1
nes gens : celle-ci empêche les abus, mais celles-
là
forment l’esprit. » M. de Montherlant illustre sa propre pensée de ce
2
rues, il meurt en clamant la paix. M. Fabre avait
là
les éléments d’un grand roman : autour d’un sujet de vaste envergure,
3
l’angle le plus éloigné du réduit, et se blottit
là
, sur le sol, les yeux grands ouverts dans le vide, sans rien voir. A
4
qu’un sens relatif pour nous protestants. Est-ce
là
nous juger ? Les catholiques nous reprochent d’avoir méconnu l’élémen
5
le condamner, et nous ne pouvons le suivre jusque-
là
: il est vain de dire qu’une époque s’est trompée, puisqu’elle seule
6
ament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a
là
de quoi faire oublier des défauts qui tueraient tout autre que lui. C
7
le plus beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a
là
des pages d’un accent très noble et courageux mêlé, parfois, d’une ce
8
rtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a
là
un talent, charmant, glacé, spirituellement « poétique ». y. « Jacq
9
mpathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas
là
deux points de vue irréductibles, du moins M. Malraux a fait parler s
10
aine de la littérature contemporaine. Cette sorte-
là
de sincérité, on la nomme gratuité. Lafcadio poussant Fleurissoire «
11
ndividu — en dehors du corps. Et ce ne sont point
là
jeux d’idées et jongleries verbales. Regards au-dessus de l’amour ! V
12
gions de chasse gardée du ci-devant soleil. C’est
là
qu’Urbain, premier du nom dans sa famille, laquelle n’avait compté ju
13
u’il nous peint sont ici tant soit peu russes, et
là
, gidiennes. Il se connaît assez pour savoir ce qui est en lui de l’ho
14
plaisir, comme on dit, sans doute parce que c’est
là
que se nouent les douleurs les plus atrocement inutiles. La première
15
iée. Puis je vous ai revue, aux courses, et c’est
là
que j’ai découvert que vous existiez en moi, à certain désagrément qu
16
d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé
là
exactement ce qu’il voulait. Et pourtant cette admirable machine ne m
17
déjà meurtri, la suivaient en hurlant : « Bas-toi
là
, bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtres
18
, la suivaient en hurlant : « Bas-toi là, bas-toi
là
! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis bel
19
ision prestigieuse et désolée… M. Jaloux a trouvé
là
un sujet qui convient admirablement à son art, où s’unissent aujourd’
20
me dans l’une des dernières phrases de Sylvie : «
Là
était le bonheur, peut-être… »). Mais le ton reste si léger, spiritue
21
chose, il faut transplanter. Max Jacob. Ce soir-
là
, le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japonais
22
! lui dis-je, si seulement. » Mais tout de même,
là
par exemple, où nous ne pouvons nous empêcher d’admirer l’utilisation
23
’est le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont
là
critiques de style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de
24
rt. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est pas
là
, ou là, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œu
25
ulle part, pensais-je : le salut n’est pas là, ou
là
, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œuvres, à
26
de comique un peu bizarre qu’il glisse si souvent
là
où on l’attend le moins. Conrad Meili apporte chez nous une inspirati
27
à notre civilisation, — et je sais bien que c’est
là
un des signes de sa décadence. Il y a du chirurgien chez ce soldat de
28
e française. Narcisse, personnage mythologique. —
Là
! [NdE] Le texte publié place également un appel de note plus bas dan
29
sse = révolution Tous les malentendus viennent de
là
. Nous sommes assez sages et assez fous pour ne pas en gémir et pour e
30
ut, un miracle. Et puis, ils ont des vieux un peu
là
, du grand Arthur-Alfred-Albert au non moins grand Tanner. (On a fait
31
ard qui opère au commandement de la main. Ce soir-
là
, une confiance me possédait, telle que je savais très clairement que
32
nnées. Mais peut-être est-il temps encore. Ici et
là
, quelques cris s’élèvent dans le désert d’une époque déjà presque aba
33
s. Car cela va bien plus profond, cette tromperie-
là
. Elle peut amener, en se généralisant, une sorte de suicide du genre
34
nts de technique. Il n’a pas senti qu’il touchait
là
le nœud vital du problème moderne. D’ailleurs, les idées générales de
35
3. L’Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici et
là
, la révolte perce : « Jugendbewegung » en Allemagne ; surréalisme en
36
re flatteuse aux caprices redoutables. Cette nuit-
là
nous rencontrâmes des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous par
37
e Pourtalès de ce qu’il préfère parler d’illusion
là
où nos psychiatres proposeraient de moins jolis mots ; mais ce n’est
38
est. C’est une autre manie de sa génération. Mais
là
encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y pourchasser
39
le lecteur par ruse jusqu’à la dernière page, et
là
déclare froidement ne pas exister. Non : il a remarqué que l’époque p
40
couleur, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et
là
s’ouvrent des perspectives saisissantes sur l’époque. Anderson est av
41
