1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 l’avènement d’un classicisme nouveau. M. Meili a mis en évidence cette courbe de la peinture moderne avec une netteté et u
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 pas trop descendre ». N’est-ce pas une éclatante mise au point ? Et venant de l’auteur du Songe, d’un de ces hommes qui « d
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
3 res. Le sujet du Tarramagnou, c’est « la nouvelle mise en servitude du peuple rustique de France ». En effet — le phénomène
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
4 . Primitivement, le Saint est un homme que Dieu a mis à part par grâce pour qu’il serve. Mais très vite on étend l’appellat
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
5 oque s’en va très vite vers on ne sait quoi. On a mis le bonheur devant soi, dans un progrès mal défini, et l’on court aprè
6 ra ce que je veux dire. Il faudrait balayer, — et mettre qui à la place ? Nos penseurs, nos écrivains ont perdu le sens social
7 seul coup une grande misère, et par ce moyen nous met tout d’abord en présence, non de nous-mêmes, mais de Dieu. » 1. Il
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
8 oles et de quelques autres plaisirs pour civils : mettez -le aux prises avec une petite cité patricienne dont il devra portrait
9 plus généreuse que neuve, et qui eût gagné à être mise en action plutôt qu’en commentaires. Le talent de Mme de Watteville p
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
10 germes de révolution. Déjà des ingénieurs se sont mis à calculer la réalisation de ce phénomène de haute poésie — la « vill
8 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
11 Reprendre l’offensive — au soir, je m’amuserai à mettre des étiquettes sur mes actes… Déjà je sens un sourire — en songeant à
9 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
12 ou les soucis politiques, sociaux, etc., et il ne met de la gravité que dans les choses voluptueuses, je n’ai pas dit les c
10 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
13 est dans l’inquiétude qu’il nous inflige ». « Ils mettent leur âme en veilleuse, dit-il des rêveurs orientaux. De leur immense
11 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
14 ndre. ⁂ Qu’on imagine un personnage de tableau se mettre à décrire ce qu’il voit autour de lui — et l’étonnement indigné du sp
15 e au surréalisme. Tous les héros de roman se sont mis à gesticuler « gratuitement ». Et les critiques d’abord de s’indigner
16 temps de le noter avant de partir. Ou bien je me mettrai à l’analyser plus longuement. Mais alors je le fausse, puisque je le
17 urbillonnant à l’intérieur. Un arrêt (l’auteur se met à se regarder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie) et les
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
18 … l’une, se décrochant sans plus d’hésitation, se mit à pérégriner dans les régions de chasse gardée du ci-devant soleil. C
13 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
19 ie. En proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettait le royaume à la tête de la civilisation ; en interdisant aux réformés
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
20 ces, M. Grosclaude son fils Lucas Loukitch et une mise en scène fort ingénieuse qui permit à Mossoul de se perdre dans des j
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
21 é, mais sur la corniche d’un gratte-ciel, d’où se met à descendre un petit bateau de papier, sur fond de boulevards et parm
16 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
22 ère qui regarde ailleurs… Qu’il sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il voit dans la petite cité ouvrière, et c’est
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
23 sur elle. Images, pensées des autres, je vous ai mis un collier avec le nom du propriétaire ; tirez un peu sur la laisse,
24 uand il parle littérature, il a toujours l’air de mettre un peu les pieds dans le plat, de dire de ces choses qu’entre gens du
18 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
25 aille à affronter d’autres dédales ! Mais il a su mettre plus de choses qu’il n’y paraît d’abord dans ces 50 pages. Beaucoup s
19 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
26 ates, aux yeux clairs. Il déplia le journal et se mit à lire les pages d’annonces. On m’apporta une liqueur. Et quand j’eus
27 ement que je gagnerais à tout coup. L’étranger se mit à discourir. Et dans mon ivresse, ses paroles peignaient des tableaux
28 ng rire. Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me regarder bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il
20 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
29 qu’on sache au juste quelle dose d’« humour » il met dans l’expression), c’est la rencontre d’une locomotive routière. « D
30 plus parfait aussi. Son succès sans précédent le met à l’abri de toutes les attaques, du point de vue technique. L’organis
31 composent, au total, la grande Liberté idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne. Cette Liberté idé
32 ur, aujourd’hui, c’est de démontrer que les idées mises en pratique chez nous ne concernent pas particulièrement les autos et
33 sent une vague et intermittente détresse, — qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. La conquête du
21 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
34 : le vrai drame de son destin est ailleurs. Il se met à m’expliquer des signes, des généalogies étourdissantes qui commence
35 x et que depuis quelques semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au
36  » et ailleurs « Wienerli ». Soudain les autos se mirent à ronfler. Par le grand escalier, au fond de la cour du palais, desce
22 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
37 Chine qui s’éveille au sein même de la lutte qui met aux prises l’Europe et le monde du Pacifique. On retrouvera ici beauc
23 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
38 Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement p
39 s marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai.
