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ès pressant, ni surtout que nous ayons à chercher
là-bas
notre salut. « La seule leçon à attendre des musulmans, c’est que le
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iques des lumières et des odeurs, espérant entrer
là-bas
dans je ne sais quelle harmonie plus reposante. Cette imparfaite acco
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ennui de ma révolte ? Aragon sarcastique se tient
là-bas
dans un rayon échappé des Enfers — auxquels je crois encore, et pas s
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essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller
là-bas
, cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande… »11 E
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’en faire soi-même une meilleure. Mais j’aperçois
là-bas
, vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la d
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’en faire soi-même une meilleure. Mais j’aperçois
là-bas
, vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la d
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ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle
là-bas
, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
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ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle
là-bas
, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
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essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller
là-bas
, cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande…14 » Et
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our la plupart des êtres qui peuplent ces villes,
là-bas
, que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
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ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle
là-bas
, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
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essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller
là-bas
, cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande… »13 E
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our la plupart des êtres qui peuplent ces villes,
là-bas
, que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
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1944 Je ne savais pas que tout était si près,
là-bas
. J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
15
e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver
là-bas
, c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. De ce présent que je vis
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sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout
là-bas
vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
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nces et des secrets de son pays. Il songe : c’est
là-bas
que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir, à mon ret
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ns de la crise. 5. Nos écrivains courent admirer
là-bas
la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
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treprises coloniales : mais on ne construit plus,
là-bas
, et il n’y a plus de colonies. D’autres étaient mécaniciens, aviateur
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eau ; le dernier, paysan. On n’a pas voulu d’eux,
là-bas
. Et les voici lancés dans une vie d’aventures qu’ils n’avaient pas vo
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s de la crise. 73. Nos écrivains courent admirer
là-bas
la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
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s de la crise. 76. Nos écrivains courent admirer
là-bas
la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
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cachent tout au bout du champ de pommes de terre,
là-bas
près de la barrière sud. Finalement, nous les pourchassons dans le co
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s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander
là-bas
ce qui nous manque. II. Leçon de dictature De tout ce qui précè
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réations aussi fortes que celles qui nous défient
là-bas
, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
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s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander
là-bas
ce qui nous manque. 36. Pas tous d’ailleurs, ni les plus marquants…
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portée : ce n’est pas pour l’amour des hommes de
là-bas
que je m’attache à distinguer dans leur régime ce qui est bon et ce q
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réations aussi fortes que celles qui nous défient
là-bas
, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
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s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander
là-bas
ce qui nous manque. 37. Pas tous d’ailleurs, ni les plus marquants…
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portée : ce n’est pas pour l’amour des hommes de
là-bas
que je m’attache à distinguer dans leur régime ce qui est bon et ce q
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réations aussi fortes que celles qui nous défient
là-bas
, nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
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trement, vous savez ce qui se passe, les employés
là-bas
, au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche. — Tous les mas e
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yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire
là-bas
? Je vais m’y mettre. 28 février Terminé hier soir la rédaction de ma
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sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment
là-bas
, aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas enco
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et rapides rasent les terres brunies, font luire
là-bas
une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se perdent
36
s masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait
là-bas
, « ne s’entend plus », dans la multitude en tumulte, tandis qu’ici, d
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sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment
là-bas
aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas encor
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trement, vous savez ce qui se passe, les employés
là-bas
, au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche… — Tous les mas e
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yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire
là-bas
? Je vais m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la réda
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e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait
là-bas
. Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
41
e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait
là-bas
se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
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, on nous laissera tranquilles, parce qu’on saura
là-bas
que nous ne sommes pas assimilables. Voilà la résistance civique et t
43
é de faire comprendre ici la chose qui est en jeu
là-bas
: il m’a fallu, sur place, des mois pour la comprendre. Je m’étonne a
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e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait
là-bas
. Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
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e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait
là-bas
se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
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r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit.
