1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
1 ture d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la maison paraît s’être un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le t
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 te à la voix grave qu’on appelle un père dans les maisons . » Comme Valéry, ce poète sait « des complicités étranges pour assemb
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 pposent avec hostilité. Dans l’intérieur des deux maisons pourtant se débattent les mêmes brouilles de famille entre Art et Mor
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
4 immenses livrées au 100 à l’heure des autos. Les maisons habitées ne sont plus que des enceintes transparentes, et minces en r
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 ance plus intime de certaine tristesse. Seule une maison blanche est arrêtée tout près de l’eau. Mais ce n’est pas d’elle que
6 nue comme une envie de sommeil. Une lampe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit. Nous nous sommes retournés vers
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 encore sa femme, « mais comme on aime une petite maison de province quand on a failli hériter de Chenonceaux ». Peu à peu l’i
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
8 vu par les poursuivants, arbres au ciel renversé, maisons obliques, montagnes russes. (J’ai regretté que René Clair ne nous don
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
9 aussi. À Marin, près Neuchâtel, dans cette petite maison qu’on reconnaissait entre trente pareilles, aux cactus qui ornaient l
9 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
10 du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correction se jetaient sur ces volumes « au travers desquels ils r
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
11 ndre que les sources de la poésie sont dans notre maison . Voici un de ces passages où il sait être, avec sa verve doucement co
11 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
12 boulevards comme une nuée d’insectes affolés. Les maisons sont basses, couvertes du haut en bas d’affiches rouges et jaunes et
13 uge et jaune aussi). Soudain se dresse une énorme maison de pierre brune, puis une banque en style hongrois, façade aux grande
12 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
14 oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison de Madame Gontard12, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car
15 escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la maison , en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
16 ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
17 e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons . Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
18 et seulement de 2 à 4… Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
19 urer. Quel dommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des grands bourgeois, où tout, soudain, devient plus terne. Mais bien
14 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
20 eusait et défonçait, or on lui avait commandé une maison . Nos trois compères se moquaient fort. Le journaliste expliquait qu’o
21 ol. Le jeanfoutre trouvait qu’il y a déjà tant de maisons . Cependant le maçon continuait de construire, et quand les fondations
15 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
22 temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des Ogres est au 53 rue de Rennes ; je ne vous le confie pas sans un
23 rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
24 ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. 2. La recher
25 de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
26 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
27 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large
28 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
29 st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
30 aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
31 noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
32 es. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre maison on nous croyait peut-être enfermés dans un moralisme étriqué, ennuyeu
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
33 s à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosoph
34 ccès de désespoir, il tente de mettre le feu à sa maison . Il s’enfuit, et s’engage comme manœuvre dans les docks. La mort de s
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
35 ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. ii La Reche
36 de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
37 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
38 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
39 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
40 st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
41 aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
42 noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
43 oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison de Mme Gontard15, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
44 escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la maison , en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
45 ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
46 e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons . Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
47 et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
22 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
48 e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
49 s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une maison jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
50 ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir
51 is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées où je ne l’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
52 e après ma mort, tant que je serai encore dans la maison , et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
53 t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la maison , je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
54 ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui dét
55 gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
56 rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
57 e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
23 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
58 des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
59 it confort d’abord dit refus de tout style. Cette maison qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueus
24 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
60 temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des Ogres est au 53, rue de Rennes ; je ne vous le confie pas sans un
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
61 ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. La recherche
62 de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
63 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
64 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
65 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
66 st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
67 aux sables de la plaine de Hortobágy, aux longues maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
68 noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
69 des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
70 it confort d’abord dit refus de tout style. Cette maison qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueus
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
71 oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison de Mme Gontard14, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
72 escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la maison , en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
73 ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
74 e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons . Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
75 et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
76 e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
77 s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une maison jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
78 ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais sait-on d’où il peut en sortir encor
79 is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées où je ne l’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
80 e après ma mort, tant que je serai encore dans la maison , et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
81 t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la maison , je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
82 ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui dét
83 gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
84 rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
85 e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
