1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 ù se reflète le passage incessant d’oiseaux de la mer  ? » « Quel est cet homme dont l’âme fait des signes solennels ? » Une
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
2 e usurper dans le roman d’aventures le rôle de la mer Océane avec ses écumeurs ? Déjà un Mac Orlan, un Kessel ont donné de
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 paves de tous les vieux bateaux, il y a une seule mer . Nos agitations contradictoires s’affrontent comme des vagues soulevé
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 comme un chant mystérieux entendu au-dessus de la mer  », il y a toujours dans un coin du tableau des ruades, des chevaux qu
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 en vont lentement les eaux et les lueurs, vers la mer . Sur le Lungarno trop vaste et nu, les voitures revenaient au pas des
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
6 s sur les parois claires. Du balcon, on voyait la mer , des bateaux, des nuages, une avenue et ses autos rouges, tout un cou
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
7 ment dans la lune, ou bien descendent au fond des mers adorer la Liberté et jouer de l’orgue sous les yeux de poulpes géants
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer . Des grâces d’amazones avec un coup de talon qui les secoue jusqu’à l
9 es du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à b
10 de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer . À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparen
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
11 e Christ. Il se disait que ce n’était pas dans la mer qu’il fallait se jeter, mais dans les merveilles du monde. Et voici q
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
12 e depuis la destruction de l’Invincible Armada la mer devient aux trois quarts protestante — et l’est restée (la révocation
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer . Des grâces d’amazones avec un coup de talon qui les secoue jusqu’à l
14 es du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à b
15 de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer . À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparen
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
16 ste de la matinée se passe à cheval au bord de la mer . Jeux du rivage : sur les montures à poil on s’élance au galop dans l
17 n, des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impose un silence heureux.   Les plus proches voisins hab
18 ujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer .   Dans la bibliothèque de Waldburg, qui sent encore le cuir, la chas
19 si hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la pesante lumière. Mais
20 vance de l’Occident vers l’Orient. 19. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg.
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer . Des grâces d’amazones avec un coup de talon qui les secoue jusqu’à l
22 es du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à b
23 de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer . À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparen
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
24 ste de la matinée se passe à cheval au bord de la mer . Jeux du rivage : sur les montures à poil on s’élance au galop dans l
25 n, des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impose un silence heureux. Les plus proches voisins habit
26 ujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer . Dans la bibliothèque de Waldburg, qui sent encore le cuir, la chasse
27 si hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la pesante lumière. Mais
28 crime, nul n’en ayant tiré profit. 11. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg. 12. Je m’étonne d’avoir c
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
29 ontâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’
30 d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un coup elle
31 t d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la mer , ferme le monde devant nous. En deux minutes nous sommes passés de la
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
32 eurt dans l’aube, à l’horizon des landes et de la mer … Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des vo
17 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
33 me. Le long des côtes de la Méditerranée et de la mer du Nord, remontant le Danube ou le Rhin, s’avance l’antique ennemi de
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
34 sans bornes, ou se promenant sur les rives de la mer que viennent battre les vagues, ou levant les yeux vers le firmament
19 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
35 il entraîne une centaine d’enfants au bord de la mer pour célébrer la liberté. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’Uni
20 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
36 onstruit autour de lui, et aussi sur la ville, la mer et la ligne de ta montagne, et comme sur tout cela, par son regard, i
21 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
37 : Quant à ce que la Prédestination est comme une mer de scandales, d’où vient cela sinon de la folle curiosité des hommes
22 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
38 que ! Achetez français ! Passez vos vacances à la mer  ! C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les bons nazis, les ve
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
39 que ! Achetez français ! Passez vos vacances à la mer  ! C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les bons nazis, les ve
24 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
40 que ! Achetez français ! Passez vos vacances à la mer  ! C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les bons nazis, les ve
25 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
41 me en rêve, le long des dunes qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague flottait sur les marais. «
