1
in pour moi. Puis : — Quelle imprudence ! Avec la
lumière
et peut-être du monde dans l’appartement. Il avait si froid que ses d
2
ls osent se faire violence pour se hisser dans la
lumière
. « Il vaut mieux, dit encore Vinet, ne voir d’abord que les grands tr
3
e les miracles les plus étonnants sont ceux de la
lumière
. « Le mystère se passe en plein jour et à toute vitesse. » Telle est
4
de la plastique qui est le jeu de formes sous la
lumière
». Cristallisation d’un rêve de joie et de raison où de grandes ordon
5
e. Sous les grands cils brillants, lustrés par la
lumière
descendante, les prunelles laiteuses du dieu avaient un reflet bleu c
6
ous viendraient une fois de plus la sagesse et la
lumière
. De récentes enquêtes ont dénoncé certaines des confusions sur quoi s
7
a ville présente au couchant, dans ce corridor de
lumière
où elle accueille le ciel — et derrière, elle devient plus secrète. V
8
u fleuve, parmi les dissonances mélancoliques des
lumières
et des odeurs, espérant entrer là-bas dans je ne sais quelle harmonie
9
s nous sommes retournés vers la ville. Fleurs de
lumières
sur les champs sombres du ciel de l’est, et une façade parfaite répon
10
guérir… Mais nous voyons la ville debout dans ses
lumières
. Architectures ! langage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées,
11
étro, du prochain autobus, — si rapide : déjà les
lumières
des boulevards glissaient des reflets sur l’asphalte mouillé. Les pie
12
ouvements… C’est une réalité quotidienne dans une
lumière
qui la métamorphose ; c’est un temps nouveau, et l’espace en relation
13
la netteté utile à l’harmonie des lignes ; où la
lumière
éclaire plus qu’elle ne caresse ; où pourtant les hivers les plus dur
14
onque. Il advint que ce fut celle de l’Italie. La
lumière
, mon pays natal ! — Je vécus d’articles sur la mode et la politique,
15
e voyait d’abord qu’un bouquet transfiguré par la
lumière
et que reflétaient de nombreuses glaces. Les fenêtres que j’ouvris fi
16
que la forme blanche, sous un brusque faisceau de
lumière
m’apparaît avec le visage même de mon amour. Je me sens voluptueuseme
17
esoin de souffrir pour comprendre. Le faisceau de
lumière
quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisi
18
— c’est un ciel suspendu assez bas sur nos têtes.
Lumière
orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue très doucement. Nous somme
19
ans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de
lumière
et de sentiments. Il découvre une sorte de rire au coin de sa bouche
20
elle s’est dégagée et qu’elle voit dans une autre
lumière
: « Tout semblait vivre au fond d’un insistant regard. » Le poète des
21
stoire le Progrès constant de l’humanité vers les
lumières
, l’incrédulité et le bien-être matériel. Nous savions qu’un fils d’ou
22
e crime quotidien, et se félicitent du régime des
lumières
et des compteurs à gaz. Mais ils se fâchent tout rouge quand on leur
23
dresse aux démocrates convaincus, partisans des «
lumières
», et qui pourtant s’indignent de voir la morale actuelle s’attaquer,
24
stoire le Progrès constant de l’humanité vers les
lumières
, l’incrédulité et le bien-être matériel. Nous savions qu’un fils d’ou
25
e crime quotidien, et se félicitent du régime des
lumières
et des compteurs à gaz. Mais ils se fâchent tout rouge quand on leur
26
dresse aux démocrates convaincus, partisans des «
lumières
» et qui pourtant s’indignent de voir la morale actuelle s’attaquer,
27
produire : des aboiements fous et une effusion de
lumière
basse, rougeoyante, campagnarde. ⁂ La sauce est au rôti ce que le sty
28
aux clochers de la capitale qui s’avance dans la
lumière
fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades ex
29
ment de l’amitié prochaine). Et la générosité des
lumières
d’avant le soir, — et cette espèce de tendresse pour tous les possibl
30
une chanson populaire et regardent tristement les
lumières
. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-l
31
imaginer que jamais plus je ne la reverrai, cette
lumière
en ce lieu, secrète et familière. Songeant à cette minute et à d’autr
32
des typiquement sécularistes : la philosophie des
lumières
, celle de la technique, celle du primat de la Vie. Ce lui est une occ
33
ifique de M. Brunschvicg, philosophe officiel des
lumières
. De quelles prises, en effet, dispose cet idéalisme ? se demande M. G
34
Dieu avait une place plus grande dans la joyeuse
lumière
de notre ciel simplifié. Et voilà, n’est-ce pas, un ton et une ferve
35
grande composition : trois longues croix dans une
lumière