Là-bas
, une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
47
époque en faillite — une dette que plus personne,
là-bas
, n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
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Témoin de Dieu dans le fracas de la colère.
Là-bas
, tous crient : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient
49
lle ! Notre héros et notre saint nous parle.
Là-bas
, tous crient : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient
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anfare en sourdine.) Regarde ! Est-ce que tu vois
là-bas
!… (Une petite scène latérale, à gauche du plan 2, s’éclaire comme un
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Nicolas. — Pauvres gens ! Il y a donc la guerre
là-bas
? Le pèlerin. — Les ducs d’Autriche et de Bourgogne font leurs qu
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emble ! Union sacrée ! Courage ! Déjà, ils fuient
là-bas
comme un nuage ! Voix des suisses. — Qui vient ? Qui fuit ? Et qu
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plan 3.) Hornek. — Holà ! Je vois un messager,
là-bas
, vers l’ouest, dans le couchant ! Diesbach. — Il fait signe, il c
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retombe.) Haimo (penché vers Nicolas). — Vois
là-bas
! Ils se sont levés ! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés,
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r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit.
Là-bas
, une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
56
antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu
là-bas
(en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
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époque en faillite — une dette que plus personne,
là-bas
, n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
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r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit.
Là-bas
, une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
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antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu
là-bas
(en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
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époque en faillite — une dette que plus personne,
là-bas
, n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
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prendre contact avec les milieux suisses établis
là-bas
, il nous dit son sentiment sur la ligue du Gothard dont il est un mem
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e 1943 Je ne savais pas que tout était si près
là-bas
. J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
63
er, alimente encore quotidiennement la chronique,
là-bas
. Avez-vous été séduit par l’Amérique ? Je l’aime énormément ; c’est u
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d’un pittoresque extravagant qui nous viennent de
là-bas
? Puérils, ils le sont à nos yeux sur certains points, et nous le som
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sons… Si ! je ne rêve pas : un coq qui crie, tout
là-bas
vers les Invalides. L’or pâle du Dôme s’avive au-dessus des toits ble
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américaine éveille chez un Européen ? En arrivant
là-bas
, on a l’impression très nette de pénétrer dans une autre civilisation
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oraux y sont très différents de ceux de l’Europe.
Là-bas
, certaines choses vont de soi ; chez nous, elles paraissent bizarres.
68
, pas très decent, qualité qu’un jeune citoyen de
là-bas
expliquait en ces termes : « Être decent, c’est tenir sa parole et se
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nt nécessaires à leur organisme. Tout le monde a,
là-bas
, le plus grand respect pour les experts en n’importe quoi. Au point d
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re, si vivante chez nous, est presque inexistante
là-bas
. Les grèves peuvent être violentes, mais cela ne veut pas dire que l’
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partie de la Ligue nouvelle. Les deux grands qui,
là-bas
, occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous
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raît propre à maintenir le mal. Comment le guérir
là-bas
, et le prévenir ici ? Faut-il « les » aider ? La Suisse, dans
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46)af Je ne savais pas que tout était si près,
là-bas
. J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
74
en aurons bientôt autant chez nous qu’il en reste
là-bas
. Nous aimions beaucoup La Guardia, que nous baptisions la Fleurette.
75
ait venir que d’Amérique. Peut-être bien était-ce
là-bas
qu’il me serait donné quoique « neutre », de faire la guerre à ma faç
76
ent, et beaucoup ne veulent rien savoir… Beaucoup
là-bas
ont perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’on
77
chez vous la religion de ceux qui n’en ont point.