24 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
40 s tous désormais de répondre pour nous-mêmes à sa mise en demeure. Je suis loin de partager toutes les idées de M. Benda, su
25 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
41 ans résultat —, il écrivit une adresse réelle, et mit la lettre dans la première boîte venue. Le lendemain, il reçut une ré
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
42 plus beau… Oh ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez -lui les mains sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dan
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
43 tte, avec une sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’école, parce que c’est la loi. La première classe fut agréable :
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
44 nt « se distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi ce que je retire de plus évident de
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
45 des verbes actifs sera aussi active, un élève se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’arpente ;
46 e pas à se développer… Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensemble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’école nouvelle
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
47 qui me dresse contre l’École. Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous les démoliriez tous, ma rage n
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
48 enté un instrument de progrès : encore faut-il le mettre en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de routes, mais vous n
49 des instituteurs. On me demande encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien de bien précis, on triomp
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
50 de travail. Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques instants, il s’épargnerait
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
51 plus beau… Oh ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez -lui les mains sur la bouche ! Donnez-lui sa choucroute, tapez-lui dan
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
52 hette avec ma sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’école, parce que c’est la loi. La première classe fut agréable :
35 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
53 nt se « distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi, ce que je retire de plus évident d
36 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
54 des verbes actifs sera active aussi, un élève se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’arpente ;
55 e pas à se développer… Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensemble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’école nouvelle
37 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
56 qui me dresse contre l’École. Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous les démoliriez tous, ma rage n
38 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
57 enté un instrument de progrès : encore faut-il le mettre en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de routes, mais vous n
58 des instituteurs. On me demande encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien de bien précis, on triomp
39 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
59 de travail. Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques instants, il s’épargnerait
40 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
60 he ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs insoluble : « Peut-on discerner a
61 (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre en colère contre l’insignifiance ! On ne nous laisse même plus la col
62 r ce qu’ils ne peuvent résoudre sur-le-champ. Ils mettent en jeu des systèmes de valeurs plus ramifiés, plus organiques. Ils ne
63 eries du Lido : bien décidé à ne rien acheter qui mette en péril le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (Mais où les audace
41 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
64 e d’un rôti, et en cuisine littéraire, de pensers mis à toutes sauces. Si M. Thibaudet connaissait l’hôte de céans, il prop
65 où il habitait alors, abandonnant sa femme, et se mit à errer dans les campagnes, en quête de l’inspiration qui le fuyait.
66 rridor, — à Paris. Bientôt… Mais il est temps de mettre à ces fariboles un terme19. J’ai du solide à équarrir. Et auparavant,
42 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
67 n aime l’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la laisse traîner
68 essus du gouffre. Je vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il faut voler plus vite pour rattraper ces apparences a
69 oute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’amour en Hongrie (généralités)
43 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
70 nt de la critique littéraire ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à propos d’ouvrages bien minces. C’est qu’au
71 que. « Les curés de tous les dieux blancs se sont mis à convertir ces idolâtres, ces fétichistes, à leur parler de Luther e
72 t — et cette fois nous avons affaire à quelqu’un. Mettons -le en présence du scandale que constitue à ses yeux cette anomalie :
73 Et il est évident que si cet idéaliste se trouve mis en présence d’un marxiste, par exemple, qui lui déclare nettement que
44 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
74 notre jeunesse le tragique ou le merveilleux, on mettait notre volonté aimante, entre toutes les pages, sur toutes les choses.
