1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
1 s’allient une fantaisie et un réalisme également lyriques . m. « Simone Téry : L’Île des bardes. “Notes sur la littérature irl
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 uveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suivant le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés
3 e reste indéniable : c’est son mouvement purement lyrique , sa progression accordée à celle des événements inconscients. Certain
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 nt est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques . Une œuvre d’une seule coulée, presque sans intrigue, sans cette orch
5 ant que d’être, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défa
4 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
6 de vues pittoresques, ni le journal plus ou moins lyrique auquel nous ont habitués les voyageurs en Orient, mais une suite de c
7 -être mieux que ne le feraient une suite de pages lyriques toujours un peu stylisées. Il apparaît, ici, comme le type du voyageu
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
8 voués, rêves éveillés. Tout un système de valeurs lyriques et sentimentales que la raison ignore ou tyrannise aveuglément, car «
9 e péril d’un réalisme trop amer et celui du roman lyrique , par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inconscients : l’époq
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 lle déformation, et tout devient satisfaisant. Ce lyrique , ce mystique exige pour être compris une complicité de sentiments ou
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
11 beau pavé mathématique au milieu d’une effusion «  lyrique  », histoire de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois b
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
12 sant des situations mêmes et non de dissertations lyriques à leur propos. Mais dans ce roman, il n’y a plus seulement la femme,
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
13 iser dans le thème de la montagne une inspiration lyrique ou philosophique génératrice d’œuvres marquantes. Qu’aurions-nous à o
14 ntraire, a donné toute une suite de chefs-d’œuvre lyriques à sujets alpestres. « Toute une tradition d’individualisme lui frayai
15 iques (Saussure), romanesques (Sterne, Toepffer), lyriques (les Anglais). Ici, elles imposent une éthique. Là, elles prêtaient l
10 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
16 associer et à mettre en face de lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine, de pro
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
17 ne, qui s’accepte. C’est cela qui fait la qualité lyrique de l’humour de Pierre Girard. Lisez, ou relisez, dans la Rose de Thur
12 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
18 conçoivent le commentaire comme une effervescence lyrique autour d’un texte. Son sujet d’ailleurs s’y prête peu. Mais on regret
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
19 ommunion avec la Nature », telle que la chante un lyrique incroyant, n’est rien que l’abandon égoïste, et parfois voluptueux, d
20 our de cette « question » du monde, alors que les lyriques anglais nourrissent leur flamme d’une connaissance voluptueuse de l’a
14 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
21 t vulgarisé d’ailleurs en une espèce de bavardage lyrique dont Breton sera, je crois, le tout premier à reconnaître qu’il sue l
22 nd de si haut ? Son livre s’ouvre par un discours lyrique « sur le peu de réalité » et se termine par des considérations décous
23 ant d’un donné très réduit et de quelques rythmes lyriques , son style est large, ses périodes font la roue. Mais il se débrouill
15 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
24 du Traité du désespoir ; et celui du psychologue lyrique et retors à la fois du Journal du Séducteur. Mais Kierkegaard est sur
16 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
25 us » qui apparaît parfois dans certains chapitres lyriques — le « je » de Marcel dans Proust — rend un tout autre son que le « j
17 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
26 formes les plus virulentes. Dans une anticipation lyrique (tout au début) il glorifie la révolte des puissances obscures, les c
18 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
27 é actuelle En publiant ce très curieux morceau lyrique , notre honorable député avait-il conscience de soulever l’un des prob
19 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
28 r sa passion mondaine — il est plus grave et plus lyrique , plus janséniste aussi, et il faut souligner ce dernier trait. Mais c
20 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
29 ts possibles, choisir le moins savant, le moins «  lyrique  » et le plus matériel, parler d’un ciel au bleu de lessive, plutôt qu
21 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
30 omogène, de scientifique. « La mentalité du poète lyrique se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas autre chose que… 
22 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
31 omogène, de scientifique. « La mentalité du poète lyrique se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas autre chose que… 
23 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
32 réatrice d’un Chamisso. Les amateurs d’absurdités lyriques , j’en suis parfois, devraient se garder d’affadir une telle œuvre, n’
24 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
