1 as étrangère. » — « Cependant, le Mont-Blanc luit là-haut  ; la Puissance est là, la tranquille et solennelle Puissance aux mill

2 ît à l’amour. Un portrait de notre pays, peint de là-haut , ne ressemblerait guère à mes esquisses. Au lieu de la lumière souven

3 verture, et elle explique que c’est pour monter «  là-haut  », pour s’aider ! 8 mai Il y a eu du bruit toute la nuit. Vers 2 heur

4 initiés, naturellement. Personne ne monte jamais là-haut , ni maréchaussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles, n

5 verture, et elle explique que c’est pour monter «  là-haut  », pour s’aider ! 8 mai 1935 Il y a eu du bruit toute la nuit.

6 s initiés naturellement. Personne ne monte jamais là-haut , ni maréchaussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles, n

7 ne chose : pendant qu’on est ici à discuter, lui, là-haut , il est déjà levé pour ses prières. Il se lève toujours à minuit. Ça

8 r. Nicolas ! Nicolas ! Hélas ! Est-ce en vain que là-haut tu veilles ? (Voix d’hommes.) À l’horizon paraissent des présages. N

9 s une aurore éclatante de gloire et d’or. Toi, de là-haut , vois l’orage futur et la dévastation des liens sacrés. (Voix de fem

10 et il me dit que j’en aurai ! — Le vieux corbeau là-haut croasse pour la pluie en plein soleil ! — Radoteur ! Une voix des

11 ! Malheur ! Malheur ! L’astrologue. —  Et toi, là-haut , sentinelle de malheur, maintenant, que vois-tu venir ? Ouvre les yeu

12 risien, ce soir, tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut , sur le clocher roman de cette église mystérieusement demeurée, malgr

13 e, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut , me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingue pas encore cett

14 e, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut , me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingue pas encore cett

15 risien, ce soir, tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut , sur le clocher roman de cette église mystérieusement demeurée, malgr

16 e, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut , me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingue pas encore cett

17 uverture, et elle explique que c’est pour monter “ là-haut ”, pour s’aider ! » 8 mai 1935 Il y a eu du bruit toute la nuit.

18 s initiés naturellement. Personne ne monte jamais là-haut , ni maréchaussée ni gabelle. Nous aurions des fusils et des bibles, n

19 risien, ce soir, tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut , sur le clocher roman de cette église mystérieusement demeurée, malgr

20 e, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut , me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On ne distingue pas encore cett

21 averses sculptés, soutenant un toit immense, tout là-haut , j’ai rêvé un instant qu’à 12 ans, avec mes petits camarades, nous sa

22 ît à l’amour. Un portrait de notre pays, peint de là-haut , ne ressemblerait guère à mes esquisses. Au lieu de la lumière souven

23 J’apprends qu’il y a déjà un demi-mètre de neige là-haut . Le col sera donc impraticable dans quelques heures. La course est ar

24 ée, la dernière. » Son père le conduisait parfois là-haut , dans ce pays de hautes roches surgissantes, irrésistiblement allongé

25 verses sculptées, soutenant un toit immense, tout là-haut , j’ai rêvé un instant qu’enfants, nous sautions d’une poutre à l’autr

26 pourrait dire que tout ce qu’ils ont été chercher là-haut , c’est une étoile — une petite étoile en cuivre qu’ils se mettent sur

27 la naissance, stupéfiant le monde et notre cœur. Là-haut le feu d’un ciel très clair baigne la crête des Brillantes. Ici l’omb

28 Il s’est tu, sol de Delphes, ton Dieu !… Mais là-haut la lumière encore aujourd’hui parle aux hommes et laisse Deviner

29 là de la voûte céleste, ce n’est même pas un tout là-haut vers les étoiles, comme le peuple le croit naïvement. C’est un au-del