sme, plein de verdeur et souvent d’amertume. Mais
là
où d’autres placeraient le couplet humanitariste, lui s’en va dans un
42
anque de chair. Et de rêve. Est-ce qu’en ce temps-
là
on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de malic
43
maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a
là
une station de canots de louage où j’ai vite découvert un « Friedrich
44
mépris pour la révélation évangélique. Je ne vois
là
que l’indice d’une confusion bien française, hélas. ba. « André Rol
45
, mais sans espoir. Il lui écrivit, en sortant de
là
, dans une crèmerie pleine de couples à la mode. Mais en écrivant il p
46
aire comprendre avec enthousiasme que ces vérités-
là
n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je viens d
47
e sérieux, avec un P majuscule. On sent que c’est
là
son affaire : Monsieur en un mot est M’sieu l’Instituteur. Signes par
48
n’a qu’une clairvoyance intéressée : mais celles-
là
sont les plus vives. Enfin, je tiens à reconnaître qu’ici je ne cherc
49
par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
là
. Les manuels ne correspondent à aucune réalité. Ils ne renferment rie
50
’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits.
Là
encore il y a une exagération absurde, une généralisation si schémati
51
r qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a
là
une préméditation de médiocrité que je ne puis m’empêcher de trouver
52
tellement avec ceux du bon sens. Je m’en tiendrai
là
, renonçant pour cette fois à démontrer, ce qui serait facile, qu’ils
53
s vous êtes, de ce fait, contre le régime. Il y a
là
, dirait M. Prudhomme, un bien grave dilemme. 4. Ce ne sont pas seu
54
dément, on se glisse à l’intérieur de son esprit,
là
où s’élabore son invention ; on capte scientifiquement les sources mê
55
uivoque frappe tout essai de réforme. Qu’il y ait
là
cependant une possibilité pratique d’en sortir, je ne le nie pas. Mai
56
notre Institutrice qu’un rendu. Car dans ce monde-
là
« tout se paye » comme ils disent avec une satisfaction sordide et ma
57
e s’est vendue à des intérêts politiques. C’était
là
, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
58
rganisation. Or il semble bien que nous en soyons-
là
, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes
59
ionalisme12 et la sentimentalité. Ce rationalisme-
là
triomphe non seulement dans les principes démocratiques, et dans ceux
60
de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient
là
l’occasion de racheter bien des choses. Ce n’est rien de moins qu’une
61
’une rédemption du journalisme, ce que je propose-
là
. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’invraisemblance de pe
62
s auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
là
diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer les coll
63
s’épargnerait de longs énervements. Il n’y a pas
là
de quoi se tordre. Car tout cela nous donnerait des années de liberté
64
aire comprendre avec enthousiasme que ces vérités-
là
n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je viens d
65
par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
là
. Les manuels ne correspondent à aucune réalité. Ils ne renferment rie
66
’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits.
Là
encore, il y a une exagération absurde, une généralisation si schémat
67
r qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a
là
une préméditation de médiocrité que je ne puis m’empêcher de trouver
68
tellement avec ceux du bon sens. Je m’en tiendrai
là
, renonçant pour cette fois à démontrer, ce qui serait facile, qu’ils
69
s vous êtes, de ce fait, contre le régime. Il y a
là
, dirait M. Prudhomme, un bien grave dilemme. 4. Ce ne sont pas s
70
dément, on se glisse à l’intérieur de son esprit,
là
où s’élabore son invention ; on capte scientifiquement les sources mê
71
uivoque frappe tout essai de réforme. Qu’il y ait
là
cependant une possibilité pratique d’en sortir, je ne le nie pas. Mai
72
notre Institutrice qu’un rendu. Car dans ce monde-
là
« tout se paye » comme ils disent avec une satisfaction sordide et ma
73
e s’est vendue à des intérêts politiques. C’était
là
, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
74
rganisation. Or il semble bien que nous en soyons-
là
, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes
75
onalisme 12 et la sentimentalité. Ce rationalisme-
là
triomphe non seulement dans les principes démocratiques, et dans ceux
76
de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient
là
l’occasion de racheter bien des choses. Ce n’est rien de moins qu’une
77
’une rédemption du journalisme, ce que je propose-
là
. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’invraisemblance de pe
78
s auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
là
diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer les coll
79
s’épargnerait de longs énervements. Il n’y a pas
là
de quoi se tordre. Car tout cela nous donnerait des années de liberté
80
e où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir-
là
, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adress
81
versons la nuit rose et violette de Montparnasse.
