1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 de la chasteté produit presque toujours des excès luxurieux . Sans nous attarder aux accusations de débauche que beaucoup ont port
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 de la chasteté produit presque toujours des excès luxurieux . Sans nous attarder aux accusations de débauche que beaucoup ont port
3 « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteurs, luxurieux , usuriers… les maris trompeurs, les faux juges et les faux témoins, l
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
4 de la chasteté produit presque toujours des excès luxurieux . Sans nous attarder aux accusations de débauche que beaucoup ont port
5 « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteurs, luxurieux , usuriers… les maris trompeurs, les faux juges et les faux témoins, l
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
6 ) ; il est intensité mais déprimante, ascèse mais luxurieuse , défi mais masochiste ; il est discours sans fin sur l’indicible. (Le
5 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
7 « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteurs, luxurieux , usuriers… les maris trompeurs, les faux juges et les faux témoins, l
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
8 ) ; il est intensité mais déprimante, ascèse mais luxurieuse , défi mais masochiste ; il est discours sans fin sur l’indicible. (Le
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
9 représente une volupté sans mélange… Le désir du luxurieux pour la femme n’existe que parce qu’il voit en elle la forme de son p
8 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
10 représente une volupté sans mélange… Le désir du luxurieux pour la femme n’existe que parce qu’il voit en elle la forme de son p