1
s’allient une fantaisie et un réalisme également
lyriques
. m. « Simone Téry : L’Île des bardes. “Notes sur la littérature irl
2
uveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations
lyriques
suivant le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés
3
e reste indéniable : c’est son mouvement purement
lyrique
, sa progression accordée à celle des événements inconscients. Certain
4
nt est en réalité un nouveau tome de ses mémoires
lyriques
. Une œuvre d’une seule coulée, presque sans intrigue, sans cette orch
5
ant que d’être, Montherlant impose un tempérament
lyrique
d’une puissance contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défa
6
de vues pittoresques, ni le journal plus ou moins
lyrique
auquel nous ont habitués les voyageurs en Orient, mais une suite de c
7
-être mieux que ne le feraient une suite de pages
lyriques
toujours un peu stylisées. Il apparaît, ici, comme le type du voyageu
8
voués, rêves éveillés. Tout un système de valeurs
lyriques
et sentimentales que la raison ignore ou tyrannise aveuglément, car «
9
e péril d’un réalisme trop amer et celui du roman
lyrique
, par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inconscients : l’époq
10
lle déformation, et tout devient satisfaisant. Ce
lyrique
, ce mystique exige pour être compris une complicité de sentiments ou
11
beau pavé mathématique au milieu d’une effusion «
lyrique
», histoire de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois b
12
sant des situations mêmes et non de dissertations
lyriques
à leur propos. Mais dans ce roman, il n’y a plus seulement la femme,
13
iser dans le thème de la montagne une inspiration
lyrique
ou philosophique génératrice d’œuvres marquantes. Qu’aurions-nous à o
14
ntraire, a donné toute une suite de chefs-d’œuvre
lyriques
à sujets alpestres. « Toute une tradition d’individualisme lui frayai
15
iques (Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer),
lyriques
(les Anglais). Ici, elles imposent une éthique. Là, elles prêtaient l
16
associer et à mettre en face de lui-même le poète
lyrique
— rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine, de pro
17
ne, qui s’accepte. C’est cela qui fait la qualité
lyrique
de l’humour de Pierre Girard. Lisez, ou relisez, dans la Rose de Thur
18
conçoivent le commentaire comme une effervescence
lyrique
autour d’un texte. Son sujet d’ailleurs s’y prête peu. Mais on regret
19
ommunion avec la Nature », telle que la chante un
lyrique
incroyant, n’est rien que l’abandon égoïste, et parfois voluptueux, d
20
our de cette « question » du monde, alors que les
lyriques
anglais nourrissent leur flamme d’une connaissance voluptueuse de l’a
21
t vulgarisé d’ailleurs en une espèce de bavardage
lyrique
dont Breton sera, je crois, le tout premier à reconnaître qu’il sue l
22
nd de si haut ? Son livre s’ouvre par un discours
lyrique
« sur le peu de réalité » et se termine par des considérations décous
23
ant d’un donné très réduit et de quelques rythmes
lyriques
, son style est large, ses périodes font la roue. Mais il se débrouill
24
du Traité du désespoir ; et celui du psychologue
lyrique
et retors à la fois du Journal du Séducteur. Mais Kierkegaard est sur
25
us » qui apparaît parfois dans certains chapitres
lyriques
— le « je » de Marcel dans Proust — rend un tout autre son que le « j
26
formes les plus virulentes. Dans une anticipation
lyrique
(tout au début) il glorifie la révolte des puissances obscures, les c
27
é actuelle En publiant ce très curieux morceau
lyrique
, notre honorable député avait-il conscience de soulever l’un des prob
28
r sa passion mondaine — il est plus grave et plus
lyrique
, plus janséniste aussi, et il faut souligner ce dernier trait. Mais c
29
ts possibles, choisir le moins savant, le moins «
lyrique
» et le plus matériel, parler d’un ciel au bleu de lessive, plutôt qu
30
omogène, de scientifique. « La mentalité du poète
lyrique
se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas autre chose que…
31
omogène, de scientifique. « La mentalité du poète
lyrique
se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas autre chose que…
32
réatrice d’un Chamisso. Les amateurs d’absurdités
lyriques
, j’en suis parfois, devraient se garder d’affadir une telle œuvre, n’
33
utume de placer dans un « journal » des effusions
lyriques
, des analyses du moi, j’ai cru qu’il serait plus discret de donner, p
34
core le ton de ces comptes rendus, où les clichés
lyriques
d’allure nationale-socialiste se mêlent à des déclarations de loyalis
35
ser-aller. Le courant est coupé, le grand courant
lyrique
de l’époque qui donnait un sens à nos gestes et comme une apparence d
36
le symbole était la « Dame des pensées » dans la
lyrique
des troubadours, suppose donc la chasteté, ou la non-possession des c
37