dramatique, le corps du Christ déjà presque transfiguré en symbole my
36
oyez avec quelle tranquillité tout repose dans la
lumière
… » Vous avez reconnu ce ton souverain. Pour la première fois, le ton
37
it cherché, étaient merveilleux. Les couleurs, la
lumière
du soleil, les dessins, les roses, les lèvres rouges des filles, tout
38
is intérieur où Freud naguère porta l’impitoyable
lumière
de l’observation scientifique. Reflet du siècle, le roman bientôt s’a
39
une plénitude royale s’avance fortement contre la
lumière
, et les yeux, entre cette bouche et ce front, disent d’un sobre et mé
40
éclat sur tout ce que nous ferons, comme la douce
lumière
d’un soleil caché14. » Écrire, tout en se taisant. Et ceux-là seuls e
41
que la forme blanche, sous un brusque faisceau de
lumière
m’apparaît avec le visage même de mon amour. Je me sens voluptueuseme
42
esoin de souffrir pour comprendre. Le faisceau de
lumière
quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisi
43
— c’est un ciel suspendu assez bas sur nos têtes.
Lumière
orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue très doucement. Nous somme
44
comme symbolique. Hofmannsthal Un aquarium de
lumière
rose où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des
45
uis seul, comme ceux qui se souviennent. Tout est
lumière
dans cet espace, jeu silencieux de lustres, de glaces et d’acajous po
46
de où pénètre le ciel pâli. Transparents sous les
lumières
qui déjà retirent leurs plus longs rayons, ils ont encore des lèvres
47
e déchirure assourdissante du monde : je vois une
lumière
vraie, chaude et triomphante, et des vaisseaux qui ramènent Iseut dan
48
i nu pourtant dans la soie et le velours, dans la
lumière
froide et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, — guérir de l’éc
49
aux clochers de la capitale qui s’avance dans la
lumière
fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades ex
50
ment de l’amitié prochaine). Et la générosité des
lumières
d’avant le soir, — et cette espèce de tendresse pour tous les possibl
51
une chanson populaire et regardent tristement les
lumières
. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-l
52
imaginer que jamais plus je ne la reverrai, cette
lumière
en ce lieu, secrète et familière. Songeant à cette minute et à d’autr
53
descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelques
lumières
au milieu d’une étroite vallée où le train longtemps côtoya une riviè
54
chien s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de
lumière
sous la porte disparaît. Il aime sentir autour de lui vivre la grande
55
ns la forêt. Vers le soir, j’étais bien perdu. La
lumière
montait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal
56
ue je serai étendu dans la maison, je veux que la
lumière
brille dans ma chambre et dans les corridors, pendant toute la nuit,
57
e fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
lumière
délirait doucement, au sein du silence et du regard. Et nous sommes d
58
ualiser. À la vitesse suprême, elle s’évanouit en
lumière
. C’est ainsi que dans le monde spirituel, l’ère de la vitesse prépare
59
soulevées s’arrêtaient au bord du ciel, devant la
lumière
maritime ; puis cédaient de l’épaule et l’on voyait le golfe violacé
60
re fort contre les grèves, soulagée de la pesante
lumière
. Mais dans cette chambre élevée du château, l’air demeure étouffant e
61
produire : des aboiements fous et une effusion de
lumière
basse, rougeoyante, campagnarde. ⁂ La sauce est au rôti comme le styl
62
mps. Si vous étiez païenne et que vous adoriez la
lumière
, le beau temps vous serait un Dieu rendu visible ; et votre « bonheur
63
que l’un des noms de sa présence. Mais un jour la
lumière
est morte autour de nous, elle est morte à la surface des choses pour
64
ymbolique. Hugo von Hofmannsthal. Un aquarium de
lumière
rose où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des
65
uis seul, comme ceux qui se souviennent. Tout est
lumière
dans cet espace, jeu silencieux de lustres, de glaces et d’acajous po
66
de où pénètre le ciel pâli. Transparents sous les
lumières
qui déjà retirent leurs plus longs rayons, ils ont encore des lèvres
67
e déchirure assourdissante du monde : je vois une
lumière
vraie, chaude et triomphante, et des vaisseaux qui ramènent Iseut dan
68
i nu pourtant dans la soie et le velours, dans la
lumière
froide et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, — guérir de l’éc
69
aux clochers de la capitale qui s’avance dans la
lumière
fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades ex
70
ment de l’amitié prochaine). Et la générosité des
