1 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
1 ande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers . À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des ringues charmante
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 Allemagne du Sud, un soir de mai. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bou
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
3 ande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers . À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des ringues charmante
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bou
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
5 ande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers . À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des mélodies charmant
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bou
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
7 ocs, s’étend la zone. Je longe l’avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruelles s’en vont dans le
8 fins, le bout de la nuit… Mais ce soir, sous les marronniers de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux.
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
9 ande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers . À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des mélodies charmant
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
10 Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bou
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
11 ocs, s’étend la zone. Je longe l’avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruelles s’en vont dans le
12 fins, le bout de la nuit… Mais ce soir, sous les marronniers de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux.
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
13 ce, au péristyle de la grande maison. L’odeur des marronniers , les gouttes le long de la balustrade de fer forgé, les longs soupirs
12 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
14 llure son fauteuil roulant, jusqu’à l’ombrage des marronniers de la terrasse. Là, Kassner recevait presque chaque jour des visiteur
13 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
15 llure son fauteuil roulant, jusqu’à l’ombrage des marronniers de la terrasse. Là, Kassner recevait presque chaque jour des visiteur