d’une hérésie dont l’expression « essentiellement
lyrique
» nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
38
le catharisme, dans Tristan et Iseut et chez les
lyriques
courtois, goût qui n’est autre que l’instinct de la mort tel que Freu
39
ue. Protestant, je songeai tout de suite au style
lyrique
monumental des prophètes et des psalmistes. Nul autre ne possède, dan
40
cture de la foi manichéenne « est essentiellement
lyrique
». Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de se
41
n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la
lyrique
occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
42
. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la
lyrique
pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
43
ssemblances de forme (rythmes et coupes) entre la
lyrique
arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
44
(rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la
lyrique
provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
45
voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la
lyrique
provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
46
ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la
lyrique
courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
47
t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement
lyrique
des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
48
rhétorique courtoise, mais bien le développement
lyrique
et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
49
nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la
lyrique
abstraite des troubadours du xiiie siècle, et de la confusion qu’ell
50
ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la
lyrique
courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque58, Jeanr
51
i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la
lyrique
provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
52
eurs de la « belle ». 31. A. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, 1934. 32. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologi
53
emme. On y reviendra. 33. A. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, I, p. 69. 34. E. Wechssler, Das Kulturproblem des
54
nolade, Les Troubadours, p. 209-210. 53. Poésie
lyrique
des troubadours, II, p. 306. Faut-il que je m’excuse de revenir sans
55
de « spécialistes ». — Sur les rapports entre la
lyrique
hispano-arabe et les troubadours, voir les études de Menendez y Pelay
56
de pour la première fois au plan de la conscience
lyrique
. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
57
la religion de la passion étant « essentiellement
lyrique
». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
58
d’une hérésie dont l’expression « essentiellement
lyrique
» nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
59
bolique des fidèles d’Amour dans les compositions
lyriques
, romans et épopées chevaleresques des troubadours (1856). C’est un le
60
s imaginions orgiaques, et qui étaient simplement
lyriques
. Durant des mois d’hiver, notre vie tournoyait dans l’atmosphère des
61
es, d’éloquence de tir fédéral, de développements
lyriques
sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les p
62
cture de la foi manichéenne « est essentiellement
lyrique
». Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de se
63
n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la
lyrique
occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
64
. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la
lyrique
pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
65
ssemblances de forme (rythmes et coupes) entre la
lyrique
arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
66
(rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la
lyrique
provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
67
voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la
lyrique
provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
68
ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la
lyrique
courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
69
t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement
lyrique
des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
70
rhétorique courtoise, mais bien le développement
lyrique
et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
71
nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la
lyrique
abstraite des troubadours du xiiie siècle et de la confusion qu’elle
72
ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la
lyrique
courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque60, Jeanr
73
i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la
lyrique
provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
74
simplement une théorie de l’homme — et une forme
lyrique
déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
75