lumières
d’avant le soir, — et cette espèce de tendresse pour tous les possibl
71
une chanson populaire et regardent tristement les
lumières
. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-l
72
imaginer que jamais plus je ne la reverrai, cette
lumière
en ce lieu, secrète et familière. Songeant à cette minute et à d’autr
73
soulevées s’arrêtaient au bord du ciel, devant la
lumière
maritime ; puis cédaient de l’épaule et l’on voyait le golfe violacé
74
re fort contre les grèves, soulagée de la pesante
lumière
. Mais dans cette chambre élevée du château, l’air demeure étouffant e
75
descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelques
lumières
au milieu d’une étroite vallée où le train longtemps côtoya une riviè
76
chien s’est tu ; des pas s’éloignent. Un trait de
lumière
sous la porte disparaît. Il aime sentir autour de lui vivre la grande
77
ns la forêt. Vers le soir, j’étais bien perdu. La
lumière
montait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal
78
ue je serai étendu dans la maison, je veux que la
lumière
brille dans ma chambre et dans les corridors, pendant toute la nuit,
79
e fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
lumière
délirait doucement, au sein du silence et du regard. Et nous sommes d
80
de certitude tranquille, ces objets vus dans une
lumière
sobre et mate.) Telle a donc été ma « vision » : formats et couleurs
81
ualiser. À la vitesse suprême, elle s’évanouit en
lumière
. C’est ainsi que dans le monde spirituel, l’ère de la vitesse prépare
82
j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville
Lumière
n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres san
83
rume d’été flottant sur la rivière… Une langue de
lumière
orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse
84
cavernes d’ombre et gonflements majestueux où la
lumière
fait ses grands jeux, de tous les rouges au bleu de plomb. Aux approc
85
d’air des gorges, sentir qu’on descendait vers la
lumière
, vers le grand lac doublant soudain le ciel au sortir du treizième tu
86
ciels changeants, et si profonds ses lointains de
lumière
. La pente derrière moi, l’horizon des collines, sont le cadre qui don
87
bien différente… Enfin la variété des objets, des
lumières
, des premiers plans et des éloignements qu’un peu de vent déplace, il
88
essemblerait guère à mes esquisses. Au lieu de la
lumière
souvent voilée du lac, on y verrait un éclairage cru, des ombres long
89
es fusées d’une fête intempestive. On demande des
lumières
qui ne soient plus seulement aveuglantes. On voudrait être dirigé, pl
90
arler d’une Révélation. Est-ce donc qu’une grande
lumière
leur est venue dans cette nuit ? Est-ce qu’ils ont, eux, la clef du m
91
un jour. Ils savent que le Christ leur promet la
lumière
à la mesure de leur obéissance. Ils n’ont donc pas reçu une révélatio
92
s décidément incompatibles avec nos plus récentes
lumières
? Ou bien doit-elle, tout au contraire, assumer le scandale, montrer
93
rre Girard, il faut avoir aimé Charlot, celui des
Lumières
de la Ville et du Cirque. Les héros de Pierre Girard sont de doux ahu
94
contrastée, et des paysages baignés d’une longue
lumière
boréale. Cette femme n’est pas un ange, ni une sainte. Elle pèche, el
95
meilleure lui pousse. » Fernandez a peut-être des
lumières
qui me font absolument défaut sur la psychologie du bourgeois, animal
96
d’êtres révélés et saisis par le droit flot de la
lumière
, les replis de la vie quotidienne fouillés comme un cauchemar par le
97
contrastés, et des paysages baignés d’une longue
lumière
boréale. Cette femme n’est pas un ange ni une sainte. Elle a péché gr
98
ppelons : personne, si nous savons qu’elle est la
lumière
de nos lumières, et le soleil que rien ne peut décrire, mais qui fait
99
nne, si nous savons qu’elle est la lumière de nos
lumières
, et le soleil que rien ne peut décrire, mais qui fait voir le monde e
100
spective chrétienne, que Carl Koch met si bien en
lumière
—, nous pourrons nous montrer plus exigeants sur l’interprétation thé
101
ète philosophe et du théologien projette une vive
lumière
sur le secret dernier du message d’un romancier : Dostoïevski. Prenon
102
llusion lorsqu’elle se risque à subsister dans la
lumière
est prise impitoyablement pour ce qu’elle est, c’est-à-dire pour ce q
103
Et voilà notre psychologue obligé de chercher ses
lumières
chez les physiologistes ou chez les métaphysiciens. En vérité, la cur
104
t s’y ramène à l’opposition des ténèbres et de la
lumière
. « Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière » (
