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aisonnements que je me tiens — plisser un peu mes
lèvres
, et s’affirmer à mesure que je le décris. Mais comme un écho profond,
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vrai, tyrannique, insuffisant. Mais un pli de ta
lèvre
, un peu sceptique, quand mon esprit partait dans le rêve d’un idéal d
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e désespoir, on songe au Frank de La Coupe et les
Lèvres
, à qui ses compagnons criaient : « Te fais-tu le bouffon de ta propre
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nce mes baisers. L’amour est un alibi Nos
lèvres
sitôt que jointes, Ô dernier mensonge tu, Je m’enfuis vers d’autres r
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re à Paul Claudel. 10. Musset de La coupe et les
lèvres
. Mais oui, c’est paradoxal. 11. Les livres les plus répandus à Genèv
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on père savait tout. Il effleura mon front de ses
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sans une parole quand je vins lui souhaiter le bonsoir. Le lendemain,
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coup, l’évocation de Cocteau fait fleurir sur vos
lèvres
le mot de Cambronne : hommage à Louis Aragon. Ce cristal est une cita
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s les mains au vent captif délivre un souffle tes
lèvres
battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à travers cett
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re un seul Français qui n’ait pas le cœur sur les
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, qui ait quelque chose à dire, ou une qualité, une richesse d’âme com
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nuait à enrager ; sa figure se contractait et ses
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étaient pâles. — Comment voulez-vous renverser l’état social actuel,
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la lumière du soleil, les dessins, les roses, les
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rouges des filles, tout était surprenant, même le sang caillé, le péc
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ionnément triste et dominatrice. Large bouche aux
lèvres
serrées, l’inférieure creusée comme d’un sanglot retenu, et relâchée
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irent leurs plus longs rayons, ils ont encore des
lèvres
pour me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voi
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op vite pour que j’aie pu bouger, a baisé sur les
lèvres
une femme qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde av
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lles ont. J’allume encore une cigarette entre mes
lèvres
sèches. Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapea
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t que j’allais parler, et mit un doigt contre mes
lèvres
. Alors j’abaissai mes regards sur ses vêtements misérables et je l’ac
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oles ne sont pas pour les oreilles, mais pour les
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de ceux qui vous aiment. Car elles sont insensées, mais comme des bai
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irent leurs plus longs rayons, ils ont encore des
lèvres
pour me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voi
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rop vite pour que j’ai pu bouger, a baisé sur les
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une femme qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde av
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lles ont. J’allume encore une cigarette entre mes
lèvres
sèches. Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapea
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it que j’allais parler et mit un doigt contre mes
lèvres
. Alors j’abaissai mes regards sur ses vêtements misérables et je l’ac
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ure. Nicodème paraissait perdu dans son rêve. Ses
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remuaient pourtant. Il nous sembla qu’il murmurait machinalement les
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la présence de l’Éternel, voilà ce que disent les
lèvres
du prophète. Et cet homme-là, comme l’autre, ne compte pas, car où se
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arde contre les vaines richesses, les prières des
lèvres
, les « vêtements étrangers » et les doctrines qu’on ne met pas en pra
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la réserve affable des Suisses, et ce sourire des
lèvres
qui semble excuser le sérieux du regard. Il rit malicieusement quand
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L’enseigne de beauté Est encore cramoisie sur tes
lèvres
, tes joues, Et le pâle drapeau de la mort n’est pas avancé. … Ah ! c
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s bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes
lèvres
, ô vous Portes du souffle, par un légitime baiser Scellez un marché s
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ée de trois glaives, l’un d’eux appuyé contre ses
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comme pour l’empêcher de dire la Parole. Mais à partir de 1536, les c
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L’enseigne de beauté Est encore cramoisie sur tes
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, tes joues, Et le pâle drapeau de la mort n’est pas avancé.