au demi-jour de la conscience et de l’expression
lyrique
de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de
76
sain, en l’occurrence. 31. A. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, 1934. 32. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologie
77
e des troubadours, 1927. 33. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, I, p. 69. 34. E. Wechsler, Das Kulturproblem des Mi
78
is « adultère » par les catholiques. 55. Poésie
lyrique
des troubadours, II, p. 306. 56. Par exemple, le médiéval serait tro
79
de pour la première fois au plan de la conscience
lyrique
. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
80
la religion de la passion étant « essentiellement
lyrique
». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
81
d’une hérésie dont l’expression « essentiellement
lyrique
» nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
82
livres comme Arcane 17 d’André Breton, les romans
lyriques
de Julien Gracq, les recherches de Robert Graves sur la Grande Déesse
83
cture de la foi manichéenne « est essentiellement
lyrique
»18. Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de s
84
n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la
lyrique
occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
85
. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la
lyrique
pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
86
semblances de formes (rythmes et coupes) entre la
lyrique
arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
87
(rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la
lyrique
provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
88
voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la
lyrique
provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
89
ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la
lyrique
courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
90
t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement
lyrique
des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
91
rhétorique courtoise, mais bien le développement
lyrique
et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
92
nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la
lyrique
abstraite des troubadours du xiiie siècle et de la confusion qu’elle
93
ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la
lyrique
courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque53, Jeanr
94
i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la
lyrique
provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
95
simplement une théorie de l’homme — et une forme
lyrique
déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
96
au demi-jour de la conscience et de l’expression
lyrique
de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de
97
ccurrence. 23. Id. 24. A. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, 1934. 25. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologi
98
s troubadours, 1927. 26. A. Jeanroy, La Poésie
lyrique
des troubadours, I, p. 69. 27. E. Wechssler, Das Kulturproblem des
99
is « adultère » par les catholiques. 48. Poésie
lyrique
des troubadours, II, p. 306. 49. Par exemple, le médiéval serait tro
100
de pour la première fois au plan de la conscience
lyrique
. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
101
la religion de la passion étant « essentiellement
lyrique
». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
102
’une hérésie dont l’expression, « essentiellement
lyrique
» aux origines, nous parvient totalement profanée, et par suite dénat
103
livres comme Arcane 17 d’André Breton, les romans
lyriques
de Julien Gracq, les recherches de Robert Graves sur la Grande Déesse
104
bolique des fidèles d’Amour dans les compositions
lyriques
, romans et épopées chevaleresques des troubadours (1856). C’est un le
105
au contraire à l’énergie dans la libre invention
lyrique
, ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
106
es, d’éloquence de tir fédéral, de développements
lyriques
sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les p
107
un peu brusque, un élan, une saveur populaire et
lyrique
, tout ce qui fait le meilleur fonds du Suisse allemand dès qu’il est
108
américain dans l’effet de choc ou d’accumulation
lyrique
. L’un s’attache à la construction statique, l’autre au rythme. L’espr
109
ne serait-ce pas alors au détriment de tout élan
lyrique
, de tout grand style de vie surgi des profondeurs et simplifiant parf
110
ts possibles, choisir le moins savant, le moins «
lyrique
» et le plus matériel, parler d’un ciel au bleu de lessive plutôt que
111
té — son humeur communicative, et son insouciance
lyrique
. Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rê
112
d’eux la valeur créatrice d’un certain gaspillage
lyrique
, dans tous les domaines de la vie ; car notre économie minutieuse des
