1 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
1 n de commun avec le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Plan préconise un renforcement de l’exécutif et un
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
2 terprète du cosmos, est un mage, il ne fut pas un magicien . Il erra toute sa vie, d’auberges en universités, suivi d’une troupe
3 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
3 voirs très étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens , médecins, prêtres, professeurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais
4 ond païen de l’Occident n’avait pas pu fournir au magicien les éléments les plus actifs de son philtre ! Il est frappant de cons
5 end la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne , « objet de contemplation, spectacle mystérieux. ») Dans le Château d
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
6 voirs très étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens , médecins, prêtres, confesseurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais
7 ond païen de l’Occident n’avait pas pu fournir au magicien les éléments les plus actifs de son philtre ! Il est frappant de cons
8 end la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne , « objet de contemplation, spectacle mystérieux ».) Dans le Château d
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
9 voirs très étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens , médecins, prêtres, confesseurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais
10 ond païen de l’Occident n’avait pas pu fournir au magicien les éléments les plus actifs de son philtre ! Il est frappant de cons
11 end la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne , « objet de contemplation, spectacle mystérieux ».) Dans le Château d
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
12 chanter par la voix déchaînée de sa prêtresse et magicienne Isolde : « Élu par moi, perdu par moi ! » Vocation de souffrance et d
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
13 chanter par la voix déchaînée de sa prêtresse et magicienne Isolde : « Élu par moi, perdu par moi ! » Vocation de souffrance et d
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
14 e petit récit de Thomas Mann intitulé Mario et le Magicien . Les partis dans une fédération Tout cela n’est pas imaginable
9 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
15 é d’un futur calculable à coup sûr, tout comme le magicien mêle à la glaise dont il pétrit sa figurine quelques poils ou des rog
10 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
16 é d’un futur calculable à coup sûr, tout comme le magicien mêle à la glaise dont il pétrit sa figurine quelques vrais poils ou r
11 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
17 t livre de Thomas Mann qui s’intitule Mario et le magicien , où l’on décrit une séance de prestidigitation. Un magicien hypnotise
18 où l’on décrit une séance de prestidigitation. Un magicien hypnotise les gens. Il est sur la scène et il les appelle dans la sal