42 ls se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer , seiches, et poissons, je crois que c’est à peu près tout) ; mais pou
43 s un lointain nuageux et sous une trouée d’or, la mer . La petite salle des cours ruraux peut contenir une centaine d’audite
26 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
44 mesurons toute l’étroitesse de notre domaine, la mer partout à dix minutes et ces marécages hostiles, nous souffrons de ne
45 nse au-dessus de mon verre de vin blanc.   Mai La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que
46 de crabiots et de laines. À quelques mètres de la mer qui affleure le tranchant du plateau, la rivière s’élargit en bassins
27 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
47 fume avec du varech. De l’île, du village, de la mer , je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêler à ma vie,
28 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
48 ttes d’arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas,
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
49 igner…) Nous sortons du port, et tout de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau verte, un gros coup de vent : voilà no
50 té des quatre éléments primordiaux : la terre, la mer , le ciel, et le feu de la lumière. Nous vivrons bien ! ⁂ Je revois, j
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
51 fume avec du varech. De l’île, du village, de la mer , je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêler à ma vie,
52 mesurons toute l’étroitesse de notre domaine, la mer partout à dix minutes et ces marécages hostiles, nous souffrons de ne
53 me en rêve, le long des dunes qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague flottait sur les marais. «
54 ls se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer , seiches et poisson, je crois que c’est à peu près tout), mais pourqu
55 s un lointain nuageux et sous une trouée d’or, la mer . La petite salle des cours ruraux peut contenir une centaine d’audite
56 Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans une seule heure d’int
57 ssus de mon verre de vin blanc. Mai 1934 La mer est d’un vert-bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que
58 rabiots et de « laines ». À quelques mètres de la mer qui affleure le tranchant du plateau, la rivière s’élargit en bassins
31 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
59 ttes d’arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas,
32 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
60 incesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer , le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Bra
61 ’est alors qu’il consent à épouser, au-delà de la mer , « pour son nom et pour sa beauté »7 une autre Iseut, l’Iseut « aux b
62 mait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, ressuscitez des profondeurs l’implacable convoitise, montrez
33 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
63 , et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galat
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
64 le monde, et sur le moindre rocher que trempe la mer , sait qu’un homme a été superlativement amoureux et c’est Pétrarque.
65 rêle barque Je me trouve sans gouvernail en haute mer . (Sonnet 132.) Nous connaissons bien cette barque — où comme l’autr
66 s récifs brisants ta barque épuisée, malade de la mer  ! Voilà pour mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta drogue e
67 ’esprit pur dans sa danse éperdue au-dessus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la pe
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
68 incesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer , le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Bra
69 ’est alors qu’il consent à épouser, au-delà de la mer , « pour son nom et pour sa beauté »9, une autre Iseut, l’Iseut « aux
70 mait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, ressuscitez des profondeurs l’implacable convoitise, montrez
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
71 , et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galat
72 ignant enfin cette image après la traversée d’une mer , meurt dans les bras de la comtesse de Tripoli dès qu’il en a reçu un
73 r, venues du même Orient par les deux rives de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage de l’amou
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
74 le monde, et sur le moindre rocher que trempe la mer , sait qu’un homme a été superlativement amoureux et c’est Pétrarque.
75 rêle barque Je me trouve sans gouvernail en haute mer . (Sonnet 132) Nous connaissons bien cette barque — où comme l’autre
76 s récifs brisants ta barque épuisée, malade de la mer  ! Voilà pour mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta drogue e
77 ’esprit pur dans sa danse éperdue au-dessus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la pe
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
78 incesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer , le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Bra
79 ’est alors qu’il consent à épouser, au-delà de la mer , « pour son nom et pour sa beauté »4 une autre Iseut, l’Iseut « aux b
80 mait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, ressuscitez des profondeurs l’implacable convoitise, montrez
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
81 , et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galat
82 ignant enfin cette image après la traversée d’une mer , meurt dans les bras de la comtesse de Tripoli dès qu’il en a reçu un
83 r, venues du même Orient par les deux rives de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage de l’amou
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
84 le monde, et sur le moindre rocher que trempe la mer , sait qu’un homme a été superlativement amoureux et c’est Pétrarque.
