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n’a pas été sans quelques tours de passe-passe de
logique
, admirablement masqués d’ailleurs par des façons cavalières un peu in
2
e (juin 1925)b Sous une « vague de rêves », la
logique
, dernier agent de liaison de nos esprits, va périr. C’est du moins ce
3
faire un poème » cette mystification est dans la
logique
de ses principes, mais je lui conteste le droit de faire suivre son m
4
ce qui peut servir d’antidote à sa fièvre et à sa
logique
. » On confond Japon et Arabie, Indes et Chine sous une dénomination q
5
ut se muer instantanément en révolte. Aucun cadre
logique
ne détermine l’avenir le plus proche. Il n’y a pas même des forces en
6
les décisions et les rend complices d’un dessein
logique
, peut-être lointain, en quoi consiste l’unité la plus réelle de l’ind
7
e au grand dessein matérialiste de l’Occident. La
logique
, parlant par la bouche de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a
8
temps à faire aboutir la standardization à sa fin
logique
, ne pourrait-il pas être considéré un jour comme le grand tueur de so
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des instituteurs : Faire de ces belles analyses
logiques
, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes
10
des instituteurs : Faire de ces belles analyses
logiques
, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes
11
, Gundolf, Rudolf Kassner… En France, hélas ! une
logique
verbale et le clair génie que l’on sait se chargent de tout réduire à
12
utant que les gestes sont gouvernées par la seule
logique
d’un rythme constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de
13
reculent devant l’audace de conclusions en toute
logique
inévitables. Car ce qui naît de l’Évangile n’a de sens que par le jai
14
aïque nous le recommande. Non point à cause de la
logique
ni même d’une norme sociale. Mais à cause de la grandeur. ⁂ Ce livre
15
matérielle, — et va d’un mouvement rigoureusement
logique
jusqu’au système de sa folie. Mais l’irruption de cette « magie » est
16
cice de choix, l’écriture, — cela n’a rien que de
logique
, et résulte de la définition même d’un tel yoga. Tout savoir doit êtr
17
se glissement de la réalité hors des cadres d’une
logique
statique et cartésienne nous porte en des régions nouvelles de l’espr
18
nt toute verbale, ne relève donc que de l’analyse
logique
, et doit être rejetée à ce titre comme impliquant une contradiction d
19
régime social où tout se tient, mais par la seule
logique
de la décomposition nécessaire de principes faux en faits absurdes, l
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ut de suite, intenable in abstracto, intenable en
logique
rationaliste, comme toutes les positions existentielles, qu’ici nous
21
l’antinomie s’équivalent et peuvent s’annuler. La
logique
n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordr
22
a seule révolution qu’elle légitimerait, en bonne
logique
, serait une révolution contre la construction entreprise par le capit
23
utant que les gestes sont gouvernées par la seule
logique
d’un rythme constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de
24
le fondement d’une morale des idées « par-delà le
logique
et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques êtres entièrement en su
25
utant que les gestes sont gouvernées par la seule
logique
d’un rythme constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de
26
le fondement d’une morale des idées « par-delà le
logique
et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques êtres entièrement en su
27
vail sans jeu, c’est-à-dire du travail forcé. (La
logique
du langage ici nous guide sûrement.) Qu’une classe possédante en vien
28
ous croirons être en droit de déduire par la voie
logique
. C’est pourtant cette inconcevable réalité qui donne un sens si grave
29
t. Peu nous importe les « conditions » purement
logiques
d’une vérité, qui, à nos yeux, demeure constamment jugée par une réal
30
ure constamment jugée par une réalité qui juge la
logique
même. Ce sont les conditions actuelles de la vérité qui nous posent
31
ne et non moins païenne à la valeur absolue de la
logique
, de l’histoire et des méthodes critiques de M. Goguel ? 3. Si notre c
32
s les écrits marxistes, plus intelligents et plus
logiques
surtout que ceux des fascistes et racistes. Prenez le dernier article
33
ier article de Trotski contre Hitler. C’est d’une
logique
parfaite. Tout s’y enchaîne en une démonstration inattaquable, une fo
34
éométrique, adoration intellectuelle ou sophismes
logiques
, ce sont autant de formes d’une espèce de fuite en avant, autant de t
35
ne peut saisir le sens exact ? Ainsi se défend la
Logique
. Elle n’a pas tort. L’enfer logique est sans défaut. Le sens exact d’
36
se défend la Logique. Elle n’a pas tort. L’enfer
logique
est sans défaut. Le sens exact d’une question n’est donné que par la
37
ar un paradoxe dont nous avons tenté de suivre la
logique
fatale, isole l’individu dans un monde désert ; alors que l’un et l’a
38
eux considèrent le marxisme comme l’aboutissement
logique
de l’esprit bourgeois-capitaliste. Tous deux savent qu’il faut être p
39
apparaître assez paradoxal. Pour en découvrir la
logique
, il suffit pourtant d’étudier la marche des révolutions bourgeoise et
40
Dans la perspective que nous considérons ici, la
logique
des faits me paraît simple : les jeunes protestants n’ont pas à fonde
41
ent si « bourgeois », si prudents, si soucieux de
logique
, si incapables d’y atteindre, si aveuglés sur leurs contradictions ?