Là
, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisière
82
oire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De
là
, je le suppose, une certaine misanthropie en germe : les êtres change
83
s êtres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient
là
où je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je re
84
upart suffisantes. Francis de Miomandre n’est pas
là
. Il a téléphoné au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. S
85
rfaire ? — il est bientôt minuit. Mon fantôme est
là
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais
86
t minuit. Mon fantôme est là. Un chien, Dick, est
là
. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. A
87
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas
là
, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser,
88
Würmser, Théobaldus Bombast et Mlle Monnier sont
là
. Jacques Chenevière pourrait très bien être là, puisqu’en ma voisine,
89
nt là. Jacques Chenevière pourrait très bien être
là
, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la se
90
d’adorables roseurs boréales. Hoffmann n’est pas
là
, mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme fatale et un g
91
même. Une femme fatale et un grand incompris sont
là
. Enfin, Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent d
92
t Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est
là
. Si vous enlevez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajouter ceux q
93
e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
là
qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’
94
urer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-
là
ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le p
95
ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
là
ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
96
de moins en moins à « réfléchir » sa création. De
là
sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des phrases t
97
fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
là
son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
98
stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
là
, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
99
ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
là
tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
100
res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
là
que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
101
ns insistants, moins concertés. Mais n’est-ce pas
là
un défaut qui relève de la nature même d’un esprit « critique » dans
102
mble lui conviennent. On le conçoit, ce n’est pas
là
se rendre la tâche facile. Cernant de toutes parts son sujet, M. Du B
103
itique en présence des obstacles qu’il rencontre,
là
où le créateur, supposant le problème résolu (Racine), fait une œuvre
104
ansformé que spirituellement. Et cette révolution-
là
a l’avantage d’être possible dès maintenant. Mais M. Nizan a trop de
105
parisienne la plus fringante et bariolée. Il y a
là
quelque mystère ; demandons-en l’explication à la Préface d’un si bri
106
ents, vitrines, coffrets, objets ouvragés. Il y a
là
une tradition qui certainement est bien huguenote : elle remonte aux
107
on, il y a tous les sujets chrétiens ! C’est bien
là
que nous voulions en venir : le dogme ne doit être qu’un stimulant (u
108
’est un idéal positif, immédiat parce qu’éternel.
Là
où Keyserling dit seulement adaptation, nous ajoutons régénération ;
109
de Baring ne manquent pas à cette tâche, et c’est
là
l’important. Le mérite le plus rare de ce livre est sans doute de fai
110
re, d’aimer et de souffrir par son amour. C’était
là
choisir un sujet inévitablement tragique. Car si l’histoire de l’asce
111
rement douloureuses. Certains, peut-être, verront-
là
une condamnation des passions humaines, et comme la morale du roman.
112
l’esprit à la périphérie des vérités religieuses,
là
où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux péné
113
nt, le Mont-Blanc luit là-haut ; la Puissance est
là
, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux mille b
114
anco-anglais, fournit un contraste de haut goût.
Là
, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations soci
115
s (les Anglais). Ici, elles imposent une éthique.
Là
, elles prêtaient le romantisme de leur décor ; ici, par l’effort de d
116
i comporterait des risques extérieurs. Mais c’est
là
se contenter à bon marché, et personne ne croit plus à la vertu de si
117
munisme, comme son bien propre. Mais il n’y a pas
là
de quoi nous rassurer. Si la vie de Kagawa glorifie l’Évangile, elle
118
dicalement notre vie d’un conte de fées. Il n’y a
là
, de la part de l’auteur, nul parti pris de « réalisme » littéraire, m
119
érité, pourtant fort émouvante par moments. C’est
là
qu’il retrouve Tsuruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son ad
120
même qui était fou, Eiichi décida que, de ce jour-
là
, il entrerait en bataille contre cet ordre de choses. Il se délivre
121
rieur contraignant, un acte d’incarnation. Il y a
là
une exigence immédiate et par conséquent plus troublante que celle qu
122
ication, « prêt à tous les effacements » (p. 59).