33 utume de placer dans un « journal » des effusions lyriques , des analyses du moi, j’ai cru qu’il serait plus discret de donner, p
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
34 core le ton de ces comptes rendus, où les clichés lyriques d’allure nationale-socialiste se mêlent à des déclarations de loyalis
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
35 ser-aller. Le courant est coupé, le grand courant lyrique de l’époque qui donnait un sens à nos gestes et comme une apparence d
27 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
36 le symbole était la « Dame des pensées » dans la lyrique des troubadours, suppose donc la chasteté, ou la non-possession des c
37 d’une hérésie dont l’expression « essentiellement lyrique  » nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
28 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
38 le catharisme, dans Tristan et Iseut et chez les lyriques courtois, goût qui n’est autre que l’instinct de la mort tel que Freu
29 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
39 ue. Protestant, je songeai tout de suite au style lyrique monumental des prophètes et des psalmistes. Nul autre ne possède, dan
30 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
40 cture de la foi manichéenne « est essentiellement lyrique  ». Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de se
41 n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
42 . « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
43 ssemblances de forme (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
44 (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
45 voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
46 ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la lyrique courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
47 t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
48 rhétorique courtoise, mais bien le développement lyrique et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
49 nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des troubadours du xiiie siècle, et de la confusion qu’ell
50 ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la lyrique courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque58, Jeanr
51 i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
52 eurs de la « belle ». 31. A. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, 1934. 32. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologi
53 emme. On y reviendra. 33. A. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, I, p. 69. 34. E. Wechssler, Das Kulturproblem des
54 nolade, Les Troubadours, p. 209-210. 53. Poésie lyrique des troubadours, II, p. 306. Faut-il que je m’excuse de revenir sans
55 de « spécialistes ». — Sur les rapports entre la lyrique hispano-arabe et les troubadours, voir les études de Menendez y Pelay
31 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
56 de pour la première fois au plan de la conscience lyrique . Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
57 la religion de la passion étant « essentiellement lyrique  ». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
32 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
58 d’une hérésie dont l’expression « essentiellement lyrique  » nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
33 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
59 bolique des fidèles d’Amour dans les compositions lyriques , romans et épopées chevaleresques des troubadours (1856). C’est un le
34 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
60 s imaginions orgiaques, et qui étaient simplement lyriques . Durant des mois d’hiver, notre vie tournoyait dans l’atmosphère des
35 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
61 es, d’éloquence de tir fédéral, de développements lyriques sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les p
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
62 cture de la foi manichéenne « est essentiellement lyrique  ». Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de se
63 n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
64 . « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
65 ssemblances de forme (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
66 (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
67 voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
68 ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la lyrique courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
69 t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
70 rhétorique courtoise, mais bien le développement lyrique et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
71 nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des troubadours du xiiie siècle et de la confusion qu’elle
72 ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la lyrique courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque60, Jeanr
73 i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
74 simplement une théorie de l’homme — et une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
75 au demi-jour de la conscience et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de
76 sain, en l’occurrence. 31. A. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, 1934. 32. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologie
77 e des troubadours, 1927. 33. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, I, p. 69. 34. E. Wechsler, Das Kulturproblem des Mi
78 is « adultère » par les catholiques. 55. Poésie lyrique des troubadours, II, p. 306. 56. Par exemple, le médiéval serait tro