105
fois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes
lumière
» (Éph. 5.8) ou encore : « Nous qui sommes du jour… » (I Thess. 5.8)
106
olennel ou vulgaire. (Aufklärung, philosophie des
Lumières
, claire logique, obscurantisme, etc.). Pour illustrer quelques-unes d
107
comme j’ai été connu ». Au commencement est la
lumière
(physique) On ne voit que ce qui est vu. Mais peut-être faut-il al
108
mouvement des corps, il y a comme un appel de la
lumière
. La première parole de Dieu : « Que la lumière soit » est aussi le pr
109
la lumière. La première parole de Dieu : « Que la
lumière
soit » est aussi le premier moteur de l’univers. Toute substance que
110
emier moteur de l’univers. Toute substance que la
lumière
vient toucher, aussitôt se meut et se forme, et de même qu’elle a été
111
forme, et de même qu’elle a été « connue » par la
lumière
, de même elle devient à nos yeux reconnaissable. Il n’est pas d’autre
112
n’est pas d’autre mouvement que cet élan vers la
lumière
— ou pour la fuir — par quoi tout se révèle et se manifeste à la vue,
113
s voyons a vu ; et tout, d’abord, a été vu par la
lumière
créatrice. « L’œil ne verrait pas le soleil s’il n’était de nature so
114
amour sont un seul acte et une seule réponse : «
Lumière
du monde, vous m’avez éclairé. Je vous ai vue, je vous ai aimée : car
115
cette œuvre mordue par le temps et modelée par la
lumière
, ce n’est pas le regard troublé qui erre sur les miroirs de la ville,
116
emples, statues, — visages ! Dans l’enfance de la
lumière
. L’image physionomique de l’Univers Quelle que soit la vénérati
117
z certains batraciens aveugles, qu’on expose à la
lumière
dans des conditions particulières, se développent lentement des yeux
118
nction crée l’organe » se traduirait ici par « la
lumière
crée l’œil ». Je donne cet exemple pour son pittoresque, sans prétend
119
e faire plus ou mieux que les autres ? A-t-il des
lumières
spéciales sur les moyens de résoudre la crise, d’organiser la product
120
hrétiens possèdent, du seul fait de leur foi, des
lumières
spéciales sur les problèmes techniques que pose la vie de la cité mod
121
es conteurs. Ce sera, dans la féerie de l’eau des
lumières
et des couleurs, le ballet vertigineux des ondes. Ce sera aussi la fê
122
Sur le mystère de cette opération magique, peu de
lumières
dans la psychologie moderne. 33. Si le concret est « ce qui engage »
123
ons. Le chrétien marche dans la nuit en créant sa
lumière
et son chemin5, lumière qui n’est pas sa lumière, chemin toujours imp
124
dans la nuit en créant sa lumière et son chemin5,
lumière
qui n’est pas sa lumière, chemin toujours imprévisible, certitude que
125
lumière et son chemin5, lumière qui n’est pas sa
lumière
, chemin toujours imprévisible, certitude que devinent les pas, chemin
126
ais la réponse est : « Convertissez-vous ! » À la
lumière
jaillie de l’acte de la foi, le mystère du temps se dévoile ; mais un
127
e. 5. « Ta Parole est une lampe à mes pieds, une
lumière
sur mon sentier » 6. Die Chimäre, trad. française dans les Éléments
128
d’un mouvement. Et tout mouvement provient de la
lumière
qui crée les formes en même temps que notre œil. « La vérité est une
129
t prétendre étudier la nuit sans le secours de la
lumière
. Le sens du passé n’apparaît qu’aux yeux de qui sait voir les aboutis
130
trir du nom d’obscurantisme. La « philosophie des
lumières
» en est l’illustration fameuse. Or c’est elle qui est à l’origine de
131
tes plus ou moins lumineuses selon la quantité de
lumière
blanche qu’elles rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le ver
132
le nouvel ordre des choses. Ils n’ont pas plus de
lumières
sur les modalités de cette opération que les clercs n’en avaient sur
133
s écartée tout d’abord. L’acte créateur sépare la
lumière
des ténèbres. Son caractère dichotomique n’est pas isolé de son carac
134
on caractère agonique. Ce n’est pas à dire que la
lumière
et les ténèbres soient données avant l’acte, car sinon il ne serait p
135
t prétendre étudier la nuit sans le secours de la
lumière
. Le sens du passé n’apparaît qu’aux yeux de qui sait voir les aboutis
136
trir du nom d’obscurantisme. La « philosophie des
lumières
» en est l’illustration fameuse. Or c’est elle qui est à l’origine de
137
tes plus ou moins lumineuses selon la quantité de
lumière
blanche qu’elles rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le ver
138
le nouvel ordre des choses. Ils n’ont pas plus de
lumières
sur les modalités de cette opération que les clercs n’en avaient sur
139
e servent, les femmes qu’il rencontre, surtout la