42
plus guère à lui envier qu’un degré supérieur de
logique
dans l’application du système. L’État, sa politique, ses décrets, ses
43
n’a pas à choisir, penchant vers des idées que la
logique
n’est pas seule à ordonner. Le mieux était de conserver à ces écrits
44
s les écrits marxistes, plus intelligents et plus
logiques
surtout que ceux des fascistes et racistes. Prenez le dernier article
45
ier article de Trotski contre Hitler. C’est d’une
logique
parfaite. Tout s’y enchaîne en une démonstration inattaquable, une fo
46
’abord, et c’est cela qu’il faut bien retenir. La
logique
nous enseigne que la partie n’est pas plus grande que le tout. Ce qui
47
urtant à se réclamer par ailleurs. La conséquence
logique
de l’individu, c’est l’étatisme, le fascisme ou la dictature stalinie
48
and des deux et aboutît à une espèce d’abdication
logique
des doctrines libérales. Laissons aux communistes le soin de s’en réj
49
l’antinomie s’équivalent et peuvent s’annuler. La
logique
n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordr
50
e parce qu’il propose un chef, un cadre rigide et
logique
, une hiérarchie primant les libertés individuelles ; ceux de gauche,
51
a seule révolution qu’elle légitimerait, en bonne
logique
, serait une révolution contre la construction entreprise par le capit
52
vail sans jeu, c’est-à-dire du travail forcé. (La
logique
du langage ici nous guide sûrement.) Qu’une classe possédante en vien
53
apparaître assez paradoxal. Pour en découvrir la
logique
, il suffit pourtant d’étudier la marche des révolutions bourgeoise et
54
erkegaard. Et il en a tiré la monographie la plus
logique
, la plus objective et la plus touchante qu’un honnête homme pût espér
55
plus guère à lui envier qu’un degré supérieur de
logique
dans l’application du système. L’État, sa politique, ses décrets, ses
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n’a pas à choisir, penchant vers des idées que la
logique
n’est pas seule à ordonner. Le mieux était de conserver à ces écrits
57
s les écrits marxistes, plus intelligents et plus
logiques
surtout que ceux des fascistes et racistes. Prenez le dernier article
58
ier article de Trotski contre Hitler. C’est d’une
logique
parfaite. Tout s’y enchaîne en une démonstration inattaquable, une fo
59
’abord, et c’est cela qu’il faut bien retenir. La
logique
nous enseigne que la partie n’est pas plus grande que le tout. Ce qui
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urtant à se réclamer par ailleurs. La conséquence
logique
de l’individu, c’est l’étatisme, le fascisme ou la dictature stalinie
61
and des deux et aboutît à une espèce d’abdication
logique
des doctrines libérales. Laissons aux communistes le soin de s’en réj
62
l’antinomie s’équivalent et peuvent s’annuler. La
logique
n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordr
63
e parce qu’il propose un chef, un cadre rigide et
logique
, une hiérarchie primant les libertés individuelles ; ceux de gauche,
64
a seule révolution qu’elle légitimerait, en bonne
logique
, serait une révolution contre la construction entreprise par le capit
65
vail sans jeu, c’est-à-dire du travail forcé. (La
logique
du langage ici nous guide sûrement.) Qu’une classe possédante en vien
66
re. (Aufklärung, philosophie des Lumières, claire
logique
, obscurantisme, etc.). Pour illustrer quelques-unes des relations que
67
es Allemands les moins suspects de sacrifier à la
logique
cartésienne, quels sont les plus illustres physionomistes des idées ?