86 ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
87 uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons , les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
88 bon choix, accumulés depuis des siècles dans les maisons publiques et privées ; pour tant de livres publiés, aussi, n’a rien p
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
89 udrait cette aventure, ma rentrée triomphale à la maison . (Faut-il avouer que je la regrette encore ?) Mais je restais là sans
32 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
90 ntaire », mauvais roman… Autre signe : les jeunes maisons , fondées depuis deux ans, se spécialisent de plus en plus dans la pub
33 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
91 stent et vous contredisent, comme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
34 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
92 s, il n’y a qu’un moyen : c’est de leur ouvrir sa maison . D’où les confessions privées ou publiques, qui sont l’un des traits
93 nt dégénérée, écrit-il. Les banques, l’armée, les maisons de prostitution, les cabarets, les magasins de tabac, les journaux, n
35 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
94 ste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma maison , comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit cette femme. Mais la plupar
36 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
95 venirs, tout ce que symbolise l’expression « à la maison  », l’habitation des villes ne diffère pas essentiellement de celle d’
37 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
96 nt rompre ?30 Le jugement va commencer par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme e
38 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
97 nt rompre ?23 Le jugement va commencer par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme
39 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
98 un sourire ; il peut le mettre sur la face d’une maison , aux plis d’un jardin… Et encore : Je sentais que ce maître de ses
99 ’ai regardé durant un bon moment cette ville, ses maisons de campagne et ses jardins d’agrément et le large cercle de ses colli
40 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
100 vous est une occasion de triompher, ici, dans la maison de Nicodème ! Tenez, j’ai l’impression, depuis que nous nous sommes m
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
101 n et de la rentabilité du capital investi dans la maison obligent l’éditeur à n’accepter que des livres susceptibles de se ven
102 . Ils se font les agents de publicité des grandes maisons . Ils parlent du « livre dont on parle ». Et pourquoi « parle »-t-on d
103 omplaisances diverses que l’on n’accorde qu’à une maison puissante). Il faudrait, c’est l’évidence, que les chroniqueurs parle
104 e conformisme pour ainsi dire normal des vieilles maisons . Ils compensaient leur incapacité à lutter sur le plan publicitaire p
105 s besoins du public, mais d’après le budget de la maison . 2. Le déluge de livres qui en résulte oblige l’éditeur à augmenter s
106 iste pas sur l’abaissement immédiat du niveau des maisons passées aux mains des Messageries. La loi des gros chiffres, imposée
42 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
107 stent et vous contredisent, comme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
43 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
108 n la vision classique : « Cessons de regarder les maisons  : ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souviens alors de G
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
109 cte matériel qui consiste par exemple à bâtir une maison , à tirer du canon, à donner un soufflet ou à planter des choux ? Je p
45 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
110 cte matériel qui consiste par exemple à bâtir une maison , à tirer du canon, à donner un soufflet ou à planter des choux ? Je p
46 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
111 Chançay (mars 1937)aa D’abord, c’est une maison humaine (un seul étage) ou plutôt c’est deux maisons basses réunies p
112 ison humaine (un seul étage) ou plutôt c’est deux maisons basses réunies par une longue galerie, le tout accoté à une falaise d
47 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
113 rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide, une occasion de solitude désirée en secret dès longtemps. Je vo
114 ien peu pour partir : la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
115 maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison , c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
116 e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison  : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
117 t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La maison du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
118 petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, sa fem
119 basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
120 orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois maisons seulement, sur 200, ont l’eau courante. Les femmes vont avec des cruc
121 icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison , suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Madame Turc
122 s depuis longtemps avant la construction de cette maison … On n’y avait pas pensé ? Je passe au fond, dans une chambre obscure
123 s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la maison pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge 
124 ère bonnetterie, ces derniers jours. Le tiers des maisons est en ruines, — tout le centre. On croirait une ville bombardée, 230
125 nnes au culte. Dans la campagne environnante, une maison sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
126 te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
127 de crépuscule réunit les champs, les arbres, les maisons . Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
128 nit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces maisons , il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
129 nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les maisons , etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
130 935 La mort et les cérémonies dans le Gard. — La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
131 son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens —
48 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
132 t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
133 . 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
134 … — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la maison , sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
135 t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre maison qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
136 plus lavé la vaisselle. Mais ce n’est pas la même maison . — Je ne comprends pas. Madame Calixte. Pourquoi ne peut-on pas laver
137 s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la maison  ? II faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
138 nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les maisons vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
139 La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
140 n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
141 ette fait entendre un long cri presque humain. La maison la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
49 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
142 mettre en boule dans la plate-bande qui borde la maison , sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
143 urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison , j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
144 dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses maisons mettent les seules verticales. Existence ramenée à ces deux dimension
145 vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des maisons sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
50 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
146 rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
147 ien peu pour partir : la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
148 s ce jardin de curé, qui a juste la largeur de la maison . On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
149 eaux, et parfois traversé par un nuage rapide. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
150 sa symétrie architecturale. Il domine toutes les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
151 De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
152 i est une vieille amie des propriétaires de notre maison , est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
153 igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison , plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourm
51 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