Là
où d’autres triompheraient, il met une sourdine. Car il sait que la m
123
sement de soi qu’obtient la volonté tendue, c’est
là
ce que nous avons surtout besoin qu’on nous montre… Je lui sais gré p
124
lâche plus. Il a beaucoup parlé de lui-même. Mais
là
où d’autres produisent l’impression pénible de se montrer, il arrive
125
objet a été enlevé ; les souffrances sont encore
là
, mais non plus les espérances de la religion, et l’âme, qui montait a
126
de sa décomposition. Ici la famille qui résiste,
là
la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de voir dans ce contras
127
it-ce qu’il y avait dans l’accent de ces docteurs-
là
quelque chose qui les empêchait de convaincre ? Tel étant l’état des
128
a culture dispense de penser. En vérité, ces gens-
là
n’ont jamais pensé. N’ont fait que de la classification avec les idée
129
de création possible que par les individus. Et de
là
vient que toute création absolue est héroïque. Socialisme (ou marxis
130
notre main. Par eux s’incarne la pensée, et c’est
là
l’héroïsme de l’esprit. Car toute incarnation s’opère au prix d’un hé
131
en termes matériels, urgents et contraignants. De
là
le sérieux avec lequel il accepte les conditions de l’initiation : et
132
voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est
là
le fait d’une âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur
133
bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-
là
pour soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il faut pour qu’elles p
134
ières, des fins dernières, en tant que telles. De
là
ce rationalisme agressif qu’il oppose aux dévots : « S’occuper d’idée
135
vons les garder pour nous ; elles seront toujours
là
pour diffuser leur éclat sur tout ce que nous ferons, comme la douce
136
spirituelle, où il se livre tout entier. Et c’est
là
sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule en fin de compte à l’évas
137
tragique essentiel de notre condition. C’est bien
là
que réside l’élément transcendant qui interdit à la pensée la plus pr
138
ccentuer actuellement, la vérité ? N’est-ce point
là
porter un jugement avant tout partial, et qui révèle notre insuffisan
139
rreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont
là
deux aspects morbides d’une même maladie bourgeoise. C’est à quoi mèn
140
s néfastes que les plus violents cataclysmes, car
là
où ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre même reste
141
e l’un équivaut presque à celle de l’autre. C’est
là
qu’éclate la violence des contraires. Pour tous ceux qui ont l’audace
142
ère. Mais le péché naît où meurt la foi, et meurt
là
où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, Jouhandeau oppose le
143
pérée du millenium chrétien. Nous n’en sommes pas
là
: Hic et nunc, nous voici, protestants, en face de deux solutions syn
144
ns naturelles ; bien plus, elle crée des conflits
là
où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose u
145
mpose un choix d’ailleurs humainement impossible,
là
où l’homme naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiqu
146
terrestre quelle qu’elle soit. Il ne suit pas de
là
, bien au contraire, que nous ne puissions collaborer à aucune révolut
147
t les composantes de notre situation. Nous sommes
là
: n’y pouvant plus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous batt
148
rix d’un désordre. Mais à l’Allemand, cette sorte-
là
de mensonge n’est guère sensible : la vérité pour lui étant ce qui s’
149
et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et
là
, France. Il reste qu’un Empédocle, qu’un Zarathoustra, génies titaniq
150
l’ordre imposé. Passant à la limite du sentiment,
là
où il prend une valeur d’acte ou de jugement, l’on peut symboliser l’
151
re flatteuse aux caprices redoutables. Cette nuit-
là
nous rencontrâmes des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous par
152
parce qu’il n’y est pas avoué. — Ce que je me dis
là
, c’est un truisme. Truisme a l’air d’être le nom d’une de ces sirènes
153
chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a
là
dans un espace vide un piano à l’aile levée, et devant le piano, assi
154
urs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est
là
que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de
155
néma, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester
là
muette, assez absente encore pour ressembler vraiment à son image. Je
156
nthe à son souvenir. Si je buvais assez il serait
là
. En attendant, les autres s’en vont ou disparaissent on ne sait comme
157
e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
là
qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’
158
urer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-
là
ces moutons. v Café amer En Hongrie l’on est assailli par le p
159
ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
là
ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
160
essus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel,
là
où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nou
161
fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
là
son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
162
stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
là
, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
163
ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
là
tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
164
res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
là
que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
165
maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a
là
une station de canots de louage où j’ai vite découvert un « Friedrich
166
es herbes, se lève, saute sur place, — n’est plus
là
. — J’ai poursuivi longtemps le reflet rouge de ses yeux parmi les tro
167
e — dans l’intimité vivante de ses classiques. De
là
peut-être cette dignité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu
168
, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines.
