1
et nous tend les premiers qui lui tombent sous la
main
: le sport et la morale romaine. Dans sa hâte salvatrice, M. de Month
2
laurier. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La
main
connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule da
3
’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la
main
dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le talonnage
4
it chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une
main
sur l’épaule de Janson, et de l’autre dessinant dans l’air des phrase
5
La mode qu’on rie des pleurs, Lors je baise votre
main
Comme on signe d’un faux nom. c. « Billets aigres-doux », Revue d
6
ure, car enfin, elle est déesse. Mais entre leurs
mains
qu’est-elle devenue ? C’est bien leur faute si elle nous apparaît auj
7
énétra dans le salon de la duchesse, lui baisa la
main
et l’abattit d’un coup de revolver. Puis s’en fut avec un tact exquis
8
Marquis Salomon le danseur triste baisa cette
main
cruelle… et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes
9
, aux yeux clairs et assurés, le cou robuste, les
mains
d’un si beau dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur, tout cela co
10
llai. Je ne trouvai que 100 francs dans son sac à
main
: c’était assez pour me permettre d’entreprendre quelques beaux vols…
11
peu sur la laisse, que j’éprouve la fermeté de ma
main
. Je vous tiens. Je sais où vous êtes. Vous n’allez pas me surprendre
12
ieu au lecteur (juillet 1927)q Nous passons la
main
au central de Genève, fidèles à la tradition — en ceci au moins. Nous
13
homme avait posé son journal. Soudain, portant la
main
à son gilet, il en retira trois dés qu’il jeta sur la table. Les yeux
14
usion d’un hasard qui opère au commandement de la
main
. Ce soir-là, une confiance me possédait, telle que je savais très cla
15
per, je m’abats sur mon lit, les cheveux dans les
mains
. Et je voudrais pouvoir pleurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, s
16
’une créature aussi parfaite soit touchée par les
mains
outrageusement baguées de ces courtiers alourdis de “Knödl”. En Orien
17
e saison morte au tombeau des fleurs obscures les
mains
de l’absence se ferment sur le vide Tu pleurerais Mais la grâce es
18
i consent… Ailleurs Colombes lumineuses des
mains
de mon amour écloses voyageuses ah ! que d’aucun retour vous ne laiss
19
ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la
main
. L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
20
! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les
mains
sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dans le dos, amen
21
ernels, ou bien ces promenades en tenant la forte
main
du père qui fait de longs pas réguliers… L’École, dans ce concert de
22
lité. Ils ne renferment rien qui soit de première
main
, rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particularités,
23
en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la
main
, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tou
24
un troisième lèvera la main, et dira : je lève la
main
, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la
25
es, avec la frousse que ça ne leur éclate dans la
main
. 15. Cf. ce que dit Tolstoï sur cette haine et sur ce besoin dans se
26
! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les
mains
sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dans le dos, amen
27
s, ou bien dans ces promenades en tenant la forte
main
du père qui fait de longs pas réguliers… L’École, dans ce concert de
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lité. Ils ne renferment rien qui soit de première
main
, rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particularités,
29
en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la
main
, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tou
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un troisième lèvera la main, et dira : je lève la
main
, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la
31
es, avec la frousse que ça ne leur éclate dans la
main
. 15. Cf. ce que dit Tolstoï sur cette haine et ce besoin dans ses Ar
32
es chamois ». On s’émerveille de le voir, dans sa
main
rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes d
33
qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les
mains
au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute
34
battent doucement écoute-les. IV Tends moi la
main
à travers cette ombre rapide si je te joins nous la tiendrons captive
35
ur du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes
mains
des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Mainten
36
e saison morte au tombeau des fleurs obscures les
mains
de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais mais la grâce est f
37
che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la
main
n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
38
face des bouffons qui plongent invariablement les
mains
dans leurs vastes poches insulaires pour m’informer de cette irrécusa
39
ois frapper le sol du talon en levant un bras, la
main
à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
40
; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
main
; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les
41
ir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses
mains
sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
42
inverse ; frapper des talons toujours plus vite,
mains
à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
43
des talons toujours plus vite, mains à la nuque,
mains
à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
44
s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche,
mains
à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
45