lumière
du jour, et même la clarté de la lune. Il recherche la solitude pour
140
Pâques, 7 heures Tout est trempé et ruisselant de
lumière
bleue, les feuillages encore translucides au-dessus du bassin bleu de
141
velle création, et la « révélation des enfants de
lumière
» ! 21 avril Voici les affiches des partis, pour la campagne d’électi
142
près son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans
lumière
, distinguant à peine la route asphaltée. Je roulais comme en rêve, le
143
fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de
lumière
. Lundi dernier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts d
144
temps de réfléchir, et de nous faire part de vos
lumières
, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux curé
145
ds sans nourrir la vision. Pas de mouches dans la
lumière
au ras des landes. Lucidité stérile du bel hiver ! La colère y jailli
146
ous les tilleuls. Il y a un grand bonheur dans la
lumière
qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison, plus
147
e la Création vers la révélation des « enfants de
lumière
», et la restauration de l’ordre originel. Et voilà pratiquement la r
148
uite par la Réforme, c’est un pays entier sous la
lumière
de la Parole, qui trouve ici son expression. Tout respire largement,
149
erre et beaucoup de ciel, et partout cette humide
lumière
blanche qui met des ombres si légères, vertes et bleues, sur les mura
150
ler à ma vie, dans l’heureux étourdissement de la
lumière
maritime. Pour mes pensées, je les occupe en attendant à de petits ex
151
fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de
lumière
. Lundi dernier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts d
152
e temps de réfléchir et de nous faire part de vos
lumières
, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux curé
153
esque pardonner au monde. C’est le placer sous la
lumière
fantastique de la Promesse, au point où tout se renverse, où le ciel
154
je ne vois pas que le chrétien comme tel ait des
lumières
particulières sur ces sujets, qui exigent un savoir technique. Mais c
155
e lesquelles s’amasse l’écume rousse. Une grande
lumière
humide baigne ce paysage horizontal. Des voiles ocrées passent au ras
156
iaux : la terre, la mer, le ciel, et le feu de la
lumière
. Nous vivrons bien ! ⁂ Je revois, je revis si bien cette traversée, c
157
erre et beaucoup de ciel, et partout cette humide
lumière
blanche qui met des ombres si légères, vertes et bleues, sur les mura
158
ler à ma vie, dans l’heureux étourdissement de la
lumière
maritime. Pour mes pensées, je les occupe en attendant à de petits ex
159
ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La
lumière
n’a plus cette intensité blanche et bleue qui nous avait comme étourd
160
près son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans
lumière
, distinguant à peine la route asphaltée. Je roulais comme en rêve, le
161
fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de
lumière
. Lundi dernier, au petit matin, nous nous sommes réveillés couverts d
162
ds sans nourrir la vision. Pas de mouches dans la
lumière
au ras des landes. Lucidité stérile du bel hiver. La colère y jaillit
163
e temps de réfléchir et de nous faire part de vos
lumières
, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux curé
164
rifiée et rajeunie, des fleurs partout, la grande
lumière
sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au jardin, tous ces jours. Labo
165
ous les tilleuls. Il y a un grand bonheur dans la
lumière
qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison plus c
166
e la création vers la révélation des « enfants de
lumière
», et la restauration de l’ordre originel. Et voilà pratiquement la r
167
ues, 7 heures Tout est trempé et ruisselant de
lumière
bleue, les feuillages encore translucides au-dessus du bassin bleu de
168
velle création, et la « révélation des enfants de
lumière
» ! 21 avril 1935 Voici les affiches des partis, pour la campag
169
ve une beauté à ces façades monotones, animées de
lumières
çà et là, de linges qui pendent aux fenêtres, et d’une population de
170
devant ces façades toutes sonores de radios et de
lumières
, n’est-ce pas beau ? Pourquoi ce ricanement « réactionnaire » dans mo
171
ur de marée, des trompettes au-dehors. Toutes les
lumières
s’éteignent dans la salle, tandis que des flèches lumineuses s’allume
172
ve à l’envol spirituel vers le monde incréé de la
Lumière
. L’Amour mystique, dont le symbole était la « Dame des pensées » dans
173
t une lente consomption, une moindre-vie. À cette