154 és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison . On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
155 s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
156 sa symétrie architecturale. Il domine toutes les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
157 De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
158 mettre en boule dans la plate-bande qui borde la maison , sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
52 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
159 nder autour de moi si l’on ne connaissait pas une maison vide quelque part… On me la trouva bien vite : au bout du monde, dans
160 L’année suivante, ce fut le Midi : là encore une maison abandonnée qu’on nous prêtait. Il y en a comme cela des centaines, de
53 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
161 le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
162 des fragments de silhouettes d’arbres devant les maisons . La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
163 des bouleversements que nous avons infligés à la maison . Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
54 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
164 omme il ne s’agit là que du catalogue d’une seule maison , on ne saurait tirer de ces chiffres aucune conclusion définitive sur
165 estent les lecteurs allemands. Il existe d’autres maisons d’édition qui se spécialisent dans la littérature pure, et chez lesqu
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
166 traversons de longs villages blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait
167 vers l’ouest. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets
168 leu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une maison simplette, telle qu’en dessinent les enfants, joli rectangle clair po
169 rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
170 ien peu pour partir : la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
171 és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison . On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
172 s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
173 sa symétrie architecturale. Il domine toutes les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
174 De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
175 i est une vieille amie des propriétaires de notre maison , est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
176 mettre en boule dans la plate-bande qui borde la maison , sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
177 urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison , j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
178 ’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, et il était trop ta
179 ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison . Nous avons trouvé des noix et bu un verre de vin, à la lueur d’une b
180 dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses maisons mettent les seules verticales. Existence ramenée à ses deux dimension
181 vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des maisons sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
182 igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi
183 au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à
184 un an bientôt que j’ai quitté Paris pour notre «  Maison du berger ». Voici un an que je dors bien, que je travaille sans fièv
57 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
185 maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison , c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
186 e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison  : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
187 t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La maison du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
188 petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, « Fern
189 asset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
190 orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois maisons seulement, sur deux-cents, ont l’eau courante. Les femmes vont avec d
191 icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison , suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Mme Turc. E
192 sortant que pour les bricolages habituels dans la maison . Ce matin quelqu’un sonne. Un grand jeune homme crépu se présente : i
193 s depuis longtemps avant la construction de cette maison … Je passe au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre
194 s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la maison pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge 
195 ière bonneterie, ces derniers jours. Le tiers des maisons est en ruines, — tout le centre. On croirait une ville bombardée. 230
196 nnes au culte. Dans la campagne environnante, une maison sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
197 te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
198 de crépuscule roussit les champs, les arbres, les maisons . Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
199 sit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces maisons , il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
200 nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les maisons , etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
201 té rugueuse ». 8 janvier 1935 Accueil de la maison  : le courrier passé sous la porte nageait dans une flaque d’eau de pl
202 de son amour pour les feux qui prennent mal, les maisons trop grandes…) 12 janvier 1935 Ces cochons-là ! — Simard le ja
203 t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
204 r une espèce de malade qu’on a relégué dans cette maison perdue, faute de savoir comment le soigner. Un bourgeois sans fortune
205 35 La mort et les cérémonies dans le Gard. La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
206 … — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la maison , sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
207 t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre maison qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
208 s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la maison  ? Il faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
209 nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les maisons vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
210 La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
211 n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
212 ette fait entendre un long cri presque humain. La maison la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
213 son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens — 
58 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
214 jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau
59 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
215 premier lieu, comme étant les enfants aînés en la maison de Dieu. » (Commentaires, sur Rom. II, 26.) Le sort du monde, et l’on
60 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
216 le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
217 des fragments de silhouettes d’arbres devant les maisons . La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
218 des bouleversements que nous avons infligés à la maison . Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
61 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
219 p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande maison , logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
62 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
220 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers l
221 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
222 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
63 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
223 ssance page 92. L’auteur habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette
224 habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la maison , il y a un jardin ; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait
64 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
225 es avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vendre ou à louer. Sur les plus belles flotte un drapeau à croix ga
226 rtiers : un ou deux par villa seulement. Mais les maisons des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut
227 p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande maison , logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
228 es chez les Allemands. Les propriétaires de notre maison sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide que celui que leur
229 opension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur maison , à perfectionner leurs appareils ménagers. C’est un des secrets de l’
230 e guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la maison et des comptes de location. Il a coutume de descendre les escaliers e
231 ons vis-à-vis du régime, je l’emmène parfois à la maison pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ?