— elles ont des mouvements vifs du buste, et des
mains
pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
46
la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les
mains
vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
47
j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la
main
. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
48
tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des
mains
, — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
49
flexion impartiale et d’une description, plume en
main
, des mobiles personnels, affectifs, voire religieux, qui sont à l’ori
50
admirablement habile qu’on vote l’acquittement à
main
levée, sans examen des preuves. Non seulement Gide a presque toujours
51
par la foi ; mais d’autre part nous prêtions des
mains
complices à des œuvres qui relevaient de conceptions nettement a-chré
52
faire par nous-mêmes le bien, dans l’abandon aux
mains
de Dieu, — aux violentes mains de Dieu. Un cantique nouveau Nou
53
dans l’abandon aux mains de Dieu, — aux violentes
mains
de Dieu. Un cantique nouveau Nous voici loin de nos auteurs. Si
54
tuelle — dont l’avènement historique est dans nos
mains
. On nous a menés à ce point — il n’est question de s’en réjouir ni de
55
e chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la
main
— trahisse son immanente puissance. On voudrait dire — mais ce n’est
56
ur, nous poussent vers les êtres et guident notre
main
. Par eux s’incarne la pensée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car
57
rage avec laquelle il se rabat sur le travail « à
mains
», rage de revanche, par son excès même est encore une évasion hors d
58
raverse dans les clous ». 16. « La ménagère aux
mains
cuites qui raccommode ses chaussures, le casque aux cheveux, tête far
59
s tenir des théories effarantes sur la violence à
main
armée, sur la nécessité de fusiller les trois quarts du genre humain,
60
té pure », du salut par la foi, par l’abandon aux
mains
du Dieu vivant. En face de philosophes qui se moquent des hommes et n
61
même marxistes. Abdication de la pensée entre les
mains
du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
62
’une créature aussi parfaite soit touchée par les
mains
outrageusement baguées de ces courtiers alourdis de « Knödl ». En Ori
63
accent profond et nasillard d’origine juive ; une
main
pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure
64
te referme son livre, plie ses lunettes, baise la
main
de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans l
65
ure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une
main
de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont to
66
u rêve, oh ! je les hais de me voir ! Je tiens la
main
d’une femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’
67
ntes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa
main
, — ho ! qui l’a retirée des miennes ? … Sans se retourner, avec cette
68
che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la
main
n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
69
face des bouffons qui plongent invariablement les
mains
dans leurs vastes poches insulaires pour m’informer de cette irrécusa
70
ois frapper le sol du talon en levant un bras, la
main
à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
71
; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
main
; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les
72
ir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses
mains
sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
73
inverse ; frapper des talons toujours plus vite,
mains
à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
74
des talons toujours plus vite, mains à la nuque,
mains
à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
75
s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche,
mains
à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
76
— elles ont des mouvements vifs du buste, et des
mains
pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
77
la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les
mains
vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
78
j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la
main
. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
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tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des
mains
, — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
80
ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la
main
. L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
81
raignée luisent et des brindilles tombent sur mes
mains
, écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde
82
ront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes
mains
, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je
83
ical. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos
mains
ne s’étaient point touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la
84
t je l’accueillis dans mes bras. Elle rêvait, ses
mains
étaient très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
85
ur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses
mains
, et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est inno
86
accent profond et nasillard d’origine juive ; une
main
pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure
87
te referme son livre, plie ses lunettes, baise la
main
de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans l
88
ure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une
main
de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont to
89
u rêve, oh ! je les hais de me voir ! Je tiens la
main
d’une femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’