Là
, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelle
169
si de leurs familiarités. J’étais attablé ce soir-
là
dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer en
170
tards d’où naissent le désir et la conscience. De
là
des pertes de temps ; mais de là aussi les inventions destinées d’abo
171
a conscience. De là des pertes de temps ; mais de
là
aussi les inventions destinées d’abord à les combler et qui toujours
172
les yeux cessent de cligner, le corps se détend.
Là
devant, un chauffeur immobile guette les ornières profondes où les ro
173
e gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces gens-
là
— cette tourbe — qui se permettent de juger la noblesse terrienne. Di
174
oblesse terrienne. Dire que ce sont ces bourgeois-
là
, bassement incapables de brutalité ou d’orgueil physiques, en revanch
175
s paysans qui s’inclinent sans contrainte. Est-ce
là
dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me p
176
publie ces articles, me paraissaient en ce temps-
là
plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes prussiens. Et pu
177
i donc en taxi, « nous deux le fantôme ». Ce soir-
là
, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adress
178
versons la nuit rose et violette de Montparnasse.
Là
, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisière
179
ire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…). De
là
, je le suppose, une certaine misanthropie en germe : les êtres change
180
s êtres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient
là
où je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je re
181
upart suffisantes. Francis de Miomandre n’est pas
là
. Il a téléphoné au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. S
182
aire ? — il est bientôt minuit20. Mon fantôme est
là
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais
183
minuit20. Mon fantôme est là. Un chien, Dick, est
là
. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. A
184
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas
là
, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser,
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Würmser, Théobaldus Bombaste et Mlle Monnier sont
là
. Jacques Chenevière pourrait très bien être là, puisqu’en ma voisine,
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nt là. Jacques Chenevière pourrait très bien être
là
, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la se
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adorables roseurs boréales. E. T. A. Hoffmann est
là
, sous un nom d’emprunt. Une femme fatale et un grand incompris sont l
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runt. Une femme fatale et un grand incompris sont
là
. Enfin Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de
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t Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est
là
. Peut-être aussi Jean de Boschère, en dépit de certaines apparences.
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’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une ville
là
où il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie un
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pleure, qui me réchauffe. Parce qu’elle se tient
là
« vêtue de son péché », — comme une courtisane. Mais vous n’êtes qu’u
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rix d’un désordre. Mais à l’Allemand, cette sorte-
là
de mensonge n’est guère sensible : la vérité pour lui étant ce qui s’
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et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et
là
, France. Il reste qu’un Empédocle, qu’un Zarathoustra, génies titaniq
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l’ordre imposé. Passant à la limite du sentiment,
là
où il prend une valeur d’acte ou de jugement, l’on peut symboliser l’
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parce qu’il n’y est pas avoué. — Ce que je me dis
là
, c’est un truisme. Truisme a l’air d’être le nom d’une de ces sirènes
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chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a
là
dans un espace vide un piano à l’aile levée, et devant le piano, assi
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urs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est
là
que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de
198
néma, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester
là
muette, assez absente encore pour ressembler vraiment à son image. Je
199
e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
là
qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d
200
ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
là
ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
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essus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel,
là
où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nou
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fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
là
son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
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stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
là
, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
204
ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
là
tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
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res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
là
que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
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les yeux cessent de cligner, le corps se détend.
Là
devant, un chauffeur immobile guette les ornières profondes où les ro
207
e gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces gens-
là
— cette tourbe — qui se permettent de juger la noblesse terrienne. Di
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oblesse terrienne. Dire que ce sont ces bourgeois-
là
, bassement incapables de brutalité ou d’orgueil physiques, en revanch
209
s paysans qui s’inclinent sans contrainte. Est-ce
là
dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me p
210
publie ces articles, me paraissaient en ce temps-
là
plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes prussiens. Quant
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maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a
là
une station de canots de louage où j’ai vite découvert un « Friedrich
212
es herbes, se lève, saute sur place, — n’est plus
là
. —J’ai poursuivi longtemps le reflet rouge de ses yeux parmi les tron
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e — dans l’intimité vivante de ses classiques. De
là
peut-être cette dignité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu
214
, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines.