Là-bas
, ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici
78
’écrit de Suisse pour me presser de rentrer. Mais
là-bas
, que pourrai-je bien faire ? La censure ne s’est pas relâchée, et d’e
79
d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit
là-bas
— des oreilles clandestines entendront : « la Voix de l’Amérique parl
80
les échos nous en reviennent de France. Leur dire
là-bas
, dire à la Résistance, que la situation se redresse lentement dans le
81
Europe Je ne savais pas que tout était si près,
là-bas
. J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
82
e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver
là-bas
, c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. D’un présent vécu comme p
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sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout
là-bas
vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
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partie de la ligue nouvelle. Les deux grands qui
là-bas
occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous l
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ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle
là-bas
, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
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essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller
là-bas
, cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande…10 » Et
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our la plupart des êtres qui peuplent ces villes,
là-bas
, que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
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et rapides rasent les terres brunies, font luire
là-bas
une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se perdent
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s masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait
là-bas
, « ne s’entend plus », dans la multitude en tumulte, tandis qu’ici, d
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sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment
là-bas
aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas encor
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trement, vous savez ce qui se passe, les employés
là-bas
, au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche… — Tous les mas e
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yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire
là-bas
? Je vais m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la réda
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é de faire comprendre ici la chose qui est en jeu
là-bas
: il m’a fallu, sur place, des mois pour la comprendre. Je m’étonne a
94
e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait
là-bas
. Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
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e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait
là-bas
se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
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ait venir que d’Amérique. Peut-être bien était-ce
là-bas
qu’il me serait donné, quoique « neutre », de faire la guerre à ma fa
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es sont excellentes, mais comment sont-elles lues
là-bas
? Crainte de l’atmosphère optimiste — simplificatrice — capitaliste.
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ne correspondent à rien d’actuel ou de concevable
là-bas
. Essayer de faire du roman, du théâtre ? Ce n’est pas moi. Un moralis
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ais n’en paraissent guère enchantés… Si tout rate
là-bas
, le refuge de l’Argentine ? Ou encore, apprendre l’anglais assez pour
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ent, et beaucoup ne veulent rien savoir… Beaucoup
là-bas
ont perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’on
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chez vous la religion de ceux qui n’en ont point.
Là-bas
, ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici
102
’écrit de Suisse pour me presser de rentrer. Mais
là-bas
, que pourrais-je bien faire ? La censure ne s’est pas relâchée, et d’
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d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit
là-bas
— des oreilles clandestines entendront : « La Voix de l’Amérique parl
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les échos nous en reviennent de France. Leur dire
là-bas
, dire à la Résistance, que la situation se redresse lentement dans le
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Europe Je ne savais pas que tout était si près,
là-bas
. J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
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e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver
là-bas
, c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. De ce présent que je vis
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sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout
là-bas
vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
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partie de la ligue nouvelle. Les deux grands qui
là-bas
occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous l
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d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit
là-bas
— des oreilles clandestines entendront : La Voix de l’Amérique parle
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les échos nous en reviennent de France. Leur dire
là-bas
, dire à la Résistance que la situation se redresse lentement dans le
111
ffair mesure sa perversité. Il s’agit avant tout,
là-bas
, de ne pas être involved, ou compromis. (Mais c’est un mot très diffi
112
. — Bien vu en Amérique. Mal vu chez nous. On dit
là-bas
: il sait ce qu’il veut, et il poursuit son but avec ténacité, quels
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en aurons bientôt autant chez nous qu’il en reste
là-bas
. Nous aimions beaucoup La Guardia, que nous baptisions la Fleurette.