85 rêle barque Je me trouve sans gouvernail en haute mer . (Sonnet 132.) Nous connaissons bien cette barque — où comme l’autre
86 s récifs brisants ta barque épuisée, malade de la mer  ! Voilà pour mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta drogue e
87 ’esprit pur dans sa danse éperdue au-dessus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la pe
41 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
88 apporte — c’est probable — un nouveau serpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite att
42 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
89 é l’essor guerrier des Suisses, leur élan vers la mer et l’aventure. En vérité, Zwingli nous a sauvés, la Réforme a sauvé l
43 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
90 is les faubourgs, au-delà du fleuve et du bras de mer qui entourent l’île, s’étendent sur des espaces bien plus vastes, île
91 noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici elles se rejoignent et se
44 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
92 u, Je suis assis sur le siège de Dieu au sein des mers  ! Toi tu es homme, et non Dieu. Par ta sagesse et par ton intelligenc
93 me ceux qui tombent percés de coups Au milieu des mers . En face de ton meurtrier, diras-tu : Je suis Dieu ? Tu seras homme,
94 ois morts, déracinés ; des vagues furieuses de la mer , rejetant l’écume de leurs impuretés ; des astres errants, auxquels l
45 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
95 u, Je suis assis sur le siège de Dieu au sein des mers  ! Toi tu es homme, et non Dieu. Par ta sagesse et par ton intelligenc
96 me ceux qui tombent percés de coups Au milieu des mers . En face de ton meurtrier, diras-tu : Je suis Dieu ? Tu seras homme,
97 ois morts, déracinés ; des vagues furieuses de la mer , rejetant l’écume de leurs impuretés ; des astres errants, auxquels l
46 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
98 u, Je suis assis sur le siège de Dieu au sein des mers  ! Toi tu es homme, et non Dieu. Par ta sagesse et par ton intelligenc
99 me ceux qui tombent percés de coups Au milieu des mers . En face de ton meurtrier, diras-tu : Je suis Dieu ? Tu seras homme,
100 ois morts, déracinés ; des vagues furieuses de la mer , rejetant l’écume de leurs impuretés ; des astres errants, auxquels l
47 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
101 couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer , un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s’arrête. L
48 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
102 ilité des armées et des flottes de l’air ou de la mer , cependant que les généraux, les journalistes et les politiciens cont
49 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
103 d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un coup elle
104 t d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la mer , ferme le monde devant nous. En deux minutes nous sommes passés de la
50 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
105 ceux qui en sont comme pour les visiteurs. La mer des paperasses rempart de la liberté ? Mais je me pose tout de mêm
106 naufrage commun dans le détroit des Délais ou la mer des paperasses, aux frais de l’État qui payera l’assurance. Et c’est
51 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
107 mment, qu’il était bien réel et bien lui-même… En mer , nuit du 12 au 13 septembre 1940 Les derniers bateaux de la dernière
52 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
108 noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, elles se rejoignent et se
53 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
109 apporte — c’est probable — un nouveau serpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite att
54 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
110 ry. Entre les pins palpite, entre les tombes « la mer , la mer toujours recommencée… » Quelle force au monde pourrait donc o
111 e les pins palpite, entre les tombes « la mer, la mer toujours recommencée… » Quelle force au monde pourrait donc obscurcir
112 ine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer … Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lu
113 nt, qu’il était bien réel et bien lui-même… En mer , nuit du 14 au 15 septembre 1940 Les derniers bateaux de la derniè
114 alité ? Ils ne peuvent pourtant pas me jeter à la mer … Subitement, un coup de tampon, un bon sourire : — Thank you, Sir ! A
55 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
115 noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, elles se rejoignent et se
116 ui s’y abandonne n’en retire qu’un sérieux mal de mer . Et peut-être oublie-t-elle aussi que l’Angleterre rules the waves ma
56 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
117 uons-la, et couchons-nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent merveilleuseme
118 ions de l’être. Ici, qui est nulle part en pleine mer , sous des étoiles déjà nouvelles, suis-je en train de changer de dest
119 ain de changer de destin ? 23 juillet 1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. Ping-pong avec
120 nt rien et qui n’ont rien. 26 juillet 1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’une dime (10 c
121 bateau, mais de tout son pays. 2 août 1941, en mer Escale à Barbados, dont je ne savais le nom que par les catalogues
122 ns vers l’hiver américain. 7 novembre 1941, en mer Saudades do Brazil ! Mélancolie de Rio ! Je l’avais éprouvée jusq
57 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
123 couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer , un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s’arrête. L
124 cut), 25 août 1942 Huit jours de vacances à la mer . Je partage cette maison de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Ex
125 j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue
58 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
126 ontâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’
127 d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un coup elle
128 t d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la mer , ferme le monde devant nous. En deux minutes nous sommes passés de la
59 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
129 ilité des armées et des flottes de l’air ou de la mer , cependant que les généraux, les journalistes et les politiciens cont
