1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 et nous tend les premiers qui lui tombent sous la main  : le sport et la morale romaine. Dans sa hâte salvatrice, M. de Month
2 laurier. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule da
3 ’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le talonnage
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
4 it chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épaule de Janson, et de l’autre dessinant dans l’air des phrase
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
5 La mode qu’on rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un faux nom. c. « Billets aigres-doux », Revue d
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 ure, car enfin, elle est déesse. Mais entre leurs mains qu’est-elle devenue ? C’est bien leur faute si elle nous apparaît auj
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 énétra dans le salon de la duchesse, lui baisa la main et l’abattit d’un coup de revolver. Puis s’en fut avec un tact exquis
8 Marquis Salomon le danseur triste baisa cette main cruelle… et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
9 , aux yeux clairs et assurés, le cou robuste, les mains d’un si beau dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur, tout cela co
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
10 llai. Je ne trouvai que 100 francs dans son sac à main  : c’était assez pour me permettre d’entreprendre quelques beaux vols…
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
11 peu sur la laisse, que j’éprouve la fermeté de ma main . Je vous tiens. Je sais où vous êtes. Vous n’allez pas me surprendre
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
12 ieu au lecteur (juillet 1927)q Nous passons la main au central de Genève, fidèles à la tradition — en ceci au moins. Nous
10 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 homme avait posé son journal. Soudain, portant la main à son gilet, il en retira trois dés qu’il jeta sur la table. Les yeux
14 usion d’un hasard qui opère au commandement de la main . Ce soir-là, une confiance me possédait, telle que je savais très cla
15 per, je m’abats sur mon lit, les cheveux dans les mains . Et je voudrais pouvoir pleurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, s
11 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
16 ’une créature aussi parfaite soit touchée par les mains outrageusement baguées de ces courtiers alourdis de “Knödl”. En Orien
12 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
17 e saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide   Tu pleurerais Mais la grâce es
18 i consent… Ailleurs Colombes lumineuses des mains de mon amour écloses voyageuses ah ! que d’aucun retour vous ne laiss
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
19 ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main . L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
20 ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les mains sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dans le dos, amen
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
21 ernels, ou bien ces promenades en tenant la forte main du père qui fait de longs pas réguliers… L’École, dans ce concert de
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
22 lité. Ils ne renferment rien qui soit de première main , rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particularités,
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
23 en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la main , et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tou
24 un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main , — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
25 es, avec la frousse que ça ne leur éclate dans la main . 15. Cf. ce que dit Tolstoï sur cette haine et sur ce besoin dans se
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
26 ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les mains sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dans le dos, amen
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
27 s, ou bien dans ces promenades en tenant la forte main du père qui fait de longs pas réguliers… L’École, dans ce concert de
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
28 lité. Ils ne renferment rien qui soit de première main , rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particularités,
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
29 en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la main , et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tou
30 un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main , — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
31 es, avec la frousse que ça ne leur éclate dans la main . 15. Cf. ce que dit Tolstoï sur cette haine et ce besoin dans ses Ar
24 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
32 es chamois ». On s’émerveille de le voir, dans sa main rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes d
25 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
33 qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute
34 battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à travers cette ombre rapide si je te joins nous la tiendrons captive
35 ur du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Mainten
36 e saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais mais la grâce est f
26 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
37 che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la main n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
38 face des bouffons qui plongent invariablement les mains dans leurs vastes poches insulaires pour m’informer de cette irrécusa
27 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
39 ois frapper le sol du talon en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
40 ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main  ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les
41 ir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
42 inverse ; frapper des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