75 poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisanat qui se re
45 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
76 iental contre lequel des Massis mal informés nous mettaient naguère en garde. Keyserling voit la cause du développement exagéré d
46 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
77 euve » que deux dates limitent : 1851-1914. Ainsi met -il en jeu les deux éléments dont l’antagonisme fait le fond de presqu
78 uvre soudain que cette femme, qui a subi sans les mettre jamais en question les exigences les plus terribles de la société ins
47 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
79 ’Université pour se plonger dans la vie active et mettre à l’épreuve son grand idéal. Que pouvait-il y avoir de plus noble que
80 un ordre social dont l’avantage évident est de le mettre à l’abri de la véritable justice. Il finit par mettre Eiichi à la por
81 re à l’abri de la véritable justice. Il finit par mettre Eiichi à la porte. Il lui reste la ressource de se faire instituteur.
82 er. Alors dans un accès de désespoir, il tente de mettre le feu à sa maison. Il s’enfuit, et s’engage comme manœuvre dans les
83 les sentiments : doutes, passions, conflits qu’il met en jeu, c’est toujours l’absence absolue d’hypocrisie de sa part qui
48 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
84 ents » (p. 59). Là où d’autres triompheraient, il met une sourdine. Car il sait que la modestie est la vertu de choix du cl
85 ie de Unamuno. Ne détermine rien en nous. Ne nous met en demeure ni d’agir, ni d’aimer, ni même de douter fortement. C’est
49 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
86 t résider avant tout dans l’ordre des faits qu’il met en jeu, dans la problématique qu’il parvient à susciter au cours de c
50 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
87 s d’autant plus vivement que le monde actuel nous met en demeure d’abandonner tout ce qui, dans notre éthique, s’inspire d’
51 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
88 des Signes parmi nous, par sa simplicité même, le met en valeur mieux que tout autre récit de Ramuz. Voici Caille, le colpo
89 rise. Informer le réel, c’est en quelque sorte le mettre en état de crise ; et il n’y a de réalité que par et dans la crise…
52 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
90 sation » que sociale : car il faut bien qu’on s’y mette à plusieurs, — rassurante perspective, puisqu’on sait qu’il n’existe
91 re, s’il est actif, il se piquera de favoriser sa mise en circulation. Jeter une idée « nouvelle » dans la circulation — rêv
92 récisons : réaliser une pensée, ce n’est pas « la mettre à exécution » — la condamner à mort, autant dire, et l’extirper de so
53 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
93 nts de son accession au monde spirituel, il s’est mis en état de défense et de lenteur. Il avance ainsi pas à pas, l’âme te
94 s jugements de valeurs humaines. Mais il faudrait mettre en balance une longue fidélité peut-être orgueilleuse, puisque Goethe
54 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
95 . Ils sont si cordialement ennuyeux quand ils s’y mettent que ma vivacité n’y saurait tenir. Rien que des gens d’esprit médiocr
55 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
96 ut produire pour se tirer de l’Enfer, où il s’est mis . 11. Entendons par ce terme si vague l’activité créatrice et « actue
56 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
97 éel, c’est le fait que celui qui donne un coup se met à portée d’une riposte. Ils préfèrent couvrir de fleurs les lombes de
57 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
98 s ceux qui haïssent la religion parce qu’elle les met à nu, prend en pitié leur sale caractère : tous ceux qui poursuivent
58 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
99 s plus folle dans le bien comme dans le mal. « Je mettrais volontiers dans le même sac honnêtes et malhonnêtes gens, mais non pa
59 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
100 qu’il se surpasse et qu’il surpasse, mais il y a mis 16 ans — les plus fameux produits des services de propagande officieu
60 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
101 ipes. Sangnier devait relever l’anomalie : Briand met la guerre hors-la-loi, aux applaudissements des braves gens, qui par
102 pplaudissements des braves gens, qui par ailleurs mettent en prison Martin parce qu’il refuse de faire la guerre. (Ça n’est pas
61 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
103 même. Car la réalité est précisément ce qui nous met en relation personnelle et immédiate avec Dieu : et que la relation d
104 e fait même d’être né, c’est-à-dire d’avoir été «  mis au monde ». 2° L’hérésie optimiste constate au contraire que « nous s
62 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
105 : le vrai drame de son destin est ailleurs. Il se met alors à m’expliquer des signes, des généalogies étourdissantes qui co
106 x et que depuis quelques semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au
107  » et ailleurs « Wienerli ». Soudain les autos se mirent à ronfler. Par le grand escalier, au fond de la cour du palais, desce
63 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
108 s ; restent les paradoxes : peut-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu ces lambris d’or, tu vois bien
64 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
109 n aime l’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, chez nous, on la lai
110 essus du gouffre. Je vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il faut voler plus vite pour rattraper ces apparences a
111 oute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. xiv L’amour en Hongrie (généralités)
65 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
112 Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement p
113 s marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai.
