Qui veut comprendre, dans son essence, le génie littéraire de Calvin, ne doit jamais omettre que celui-ci se considérait comme m

105 . « Trois traités de Jean Calvin », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 666, 20 juillet 1935, p. 5.

106 iez un article dans un hebdomadaire, sur un sujet littéraire à la mode, et tenant compte de la frivolité du genre, vous serez payé

107 24. « Pour un Palais de l’Esprit », Nouvelles littéraires du 6 avril 1935. 25. De deux choses l’une : ou bien l’institution pr

108 st généralement conditionnée par notre romantisme littéraire en même temps que par notre scepticisme religieux. Une telle disposit

109 reviendrait à les taxer de mythomanie. La ferveur littéraire indiscrète, qui fera sans doute le succès de ce volume, vaut-elle mie

110 XIXe siècle par Jean Chuzeville », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 681, 2 novembre 1935, p. 5. Une note de lecture sur le mêm

111 rajeunit On a pu lire récemment dans le plus «  littéraire  » de nos hebdomadaires, l’écho suivant, intitulé Les Anciens et les J

112 trait de résoudre un délicat problème de Critique littéraire  : calculer l’âge du capitaine, — un certain Doumic. ⁂ À propos d’u

113 cteur et le consommateur, — de même la production littéraire et la création intellectuelle se voient soumises de plus en plus à de

114 t, par occasion, d’un terme roturier, commun, non littéraire . Ramuz, c’est le contraire : s’il écrit « Autarchie », il ajoute auss

115 plus familière et directe, tandis que ses écrits littéraires ou philosophiques ont pour dessein, plus ou moins déguisé, de pousser

116 Alcan. l. « Le Problème du bien », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 726, 12 septembre 1936, p. 5. m. Une critique de l’ouvrag

117 , l’échec du Plan en tant que tel dans le domaine littéraire n’en est pas moins une évidence. ⁂ Les écrivains soviétiques l’ont co

118 que instant des questions qui ne sont pas du tout littéraires . Le monarque caduc c’est la culture, c’est l’art, c’est cette littéra

119 ’elle n’est plus là. Nous ne sommes pas une école littéraire . Nous ne pensons pas que le temps soit venu d’inventer des canons est

120 l existe autant de ces latins-là que de chapelles littéraires , que d’écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les m

121 Une foule de préjugés sentimentaux, politiques et littéraires , très tenaces, nous empêche bien souvent de distinguer la similitude

122 l existe autant de ces latins-là que de chapelles littéraires , que d’écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les m

123 l’échec du Plan en tant que tel, dans le domaine littéraire , n’en est pas moins en évidence. ⁂ Les écrivains soviétiques l’ont co

124 Une foule de préjugés sentimentaux, politiques et littéraires , très tenaces, nous empêche bien souvent de distinguer la similitude

125 l existe autant de ces latins-là que de chapelles littéraires , que d’écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les m

126 l’échec du Plan en tant que tel, dans le domaine littéraire , n’en est pas moins en évidence. ⁂ Les écrivains soviétiques l’ont co

127 e livre ? Un document clinique ? Trop d’élégances littéraires . Ou une histoire imaginée pour le plaisir de conter ? Trop de détails

128 le roman est le plus « contagieux » de nos genres littéraires , j’entends celui qui exerce l’influence la plus directe et la plus in

129 égradation de l’énergie ». Mais cette dégradation littéraire , après tout, ne fait que traduire celle de la société. Tous ces roman

130 es opportunités plus précises d’ordre culturel et littéraire . « Toute époque de la pensée humaine, dit en débutant notre auteur, p

131 l a négligées parce qu’elles lui paraissaient peu littéraires , s’attaquant en effet plutôt au fondement de toute littérature… Célib

132 e par rapport au snobisme furtif d’une génération littéraire . Nous sommes heureux de lire enfin un manuel où Rimbaud, Sénancour et

133 out ce qu’on lui a reproché : désordre, omissions littéraires , chapitre bâclé sur l’après-guerre, etc., m’apparaît au contraire com

134 ait le plus savoureux argument. Dans sa chronique littéraire de Marianne, il reprochait tout récemment à l’un de nos bons écrivain

135 t elle me cite une revue protestante et une revue littéraire auxquelles je collabore, en effet. — Vous avez le temps de lire beauc

136 ’extrais cette déclaration du livre d’un critique littéraire connu, dont les revues n’hésitèrent pas lorsqu’il parut (en 1936) à l

137 lien entre le domaine germanique et l’expression littéraire du mythe : Chamisso, Andersen, Hofmannsthal, et bien d’autres imitate

138 undi. n. « Luther contre Érasme », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 766, 19 juin 1937, p. 5. Il s’agit d’une recension de Trai

139 l y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés littéraires , et au contraire ce qu’il y a d’humain dans certaines imprudences naï

140 le. 70. Que ne connaît pas le grand conférencier littéraire ou politique « en tournée ». ag. « Journal d’un intellectuel en chôm

141 s précise et qui n’a rien à voir avec la critique littéraire . À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « …

142 ien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintena

143 ée, venant de l’étranger. En-tête d’une fondation littéraire . Il faut d’abord signer, c’est recommandé. Ensuite, il faut comprendr

144 lma Lagerlöf, conteur de légende », Les Nouvelles littéraires , Paris, n° 768, 3 juillet 1937, p. 8. p. Rougemont en fait la recens

145 s précise et qui n’a rien à voir avec la critique littéraire . À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « …

146 ien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintena

147 Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)ak La place qu’il conviendrait de donner à la litt

148 tuelles — et actuantes si j’ose dire — de l’œuvre littéraire dans la communauté. Il n’y a pas, et il ne peut y avoir encore une éc

149 n’y a pas, et il ne peut y avoir encore une école littéraire personnaliste. Pas plus qu’il n’y a et qu’il ne peut y avoir encore u

150 rontation une valeur autre que documentaire, ou «  littéraire  » au sens étroit du mot. Quelques noms pour finir (mais nous comptons

151 ak. « Brève introduction à quelques témoignages littéraires  », Esprit, Paris, n° 60, septembre 1937, p. 697-698.

152 écessairement des intermittences de la production littéraire . Celle-ci se trouve être en fait d’une inquiétante continuité, pour d

153 ux vieux germains ; un quart à des sujets divers, littéraires , historiques, anecdotiques. Voici la liste des titres contenant le mo

154 s précise et qui n’a rien à voir avec la critique littéraire . À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « …

155 ien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintena

156 onfirment le mieux, ce sont les œuvres. Une œuvre littéraire , pour Goethe, joue le rôle d’un objet exemplaire : c’est un modèle de

157 ée, venant de l’étranger. En-tête d’une fondation littéraire . Il faut d’abord signer, c’est recommandé. Ensuite, il faut comprendr