68
C’est elle qui a su l’appliquer conformément à la
logique
du régime. C’est elle qui doit fatalement triompher. Cependant une di
69
se répondaient, où il était normal, salutaire et
logique
que les choses s’ordonnent à l’homme, et que l’homme s’ordonne à son
70
ques que l’on est en droit de formuler quant à la
logique
dont elles ont l’air de vouloir procéder ». M’autorisant de cette rem
71
tre le caractère proprement fantasmagorique de la
logique
hégélienne vulgarisée. Le langage est précisément ce qui sépare, et n
72
rochain, dans un esprit voué à la plus torturante
logique
. s. « Recherches philosophiques », La Nouvelle Revue française, Par
73
la multiplication des points de vue irréels, mais
logiques
et simples. (C’est ainsi que l’on a cru pouvoir « appliquer » la méth
74
st distingué, mais il faut encore le nourrir. Une
logique
vulgaire voudrait que l’État, qui l’honore, se charge aussi de l’entr
75
au pays du monde ? Cela du moins ne manque pas de
logique
, malgré la première apparence. L’erreur courante, qui est celle du li
76
», écrit M. de la Rocque. Et il ajoute, non sans
logique
: « J’ai imposé la priorité au plan d’action ». Mais qu’est-ce qu’un
77
r l’Esprit saint, ils ne sauraient être, en bonne
logique
, ses juges. Il faut donc admettre ou bien que les conciles sont le se
78
à-dire que la foi défaille. Mais quelle cohérence
logique
, quelle continuité, quelles grandeurs visibles ou quel ascétisme, que
79
gulièrement des études théologiques ou simplement
logiques
». S’il m’est permis de faire ici un peu de théologie et un peu de lo
80
mis de faire ici un peu de théologie et un peu de
logique
, je demanderai à M. Benda : 1° si les « docteurs » nationalistes qu’i
81
et, ou plutôt dans cette mêlée shakespearienne de
logique
impitoyable et de bon sens populaire, d’anecdotes, de boutades et d’é
82
, pourvu qu’il en avertisse. » Cette phrase de la
Logique
de Port-Royal, dont Claudel, s’il est réaliste, doit récuser la princ
83
ne en sourdine s’expliquent de la manière la plus
logique
sitôt qu’on les rapporte à un fait initial mystérieux et d’apparence
84
vantage qu’un symbole. La raison de Descartes, la
logique
de Condillac, l’utopie d’une mathématique sociale telle que la rêva C
85
rallèlement. Une série culturelle, obéissant à la
logique
interne de la raison, dont nous avons montré quelles étaient les fata
86
ersante. Mais bientôt, entraîné malgré lui par la
logique
interne du rationalisme, Marx dépasse ce point de vue polémique, oubl
87
, à corriger, à compliquer ce tracé trop aisément
logique
des fatalités rationnelles. Mais il ne s’agissait ici que de mettre e
88
e n’est autre que la vérité de ce principe. Et la
logique
interne de celui-ci détermine le destin historique de celle-là. Conna
89
le destin historique de celle-là. Connaître cette
logique
interne, c’est se mettre en mesure de prédire les développements de l
90
n de notre recherche. Nous suivrons d’une part la
logique
de la pensée qui n’est que descriptive — pensée balance. Et d’autre p
91
ensée par elle-même, l’opération est parfaitement
logique
. Imaginez la révolte de la balance contre son créateur, qui seul conn
92
la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la
logique
interne d’un certain rationalisme71 l’origine de cette complicité tac
93
en montrent déjà l’aboutissement impitoyablement
logique
. La machine, échappant aux mains de l’inventeur, dicte ses lois au pr
94
tatistes Au terme de cette brève analyse de la
logique
interne du désordre régnant, il sera bon d’insister quelque peu sur l
95
valeurs Partant d’une analyse impatiente de la
logique
interne du désordre régnant — la pensée prolétarisée —, nous avons en
96
acun de ses points, parfois sans autre transition
logique
, à l’acte créateur. Nous avons constaté que cet acte fonde toute exis
97
out système philosophique sera amené, par son jeu
logique