lumière
que jette sur nos psychologies la connaissance du mythe primitif, le
174
on, de nos jours, pour attraper les enfants de la
Lumière
! J’aimerais beaucoup qu’on ne déduise pas de ces propos qu’à mon avi
175
foules silencieuses et hâtives, vers ce carré de
lumière
circonscrit d’étendards. Trois-mille « chefs » des Jeunesses et du Pa
176
leur, qui s’annonce sans précédent. Le siècle des
Lumières
, puis le siècle individualiste, ont relâché et parfois même dissout l
177
est Nicolas de Flue. On le met en vedette par des
lumières
et les autres composants restent dans la pénombre… Je précise encore
178
naquit le romantisme allemand après le siècle des
Lumières
. Ainsi renaissent nos soifs mystiques élémentaires après un siècle de
179
demander à la biographie des romantiques quelques
lumières
sur les mystiques proprement dits, tout au moins sur les causes humai
180
lus répondre aux menaces que par l’extinction des
lumières
, — de toutes les lumières humaines. J’avais quitté mon train pendant
181
ue par l’extinction des lumières, — de toutes les
lumières
humaines. J’avais quitté mon train pendant l’arrêt, à la recherche d’
182
ilà le miracle hollandais. Je ne crois pas que la
lumière
fauve et le grenat des façades de briques renversées dans l’eau jaune
183
ur lutte mortelle dans l’homme. Il est un dieu de
Lumière
incréée, intemporelle, et un dieu de Ténèbres, auteur du mal, qui dom
184
t le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la
Lumière
prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé
185
er veut sombrer, mais pour renaître en un ciel de
Lumière
. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est
186
s créées et de la nuit de la matière. Issu de la
lumière
et des dieux Me voici en exil et séparé d’eux. Je suis un dieu, et n
187
hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme vers la
Lumière
n’est pas sans évoquer d’une part la « réminiscence du Beau » dont pa
188
volontaire de l’ascèse, nous pouvons accéder à la
Lumière
. Mais la fin de l’esprit, son but, c’est aussi la fin de la vie, c’es
189
it Dieu… En elle était la vie, et la vie était la
lumière
des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’o
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la vie, et la vie était la lumière des hommes. La
lumière
luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue. (I, 1-5.)
191
L’incarnation de la Parole dans le monde — de la
Lumière
dans les Ténèbres —, tel est l’événement inouï qui nous délivre du ma
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sus-Christ, les ténèbres vraiment ont « reçu » la
lumière
. Et tout homme né de femme qui croit cela, renaît de l’esprit dès mai
193
’est plus la passion infinie de l’âme en quête de
lumière
, mais c’est le mariage du Christ et de l’Église. L’amour humain lui-m
194
t venu pour nous montrer le chemin du retour à la
Lumière
. Ce Christ ne s’est pas incarné : il n’a pris que l’apparence d’un ho
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Et voici Guiraut de Bornheil qui prie la vraie 49
Lumière
en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir
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nnaires cheminant deux par deux) : Roi glorieux,
lumière
et clarté vraie Puissant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain
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œux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein de la nuit la
Lumière
vraie dont il ne faut se séparer ? Beau doux copain, tant riche est
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était inspiré Manès — l’opposition du monde de la
Lumière
et du monde des Ténèbres, dont on a vu qu’elle est fondamentale pour
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ital. 49. L’emploi du mot « vraie » devant Dieu,
Lumière
, Foi, Église, est un indice probable de catharisme chez un troubadour
200
étique du fer pour le fer, et leurs particules de
lumière
veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de lumière dont elles so
201
e veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de
lumière
dont elles sont venues ». 67. H. Corbin : introduction au Familier
202
lus tard Novalis, ce mystique de la Nuit et de la
Lumière
secrète. Cette maxime traduit d’ailleurs, parmi tant d’autres sens po
203
sister sur le récit de leurs souffrances. Plus la
lumière
et l’amour divin sont vifs, plus l’âme se voit souillée et misérable
204
’unir au transcendant, quand le but n’est plus la
Lumière
, et quand on ignore le « chemin », c’est se précipiter dans la Nuit.
