1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
1 est pas étrangère. » — « Cependant, le Mont-Blanc luit là-haut ; la Puissance est là, la tranquille et solennelle Puissance
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 le reflet rouge de ses yeux parmi les troncs qui luisaient , faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyais m’enfoncer e
3 la terre noire, des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouf
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 le reflet rouge de ses yeux parmi les troncs qui luisaient , faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyais m’enfoncer e
5 la terre noire, des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouf
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
6 La rivière sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
7 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
8 de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne M
6 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
9 ’ouest. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets d’un
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
10 lourds et rapides rasent les terres brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se p
8 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
11 de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne M
9 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
12 et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue. (I, 1-5.) Est
10 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
13 travers des reflets dorés que vos promesses font luire aux yeux des Suisses ! Ah ! vous êtes deux bons oiseleurs ! Qu’avons-
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
14 et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue. (I, 1-5.) Est
12 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
15 étant bien celle de ses vœux, la pierre se mit à luire davantage ; et davantage encore il l’aimait, plus il luttait contre l
16 er secret de son éclat. Et maintenant, ma pierre, luis de ton propre éclat ! Qu’une fois au moins je te contemple en mon rep
17 it — grande était sa douleur — la pierre se mit à luire sous la cendre, et le grand feu flamba soudain toute la pièce. Il dit
18 ute la pièce. Il dit à sa pierre : — Ô ma pierre, luis dans le feu ! Je ne puis te toucher, mais la chaleur est bonne. Tout
19 éclatante. Et vois : quand il était heureux, elle luisait d’une froide splendeur, et quand il était triste, elle était consolan
13 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
20 La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
21 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre
14 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
22 La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
23 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre
15 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
24 La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
25 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
26 le reflet rouge de ses yeux parmi les troncs qui luisaient , faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyais m’enfoncer e
27 la terre noire, des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouf
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
28 ’ouest. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets d’un
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
29 lourds et rapides rasent les terres brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se p
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
30 de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne M
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
31 La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâle. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
32 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre
21 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
33 l’aura sombre de l’hélice. L’aluminium des ailes luit dans l’ombre, sur le fond de la plaine embrumée. Un léger balancement
22 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
34 ble à la pluie, au gel. Mais l’endemain le soleil luit Sur la feuille et le rameau vert. « Dans les chansons de Guillaume I
23 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
35 au bout duquel, à une centaine de mètres, je vois luire une très grosse lanterne ornée de caractères chinois. Je parlais avec