1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 e d’un affairiste anglais l’idole du nationalisme magyar . Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls universitai
2 a ferveur anime encore ces écrivains profondément magyars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités,
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 e d’un affairiste anglais l’idole du nationalisme magyar . Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls universitai
4 a ferveur anime encore ces écrivains profondément magyars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités,
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 e d’un affairiste anglais l’idole du nationalisme magyar . Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls universitai
6 a ferveur anime encore ces écrivains profondément magyars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités,
4 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
7 des écrivains de Hongrie, — le plus profondément magyar de sensibilité, et en même temps le plus européen par la culture. Des
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 e d’un affairiste anglais l’idole du nationalisme magyar . Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls universitai
9 a ferveur anime encore ces écrivains profondément magyars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités,
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
10 a liberté ! Lâches, les peuples t’ont abandonné ô Magyar  ! Toi seul continues à combattre… Liberté, que ton regard s’abaisse s
11 utres n’osent même pas verser des larmes Nous les Magyars , nous versons notre sang. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que
12 s calculent et perdent à tout coup. Que l’énergie magyare passe dans notre sang ! J’ai vu se lever, depuis quelques semaines, u
7 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
13 a liberté ! Lâches, les peuples t’ont abandonné Ô Magyar  ! Toi seul continues à combattre… Liberté, que ton regard s’abaisse s
14 utres n’osent même pas verser des larmes Nous les Magyars , nous versons notre sang. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
15 a liberté ! Lâches, les peuples t’ont abandonné Ô Magyar  ! Toi seul continues à combattre… Liberté, que ton regard s’abaisse s
16 utres n’osent même pas verser des larmes Nous les Magyars , nous versons notre sang. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que
9 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
17 ecs ! Hollandaises et Néerlandais ! Hongroises et Magyars  ! Irlandaises, Irlandais ! Italiennes, Italiens ! Luxembourgeoises et
10 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
18 erté ! Lâches, les peuples t’ont abandonné Ô Magyar  ! Toi seul continues à combattre… Liberté, que ton regard s’abaisse
19 res n’osent même pas verser des larmes Nous les Magyars , nous versons notre sang. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour
20 n octobre 1956, lorsque le dernier poste de radio magyare cerné par les chars russes lançait à une Europe bien incapable de rép