1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
1 d’en tenir… C’est ainsi que nos gloires passées, martyrs , camisards et prophètes, nous condamnent dans la mesure où elles fure
2 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
2 les plus élémentaires, — et toute l’histoire des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la foi, c’est-
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
3 monde ne pourrait permettre d’accepter, quand le martyr reçoit sa mort avec une sorte de sobriété… Le croyant seul agit, et s
4 de ce qu’elle est sans maîtres, c’est-à-dire sans martyrs pour l’enseigner. C’est au sel qu’il faut rendre sa saveur, c’est à l
5 e le martyre ? « Nous ne pouvons pas tous devenir martyrs  ! » Certes, répond Kierkegaard, mais il vaudrait mieux dire : « “Moi,
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
6 les plus élémentaires, — et toute l’histoire des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la foi, c’est-
5 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
7 les plus élémentaires, — et toute l’histoire des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la foi, c’est-
6 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
8 ssent les pages de Service public. Nos Morts, les Martyrs de la Passion française, la Bonne Nouvelle des Volontaires Nationaux,
7 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
9 tement prendre le chemin du vrai martyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la violence, il combat à l’aide de son impuis
8 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
10 cher du supplice de Jean Huss : ce que voyant, le martyr prononça : O sancta simplicitas ! Oui, réellement, il faut une sainte
9 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
11 cher du supplice de Jean Huss : ce que voyant, le martyr prononça : O sancta simplicitas ! Oui, réellement, il faut une sainte
10 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
12 n être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs , le fantôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu
11 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
13 e pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et méprisable — quand Trist
14 prisonnier d’un au-delà du jour et de la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter enc
15 t se plaise ! » 124. Sainte Thérèse : « C’est un martyr à la fois délicieux et cruel ». 125. Sainte Thérèse : « L’âme… voudr
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
16 n être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs , le fantôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu
17 ecret, et qui meurt de son secret, celui-là meurt martyr . » « L’amour ohdri » devint, jusqu’en Andalousie, le nom même de l’am
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
18 e pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et méprisable — quand Trist
19 prisonnier d’un au-delà du jour et de la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter enc
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
20 n être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs , le fantôme lumineux qui apparaît aux regards du général romain perdu
21 ecret, et qui meurt de son secret, celui-là meurt martyr . » « L’amour odrih » devint, jusqu’en Andalousie, le nom même de l’am
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
22 e pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et méprisable — quand Trist
23 prisonnier d’un au-delà du jour et de la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter enc
16 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
24 te, une peur naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de carnaval, vierge, pay
17 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
25 sse expliquait à son auditoire de paysans que les martyrs sont nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Sui
18 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
26 sse expliquait à son auditoire de paysans que les martyrs sont nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Sui
19 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
27 sse expliquait à son auditoire de paysans que les martyrs sont nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Sui
20 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
28 ant (comme écrivain). Or personne ne lit plus Les Martyrs ni Corinne, et tout le monde croit aimer La Chartreuse et Adolphe. Ma
21 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
29 tement prendre le chemin du vrai martyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la violence, il combat à l’aide de son impuis
30 le ? « Nous ne pouvons pourtant pas être tous des martyrs  ! » — Réponse de Kierkegaard : « Ne vaudrait-il pas mieux que chacun
31 implicitas » Sancta simplicitas ! prononce le martyr Jean Huss, tandis qu’il voit du haut de son bûcher une vieille femme
32 monde ne pourrait permettre d’accepter, quand le martyr reçoit sa mort avec une sorte de sobriété… Le croyant seul agit et s
33 de ce qu’elle est sans maîtres, c’est-à-dire sans martyrs pour l’enseigner. C’est au sel qu’il faut rendre sa saveur, c’est à l
22 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
34 un ascète, un grand spirituel, un fou de Dieu, un martyr , — un pécheur ! Cependant, ces Américains répètent le Credo chaque di
23 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
35 te, une peur naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de carnaval, vierge, pay
24 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
36 ne sont ni prisonniers ni libres. Le Dandy et le Martyr se comprennent mieux l’un l’autre, qu’ils ne seront jamais compris pa
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
37 e allemande, intransigeant et beau, et qui mourra martyr dix ans plus tard. Le Carnaval animait les ruelles voisines de la pla
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
38 cher du supplice de Jean Huss : ce que voyant, le martyr prononça : O sancta simplicitas ! Oui, réellement, il faut une sainte
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
39 te, une peur naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de carnaval, vierge, pay