232 oble escalier, les pièces aux meubles rares de la maison de Goethe, plus isolée encore et plus intime dans ce temps. Le Goethe
233 doit être le discours du Führer. Personne dans la maison ne répond plus aux sonneries, et toutes les portes ont été fermées à
65 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
234 vent lieu de vie intérieure. Il me reçoit dans la maison de M. Charles Du Bos, à La Celle-Saint-Cloud, maison simple, sans aus
235 son de M. Charles Du Bos, à La Celle-Saint-Cloud, maison simple, sans austérité, tout de suite familière, où il passe l’hiver
66 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
236 t aménagé avec goût comme tout ce qui touche à la maison de la rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle verte invite aux conversatio
237 la table, imprime à notre rencontre la note de la maison . ⁂ Que dire de Denis de Rougemont ? À peine connu il y a trois ou qua
67 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
238 la garde d’un personnage qualifié dans une grande maison , la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
239 un personnage qualifié dans une grande maison, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
240 tes au moment de la puberté, donc au sortir de la maison des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
68 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
241 vaient correspondre à des symboles déterminés. La maison de verre par exemple, dans laquelle Tristan fou veut emmener Iseut, é
242 cle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la maison de verre n’est plus qu’une image émouvante née de la fantaisie poétiq
69 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
243 d’Autriche fit rechercher en 1570 dans toutes les maisons du Tyrol les livres favorables à la Réforme, afin de les brûler ; dan
70 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
244 Chœur des enfants. (Tandis qu’ils sortent de la maison .) 1. Des matines jusqu’au soir Quelle est ma chanson ? Du plus beau
245 tites filles ont pris le bébé et rentrent dans la maison .) Scène ii. Dorothée. —  Pour la première fois, Nicolas, tu r
246 —  Pour la première fois, Nicolas, tu restes à la maison au lieu d’aller aux champs. Nicolas. —  On pourra bientôt faire sa
247 ois que Dieu veut que je quitte maintenant… cette maison — et nos enfants, — et toi… Pour aller vivre seul… comme un ermite… a
248 x, et chantent jusqu’à ce qu’ils soient devant la maison . Dorothée est rentrée.) Jean. —  Ils ont bien travaillé, les gars !
249 Nicolas. —  Adieu ! (Ils courent tous dans la maison . Dorothée les suit. On les entend chanter.) Scène vii. (La nuit
250 ient. Nicolas est resté seul un instant devant la maison . Des lumières s’allument aux fenêtres. Il s’approche du bord du plan 
251 tout mon amour, tous mes devoirs sont là, dans la maison de mes ancêtres ! Où me veux-tu ? Où dois-je aller, s’il faut partir 
252  2, puis s’arrête et s’agenouille. La porte de la maison s’entr’ouvre et, dans la faible lumière qui en sort, on voit paraître
253 is que Dorothée s’est furtivement retirée vers la maison .) Scène viii. (Nicolas se relève, fait quelques pas vers la mai
254 (Nicolas se relève, fait quelques pas vers la maison .) Nicolas (sourdement, comme un gémissement). —  Dorothée. Au secou
255 olas. —  Quiconque aura quitté à cause de Dieu sa maison , ou sa femme, ou ses enfants, il recevra bien davantage dans ce siècl
256 d, nous comprendrons. (Ils disparaissent dans la maison .) Récitatif. (Le chœur chante à bouche fermée.) Dure est la peine,
257 ur d’entre nous s’en va ! Qui maintiendra dans ta maison le droit ? Qui portera le poids du sacrifice ? Père, père, où sont te
258 re. Dorothée et les enfants sont sortis devant la maison .) Chœur des enfants. Avec tous les chœurs du ciel Dans la claire
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
259 du poème est troublante. Peire Vidal énumère les maisons qui l’ont bien reçu et les régions qu’hélas ! il doit quitter pour al
260 ont des foyers connus de l’hérésie, ou même des «  maisons d’hérétiques » (sortes de couvents) ; que ces comtés sont notoirement
261 la garde d’un personnage qualifié dans une grande maison , la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
262 un personnage qualifié dans une grande maison, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
263 tes au moment de la puberté, donc au sortir de la maison des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
264 du poème est troublante. Peire Vidal énumère les maisons qui l’ont bien reçu et les régions qu’hélas il doit quitter pour alle
265 ont des foyers connus de l’hérésie, ou même des «  maisons d’hérétiques » (sortes de couvents) ; que ces comtés sont notoirement
266 la garde d’un personnage qualifié dans une grande maison , la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
267 un personnage qualifié dans une grande maison, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
268 tes au moment de la puberté, donc au sortir de la maison des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
269 vaient correspondre à des symboles déterminés. La maison de verre par exemple, dans laquelle Tristan fou veut emmener Iseut, é
270 cle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la maison de verre n’est plus qu’une image émouvante née de la fantaisie poétiq
74 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
271 n sorcier, ou d’un esprit qui rôde autour de leur maison . Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’adversaire, est devant eux
272 s de chiffres, dont la balance est favorable à ma maison . — L’exemple peut paraître caricatural. Toutefois, je le certifie exa
75 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