60 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
130 la suivante : Guerre. Les armées de terre et de mer seront privées de ravitaillement et immobilisées en moins d’une heure
61 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
131 ilité des armées et des flottes de l’air ou de la mer , cependant que les généraux, les journalistes et les politiciens cont
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
132 la suivante : Guerre. Les armées de terre et de mer seront privées de ravitaillement et immobilisées en moins d’une heure
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
133 ste de la matinée se passe à cheval au bord de la mer . Jeux du rivage : sur les montures à poil on s’élance au galop dans l
134 n, des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impose un silence heureux.   Les plus proches voisins hab
135 ujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer .   Dans la bibliothèque de Waldburg, qui sent encore le cuir, la chas
136 si hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagée de la pesante lumière. Mais
137 ’en ayant profité. (Note de 1967.) 3. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg. 4. Note de 1967 : Je m’ét
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
138 yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer . Des grâces d’amazones avec un coup de talon qui les secoue jusqu’à l
139 es du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à b
140 de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer . À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparen
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
141 igner…) Nous sortons du port, et tout de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau verte, un gros coup de vent : voilà no
142 té des quatre éléments primordiaux : la terre, la mer , le ciel, et le feu de la lumière. Nous vivrons bien ! ⁂ Je revois, j
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
143 fume avec du varech. De l’île, du village, de la mer , je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêler à ma vie,
144 mesurons toute l’étroitesse de notre domaine, la mer partout à dix minutes et ces marécages hostiles, nous souffrons de ne
145 me en rêve, le long des dunes qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague flottait sur les marais. «
146 ls se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer , seiches et poisson, je crois que c’est à peu près tout), mais pourqu
147 s un lointain nuageux et sous une trouée d’or, la mer . La petite salle des cours ruraux peut contenir une centaine d’audite
148 Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans une seule heure d’int
149 de mon verre de vin blanc. 1er mai 1934 La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que
150 ttes d’arbres devant les maisons. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet étrange écho des pas,
151 rabiots et de « laines ». À quelques mètres de la mer qui affleure le tranchant du plateau, la rivière s’élargit en bassins
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
152 apporte — c’est probable — un nouveau serpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite att
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
153 in. Entre les pins palpite, entre les tombes, La mer la mer toujours recommencée… Quelle force au monde pourrait donc obs
154 tre les pins palpite, entre les tombes, La mer la mer toujours recommencée… Quelle force au monde pourrait donc obscurcir
155 ine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer … Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lu
156 glais assez pour écrire dans cette langue ? En mer , nuit du 14 au 15 septembre 1940 Les derniers bateaux de la derniè
157 alité ? Ils ne peuvent pourtant pas me jeter à la mer … Subitement, un coup de tampon, un bon sourire Thank you, Sir ! And g
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
158 noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, elles se rejoignent et se
159 ui s’y abandonne n’en retire qu’un sérieux mal de mer . Et peut-être oublie-t-elle aussi que l’Angleterre rules the waves ma
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
160 uons-la, et couchons-nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent merveilleuseme
161 ions de l’être. Ici, qui est nulle part en pleine mer , sous des étoiles déjà nouvelles, suis-je en train de changer de dest
162 ain de changer de destin ? 23 juillet 1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. Ping-pong avec
163 nt rien et qui n’ont rien. 26 juillet 1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’une dime (10 c
164 ateau, mais de son grand pays. 2 août 1941, en mer Escale à la Barbade, dont je ne savais le nom que par les catalogu
165 ns vers l’hiver américain. 7 novembre 1941, en mer Saudades do Brazil ! Mélancolie de Rio de Janeiro. Je l’avais épr
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
166 son s’émeut obscurément. Un vent doux, venu de la mer , remontait les avenues infinies, très légèrement dorées par le coucha
167 couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer , un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s’arrête. L
168 cut), 15 août 1942 Huit jours de vacances à la mer . Je partage cette maison de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Ex
169 j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
170 ontâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’
171 d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un coup elle
172 t d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la mer , ferme le monde devant nous. En deux minutes nous sommes passés de la
73 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
173 cticut), 15 août 1942 Huit jours de vacances à la mer . Je partage cette maison de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Ex
174 j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue
74 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
175 naufrage commun dans le Détroit des délais ou la Mer des paperasses, aux frais de l’État qui paiera l’assurance. Et c’est
75 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
176 eurt dans l’aube, à l’horizon des landes et de la mer … Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des vo