43 des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
44 s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
45 — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
46 la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
47 j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main . Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
48 tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des mains , — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
49 flexion impartiale et d’une description, plume en main , des mobiles personnels, affectifs, voire religieux, qui sont à l’ori
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
50 admirablement habile qu’on vote l’acquittement à main levée, sans examen des preuves. Non seulement Gide a presque toujours
30 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
51 par la foi ; mais d’autre part nous prêtions des mains complices à des œuvres qui relevaient de conceptions nettement a-chré
52 faire par nous-mêmes le bien, dans l’abandon aux mains de Dieu, — aux violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau Nou
53 dans l’abandon aux mains de Dieu, — aux violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau Nous voici loin de nos auteurs. Si
31 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
54 tuelle — dont l’avènement historique est dans nos mains . On nous a menés à ce point — il n’est question de s’en réjouir ni de
55 e chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la main — trahisse son immanente puissance. On voudrait dire — mais ce n’est
56 ur, nous poussent vers les êtres et guident notre main . Par eux s’incarne la pensée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car
32 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
57 rage avec laquelle il se rabat sur le travail « à mains  », rage de revanche, par son excès même est encore une évasion hors d
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
58 raverse dans les clous ». 16. « La ménagère aux mains cuites qui raccommode ses chaussures, le casque aux cheveux, tête far
34 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
59 s tenir des théories effarantes sur la violence à main armée, sur la nécessité de fusiller les trois quarts du genre humain,
35 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
60 té pure », du salut par la foi, par l’abandon aux mains du Dieu vivant. En face de philosophes qui se moquent des hommes et n
36 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
61 même marxistes. Abdication de la pensée entre les mains du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
37 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
62 ’une créature aussi parfaite soit touchée par les mains outrageusement baguées de ces courtiers alourdis de « Knödl ». En Ori
38 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
63 accent profond et nasillard d’origine juive ; une main pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure
64 te referme son livre, plie ses lunettes, baise la main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans l
65 ure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont to
66 u rêve, oh ! je les hais de me voir ! Je tiens la main d’une femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’
67 ntes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa main , — ho ! qui l’a retirée des miennes ? … Sans se retourner, avec cette
39 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
68 che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la main n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
69 face des bouffons qui plongent invariablement les mains dans leurs vastes poches insulaires pour m’informer de cette irrécusa
70 ois frapper le sol du talon en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
71 ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main  ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les
72 ir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
73 inverse ; frapper des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
74 des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
75 s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
76  — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
77 la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
78 j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main . Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
79 tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des mains , — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
40 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
80 ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main . L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
41 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
81 raignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains , écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde
82 ront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains , je dois faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je
83 ical. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient point touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la
84 t je l’accueillis dans mes bras. Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
85 ur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses mains , et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est inno
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
86 accent profond et nasillard d’origine juive ; une main pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure
87 te referme son livre, plie ses lunettes, baise la main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans l
88 ure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont to
89 u rêve, oh ! je les hais de me voir ! Je tiens la main d’une femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’
90 ntes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa main , — ho ! qui l’a retirée des miennes ? … Sans se retourner, avec cette
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
91 che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la main n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