113
s récitals de poèmes, et assisté à des spectacles
lyriques
, dramatiques et cinématographiques remarquables. Tous les journaux en
114
ie, cette hospitalité incomparable, cette liberté
lyrique
dans les relations… Mais rien n’y fait. Je ne puis avaler une seule b
115
au contraire à l’énergie dans la libre invention
lyrique
, ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
116
réellement l’Amérique, sinon dans une inspiration
lyrique
aussitôt ridiculisée par vingt petits faits précis, rebelles à toute
117
ser-aller. Le courant est coupé, le grand courant
lyrique
de l’époque qui donnait un sens à nos gestes et comme une apparence d
118
au contraire à l’énergie dans la libre invention
lyrique
, ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
119
réellement l’Amérique, sinon dans une inspiration
lyrique
, aussitôt ridiculisée par vingt petits faits précis, rebelles à toute
120
ie, cette hospitalité incomparable, cette liberté
lyrique
dans les relations… Mais rien n’y fait. Je ne puis avaler une seule b
121
té — son humeur communicative, et son insouciance
lyrique
. Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rê
122
d’eux la valeur créatrice d’un certain gaspillage
lyrique
, dans tous les domaines de la vie ; car notre économie minutieuse des
123
, et la nuit aussi ! » Cette fin de non-recevoir,
lyrique
et ironique, nous renvoie proprement à notre affaire. Et notre affair
124
ions qui se sont révélées entre le poète et l’âme
lyrique
du Nouveau Monde, dans un ouvrage où l’Amérique, un jour, découvrira
125
le sujet n’était plutôt le principe animique, ou
lyrique
, que l’aventure et l’invention du Nouveau Monde ont illustré d’accide
126
’Amérique dans l’espace et le temps, et la fureur
lyrique
dans l’homme épris du monde, peuvent être vues comme une seule et mêm
127
éments, la quête et la conquête, les énumérations
lyriques
, et l’édification sur table rase des lois d’une cité émergeant de son
128
être tenté par une œuvre analogue, transposition
lyrique
et « littéraire » des expériences de l’homme d’action. Mais on sait q
129
sme et naturisme dans une alliance imprévue, mais
lyrique
. Avant d’analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s
130
simplement une théorie de l’homme — et une forme
lyrique
déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
131
au demi-jour de la conscience et de l’expression
lyrique
de l’âme, le Principe Féminin de la çatki, le culte de la Femme, de l
132
rance tout dans la critique morale et l’invention
lyrique
, la chronique incisive et les vastes systèmes, et qui a le sens de la
133
sme et naturisme dans une alliance imprévue, mais
lyrique
. Avant d’analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s
134
’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité
lyrique
: Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette question, il a
135
t n’existe peut-être jamais mieux que dans l’élan
lyrique
de son récit. Lié plus que tout autre à la littérature par une compli
136
, tout en mettant le Poète au plus haut comme pur
lyrique
sans faille et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit-il, a
137
ternité chrétienne. Passons sur des exclamations
lyriques
comme celle qui ouvre son poème « Germania » : « Oui ! le monde entie
138
an — pour des centaines de pages enthousiastes et
lyriques
sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le contraste entre cette
139
auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie
lyrique
et le mythe : c’est L’Origine de la tragédie, qu’il publie à 28 ans.
140
cas le milieu où l’érotisme, qui est dépassement
lyrique
ou réflexif du sexuel biologique, va pouvoir développer toutes ses vi
141
ces réalités en symboles déroulés dans une durée
lyrique
, et non pas en concepts instantanés, entrant ainsi dans le champ de l
142
ud) qu’à la nature même de l’âme, dont le symbole
lyrique
est le langage normal11. Une chose demeure bien certaine : les mythes
143
rise du mythe qui tend à l’enfermer dans sa durée
lyrique
, poursuit l’histoire de la personne, qui sera celle de sa liberté. Si
144
tion soit propagée par la culture, par les œuvres
lyriques
ou romanesques qui nous « passionnent » (nous prédisposent à la passi
145
’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité
lyrique
: Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette question, il a
146
t n’existe peut-être jamais mieux que dans l’élan
lyrique
de son récit. Lié plus que tout autre à la littérature par une compl
147
an — pour des centaines de pages enthousiastes et
lyriques
sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le contraste entre cette
148
auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie
lyrique
et le mythe : c’est L’Origine de la tragédie, qu’il publie à 28 ans.
