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le Midi languedocien offrirent à certaines sectes
manichéennes
un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
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us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes
manichéennes
, c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
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l comment, de la confuse combinaison de doctrines
manichéennes
et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
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sans plus de contestations possibles les origines
manichéennes
de l’hérésie. Or si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II, 2
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mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes,
manichéennes
et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
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de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et
manichéennes
montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
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le Midi languedocien offrirent à certaines sectes
manichéennes
un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
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us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes
manichéennes
, c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
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l comment, de la confuse combinaison de doctrines
manichéennes
et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
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sans plus de contestations possibles les origines
manichéennes
de l’hérésie. Or, si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II,
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mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes,
manichéennes
et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
12
nts sur le catharisme ont paru récemment : Études
manichéennes
et cathares, par Déodat Roché (1952) ; Le Catharisme, par René Nelli,
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téressés à l’étude du catharisme (voir ses Études
manichéennes
et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « l
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de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et
manichéennes
montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
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le Midi languedocien offrirent à certaines sectes
manichéennes
un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
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us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes
manichéennes
, c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
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l comment, de la confuse combinaison de doctrines
manichéennes
et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
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sans plus de contestations possibles les origines
manichéennes
de l’hérésie. Or, si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II,
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mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes,
manichéennes
et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
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s sur le catharisme ont paru depuis 1939 : Études
manichéennes
et cathares, par Déodat Roché, 1952 ; Le Catharisme, par René Nelli,
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téressés à l’étude du catharisme (voir ses Études
manichéennes
et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « l
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de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et
manichéennes
montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
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oétique se composait dans l’atmosphère des sectes
manichéennes
. Il n’est pas jusqu’aux grandes philosophies modernes, Descartes et K
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oétique se composait dans l’atmosphère des sectes
manichéennes
. Il n’est pas jusqu’aux grandes philosophies modernes, Descartes et K
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ant sous la forme anodine d’un jeu, les doctrines
manichéennes
de la secte des cathares ou albigeois, persécutée par l’inquisition.
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bourgeoises, et plus profondément des conceptions
manichéennes
introduites au xiie siècle par les troubadours et le roman de Trista
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tention commune à toutes les hérésies gnostiques,
manichéennes
ou docétistes. Plus tard, au Moyen Âge, la théorie des cycles et des
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moyen de l’âme ; — or les croyances gnostiques et
manichéennes
ne décrient pas le plaisir sexuel, et ne découragent pas la passion,
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ances de correspondre à des attitudes religieuses
manichéennes
et gnostiques, et les jugements que l’on peut porter sur lui traduise
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énéen, cathares et templiers (reprise dans Études
manichéennes
et cathares), et qui invoque les mêmes sources hermétiques, mithriaqu
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voque les mêmes sources hermétiques, mithriaques,
manichéennes
et soufistes de la légende du Graal, en y ajoutant la source cathare.
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sion secrète puis les « succès » aussi des sectes
manichéennes
, antiromaines, auxquelles l’arrière-grand-père de Guillaume IX — le V
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arie, pour les cathares, cf. Déodat Roché, Études
manichéennes
et cathares, p. 162 à 164 ; et sur leur distinction (homologue à la d
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ibet, sanghas bouddhistes, écoles zen, confréries
manichéennes
et mandéennes, et dans notre ère européenne, ordres celtes, bénédicti
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ictoriennes, et plus profondément des conceptions
manichéennes
introduites au xiie siècle par les troubadours et par le roman de Tr