66 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
114 s l’atmosphère et dans l’économie du lieu. On l’a mise en pension en Bavière, et les galants qui passent sans avoir l’air de
115 ous mon bras. La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi le bourdonnement des buissons qui surplomb
116 apparaît comme le thème de mes songeries souabes. Mettons un peu cela au net. Paracelse s’occupait d’extraire l’ens des corps,
117 ’y regarde pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits de tous les jours, et peu importe si les cou
118 s de son objet… 13 juin 1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à cause de toutes ces larmes.
119 jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes lèvres. Alors j’abaissai mes regards sur ses vête
120 de dignité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à chanter des choses déchirantes qui peuvent seules exprimer cette eu
67 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
121 has. Les modernes sont fous et ridicules. Ils ont mis un sellier à la tête du Reich, et seuls les insensés voudraient lire
122 nuit dans les clairières, comme des arbres qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint à chaque pas que
123 occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de surenchère désespérée des sensations de
68 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
124 e d’un rôti, et en cuisine littéraire, de pensers mis à toutes sauces. Mais qui donc, parmi nos penseurs, mériterait d’être
125 où il habitait alors, abandonnant sa femme, et se mit à errer dans les campagnes, en quête de l’inspiration qui le fuyait.
69 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
126 s ; restent les paradoxes : peut-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu ces lambris d’or, tu vois bien
70 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
127 n aime l’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, chez nous, on la lai
128 essus du gouffre. Je vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il faut voler plus vite pour rattraper ces apparences a
129 oute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’amour en Hongrie (généralités) Les
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
130 has. Les modernes sont fous et ridicules. Ils ont mis un sellier à la tête du Reich, et seuls les insensés voudraient lire
131 nuit dans les clairières, comme des arbres qui se mettraient en marche, et sont tellement articulés qu’on craint à chaque pas que
132 occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de surenchère désespérée des sensations de
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
133 Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simplement p
134 s marronniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai.
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
135 s l’atmosphère et dans l’économie du lieu. On l’a mise en pension en Bavière, et les galants qui passent sans avoir l’air de
136 ous mon bras. La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à gravir la colline parmi le bourdonnement des buissons qui surplombe
137 apparaît comme le thème de mes songeries souabes. Mettons un peu cela au net. Paracelse s’occupait d’extraire l’ens des corps,
138 ’y regarde pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits de tous les jours, et peu importe si les cou
139 s de son objet… 13 juin 1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à cause de toutes ces larmes.
140 jeune femme. Elle comprit que j’allais parler et mit un doigt contre mes lèvres. Alors j’abaissai mes regards sur ses vête
141 de dignité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à chanter des choses déchirantes qui peuvent seules exprimer cette eu
74 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
142 ssiers, lettres, et papiers personnels, je les ai mis en lieu sûr et j’ai sorti mes uniformes pour les aérer. Secundo, j’ai
143 s ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit
144 sent du rocher, quand les premiers remorqueurs se mettent à souffler fort dans la brume d’été flottant sur la rivière… Une lang
145 Américains paraissent bizarres, ici. Comme ils se mettent immédiatement à ressembler à ce que l’on pense d’eux en Europe.) Il y
75 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
146 el est une monarchie limitée, dont la machine est mise en mouvement par des ressorts si déliés, et des rouages si compliqués
76 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
147 otos qui pour la première fois, nous semble-t-il, mettent sur notre table le monde tel qu’il est. Quel romancier pourrait nous
148 etour à l’essai rendu nécessaire par le besoin de mettre en ordre l’énorme quantité de faits nouveaux que nous découvrons. Ret
77 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
149 s demande des réponses ? Mais nous ne pouvons que mettre et remettre en question vos sécurités et vos incertitudes, vos soluti
78 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
150 ilisation de Saint-Gall non moins remarquable, le met aux antipodes de ces historiens contemporains dont le succès consiste
151 une thèse : « Je m’appliquerai à désassocier et à mettre en face de lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une école pr
79 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
152 a superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis sur le premier ou sur le second membre de la phrase —, ce cri est sig