, à l’éliminer ou à la disqualifier. À moins qu’il n’en parte, comme d
98
e (D. R.). « Le seuil qui sépare le prélogique du
logique
, où est-il donc ? Le point est d’importance car il nous éclairera un
99
vantage qu’un symbole. La raison de Descartes, la
logique
de Condillac, l’utopie d’une mathématique sociale telle que la rêva C
100
rallèlement. Une série culturelle, obéissant à la
logique
interne de la raison, dont nous avons montré quelles étaient les fata
101
ersante. Mais bientôt, entraîné malgré lui par la
logique
interne du rationalisme, Marx dépasse ce point de vue polémique, oubl
102
, à corriger, à compliquer ce tracé trop aisément
logique
des fatalités rationnelles. Mais il ne s’agissait ici que de mettre e
103
e n’est autre que la vérité de ce principe. Et la
logique
interne de celui-ci détermine le destin historique de celle-là. Conna
104
le destin historique de celle-là. Connaître cette
logique
interne, c’est se mettre en mesure de prédire les développements de l
105
n de notre recherche. Nous suivrons d’une part la
logique
de la pensée qui n’est que descriptive — pensée balance. Et d’autre p
106
ensée par elle-même, l’opération est parfaitement
logique
. Imaginez la révolte de la balance contre son créateur, qui seul conn
107
la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la
logique
interne d’un certain rationalisme73 l’origine de cette complicité tac
108
en montrent déjà l’aboutissement impitoyablement
logique
. La machine, échappant aux mains de l’inventeur, dicte ses lois au pr
109
tatistes Au terme de cette brève analyse de la
logique
interne du désordre régnant, il sera bon d’insister quelque peu sur l
110
valeurs Partant d’une analyse impatiente de la
logique
interne du désordre régnant — la pensée prolétarisée —, nous104 avons
111
acun de ses points, parfois sans autre transition
logique
, à l’acte créateur. Nous avons constaté que cet acte fonde toute exis
112
ts de suivre jusqu’au bout, et sans scrupules, la
logique
du capitalisme. Or, ce système étant de ceux qui ne se peuvent souten
113
lé, Siciliens et Carthaginois. C’est ainsi que la
logique
rigide du système devait conduire au conflit armé avec Carthage, sour
114
e l’enrichissement national. Une fois de plus, la
logique
capitaliste mène à la guerre. La vente des privilèges et offices étan
115
t le monopole : tout catholique se doit, en bonne
logique
, de les faire siens puisqu’il croit au mérite des œuvres ; et tous le
116
aspect non matériel : par exemple, il y a dans la
logique
une certaine brutalité, reconnaissable à un caractère de contrainte e
117
’ordinaire avec précision à cette brutalité de la
logique
; elle la déteste absolument, tandis que la violence l’effraye mais l
118
he dénonce). Là encore, il semble qu’une certaine
logique
à courte vue préside à cette stérilisation profonde des jeunes généra
119
ile dans la plupart de nos précautions oratoires,
logiques
ou mondaines, et ce qu’il y a au contraire d’efficace dans l’affirmat
120
», et que les jeunes se voient contraints par la
logique
des circonstances à se montrer plutôt… « moraux ». On goûta beaucoup
121
» de notre jeunesse, lequel ne saurait, en bonne
logique
, expliquer les doctrines d’un Barrès ou d’un Sorel, — qu’au surplus n
122
ison, autant que leur sécurité. On trouve dans la
Logique
de Port-Royal, un dilemme assez comparable, « par lequel un ancien Ph
123
ntentera les dieux. Donc on s’en doit mêler. » La
Logique
observe à propos du premier dilemme — ou sophisme — « qu’il n’est poi
124
ile dans la plupart de nos précautions oratoires,
logiques
ou mondaines, et ce qu’il y a au contraire d’efficace dans l’affirmat
125
t le monopole : tout catholique se doit, en bonne
logique
, de les faire siens, puisqu’il croit au mérite des œuvres ; et tous l
126
éralisme) au règne de l’État totalitaire, par une
logique
dont la rigueur montre assez que les facteurs humains ont cessé d’y j