114
tour de l’engagement de l’écrivain n’existent pas
là-bas
. Écrire, aux États-Unis, c’est entretenir les lecteurs des problèmes
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nces et des secrets de son pays. Il songe : c’est
là-bas
que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir, à mon ret
116
t que des emprunts à notre fonds, mais développés
là-bas
, sur table rase, sans mesure ni critique, méthodiquement, jusqu’à la
117
t que des emprunts à notre fonds, mais développés
là-bas
sans mesure ni critique, méthodiquement, parfois jusqu’à la monstruos
118
’à tort ou à raison nous faisons à l’Amérique : «
Là-bas
, répétons-nous, tout se ressemble ! » (Que dirions-nous d’autres régi
119
’image du réveil est trompeuse. Je n’ai pas senti
là-bas
l’essor d’un peuple jeune, sa confiance dans l’avenir, ses projets ex
120
parfois les mêmes, plus chez beaucoup l’idée que
là-bas
, la démocratie marche mieux, l’avenir est plus ouvert, et les rapport
121
parfois les mêmes, plus chez beaucoup l’idée que
là-bas
, la démocratie marche mieux, l’avenir est plus ouvert, et les rapport
122
antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu
là-bas
(en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
123
iniens mais, disaient-ils sans honte, rentrant de
là-bas
, les peuples satellites et leurs chefs « adorés ». (M. Pierre Cot par
124
, ces notions ne sont point parvenues à provoquer
là-bas
les mêmes effets, à dégager le même rayonnement, ni même à provoquer
125
e en se tapant sur la cuisse comment « ils » sont
là-bas
, étonnants et risibles… Si l’on songe au Führer, au Duce, à Staline,
126
er en France. « J’ai certains devoirs à accomplir
là-bas
. — Qui êtes-vous ? — Vous pouvez voir mon nom sur ce passeport. — Que
127
aux motifs fortuits et théoriques de son activité
là-bas
est venu s’ajouter, au cours des ans, un désir ardent et sincère de p
128
tionnés avec avidité sur tout ce qui se passait «
là-bas
». En dépit de toutes les précautions qui avaient été prises à Londre
129
raste l’Europe et l’Amérique : ce que l’on trouve
là-bas
n’est qu’un développement de nos races et de notre genre de vie : en
130
prouve que tout poète européen, tout individu qui
là-bas
se lève pour énoncer une pensée originale, manifester une force activ
131
rolétaires, tranquillité que les gouvernements de
là-bas
s’efforcent d’acheter et qu’ils obtiennent tout au plus pour un laps
132
de moi personnellement, mais de la pensée russe.
Là-bas
, il y avait combat et logique ; là-bas le Français n’était que França
133
sée russe. Là-bas, il y avait combat et logique ;
là-bas
le Français n’était que Français, l’Allemand qu’Allemand, et cela ave
134
s de nos États et de nos firmes, qui transportent
là-bas
toutes nos rivalités, des assistants techniques qui ne savent pas gra
135
venir que de l’Amérique. Peut-être bien était-ce
là-bas
qu’il me serait donné, quoique « neutre », de faire la guerre à ma fa
136
s de nos États et de nos firmes, qui transportent
là-bas
toutes nos rivalités, des assistants techniques qui ne savent pas gra
137
pour noyau quelques peintres qui allaient changer
là-bas
le cours des arts, Max Ernst, Matta, Tanguy, parfois Masson et toujou
138
pour noyau quelques peintres qui allaient changer
là-bas
le cours des arts : Max Ernst, Matta, Tanguy, parfois Masson et toujo
139
—, purs états d’âmes ! Ces « jardins de Bordeaux,
là-bas
», cette Palmyre en ruine « aux plaines du désert », et ce Gothard d’
140
Néanmoins, ce sont les savants qui les font aller
là-bas
. Alors il y a un petit jeu subtil entre les militaires et les savants
141
ne, et qui nous décrit le paradis qui nous attend
là-bas
. Il nous dit que nous aurons là-bas des hôtels de grand luxe, avec de
142
i nous attend là-bas. Il nous dit que nous aurons
là-bas
des hôtels de grand luxe, avec des paysages extraordinaires. Alors on
143
ant de l’art pompier, parce qu’il est au pouvoir,
là-bas
, depuis cinquante ans officiellement, Le pompiérisme qui tranquillise
144
usqu’au niveau mondial. Mais revenons à l’Europe.
Là-bas
, il est bien certain qu’on n’arrivera jamais à unir ces États-nations