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ntes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa
main
, — ho ! qui l’a retirée des miennes ? … Sans se retourner, avec cette
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che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la
main
n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
92
ois frapper le sol du talon en levant un bras, la
main
à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
93
; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
main
; saisir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses mains sur les
94
sir la danseuse sous le bras (elle pose alors ses
mains
sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
95
inverse ; frapper des talons toujours plus vite,
mains
à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
96
des talons toujours plus vite, mains à la nuque,
mains
à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
97
s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche,
mains
à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
98
—, elles ont des mouvements vifs du buste, et des
mains
pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
99
la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les
mains
vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
100
J’attends quelqu’un qui vienne me prendre par la
main
. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
101
tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des
mains
, — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien
102
ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la
main
. L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
103
raignée luisent et des brindilles tombent sur mes
mains
, écorces, chenilles. Une bouffée de pipe enveloppe une guêpe qui rôde
104
ront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes
mains
, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient toute sèche et je
105
ical. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos
mains
ne s’étaient pas touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la j
106
t je l’accueillis dans mes bras. Elle rêvait, ses
mains
étaient très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
107
ur eux les cottes d’orties qu’elle tissait de ses
mains
, et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est inno
108
Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de
main
d’homme, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiqu
109
ule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une
main
sur la gorge opulente, vint de Béziers au temps des dragonnades. Parm
110
entit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la
main
au tronc d’un pin. Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du
111
respect, ou quelque obscure sagesse ont retenu ma
main
, je me dis : c’est encore un petit lièvre ! et poursuis mon chemin pl
112
de puissance continuellement disponible entre nos
mains
incertaines, et que nous pourrions appliquer — oh ! avec quelle humil
113
Une
main
, par C. F. Ramuz (juin 1933)l Qu’on ait pris Ramuz pour un « régio
114
du pittoresque. Aucune de ses œuvres mieux qu’Une
Main
n’en convaincra. On y sent, plus directe qu’ailleurs, sa pensée ; on
115
examen de conscience. S’il s’interroge, dans Une
Main
, c’est plutôt un examen de son corps. Examen forcé d’ailleurs, interr
116
ommes de peu de poids, facilement entraînés. Une
Main
nous donne ainsi l’analyse élémentaire d’un des phénomènes les plus i
117
er de son pouvoir créateur. C’est le priver de sa
main
, — ou asservir cette main. Est-ce que ma main n’a pas sa vocation ? E
118
. C’est le priver de sa main, — ou asservir cette
main
. Est-ce que ma main n’a pas sa vocation ? Est-ce qu’elle n’a rien de
119
sa main, — ou asservir cette main. Est-ce que ma
main
n’a pas sa vocation ? Est-ce qu’elle n’a rien de mieux à faire que de
120
aire le poing avec cent-mille autres ? Cent-mille
mains
saluent le tyran, une main crée. Le temps est peut-être venu de pense
121
e autres ? Cent-mille mains saluent le tyran, une
main
crée. Le temps est peut-être venu de penser avec ses mains. 26. « J
122
e. Le temps est peut-être venu de penser avec ses
mains
. 26. « J’aime que les choses vous résistent et vous contredisent, c
123
açon, tandis que je suis à la mienne. » l. « Une
main
, par C. F. Ramuz (Grasset) », La Nouvelle Revue française, Paris, n°
124
e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des
mains
créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
125
e défaut, l’armée ne sera plus une arme entre ses
mains
déficientes. On pourra peut-être payer encore la troupe : on n’osera
126
par les événements qu’ils subissent, passeront la
main
aux pouvoirs agissants. VIII. — La révolution spirituelle est non s
127
à plusieurs reprises la théologie à cette étrange
main
de Jean Baptiste dans la Crucifixion de Grünewald, cette main énorme
128
Baptiste dans la Crucifixion de Grünewald, cette
main
énorme qui désigne le Christ en croix. La théologie n’est pas la paro
129
mands, fraction de l’hitlérisme qui prétend faire
main
basse sur les églises et utiliser la religion aux fins de la renaissa
130
ymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à la
main
. Voici quelques notes rapidement rédigées dans les marges. M. Reymond
131
Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma
main
, à portée de mes yeux, à portée d’imagination, peu importe, pourvu qu
132
s visible ni concret, échappe aux prises de leurs
mains
. Pour chacun d’eux, le tu es devenu le nous, c’est-à-dire a cessé d’ê
133
esprit d’une part, et d’autre part la prise de la
main
, la puissance de bouleversement concret. Il semblait que Dandieu inca
134
né, mais une rudesse puissante sur le front ; des