92 ois frapper le sol du talon en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
93 ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main  ; saisir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses mains sur les
94 sir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
95 inverse ; frapper des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
96 des talons toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
97 s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
98 —, elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
99 la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
100 J’attends quelqu’un qui vienne me prendre par la main . Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
101 tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des mains , — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
102 ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main . L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
103 raignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains , écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde
104 ront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains , je dois faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je
105 ical. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient pas touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la j
106 t je l’accueillis dans mes bras. Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
107 ur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses mains , et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est inno
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
108 Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’homme, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiqu
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
109 ule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opulente, vint de Béziers au temps des dragonnades. Parm
48 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
110 entit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du
49 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
111 respect, ou quelque obscure sagesse ont retenu ma main , je me dis : c’est encore un petit lièvre ! et poursuis mon chemin pl
50 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
112 de puissance continuellement disponible entre nos mains incertaines, et que nous pourrions appliquer — oh ! avec quelle humil
51 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
113 Une main , par C. F. Ramuz (juin 1933)l Qu’on ait pris Ramuz pour un « régio
114 du pittoresque. Aucune de ses œuvres mieux qu’Une Main n’en convaincra. On y sent, plus directe qu’ailleurs, sa pensée ; on
115 examen de conscience. S’il s’interroge, dans Une Main , c’est plutôt un examen de son corps. Examen forcé d’ailleurs, interr
116 ommes de peu de poids, facilement entraînés. Une Main nous donne ainsi l’analyse élémentaire d’un des phénomènes les plus i
117 er de son pouvoir créateur. C’est le priver de sa main , — ou asservir cette main. Est-ce que ma main n’a pas sa vocation ? E
118 . C’est le priver de sa main, — ou asservir cette main . Est-ce que ma main n’a pas sa vocation ? Est-ce qu’elle n’a rien de
119 sa main, — ou asservir cette main. Est-ce que ma main n’a pas sa vocation ? Est-ce qu’elle n’a rien de mieux à faire que de
120 aire le poing avec cent-mille autres ? Cent-mille mains saluent le tyran, une main crée. Le temps est peut-être venu de pense
121 e autres ? Cent-mille mains saluent le tyran, une main crée. Le temps est peut-être venu de penser avec ses mains. 26. « J
122 e. Le temps est peut-être venu de penser avec ses mains . 26. « J’aime que les choses vous résistent et vous contredisent, c
123 açon, tandis que je suis à la mienne. » l. « Une main , par C. F. Ramuz (Grasset) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 
52 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
124 e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
53 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
125 e défaut, l’armée ne sera plus une arme entre ses mains déficientes. On pourra peut-être payer encore la troupe : on n’osera
126 par les événements qu’ils subissent, passeront la main aux pouvoirs agissants.   VIII. — La révolution spirituelle est non s
54 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
127 à plusieurs reprises la théologie à cette étrange main de Jean Baptiste dans la Crucifixion de Grünewald, cette main énorme
128 Baptiste dans la Crucifixion de Grünewald, cette main énorme qui désigne le Christ en croix. La théologie n’est pas la paro
129 mands, fraction de l’hitlérisme qui prétend faire main basse sur les églises et utiliser la religion aux fins de la renaissa
55 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
130 ymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à la main . Voici quelques notes rapidement rédigées dans les marges. M. Reymond
56 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
131 Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main , à portée de mes yeux, à portée d’imagination, peu importe, pourvu qu
132 s visible ni concret, échappe aux prises de leurs mains . Pour chacun d’eux, le tu es devenu le nous, c’est-à-dire a cessé d’ê
57 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
133 esprit d’une part, et d’autre part la prise de la main , la puissance de bouleversement concret. Il semblait que Dandieu inca
134 né, mais une rudesse puissante sur le front ; des mains fines à la poignée ferme. On ne saurait trop insister sur la portée d
135 ntraîner sa mort, à 36 ans, il avait ajouté de sa main , sur les épreuves de son dernier ouvrage, une conclusion qui nous app
136 aussi que son œuvre se poursuivrait par d’autres mains , sur cette « terre décisive ». 12. Ce qu’il y a de plus profond dan
58 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
137 ’il allait au-devant de ces voix, sans armes, les mains nues, au risque de sa vie, peut-être alors le secret du grand Pan s’o
59 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