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
79 de pour la première fois au plan de la conscience lyrique . Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
80 la religion de la passion étant « essentiellement lyrique  ». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
81 d’une hérésie dont l’expression « essentiellement lyrique  » nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici le
82 livres comme Arcane 17 d’André Breton, les romans lyriques de Julien Gracq, les recherches de Robert Graves sur la Grande Déesse
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
83 cture de la foi manichéenne « est essentiellement lyrique  »18. Autrement dit, qu’il est de la nature profonde de cette foi de s
84 n de l’amour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amo
85 . « Il n’y a dans toute la lyrique occitane et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et pas l’amour heu
86 semblances de formes (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. B
87 (rythmes et coupes) entre la lyrique arabe et la lyrique provençale : ce n’est pas sérieux, nous dit-on. Brinkmann et d’autres
88 voir tout éclaircir en décelant à l’origine de la lyrique provençale des influences religieuses, néo-platoniciennes et chrétien
89 ien de se prononcer. Ce qui revient à dire que la lyrique courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample inf
90 t plus haut (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’info
91 rhétorique courtoise, mais bien le développement lyrique et psalmodique des symboles fondamentaux. De même, pour prendre un ex
92 nroy n’a pas été sans le remarquer. Parlant de la lyrique abstraite des troubadours du xiiie siècle et de la confusion qu’elle
93 ntre Wechssler, qui veut voir, lui aussi, dans la lyrique courtoise une expression de sentiments religieux de l’époque53, Jeanr
94 i avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A. W. Schlegel lui répondit qu’il fallait ignorer à la fo
95 simplement une théorie de l’homme — et une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
96 au demi-jour de la conscience et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de
97 ccurrence. 23. Id. 24. A. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, 1934. 25. A. Jeanroy, Introduction à une Anthologi
98 s troubadours, 1927. 26. A. Jeanroy, La Poésie lyrique des troubadours, I, p. 69. 27. E. Wechssler, Das Kulturproblem des
99 is « adultère » par les catholiques. 48. Poésie lyrique des troubadours, II, p. 306. 49. Par exemple, le médiéval serait tro
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
100 de pour la première fois au plan de la conscience lyrique . Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une p
101 la religion de la passion étant « essentiellement lyrique  ». Dès lors la musique seule sera capable d’exprimer la dialectique t
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
102 ’une hérésie dont l’expression, « essentiellement lyrique  » aux origines, nous parvient totalement profanée, et par suite dénat
103 livres comme Arcane 17 d’André Breton, les romans lyriques de Julien Gracq, les recherches de Robert Graves sur la Grande Déesse
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
104 bolique des fidèles d’Amour dans les compositions lyriques , romans et épopées chevaleresques des troubadours (1856). C’est un le
43 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
105 au contraire à l’énergie dans la libre invention lyrique , ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
44 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
106 es, d’éloquence de tir fédéral, de développements lyriques sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les p
45 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
107 un peu brusque, un élan, une saveur populaire et lyrique , tout ce qui fait le meilleur fonds du Suisse allemand dès qu’il est
46 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
108 américain dans l’effet de choc ou d’accumulation lyrique . L’un s’attache à la construction statique, l’autre au rythme. L’espr
47 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
109 ne serait-ce pas alors au détriment de tout élan lyrique , de tout grand style de vie surgi des profondeurs et simplifiant parf
48 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
110 ts possibles, choisir le moins savant, le moins «  lyrique  » et le plus matériel, parler d’un ciel au bleu de lessive plutôt que
49 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
111 té — son humeur communicative, et son insouciance lyrique . Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rê
50 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
112 d’eux la valeur créatrice d’un certain gaspillage lyrique , dans tous les domaines de la vie ; car notre économie minutieuse des
51 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
113 s récitals de poèmes, et assisté à des spectacles lyriques , dramatiques et cinématographiques remarquables. Tous les journaux en
52 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
114 ie, cette hospitalité incomparable, cette liberté lyrique dans les relations… Mais rien n’y fait. Je ne puis avaler une seule b
53 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
115 au contraire à l’énergie dans la libre invention lyrique , ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
54 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
116 réellement l’Amérique, sinon dans une inspiration lyrique aussitôt ridiculisée par vingt petits faits précis, rebelles à toute