127
le premier dictateur venu tirera les conclusions
logiques
. Sera-t-il Français ? Je voudrais me tromper, croire au miracle. Je p
128
eurs sujets de contes sont les plus abstraitement
logiques
. La logique enfantine est bien plus proche du raisonnement mathématiq
129
e contes sont les plus abstraitement logiques. La
logique
enfantine est bien plus proche du raisonnement mathématique que de la
130
r ces deux effets. Qu’en résultera-t-il ? Le rêve
logique
qu’est le conte de Carroll nous apparaît alors comme une série de var
131
réatures curieusement acharnées à lui opposer une
logique
qui, n’étant plus le fait des grandes personnes — « ce qui va de soi
132
» dont se compose le récit. Et parfois les pièges
logiques
ont une double détente par calembour. Tout cela est assez bien symbol
133
t-elle. Et pour le coup, je m’y reconnais : cette
logique
est celle de la race. On sent des siècles de cartésianisme derrière c
134
es impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur
logique
qui est grave, c’est l’erreur morale qu’elle suppose. Lorsqu’on incit
135
compris la profondeur de cette opposition, et sa
logique
impitoyable. Je crains que certains ne se figurent encore qu’elle rés
136
créateur, et les entorses qu’il fait subir à la «
logique
» d’observation courante, dans la mesure exacte où ces licences fourn
137
ne description réduite à suivre en ses détours la
logique
interne du Roman puisse paraître vaguement injurieuse, je le sens bie
138
lisme du Jour et de la Nuit, poussé à son extrême
logique
, aboutissait, du point de vue de la vie, au malheur absolu, qui est l
139
e, très platement qu’il n’y a là qu’une faiblesse
logique
. « Cela fait, conclut-il, une inégalité de mœurs qui est vicieuse. »
140
bre de questions, et surtout à les situer dans la
logique
du mythe, qui est mon vrai sujet. On peut penser d’ailleurs que l’exa
141
es impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur
logique
qui est grave, c’est l’erreur morale qu’elle suppose. Lorsqu’on incit
142
créateur, et les entorses qu’il fait subir à la «
logique
» d’observation courante, dans la mesure exacte où ces licences fourn
143
ne description réduite à suivre en ses détours la
logique
interne du Roman puisse paraître vaguement injurieuse, je le sens bie
144
lisme du Jour et de la Nuit, poussé à son extrême
logique
, aboutissait, du point de vue de la vie, au malheur absolu, qui est l
145
de liberté et de grâce. Plus pessimiste et d’une
logique
plus massive, le dualisme statue l’existence absolument hétérogène du
146
e, très platement qu’il n’y a là qu’une faiblesse
logique
. « Cela fait, conclut-il, une inégalité de mœurs qui est vicieuse. »
147
mbre de questions, et surtout à le situer dans la
logique
du mythe, qui est mon vrai sujet. On peut penser d’ailleurs que l’exa
148
reux de quelqu’un d’autre. Et il est parfaitement
logique
qu’on décide aussitôt de divorcer pour trouver dans le nouvel « amour
149
es impersonnels. Mais enfin ce n’est pas l’erreur
logique
qui est grave, c’est l’erreur morale qu’elle suppose. Lorsqu’on incit
150
créateur, et les entorses qu’il fait subir à la «
logique
» d’observation courante, dans la mesure exacte où ces licences fourn
151
ne description réduite à suivre en ses détours la
logique
interne du Roman puisse paraître vaguement injurieuse, je le sens bie
152
lisme du Jour et de la Nuit, poussé à son extrême
logique
, aboutissait, du point de vue de la vie, au malheur absolu, qui est l
153
de liberté et de grâce. Plus pessimiste et d’une
logique
plus massive, le dualisme statue l’existence absolument hétérogène du
154
, très platement, qu’il n’y a là qu’une faiblesse
logique
. « Cela fait, conclut-il, une inégalité de mœurs qui est vicieuse. »
155
bre de questions, et surtout à les situer dans la
logique
du mythe, qui est mon vrai sujet. On peut penser d’ailleurs que l’exa