1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
2 us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes , c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
3 l comment, de la confuse combinaison de doctrines manichéennes et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
4 sans plus de contestations possibles les origines manichéennes de l’hérésie. Or si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II, 2
5 mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes, manichéennes et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
6 de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et manichéennes montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
7 le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
8 us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes , c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
9 l comment, de la confuse combinaison de doctrines manichéennes et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
10 sans plus de contestations possibles les origines manichéennes de l’hérésie. Or, si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II, 
11 mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes, manichéennes et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
12 nts sur le catharisme ont paru récemment : Études manichéennes et cathares, par Déodat Roché (1952) ; Le Catharisme, par René Nelli,
13 téressés à l’étude du catharisme (voir ses Études manichéennes et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « l
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
14 de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et manichéennes montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
15 le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes un terrain spécialement favorable. Pour les développements qui suivro
16 us : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes , c’est la nature divine ou angélique de l’âme, prisonnière des formes
17 l comment, de la confuse combinaison de doctrines manichéennes et néo-platoniciennes, sur un fond de traditions celtibériques, aurai
18 sans plus de contestations possibles les origines manichéennes de l’hérésie. Or, si l’on se reporte à ce qui fut dit plus haut (II,
19 mbinaison de doctrines plus ou moins chrétiennes, manichéennes et néo-platoniciennes eût-il pu naître une rhétorique aussi précise q
20 s sur le catharisme ont paru depuis 1939 : Études manichéennes et cathares, par Déodat Roché, 1952 ; Le Catharisme, par René Nelli,
21 téressés à l’étude du catharisme (voir ses Études manichéennes et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « l
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
22 de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et manichéennes montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, surtout sur le pla
7 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
23 oétique se composait dans l’atmosphère des sectes manichéennes . Il n’est pas jusqu’aux grandes philosophies modernes, Descartes et K
8 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
24 oétique se composait dans l’atmosphère des sectes manichéennes . Il n’est pas jusqu’aux grandes philosophies modernes, Descartes et K
9 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
25 ant sous la forme anodine d’un jeu, les doctrines manichéennes de la secte des cathares ou albigeois, persécutée par l’inquisition.
10 1947, Articles divers (1946-1948). La liberté dans l’amour [Réponse à une enquête] (novembre 1947)
26 bourgeoises, et plus profondément des conceptions manichéennes introduites au xiie siècle par les troubadours et le roman de Trista
11 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
27 tention commune à toutes les hérésies gnostiques, manichéennes ou docétistes. Plus tard, au Moyen Âge, la théorie des cycles et des
12 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Pour une mythanalyse de la culture
28 moyen de l’âme ; — or les croyances gnostiques et manichéennes ne décrient pas le plaisir sexuel, et ne découragent pas la passion,
29 ances de correspondre à des attitudes religieuses manichéennes et gnostiques, et les jugements que l’on peut porter sur lui traduise
13 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
30 énéen, cathares et templiers (reprise dans Études manichéennes et cathares), et qui invoque les mêmes sources hermétiques, mithriaqu
31 voque les mêmes sources hermétiques, mithriaques, manichéennes et soufistes de la légende du Graal, en y ajoutant la source cathare.
32 sion secrète puis les « succès » aussi des sectes manichéennes , antiromaines, auxquelles l’arrière-grand-père de Guillaume IX — le V
33 arie, pour les cathares, cf. Déodat Roché, Études manichéennes et cathares, p. 162 à 164 ; et sur leur distinction (homologue à la d
14 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
34 ibet, sanghas bouddhistes, écoles zen, confréries manichéennes et mandéennes, et dans notre ère européenne, ordres celtes, bénédicti
15 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
35 ictoriennes, et plus profondément des conceptions manichéennes introduites au xiie siècle par les troubadours et par le roman de Tr