273 — nous entendons la TSF monologuer dans sa petite maison blanche aux volets bleus. Débarquement… fusillade… cuirassés… C’est l
76 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
274 rdu chez les braves gens, mais accueilli dans une maison de Dieu. Ce que je voudrais dire encore sur ce sujet est peut-être un
77 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
275 n sorcier, ou d’un esprit qui rôde autour de leur maison . Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’adversaire, est devant eux
276 s de chiffres, dont la balance est favorable à ma maison . L’exemple peut paraître caricatural. Toutefois, je le certifie exact
78 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
277 iasme, j’évoque Berne, avec sa force calme et ses maisons aux puissantes assises, ses ours qui furent conquis sur le duc de Mil
79 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
278 n’imagine pas en Amérique… Cherchant à louer une maison , je parcours les annonces. J’en trouve plusieurs de ce type : « Six p
80 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
279 ng village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
280 tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
281 nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons  ; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Je m’
81 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
282 st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la maison , vous supprimez à la fois toutes les questions possibles et donc tout
82 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
283 t position à quelques kilomètres de leurs propres maisons . Ils savent ce qu’ils défendent. Il n’est pas besoin de leur faire de
284 rt, ses entrées fermées par des barricades et les maisons transformées en des forteresses en miniature. Vous ouvrez la porte de
83 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
285 rielle. Et c’est probablement de ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
84 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
286 le monde comme un maniaque qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
85 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
287 la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une maison , il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
86 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
288 écemment en Illinois : des ouvriers montaient une maison préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
289 invention diabolique. « En effet, disait-il, une maison devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
290 st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la maison , vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
87 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
291 rielle. Et c’est probablement de ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
88 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
292 le monde comme un maniaque qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
89 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
293 la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une maison , il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
90 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
294 écemment en Illinois : des ouvriers montaient une maison préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
295 invention diabolique. « En effet, disait-il, une maison devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
296 st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la maison , vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
91 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
297 rielle. Et c’est probablement de ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
92 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
298 le monde comme un maniaque qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
93 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
299 la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une maison , il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
94 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
300 écemment en Illinois : des ouvriers montaient une maison préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
301 invention diabolique. « En effet, disait-il, une maison devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
302 st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la maison , vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
95 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
303 ng village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
304 tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à traverser, et l’on parvient à la grand-rue : comme elle est vide !
305 nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons  ; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Je m’
96 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
306 la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une maison , il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
97 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
307 stent et vous contredisent, comme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
98 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
308 l’action est circonscrit : c’est généralement une maison dont il semble que personne n’ait pu y entrer ni en sortir, et qui co
99 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
309 rsité des membres dans un même corps, beaucoup de maisons dans le Royaume de Dieu. Un ordre social ne peut être qualifié de chr
100 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
310 avons parlé abondamment ces derniers jours : les maisons à hélicoptères vont rétablir le nomadisme ; les grandes cités deviend