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
40 s qui évangélisèrent votre pays affirmait que les martyrs sont nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Sui
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
41 ne sont ni prisonniers ni libres. Le Dandy et le Martyr se comprennent mieux l’un l’autre, qu’ils ne seront jamais compris pa
30 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
42 auses ou grandes actions, il n’y aurait pas eu de martyrs , ni de tyrans, ni d’adversaires de la Révolution, ni de socialisme, n
31 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
43 ant (comme écrivain). Or personne ne lit plus les Martyrs ni Corinne, et tout le monde croit aimer la Chartreuse et Adolphe. Ma
32 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
44 e et de signification : le saint, le mystique, le martyr . Tandis que le héros américain ou russe sera l’homme le plus conforme
33 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
45 un ascète, un grand spirituel, un fou de Dieu, un martyr — un pécheur ! Cependant, ces Américains répètent le Credo chaque dim
34 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
46 e et de signification : le saint, le mystique, le martyr . Tandis que le héros américain ou russe sera l’homme le plus conforme
35 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
47 t acte de piété et ce Magnificat à la mémoire des martyrs de ce siècle. Et ensuite : tout l’ensemble éblouissant de chefs-d’œuv
36 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
48 témoin de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr . Or l’évêque Mynster avait été un grand prélat, chargé de titres et d
49 est lui qui paya de sa vie. Il devint lui-même le martyr que son œuvre avait appelé. Soulignons ce titre : L’Instant. Depuis l
37 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
50 Tristan que n’importe quel fidèle endimanché aux martyrs dont le sang fut la semence de l’Église. Le contenu du mythe ne peut
38 1956, Articles divers (1951-1956). Serrer la main d’un communiste, désormais… (10 novembre 1956)
51 me de Moscou, c’est oublier la voix des écrivains martyrs qui nous appelaient de Budapest, et c’est trahir leur testament. Que
39 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
52 e les sanctions redoutées de la résurrection : le martyr qui revient, portant sa tête sous le bras ! Qu’en est-il de notre Occ
40 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
53 omme peut être plus vraie que la règle — d’où les martyrs des premiers temps du christianisme. Si, au contraire, le « sens » ap
54 ’accréditer son utopie. Si le sang de ses propres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le sang des « païens », le sang des
41 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
55 e les sanctions redoutées de la résurrection : le martyr qui revient, portant sa tête sous le bras ! Qu’en est-il de notre Occ
42 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
56 Tristan que n’importe quel fidèle endimanché aux martyrs dont le sang fut la semence de l’Église. Le contenu du mythe ne peut
43 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
57 omme peut être plus vraie que la règle — d’où les martyrs des premiers temps du christianisme. Si au contraire le « sens » appa
58 ’accréditer son utopie. Si le sang de ses propres martyrs fut la semence de l’Église, c’est le sang des « païens », le sang des
44 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
59 e pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et méprisable — quand Trist
60 prisonnier d’un au-delà du jour et de la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter enc
45 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
61 témoin de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr . Or l’évêque Mynster avait été un grand prélat, chargé de titres et d
62 est lui qui paya de sa vie. Il devint lui-même le martyr que son œuvre avait appelé. Soulignons ce titre : L’Instant. Depuis l
46 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
63 e pure, le prisonnier des apparences du monde, le martyr de la sensation de plus en plus décevante et méprisable — quand Trist
64 prisonnier d’un au-delà du jour et de la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter enc
47 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
65 es sauveurs, les fondateurs, les protecteurs, les martyrs , les héros, les pères des patries, les saintes héroïnes, les poètes n
48 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
66 e et de signification : le saint, le mystique, le martyr . Tandis que le héros américain ou russe sera l’homme le plus conforme
49 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
67 ise, l’obligent à prendre la défense des « saints martyrs  », de peur, dit-il, qu’en se taisant il ne se montre lâche et déloyal
50 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
68 (presque tous bourgeois), peu de disciples et nul martyr . Rien de commun avec l’Église primitive. Le danger véritable n’est pa
51 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
69 te, une peur naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de carnaval, vierge, pay
52 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Conclusions sur l’avenir et la liberté de la culture
70 acte de piété, par ce Magnificat à la mémoire des martyrs de notre siècle. Puis, il y eut cet ensemble éblouissant de chefs-d’œ
53 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
71 e, mais elle arrive trop tard pour les deux-cents martyrs du sinistre champ des Crématz. Ici encore, ce que l’assurance du ton
54 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). V. Grandvaux : assemblée annuelle du Pen-Club de Suisse romande
72 non pour l’Europe, qui jusqu’ici ne compte pas un martyr . Serait-ce une cause trop raisonnable ?
55 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
73 cesse lointaine, la fée Viviane ou la Velléda des Martyrs , celle qui se prête aux fantasmes de l’homme. Le « héros » (comme on
56 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
74 ndrez jamais le diable. Pas plus qu’en brûlant le martyr vous n’atteindrez la foi ni l’hérésie. L’action finale, à très long t