Là
, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelle
215
n’ai rien deviné du tout, puisque j’ai vu ! C’est
là
tout l’intérêt de l’affaire : cette perception soudaine, ce regard pa
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vision n’a « servi » exactement à rien. (Était-ce
là
sa condition de possibilité ?) Mais elle m’est signe d’un certain éta
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de leurs familiarités. » J’étais attablé ce soir-
là
dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer en
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tards d’où naissent le désir et la conscience. De
là
des pertes de temps ; mais de là aussi les inventions destinées d’abo
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a conscience. De là des pertes de temps ; mais de
là
aussi les inventions destinées d’abord à les combler et qui toujours
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enait d’aimer. Bientôt, s’il voit que vous restez
là
, il change un peu : vous n’êtes plus l’invité mais un client, et qui
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résentés par MM. Hitler et Staline. Je m’en tiens
là
dans mes jugements. J’arrive à peine. Le mauvais temps qui vient N
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vignes vers le lac. Je pouvais dire à mes amis :
là
, dans ces arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescenc
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s souvenirs ? me disais-je, mais je n’en suis pas
là
. (Ainsi l’on croit savoir où l’on se tient, quel âge on a, et vers qu
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ntenaire, et le dessaisissement du patriciat ; de
là
cette notice symbolique : Denis-François-Henry, rentier. (Un rentier
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ère. Par les femmes, on en trouve davantage, mais
là
encore les traditions intellectuelles et politiques restent les plus
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rète de sa vie et source de sa vraie richesse. De
là
sa modestie frappante, sa tolérance acquise non sans luttes, mais sa
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aît au moins le nom. Nous n’avons rien de ce rang-
là
. Les visiteurs de Lausanne, de Coppet, des coteaux de Cologny ou de M
228
lines pointues et de valses aux jardins publics —
là
j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qui faisait fêt
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ges parsemés de sapins majestueux et coupés çà et
là
de murs bas faits de grosses pierres entassées avec art. Nous passion
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ouer que je la regrette encore ?) Mais je restais
là
sans mouvement, fasciné par l’aubaine et plus encore ému par ce petit
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furent jusqu’à ces tout derniers temps. Et c’est
là
que gît l’explication du goût pour l’idéologie que manifeste le grand
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ra dans un cercle aussi excité qu’incompétent. De
là
cette multitude d’écrits, dont le propos général est d’élucider les c
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misme des révoltés est le pire. Il ne suit pas de
là
, contrairement à ce que prétendent certains écrivains marxisants, que
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la fédération chrétienne d’étudiants. Mais il y a
là
le germe d’un mouvement qui demain peut se préciser et s’amplifier. S
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ertains humanistes le nieront. Ils me diront que,
là
où le chrétien parle de salut, eux se bornent à revendiquer le bonheu
236
r le bonheur des hommes, la justice. Faut-il voir
là
autre chose qu’une question de mots ? Dans l’un et l’autre cas, il s’
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te, car alors où serait l’Impartialité ? Ces gens-
là
voudraient bien nous faire croire qu’un texte est intéressant dans la
238
us des hommes. On les a pris d’ici pour les poser
là
, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’infi
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rcices de rhétorique prolétarienne publiés ici où
là
par quelques chiens de garde du conformisme stalinien. Nous nous éton
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au monde, d’une impuissance à saisir les choses.
Là
réside la cause de la peur, qu’il avoue, et qui n’est sans doute que
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vèlent un vice profond de la société actuelle. De
là
à se dire révolutionnaire, il n’y a qu’un pas, qu’un accès de mauvais
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u’un pas, qu’un accès de mauvaise humeur. Mais de
là
à prendre une conscience active de la révolution, de là à concevoir l
243
rendre une conscience active de la révolution, de
là
à concevoir l’ordre nouveau, il y a un abîme. Ni science ni bon sens
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de cette idéologie typiquement bourgeoise. C’est
là
ce qu’on appelle sa révolution ! 3° Raisons mystiques Car il y
245
outes superficielles appréciations portées ici ou
là
contre la théologie dialectique incriminée de pessimisme romantique,
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ue personnel et la violence créatrice. Cet esprit-
là
, cet « esprit pur » n’est, en réalité, que la dégradation d’un spirit