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s bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes
lèvres
, ô vous Portes du souffle, par un légitime baiser Scellez un marché s
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L’enseigne de beauté Est encore cramoisie sur tes
lèvres
, tes joues, Et le pâle drapeau de la mort n’est pas avancé. … Ah ! c
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s bras prenez votre dernier embrassement ! Et mes
lèvres
, ô vous Portes du souffle, par un légitime baiser Scellez un marché s
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s beau mot de toutes les langues est pipé sur nos
lèvres
par Satan. Nulle époque n’a parlé davantage de l’amour, avec si peu d
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e détourna pour cacher le sourire qui tordait ses
lèvres
, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit :
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s beau mot de toutes les langues est pipé sur nos
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par Satan. Nulle époque n’a parlé davantage de l’amour, avec si peu d
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e détourna pour cacher le sourire qui tordait ses
lèvres
, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit :
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s beau mot de toutes les langues est pipé sur nos
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par Satan. Nulle époque n’a parlé davantage de l’amour, avec si peu d
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e détourna pour cacher le sourire qui tordait ses
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, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit :
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ionnément triste et dominatrice. Large bouche aux
lèvres
serrées, l’inférieure creusée comme d’un sanglot retenu, et relâchée
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cernées. Comment va s’exprimer cette vision ? La
lèvre
inférieure de cette large bouche que la moustache ne réussit pas à no
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istoire ». Dès que la formule consacrée tombe des
lèvres
de la grande personne, l’enfant change de visage, l’état second paraî
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qu’elle est très jolie, malgré la minceur de ses
lèvres
. Un peu plus tard, c’est une party de Pâques russe chez une amie. « V
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parfait initié ne condescend pas à desserrer ses
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et à révéler le scandaleux secret de sa perfection. Dans la sagesse d
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lice de Tantale (octobre 1946)a L’eau fuit ses
lèvres
, la branche fuit sa main, et le rocher qui surplombe sa tête va tombe
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cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses
lèvres
; car il faudrait, pour y être immergé, accepter de mourir d’abord à
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’égoïsme qu’il subsiste dans l’acte de porter les
lèvres
ou la main vers cette eau, vers ces fruits offerts, l’amour de soi do
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is que nous leur serrons la main, ils pincent les
lèvres
, comme si l’on venait de leur marcher sur le pied. Ils ont les cheveu
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, et souvent, de vieux cornichons à lunettes, aux
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minces, sachant compter leurs sous et damner les buveurs de whisky ;
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irent leurs plus longs rayons, ils ont encore des
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pour me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voi
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op vite pour que j’aie pu bouger, a baisé sur les
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une femme qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde av
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lles ont. J’allume encore une cigarette entre mes
lèvres
sèches. Le hall s’éclaire d’un jour de balayage, il reste deux chapea
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t que j’allais parler, et mit un doigt contre mes
lèvres
. Alors j’abaissai mes regards sur ses vêtements misérables et je l’ac
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la présence de l’Éternel, voilà ce que disent les
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du prophète. Et cet homme-là, comme l’autre, ne compte pas, car où se
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Le supplice de Tantale L’eau fuit ses
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, la branche fuit sa main, et le rocher qui surplombe sa tête va tombe
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cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses
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; car il faudrait, pour y être immergé, accepter de mourir d’abord à
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’égoïsme qu’il subsiste dans l’acte de porter les
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ou la main vers cette eau, vers ces fruits offerts, l’amour de soi do
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qu’elle est très jolie, malgré la minceur de ses
lèvres
. Un peu plus tard, c’est une party de Pâque russe chez une amie. « Ve
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is que nous leur serrons la main, ils pincent les
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, comme, si l’on venait de leur marcher sur le pied. Ils ont les cheve
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, et souvent, de vieux cornichons à lunettes, aux
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minces, sachant compter leurs sous et damner les buveurs de whisky ;
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mondial, l’objection immédiate qui surgit sur les
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des étrangers est la suivante : « Tout cela est bel et bon pour un pe
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prie debout, puis se tourne à demi en remuant les
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vers l’autre côté de la cour. Je suis son regard et découvre en retra
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eur sous son règne, ne se voient dénoncés que des
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, et à seule fin d’exonérer le groupe qui entend bien rester libre de
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obsédant, échappé voici près de seize siècles des
lèvres
de l’empereur Julien mourant : Tu as vaincu, Galiléen ! Vicisti Galil
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e… Elle était merveilleusement belle : brune, des
lèvres
pleines, de forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonai
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e… Elle était merveilleusement belle : brune, des
lèvres
pleines, de forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonai
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x se sentissent obligés de l’honorer au moins des
lèvres
: Extrait du protocole de la séance du 5 février 1814, au congrès de
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iennent voyants sur leur lit de mort et, de leurs
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livides, laissent échapper des secrets de l’au-delà. Ou faut-il pense
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gite et veut se lever, j’arrose d’eau fraîche ses
lèvres
desséchées et sa langue durcie ; saisissant une poignée de charpie, j
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Et alors, la question qui vient immédiatement aux
lèvres
est celle-ci : Qui pourra prendre ces décisions et les imposer ? Un g
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ait qu’utiliser notre gosier, notre langue et nos
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et que « ça » parle à travers nous, — comment peuvent-ils signer des
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ait qu’utiliser notre gosier, notre langue et nos
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et que « ça » parle à travers nous, — comment peuvent-ils signer des
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usine une fois son travail terminé le sourire aux
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ou d’un pas trop léger, il était transféré dans un autre service qui