138 homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)o Après Une Main , confession réticente, d’une discrétion presque farouche, et dans la
60 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
139 ne histoire dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action a
61 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
140 citer ici la page finale que Dandieu ajouta de sa main , sur épreuves, quelques jours avant sa mort. Aussi telle page sur Kre
62 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
141 est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre femmes, d
142 Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de mains , mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il p
143 s, mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux mains , et lorsqu’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non
144 la règle, deux mains, et lorsqu’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non celles de son voisin et non celles
145 u’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains , non celles de son voisin et non celles de la foule qui n’a pas de ma
146 n voisin et non celles de la foule qui n’a pas de mains . » Tout seul en face du Christ, un homme oserait-il s’avancer et crac
63 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
147 ne histoire dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action a
64 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
148 mon front de la poussière. Ils ont mis leur douce main sous mon menton. Ils m’ont dit : — Fais voir tes yeux ! Ils se sont b
65 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
149 s estimer que les objets que nous touchons de nos mains et voyons de nos yeux soient du tout plus concrets que l’acte qui con
66 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
150 un Dieu transcendant, et qui n’est point fait de main d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans l
67 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
151 même marxistes. Abdication de la pensée entre les mains du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
68 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
152 e lui-même, l’armée n’est plus une arme entre les mains des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit, s’écroule, dès
69 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
153 e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
70 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
154 un Dieu transcendant, et qui n’est point fait de main d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans l
71 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
155 même marxistes. Abdication de la pensée entre les mains du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
72 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
156 e lui-même, l’armée n’est plus une arme entre les mains des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit, s’écroule, dès
73 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
157 e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
74 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
158 le Japon, à propos du tsar, à M. Bénès ; des deux mains , des quatre pattes, les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d
159 nt qui se retourne ne devient pas pour si peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un pa
75 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
160 mence aux mêmes points, plus avant. Fermeté de la main , regard sévère qui ne consent à la tendresse qu’après avoir épuisé se
76 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
161 carpée et difficile, nous tenant fortement par la main . Nous sommes entourés d’ennemis de toutes parts et il nous faut march
162 sommes pas un groupe d’agitateurs ou d’hommes de main au service d’un idéal mythique et vaguement défini. Nous voulons être
77 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
163 le plus parfait du clerc déraciné, du clerc sans mains , ou aux mains folles, du désorienté excité. Il apparaît alors comme l
164 it du clerc déraciné, du clerc sans mains, ou aux mains folles, du désorienté excité. Il apparaît alors comme le héros du mon
165 u monde « bourgeois », au monde de la pensée sans mains , et des mains privées de pensée ? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. N
166 geois », au monde de la pensée sans mains, et des mains privées de pensée ? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. Nietzsche non p
78 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
167 ternelle. Un des jeunes étudiants avait repris en main le « monument » du professeur Monod, et s’amusait à lire à ses voisin
79 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
168 lait avoir été conçu pour demeurer à portée de la main , dans les limites où le pouvoir d’une vocation peut s’exercer. Je voy
80 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
169 -Baptiste de la Crucifixion de Grünewald, dont la main prodigieuse se détachant sur le ciel noir désigne le Sauveur en croix
81 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
170 cuisine à genoux ; à l’aide d’une petite brosse à mains , vous frottez les vieilles planches pourries. C’est cette vision de v
171 ncher vous brossez tout ce qui vous tombe sous la main et vous lavez des choses toute la journée. À cinq heures nous allons
82 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
172 istingué » à l’homme qui ne fait rien de ses deux mains . Ce que je reproche à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équ
173 r à sa lourdeur. Décréter que l’esprit n’a pas de mains , c’est libérer de son pouvoir arbitral et animateur le domaine de l’a
174 de ses passions ! Pour sa part, il s’en lave les mains . Pilate fut le premier clerc parfait : le juge refusant de juger. On
175 ale. Elle vise en fait à justifier le lavement de mains de Pilate. « Pilate voyant que le tumulte augmentait, prit de l’eau,
176 le tumulte augmentait, prit de l’eau, se lava les mains en présence de la foule et dit : Je suis innocent du sang de ce juste
177 la sagesse des grands docteurs qui se lavent les mains avec tant d’élégance, — et l’abandonnent libéralement à sa passion ?