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
117 ser-aller. Le courant est coupé, le grand courant lyrique de l’époque qui donnait un sens à nos gestes et comme une apparence d
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
118 au contraire à l’énergie dans la libre invention lyrique , ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
119 réellement l’Amérique, sinon dans une inspiration lyrique , aussitôt ridiculisée par vingt petits faits précis, rebelles à toute
58 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
120 ie, cette hospitalité incomparable, cette liberté lyrique dans les relations… Mais rien n’y fait. Je ne puis avaler une seule b
59 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
121 té — son humeur communicative, et son insouciance lyrique . Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rê
122 d’eux la valeur créatrice d’un certain gaspillage lyrique , dans tous les domaines de la vie ; car notre économie minutieuse des
60 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
123 , et la nuit aussi ! » Cette fin de non-recevoir, lyrique et ironique, nous renvoie proprement à notre affaire. Et notre affair
61 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
124 ions qui se sont révélées entre le poète et l’âme lyrique du Nouveau Monde, dans un ouvrage où l’Amérique, un jour, découvrira
125 le sujet n’était plutôt le principe animique, ou lyrique , que l’aventure et l’invention du Nouveau Monde ont illustré d’accide
126 ’Amérique dans l’espace et le temps, et la fureur lyrique dans l’homme épris du monde, peuvent être vues comme une seule et mêm
127 éments, la quête et la conquête, les énumérations lyriques , et l’édification sur table rase des lois d’une cité émergeant de son
62 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
128 être tenté par une œuvre analogue, transposition lyrique et « littéraire » des expériences de l’homme d’action. Mais on sait q
63 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
129 sme et naturisme dans une alliance imprévue, mais lyrique . Avant d’analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s
64 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
130 simplement une théorie de l’homme — et une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le soufisme et la poésie courtoise des Ar
131 au demi-jour de la conscience et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la çatki, le culte de la Femme, de l
65 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
132 rance tout dans la critique morale et l’invention lyrique , la chronique incisive et les vastes systèmes, et qui a le sens de la
66 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
133 sme et naturisme dans une alliance imprévue, mais lyrique . Avant d’analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s
67 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
134 ’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique  : Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette question, il a
135 t n’existe peut-être jamais mieux que dans l’élan lyrique de son récit. Lié plus que tout autre à la littérature par une compli
68 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
136 , tout en mettant le Poète au plus haut comme pur lyrique sans faille et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit-il, a
69 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
137 ternité chrétienne. Passons sur des exclamations lyriques comme celle qui ouvre son poème « Germania » : « Oui ! le monde entie
70 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
138 an — pour des centaines de pages enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le contraste entre cette
139 auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie lyrique et le mythe : c’est L’Origine de la tragédie, qu’il publie à 28 ans.
71 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Naissance de l’érotisme occidental
140 cas le milieu où l’érotisme, qui est dépassement lyrique ou réflexif du sexuel biologique, va pouvoir développer toutes ses vi
72 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Présence des mythes et leurs pouvoirs dans divers ordres
141 ces réalités en symboles déroulés dans une durée lyrique , et non pas en concepts instantanés, entrant ainsi dans le champ de l
142 ud) qu’à la nature même de l’âme, dont le symbole lyrique est le langage normal11. Une chose demeure bien certaine : les mythes
143 rise du mythe qui tend à l’enfermer dans sa durée lyrique , poursuit l’histoire de la personne, qui sera celle de sa liberté. Si
73 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Problèmes de la personne aux prises avec les mythes
144 tion soit propagée par la culture, par les œuvres lyriques ou romanesques qui nous « passionnent » (nous prédisposent à la passi
74 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
145 ’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique  : Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette question, il a
146 t n’existe peut-être jamais mieux que dans l’élan lyrique de son récit. Lié plus que tout autre à la littérature par une compl
75 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
147 an — pour des centaines de pages enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le contraste entre cette
148 auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie lyrique et le mythe : c’est L’Origine de la tragédie, qu’il publie à 28 ans.