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ept couleurs dont le grand jour faisait une seule
lumière
, trompeuse à force d’évidence. Maintenant nous pouvons distinguer les
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es moments-là, pour moi, ne ressemblent plus à la
lumière
et à la vie : c’est une nuit infernale et une cruelle mort. Et pourta
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ludd, son maître en occultisme, enseignait que la
lumière
est la matière divine… Il reste cependant que la doctrine de Milton e
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t en Jour. Le même élan qui portait l’âme vers la
lumière
et l’unité divine, considéré du point de vue de ce monde n’est plus q
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gueur dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la
lumière
douloureuse du troisième acte — l’obsession jaune des fiévreux — peut
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pplie : Soulage-moi de ma croix. Conduis vers la
lumière
Mon âme délivrée ! Et le chœur des religieuses reprend : Qu’ils se
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mort n’est plus qu’une lente consomption. À cette
lumière
, que jette sur nos psychologies la connaissance du mythe primitif, le
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l’individu n’est pas une invention du siècle des
Lumières
et de la Déclaration des droits de l’homme. C’est une invention grecq
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ats. Les costumes très clairs des personnages, la
lumière
du projecteur, l’allure des acteurs, tout doit contribuer à donner l’
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s est resté seul un instant devant la maison. Des
lumières
s’allument aux fenêtres. Il s’approche du bord du plan 2.) Nicolas.
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orte de la maison s’entr’ouvre et, dans la faible
lumière
qui en sort, on voit paraître Dorothée. Elle reste sur le seuil, rega
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las lève la tête vers les voix. Dans un cercle de
lumière
apparaissent, au plan 3, trois vieillards vêtus de blanc.) Un des v
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ers le plan 3. Nicolas apparaît dans un cercle de
lumière
, appuyé sur son bâton.) Le chœur (Récitatif.) Solitaire, où vont
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e la violence et le mépris des lois divines. (La
lumière
qui environne Nicolas faiblit. Il reprend sa marche. Deuxième station
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faiblit. Il reprend sa marche. Deuxième station.
Lumière
plus vive.) Le chœur. Solitaire, où vont tes pas ? Au désert, ton
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Ô mon Seigneur, as-tu trompé ton serviteur ? (La
lumière
faiblit autour de Nicolas qui gravit la rampe. Dans une subite lueur
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sparaissent plus bas, dans l’ombre, en criant. La
lumière
faiblit de nouveau jusqu’à la quatrième station.) Nicolas. — Mes e
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nvisible.) — Nicolas ! Nicolas ! Nicolas ! (La
lumière
faiblit autour de Nicolas et grandit autour du plan 3, qu’il atteint
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sommet et il étend les bras, en silhouette sur la
lumière
.) … Accueillez-moi dans votre joie ! Anges cachés dans la lumière, qu
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eillez-moi dans votre joie ! Anges cachés dans la
lumière
, que j’entende vos voix pures ! Louons ensemble l’Éternel ! Louons-le
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rchons encore Vers ton aurore Ô Christ ! ô roi de
lumière
. (Ad libitum.) 3. Marchons sans fin Pauvres et nus Jusqu’à la mort
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à ton peuple. Tu la devines, au plus secret de la
lumière
trop sereine qui baigne aujourd’hui ces rochers. Prends ta garde, ô g
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mbre, et monte par la gauche, lentement, dans une
lumière
grandissante, avec des à-coups, des embouteillages.) Ulrich. — Ils
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! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateur ! (
Lumière
sur le plan 2. Entrée des Suisses armés, par la gauche et la droite.