76 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
177 ont probablement, comme une goutte de vin dans la mer . Ensuite, ce rappel à nos dimensions très réduites dans le temps comm
77 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
178 disloque en îlots plus ou moins intacts dans une mer de ruines, au-dessus de laquelle se meut l’esprit du nihilisme. Les d
78 1948, Suite neuchâteloise. VII
179 eurt dans l’aube, à l’horizon des landes et de la mer … Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des vo
79 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
180 euves, nettement délimitée de trois côtés par les mers et par l’Océan. Elle rappelle une Grèce agrandie. Mais voici le carac
181 géographique du découpage des côtes par plusieurs mers , il faut rattacher les approches différentes du monde par les Espagno
80 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
182 ; et d’un agrandissement de l’œil aux plus hautes mers intérieures ». Le poème ainsi prend sa source au lieu d’où l’Amérique
81 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
183 aire, vers les roches noires et plates du bord de mer , des hommes assis en groupe écoutent une lecture à haute voix. Accrou
184 sors de mon hôtel pour aller respirer l’air de la mer . Les corridors et les galeries de boutiques sont jonchés de corps end
82 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
185 plus, la Suisse serait coupée de tout accès à la mer et réduite à l’état de province enclavée. Sur quoi, le professeur Rap
186 isation. Mais ne croyez-vous pas, qu’isolés de la mer et de ceux qui furent toujours à travers l’histoire nos grands amis p
83 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
187 bornés à considérer des paysages, des villes, la mer , le ciel, des autos, des livres d’économie politique ou le sort des m
84 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
188 et de sentir du Flamand des plaines, coupé de la mer par les grandes dunes et n’ayant d’horizon qu’en profondeur, ou si l’
85 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
189 , les eaux de l’Inn, qui par le Danube iront à la mer Noire. Entre le Jura et les Alpes — bassin alémanique du Rhin — s’éte
190 isé l’essor de la Confédération, son élan vers la mer et l’aventure. En vérité, Zwingli et sa Réforme ont sauvé la Suisse e
86 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
191 t elle n’a pas de colonies ni de débouchés sur la mer . Le développement industriel de la Suisse apparaît donc au plus haut
87 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
192 gel et Fichte. Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers . Pour la Russie, un messianisme despotique. Les petits pays se borner
88 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
193 ribués dans chaque pays. Une goutte d’eau dans la mer . Comment s’étonner après cela de l’ignorance presque totale où sont r
89 1955, Articles divers (1951-1956). Rien n’est perdu, tout reste à faire (janvier 1955)
194 ribuée dans chaque pays. Une goutte d’eau dans la mer . Comment s’étonner après cela de l’ignorance presque totale où sont r
90 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
195 au Soleil disparu derrière l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri de l’âme « exilée », qui ne s’arrache à la m
196 dée de l’État. Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers . Pour la Russie, un messianisme despotique. Les petits pays se borner
91 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
197 s de Vitruve, les colonnes et les portiques de la mer Égée, plaqués, au bord de larges rues et de places trop vastes, sur d
92 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
198 s que la Méditerranée ne s’est précipitée dans la mer Rouge lorsqu’on a percé le canal de Suez : par contre, on ne verra pl
93 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
199 r de l’Occident, elle déplace sa capitale vers la mer . Quand elle revient à sa politique traditionnelle, continentale et as
94 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
200 bateaux qui emmènent ces malheureux à travers la mer Rouge et le golfe Persique. Le délégué de l’URSS en a profité pour dé
95 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
201 nt, au bord le plus lointain duquel s’étend une «  mer chaude et boueuse » (le non-être). La Ténèbre règne à demeure sur ce
96 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
202 ntinent, mais n’a pas de débouchés directs sur la mer . Une large proportion de ses échanges commerciaux se fait avec ses vo
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
203 nt, au bord le plus lointain duquel s’étend une «  mer chaude et boueuse » (le non-être). La Ténèbre règne à demeure sur ce
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
204 au Soleil disparu derrière l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri de l’âme « exilée », qui ne s’arrache à la m
205 dée de l’État. Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers . Pour la Russie, un messianisme despotique. Les petits pays se borner
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
206 les justes proportions et contours des terres et mers telles que nous les connaissons. Deux révolutions considérables se so
207 usage régional ? Les Dravidiens avaient dominé la mer du Bengale, conquis et dépassé l’Indochine. Les Hindous étaient en re
208 lables à lui viendraient un jour de l’Est, par la mer  » et régneraient alors sur le Mexique49. Pour des raisons tout analog
209 ui le fera vice-roi des Indes, Grand amiral de la mer Océane. Et surtout, son vrai nom selon sa vocation. Car ainsi que l’é
210 onné pouvoir d’en faire ainsi. Des entraves de la mer Océane, qui étaient nouées avec de si fortes chaînes, Il t’a donné le
211 ns exception. Dans ses calculs de la distance par mer qui sépare l’Asie de l’Europe, il se trompe simplement d’un océan, le
212 u livre apocryphe d’Esdras, où il est dit que les mers n’occupent que la septième partie de la Terre ; et d’un mémoire secre
213 xpliquer la Découverte européenne. L’amiral de la mer Océane était certes obsédé par l’Or. Pourtant l’or était loin de sign
100 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
214 autres : voler dans la hauteur, nager au fond des mers , faire de l’or, rajeunir, voyager dans la lune, lire les pensées, tue