mains
fines à la poignée ferme. On ne saurait trop insister sur la portée d
135
ntraîner sa mort, à 36 ans, il avait ajouté de sa
main
, sur les épreuves de son dernier ouvrage, une conclusion qui nous app
136
aussi que son œuvre se poursuivrait par d’autres
mains
, sur cette « terre décisive ». 12. Ce qu’il y a de plus profond dan
137
’il allait au-devant de ces voix, sans armes, les
mains
nues, au risque de sa vie, peut-être alors le secret du grand Pan s’o
138
homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)o Après Une
Main
, confession réticente, d’une discrétion presque farouche, et dans la
139
ne histoire dont le personnage principal est « la
main
du Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action a
140
citer ici la page finale que Dandieu ajouta de sa
main
, sur épreuves, quelques jours avant sa mort. Aussi telle page sur Kre
141
est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la
main
sur Caïus Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre femmes, d
142
Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de
mains
, mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il p
143
s, mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux
mains
, et lorsqu’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non
144
la règle, deux mains, et lorsqu’il porte ces deux
mains
sur Marius, ce sont ses mains, non celles de son voisin et non celles
145
u’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses
mains
, non celles de son voisin et non celles de la foule qui n’a pas de ma
146
n voisin et non celles de la foule qui n’a pas de
mains
. » Tout seul en face du Christ, un homme oserait-il s’avancer et crac
147
ne histoire dont le personnage principal est « la
main
du Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action a
148
mon front de la poussière. Ils ont mis leur douce
main
sous mon menton. Ils m’ont dit : — Fais voir tes yeux ! Ils se sont b
149
s estimer que les objets que nous touchons de nos
mains
et voyons de nos yeux soient du tout plus concrets que l’acte qui con
150
un Dieu transcendant, et qui n’est point fait de
main
d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans l
151
même marxistes. Abdication de la pensée entre les
mains
du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
152
e lui-même, l’armée n’est plus une arme entre les
mains
des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit, s’écroule, dès
153
e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des
mains
créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
154
un Dieu transcendant, et qui n’est point fait de
main
d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans l
155
même marxistes. Abdication de la pensée entre les
mains
du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être conduit par la pens
156
e lui-même, l’armée n’est plus une arme entre les
mains
des gouvernants. Tout régime, si bien armé qu’il soit, s’écroule, dès
157
e l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des
mains
créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir,
158
le Japon, à propos du tsar, à M. Bénès ; des deux
mains
, des quatre pattes, les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d
159
nt qui se retourne ne devient pas pour si peu une
main
vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un pa
160
mence aux mêmes points, plus avant. Fermeté de la
main
, regard sévère qui ne consent à la tendresse qu’après avoir épuisé se
161
carpée et difficile, nous tenant fortement par la
main
. Nous sommes entourés d’ennemis de toutes parts et il nous faut march
162
sommes pas un groupe d’agitateurs ou d’hommes de
main
au service d’un idéal mythique et vaguement défini. Nous voulons être
163
le plus parfait du clerc déraciné, du clerc sans
mains
, ou aux mains folles, du désorienté excité. Il apparaît alors comme l
164
it du clerc déraciné, du clerc sans mains, ou aux
mains
folles, du désorienté excité. Il apparaît alors comme le héros du mon
165
u monde « bourgeois », au monde de la pensée sans
mains
, et des mains privées de pensée ? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. N
166
geois », au monde de la pensée sans mains, et des
mains
privées de pensée ? ⁂ Je ne cherche pas à être juste. Nietzsche non p
167
ternelle. Un des jeunes étudiants avait repris en
main
le « monument » du professeur Monod, et s’amusait à lire à ses voisin
168
lait avoir été conçu pour demeurer à portée de la
main
, dans les limites où le pouvoir d’une vocation peut s’exercer. Je voy
169
-Baptiste de la Crucifixion de Grünewald, dont la
main
prodigieuse se détachant sur le ciel noir désigne le Sauveur en croix
170
cuisine à genoux ; à l’aide d’une petite brosse à
mains
, vous frottez les vieilles planches pourries. C’est cette vision de v
171
ncher vous brossez tout ce qui vous tombe sous la
main
et vous lavez des choses toute la journée. À cinq heures nous allons
172
istingué » à l’homme qui ne fait rien de ses deux
mains
. Ce que je reproche à l’esprit cartésien, c’est d’avoir formulé l’équ
173
r à sa lourdeur. Décréter que l’esprit n’a pas de
mains
, c’est libérer de son pouvoir arbitral et animateur le domaine de l’a
174
de ses passions ! Pour sa part, il s’en lave les
mains
. Pilate fut le premier clerc parfait : le juge refusant de juger. On
175
ale. Elle vise en fait à justifier le lavement de
mains
de Pilate. « Pilate voyant que le tumulte augmentait, prit de l’eau,
176
le tumulte augmentait, prit de l’eau, se lava les
mains
en présence de la foule et dit : Je suis innocent du sang de ce juste
177
la sagesse des grands docteurs qui se lavent les
mains
avec tant d’élégance, — et l’abandonnent libéralement à sa passion ?