178 her longtemps l’universel complot des « hommes de main  ». VIII. Où peut agir l’esprit ? Commettra-t-on ce Palais de l’
179 qui s’est fait, et un temps pour saisir à pleines mains les instruments de construction, qui sont aussi ceux des démolitions
180 on gouvernement) s’opérera sans qu’il y mette les mains . Par malheur, le droit dont il se targue ne comportant aucune espèce
181 bdiquant tous ses privilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n’est pas i
83 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
182 vantage sans prix d’avoir toujours à portée de la main le critère dernier de toute « formulation chrétienne », les évangiles
84 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
183 né en Personne ; 5° si le clerc qui s’en lave les mains ne risque pas de faire le jeu des clercs qui crient avec les loups, e
85 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
184 sement immédiat du niveau des maisons passées aux mains des Messageries. La loi des gros chiffres, imposée par ce trust, est
86 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
185 rise, saisissement. L’esprit se manifeste dans la main qui réalise une vision. Et dans le visage qui conditionne le regard,
186 us direct qu’ait jamais consenti Ramuz (c’est Une Main ) je lis ceci : « Certains hommes tiennent pour un gain tout ce qui le
87 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
187 n’est pas l’esprit pur d’une élite qui laisse les mains libres aux affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spirituel, au
188 disparaît, l’armée n’est plus une arme entre les mains déficientes du chef. Car les insignes du pouvoir n’ont aucune force d
88 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
189 gence, à chaud et nous y avons porté le fer d’une main assurée. Vos critiques ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tienne
89 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
190  : pour réussir à concentrer l’économie entre les mains de l’État, il faut l’appui d’une mystique qui paralyse les éléments d
90 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
191 tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre nos mains , nos problèmes se déforment au hasard, chacun joue sa partie comme il
91 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
192 re le parler et le faire, — entre la pensée et la main . Cependant que l’effort d’un Claudel, restituant à chaque mot son sen
193 se connaît donc à son pas et à l’extension de ses mains , à la facilité plus ou moindre grande qu’il éprouve à se servir des i
194 ième jour de sa Semaine, Du Bartas parlant de ses mains les appelle, assez curieusement, d’abord : « Singes de l’Éternel » et
92 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
195 chique, et de « totaliser » le pouvoir dans leurs mains pour mieux lutter contre l’étranger. Hitler de même sent la nécessité
93 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
196 ste sa présence, et dans le mot manifester il y a main . L’esprit n’est vrai que dans son acte, que nos clercs qualifient d’a
197 l’amour du prochain est un acte, c’est-à-dire une main tendue, non pas un sentiment drapé, non pas un idéal qui passe sur le
198 portez-moi de quoi écrire et de quoi me laver les mains . Voilà nos clercs. C’est pour avoir refusé de s’abaisser à hauteur d’
94 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
199 t le pouvoir, parce qu’elle vit du travail de ses mains . La mentalité de cette classe implique en outre une exigence morale,
200 inte d’abord au pastel. Or la différence entre la main ouvrière et la main non ouvrière a depuis toujours été un des symbole
201 el. Or la différence entre la main ouvrière et la main non ouvrière a depuis toujours été un des symboles les plus usités de
202 née de l’union du travail et de la culture, de la main ouvrière et de la pensée. Elle garde la culture et rabaisse le travai
95 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
203 ons… La raison cesse d’être l’outil manié par des mains ouvrières au service d’une passion aventureuse, comme c’était le cas
204 : raison d’État. Police-Propagande-État, voilà la main , voilà le cerveau, voilà le nom du dieu-tyran que l’orgueilleuse rais
96 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
205 contre lui, pour suivre les faux dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». Mon peuple consulte son
206 puissances de la nature et de la société dans les mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un but auquel il déd
97 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
207 maine. « Les écrivains apostoliques ont entre les mains les premières affaires du monde30. » Or on les a choisis pour leur se
208 verbial : « Voilà un écrit qui a des pieds et des mains  !33 » 23. Toute mesure vraie doit être « universelle » dans le temp
98 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
209 tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre nos mains , nos problèmes se déplacent au hasard, chacun joue sa partie comme il
99 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
210 t à la culture, une fois le pouvoir politique aux mains du chef ? Je voudrais esquisser ici, sans tenir compte de l’opinion q
211 tion d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organiquement inséparables… (Attitude que j’essaierai de
100 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
212 ence, à chaud, et nous y avons porté le fer d’une main assurée. Vos critiques ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tienne