149
, tout en mettant le Poète au plus haut comme pur
lyrique
sans faille et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit-il, a
150
restituent la succession des arguments ou thèmes
lyriques
évoqués par ce grand poète. Belle et brillante époque, que celle où
151
es nationaux et militants de 1848 ses traductions
lyriques
et populaires, en termes de liberté et de patriotisme. La « Sainte-Al
152
is une série de « pointes » alternées, — diastole
lyrique
, systole sardonique. L’idée de l’Europe, omniprésente dans ses œuvres
153
lle de leurs sons différents.194 Mais ces élans
lyriques
ne l’empêchent pas longtemps d’exercer sa lucidité sur l’Europe telle
154
), ce poète qu’il faut saluer comme le plus grand
lyrique
de l’idéal d’union européenne. C’est dans son discours du 17 juillet
155
ien ce que nous suggère un des plus grands poètes
lyriques
de la Russie, Fiodor Ivan Tiouttchev (1803-1873) lorsqu’il écrit : U
156
o, ce poète qu’il faut saluer comme le plus grand
lyrique
de l’idéal d’union européenne. Voici d’abord un extrait du discours q
157
cendant des fondateurs de la Suisse primitive, un
lyrique
de la terre sacrée, des morts sacrés et des bannières flammées, un ci
158
au contraire à l’énergie dans la libre invention
lyrique
, ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
159
es de quelque importance entretiennent un théâtre
lyrique
et un ou deux orchestres parfois très réputés, comme ceux que dirigen
160
s pays environnants, ce n’est pas faute d’un sens
lyrique
profond, dont témoignent Ramuz, Honegger ou Paul Klee, mais en prose,
161
reunde, Zürich, 1947. 101. Pierre-Louis Matthey,
lyrique
au verbe dense, de très haut ton, Gustave Roud et Philippe Jaccottet,
162
x historiques de Füssli, puis d’Hodler, les élans
lyriques
de Victor Hugo, de Michelet, de tant d’autres romantiques, les déclar
163
que, le style de foi ou d’athéisme, l’imprécation
lyrique
ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain, par
164
plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe
lyrique
, au moraliste imaginatif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesur
165
notre esprit et l’informant. Méditation sereine,
lyrique
ou ombrageuse, sur le flot et le rythme éternel de toutes choses, ou
166
plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe
lyrique
, au moraliste imaginatif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesur
167
hâteau médiéval, comme à Dubrovnik, les tragédies
lyriques
dans des amphithéâtres grecs ou romains, les ballets dans des parcs r
168
tyle de foi ou d’athéisme militant, l’imprécation
lyrique
ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain, par
169
mais qui est l’une des sources principales de la
lyrique
des troubadours, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on croit le
170
substantiel, physique, physiologique, affectif et
lyrique
. Tout cela qui n’était pas le fort de Valéry. Et tout cela explique p
171
ensemble, aussi merveilleusement mêlé que dans la
lyrique
occitane. Bien entendu, cela ne prouve pas que les troubadours parlai
172
uement, aucun retentissement sur le contenu de la
lyrique
amoureuse ou qu’ils n’ont point voulu qu’elles y parussent dans leur
173
t cathares. Si leur croyance n’a pas modifié leur
lyrique
, ne serait-ce pas qu’il n’y avait nul besoin de la modifier pour qu’e
174
evrault ? » Tout d’un coup, c’est l’efflorescence
lyrique
, dans les formes du conductus ecclésiastique, puis du zadjal arabe, e
175
a certainement connu les procédés de composition
lyrique
des poètes rencontrés au Proche-Orient pendant ses mois de captivité,
176
et à toutes les époques, surtout pour les poètes
lyriques
», écrit Belperron. Or, pas une seule des grandes tragédies grecques
177
y a d’abord l’expression, et surtout l’expression
lyrique
— au commencement était le Chant, qui est le Verbe musical — et cela
178
nesco par le style brisé, disloqué, l’imprécation
lyrique
ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain par
179
re les non-figuratifs, des cubistes aux abstraits
lyriques
; et encore moins à perpétrer sur le visage humain une défiguration s
180
s le cri, le soupir, la mélopée ou la fulguration
lyrique
. La poésie courtoise a sensibilisé la psyché occidentale. En lui donn
181
vée et renouvelée de la littérature romanesque et
lyrique
que de nous décrire les cheminements de cet amour dont le poète andal
182
u médiéval, comme à Dubrovnik, mais les tragédies
lyriques
dans des amphithéâtres grecs ou romains, les ballets dans des parcs r
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le de toute rhétorique, voire de toute expression
lyrique
gratuite… Bref, on a fait du Romand-type l’antithèse du Français-tel-
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on ne s’attende point à de faciles amplifications
lyriques
, à la poésie éloquente ou sentimentale, à du charme, à de la fantaisi
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apport arabe, l’une des sources principales de la
lyrique
des troubadours, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on croit le