178
her longtemps l’universel complot des « hommes de
main
». VIII. Où peut agir l’esprit ? Commettra-t-on ce Palais de l’
179
qui s’est fait, et un temps pour saisir à pleines
mains
les instruments de construction, qui sont aussi ceux des démolitions
180
on gouvernement) s’opérera sans qu’il y mette les
mains
. Par malheur, le droit dont il se targue ne comportant aucune espèce
181
bdiquant tous ses privilèges pêle-mêle, entre les
mains
du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n’est pas i
182
vantage sans prix d’avoir toujours à portée de la
main
le critère dernier de toute « formulation chrétienne », les évangiles
183
né en Personne ; 5° si le clerc qui s’en lave les
mains
ne risque pas de faire le jeu des clercs qui crient avec les loups, e
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sement immédiat du niveau des maisons passées aux
mains
des Messageries. La loi des gros chiffres, imposée par ce trust, est
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rise, saisissement. L’esprit se manifeste dans la
main
qui réalise une vision. Et dans le visage qui conditionne le regard,
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us direct qu’ait jamais consenti Ramuz (c’est Une
Main
) je lis ceci : « Certains hommes tiennent pour un gain tout ce qui le
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n’est pas l’esprit pur d’une élite qui laisse les
mains
libres aux affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spirituel, au
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disparaît, l’armée n’est plus une arme entre les
mains
déficientes du chef. Car les insignes du pouvoir n’ont aucune force d
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gence, à chaud et nous y avons porté le fer d’une
main
assurée. Vos critiques ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tienne
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: pour réussir à concentrer l’économie entre les
mains
de l’État, il faut l’appui d’une mystique qui paralyse les éléments d
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tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre nos
mains
, nos problèmes se déforment au hasard, chacun joue sa partie comme il
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re le parler et le faire, — entre la pensée et la
main
. Cependant que l’effort d’un Claudel, restituant à chaque mot son sen
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se connaît donc à son pas et à l’extension de ses
mains
, à la facilité plus ou moindre grande qu’il éprouve à se servir des i
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ième jour de sa Semaine, Du Bartas parlant de ses
mains
les appelle, assez curieusement, d’abord : « Singes de l’Éternel » et
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chique, et de « totaliser » le pouvoir dans leurs
mains
pour mieux lutter contre l’étranger. Hitler de même sent la nécessité
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ste sa présence, et dans le mot manifester il y a
main
. L’esprit n’est vrai que dans son acte, que nos clercs qualifient d’a
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l’amour du prochain est un acte, c’est-à-dire une
main
tendue, non pas un sentiment drapé, non pas un idéal qui passe sur le
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portez-moi de quoi écrire et de quoi me laver les
mains
. Voilà nos clercs. C’est pour avoir refusé de s’abaisser à hauteur d’
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t le pouvoir, parce qu’elle vit du travail de ses
mains
. La mentalité de cette classe implique en outre une exigence morale,
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inte d’abord au pastel. Or la différence entre la
main
ouvrière et la main non ouvrière a depuis toujours été un des symbole
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el. Or la différence entre la main ouvrière et la
main
non ouvrière a depuis toujours été un des symboles les plus usités de
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née de l’union du travail et de la culture, de la
main
ouvrière et de la pensée. Elle garde la culture et rabaisse le travai
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ons… La raison cesse d’être l’outil manié par des
mains
ouvrières au service d’une passion aventureuse, comme c’était le cas
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: raison d’État. Police-Propagande-État, voilà la
main
, voilà le cerveau, voilà le nom du dieu-tyran que l’orgueilleuse rais
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contre lui, pour suivre les faux dieux « faits de
main
d’homme », les « idoles de leur invention ». Mon peuple consulte son
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puissances de la nature et de la société dans les
mains
de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un but auquel il déd
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maine. « Les écrivains apostoliques ont entre les
mains
les premières affaires du monde30. » Or on les a choisis pour leur se
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verbial : « Voilà un écrit qui a des pieds et des
mains
!33 » 23. Toute mesure vraie doit être « universelle » dans le temp
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tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre nos
mains
, nos problèmes se déplacent au hasard, chacun joue sa partie comme il
210
t à la culture, une fois le pouvoir politique aux
mains
du chef ? Je voudrais esquisser ici, sans tenir compte de l’opinion q
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tion d’une attitude centrale d’où la pensée et la
main
apparaissent organiquement inséparables… (Attitude que j’essaierai de
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ence, à chaud, et nous y avons porté le fer d’une
main
assurée. Vos critiques ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tienne