76 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
149 , tout en mettant le Poète au plus haut comme pur lyrique sans faille et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit-il, a
77 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
150 restituent la succession des arguments ou thèmes lyriques évoqués par ce grand poète. Belle et brillante époque, que celle où
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
151 es nationaux et militants de 1848 ses traductions lyriques et populaires, en termes de liberté et de patriotisme. La « Sainte-Al
152 is une série de « pointes » alternées, — diastole lyrique , systole sardonique. L’idée de l’Europe, omniprésente dans ses œuvres
153 lle de leurs sons différents.194 Mais ces élans lyriques ne l’empêchent pas longtemps d’exercer sa lucidité sur l’Europe telle
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
154 ), ce poète qu’il faut saluer comme le plus grand lyrique de l’idéal d’union européenne. C’est dans son discours du 17 juillet
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
155 ien ce que nous suggère un des plus grands poètes lyriques de la Russie, Fiodor Ivan Tiouttchev (1803-1873) lorsqu’il écrit : U
81 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
156 o, ce poète qu’il faut saluer comme le plus grand lyrique de l’idéal d’union européenne. Voici d’abord un extrait du discours q
82 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
157 cendant des fondateurs de la Suisse primitive, un lyrique de la terre sacrée, des morts sacrés et des bannières flammées, un ci
83 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
158 au contraire à l’énergie dans la libre invention lyrique , ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes moder
159 es de quelque importance entretiennent un théâtre lyrique et un ou deux orchestres parfois très réputés, comme ceux que dirigen
160 s pays environnants, ce n’est pas faute d’un sens lyrique profond, dont témoignent Ramuz, Honegger ou Paul Klee, mais en prose,
161 reunde, Zürich, 1947. 101. Pierre-Louis Matthey, lyrique au verbe dense, de très haut ton, Gustave Roud et Philippe Jaccottet,
84 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
162 x historiques de Füssli, puis d’Hodler, les élans lyriques de Victor Hugo, de Michelet, de tant d’autres romantiques, les déclar
85 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
163 que, le style de foi ou d’athéisme, l’imprécation lyrique ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain, par
86 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
164 plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe lyrique , au moraliste imaginatif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesur
87 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
165 notre esprit et l’informant. Méditation sereine, lyrique ou ombrageuse, sur le flot et le rythme éternel de toutes choses, ou
88 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
166 plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe lyrique , au moraliste imaginatif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesur
89 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
167 hâteau médiéval, comme à Dubrovnik, les tragédies lyriques dans des amphithéâtres grecs ou romains, les ballets dans des parcs r
90 1970, Le Cheminement des esprits. Postface. L’écrivain et l’événement
168 tyle de foi ou d’athéisme militant, l’imprécation lyrique ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain, par
91 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
169 mais qui est l’une des sources principales de la lyrique des troubadours, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on croit le
92 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
170 substantiel, physique, physiologique, affectif et lyrique . Tout cela qui n’était pas le fort de Valéry. Et tout cela explique p
93 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
171 ensemble, aussi merveilleusement mêlé que dans la lyrique occitane. Bien entendu, cela ne prouve pas que les troubadours parlai
172 uement, aucun retentissement sur le contenu de la lyrique amoureuse ou qu’ils n’ont point voulu qu’elles y parussent dans leur
173 t cathares. Si leur croyance n’a pas modifié leur lyrique , ne serait-ce pas qu’il n’y avait nul besoin de la modifier pour qu’e
174 evrault ? » Tout d’un coup, c’est l’efflorescence lyrique , dans les formes du conductus ecclésiastique, puis du zadjal arabe, e
175 a certainement connu les procédés de composition lyrique des poètes rencontrés au Proche-Orient pendant ses mois de captivité,
176 et à toutes les époques, surtout pour les poètes lyriques  », écrit Belperron. Or, pas une seule des grandes tragédies grecques
177 y a d’abord l’expression, et surtout l’expression lyrique — au commencement était le Chant, qui est le Verbe musical — et cela
94 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Le ludion, le contestataire et le prophète
178 nesco par le style brisé, disloqué, l’imprécation lyrique ou le masochisme transcendantal : tout cela, en tant qu’écrivain par
95 1974, Articles divers (1974-1977). À propos de Théodore Strawinsky [préface] (1974)
179 re les non-figuratifs, des cubistes aux abstraits lyriques  ; et encore moins à perpétrer sur le visage humain une défiguration s
96 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
180 s le cri, le soupir, la mélopée ou la fulguration lyrique . La poésie courtoise a sensibilisé la psyché occidentale. En lui donn
181 vée et renouvelée de la littérature romanesque et lyrique que de nous décrire les cheminements de cet amour dont le poète andal
97 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
182 u médiéval, comme à Dubrovnik, mais les tragédies lyriques dans des amphithéâtres grecs ou romains, les ballets dans des parcs r
98 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
183 le de toute rhétorique, voire de toute expression lyrique gratuite… Bref, on a fait du Romand-type l’antithèse du Français-tel-
99 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
184 on ne s’attende point à de faciles amplifications lyriques , à la poésie éloquente ou sentimentale, à du charme, à de la fantaisi
100 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
185 apport arabe, l’une des sources principales de la lyrique des troubadours, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on croit le