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ès le matin clair et serein, au cœur secret de la
lumière
d’un beau jour, tu le savais, tu nous avertissais ! La nuit sanglante
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oir, tout est perdu ! (Nuit. À droite du plan 2,
lumière
: on voit Haimo, le bâton à la main, qui s’avance vers les marches co
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Claus ! (La porte de la cellule s’ouvre. Dans la
lumière
jaillie de l’intérieur, Nicolas se tient debout.) Nicolas. — La pa
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n un instant de joie renaîtrait votre paix ! (La
lumière
éclate sur le plan 3, puis atteint le plan 2. Le chœur s’est tu. L’or
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ix sur la place. — Les voici qui viennent ! (La
lumière
grandit sur le plan 2, atteint le plan 3. Appel de trompettes. Les dé
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ur lutte mortelle dans l’homme. Il est un dieu de
Lumière
incréée, intemporelle, et un dieu de Ténèbres, auteur du mal, qui dom
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t le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la
lumière
prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé
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er veut sombrer, mais pour renaître en un ciel de
Lumière
. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est
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s créées et de la nuit de la matière. Issu de la
lumière
et des dieux Me voici en exil et séparé d’eux. Je suis un dieu, et
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hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme vers la
Lumière
n’est pas sans évoquer d’une part la « réminiscence du Beau » dont pa
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tif de l’illumination), nous pouvons accéder à la
Lumière
. Mais la fin de l’esprit, son but, c’est aussi la fin de la vie limit
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it Dieu… en elle était la vie, et la vie était la
lumière
des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’o
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la vie, et la vie était la lumière des hommes. La
lumière
luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue. (I, 1-5.)
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L’incarnation de la Parole dans le monde — de la
Lumière
dans les Ténèbres —, tel est l’événement inouï qui nous délivre du ma
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sus-Christ, les ténèbres vraiment ont « reçu » la
lumière
. Et tout homme né de femme qui croit cela, renaît de l’esprit dès mai
244
’est plus la passion infinie de l’âme en quête de
lumière
, mais c’est le mariage du Christ et de l’Église. L’amour humain lui-m
245
nous, pour nous montrer le chemin du retour à la
Lumière
. Ce Christ, en cela semblable à celui des gnostiques et de Manès, ne
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perdition des âmes, répond Marie, symbole de pure
Lumière
salvatrice, Mère intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Jug
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énération manichéenne s’adressant à la « forme de
lumière
» qui dans chaque homme représente son propre esprit (demeuré au Ciel
248
Et voici Guiraut de Bornheil qui prie la vraie 49
lumière
en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir
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nnaires cheminant deux par deux) : Roi glorieux,
lumière
et clarté vraie Puissant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain
250
œux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein de la nuit la
Lumière
vraie dont il ne faut se séparer ? Beau doux copain, tant riche est
251
se voit de la sorte « ordonné » dans l’Esprit de
Lumière
; comment enfin, au moment de sa mort, la forme de Lumière, qui est s
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comment enfin, au moment de sa mort, la forme de
Lumière
, qui est son Esprit, lui apparaît et le console par un baiser ; comme
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r ; comment enfin l’élu vénère sa propre forme de
lumière
, sa salvatrice. Or, qu’attendait de la « Dame de ses pensées », inacc
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était inspiré Manès — l’opposition du monde de la
Lumière
et du monde des Ténèbres, dont on a vu qu’elle est fondamentale pour
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la Sophia-Maria et de l’amour pour la « forme de
lumière
». D’autre part, une rhétorique hautement raffinée, avec ses procédés
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deux premiers, mais leur confrontation jette une
lumière
très vive sur la nature exacte comme sur l’évolution et les complexit
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ital. 49. L’emploi du mot « vraie » devant Dieu,
Lumière
, Foi, Église, est un indice probable de catharisme chez un troubadour
258
étique du fer pour le fer, et leurs particules de
lumière
veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de lumière dont elles so
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e veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de
lumière
dont elles sont venues. » 66. H. Corbin : Introduction au Familier d
260
ant la « magie érotique » du cycle du Graal (dans
Lumière
du Graal, 1951, recueil d’une vingtaine d’études par des auteurs dive
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lus tard Novalis, ce mystique de la Nuit et de la
Lumière
secrète. Cette maxime traduit d’ailleurs, parmi tant d’autres sens po
262
sister sur le récit de leurs souffrances. Plus la
lumière
et l’amour divin sont vifs, plus l’âme se voit souillée et misérable
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’unir au transcendant, quand le but n’est plus la
Lumière
, et quand on ignore le « chemin », c’est se précipiter dans la Nuit.