153 d’un système dont il importe que les victimes ne mettent jamais en question les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul
154 un compte suffisant, la productivité par homme se met à croître avec une rapidité qui tient du fantastique. L’index général
155 t loin d’être couvert en Russie, parce qu’on peut mettre tout le monde aux machines, et rationaliser au maximum5, bref, parce
156 e au labeur qu’on mesure et tarife. Et l’on s’est mis à calculer avec les hommes, comme s’ils n’étaient plus des hommes. On
80 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
157 humain contre tout ce que l’homme invente pour se mettre à l’abri du risque normal et nécessaire de l’existence, contre toutes
81 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
158 n découvre, déconcertantes ; puis l’esprit qui se met à douter, parce qu’il n’a plus d’application, l’esprit qui prend peur
82 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
159 traite, prétendue stratégique, de l’esprit. Hegel met d’abord l’esprit au service de l’État ; puis Marx à celui des « faits
160 eyserling). L’intelligence n’a plus alors qu’à se mettre au service des nécessités « telluriques » qu’elle avait pour mission
83 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
161 plus ni moins efficaces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s
162 croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu sa vie, à la risquer jusqu’à la perdre si la mesure de notre a
163 Il ne peut sortir d’un système que ce que l’on y met dès l’origine. 10. On aura beau l’appeler « travail de choc ». Ult
84 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
164 , la littérature universelle semble n’avoir voulu mettre en figures nos désirs et nos ambitions que pour mieux nous en révéler
165 atteint jamais. Et les philosophies de l’Occident mettent le comble à cette gigantesque pagaille dont naquit bizarrement au xvi
166 ens le plus littéral de ce mot : l’accusation qui met en état de crise l’ensemble de ces affirmations et de ces négations,
167 té du cœur », puisqu’elle prétend précisément les mettre en cause. C’est qu’aussi bien ce oui, c’est la Vie en Dieu, et ce non
85 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
168 l ne peut ni ne veut se soustraire, Karl Barth se met à relire l’Épître aux Romains, la plus inquiétante sans doute, pour n
169 sion ». Il y a plus. L’histoire biblique, loin de mettre en scène le développement d’une « tradition » spirituelle, figure la
170 enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état de crise toutes nos sécurités morales. (Ce n’est qu’à certain
86 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
171 le de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à la main. Voici quelques notes rapidement rédigées dans les
172 ui tente d’assumer son moi contradictoire pour le mettre aux ordres de la foi. C’est une colle de scolastiques ; elle alimente
87 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
173 Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action au gré d’un moraliste qui se donne l’air de l’avoir bel et
88 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
174 Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’école des penseurs ? On verrait éclater, je pense, l’absurdité d’
175 n problème qu’ils placent devant eux et qu’ils se mettent à critiquer, comme s’ils n’étaient pas eux-mêmes en jeu ! Mais, dit l
89 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
176 me perde le sens de son destin particulier, il se met fatalement à croire aux destins anonymes et collectifs. C’est ainsi q
90 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
177 le « politique d’abord » de Maurras, l’insistance mise sur la forme de l’État, paraissent bien inactuels en regard des probl
178 ini dans ma première partie. Elle ne saurait être mise en symétrie avec aucune des autres attitudes que j’ai indiquées. Elle
179 r un parti. Leur foi n’est pas de celles que l’on met en systèmes. Le fût-elle, leur très petit nombre les empêcherait d’im
91 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
180 de couper court à des développements qui parfois mettraient de l’aise dans nos pages. Notre ambition serait d’être relus. Nous ai
92 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
181 rale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en commun des difficultés intimes, d’entrer dans le concret du christ
182 e de salaires basés sur l’état du marché. » On le met en prison. Il y écrit en treize jours un roman : L’Archer tirant cont
93 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
183 le public s’écarta, effrayé. Lorsqu’en 1854 il se mit à attaquer de front, avec une extrême violence, le christianisme offi
94 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
184 ’est pas à sa place là où la vocation de Dieu l’a mis . Supposez qu’un tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, de ce hér
185 nous retournons à l’origine où il se tient, nous mettons en lui notre espoir de trouver un autre chemin : un chemin qui ne mèn
186 cas, je reste bien tranquille. Ce « moi pur » ne met pas en cause mon désespoir, ou si l’on veut, je peux rêver dans le so
95 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
187 tres de l’Idéal qu’on n’atteint pas, pour l’avoir mis trop haut. Soit que l’on gruge légalement son prochain, soit que l’on
188 que, la croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au service de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives. C’est
189 uons de voir, avant peu, cette même littérature «  mise au pas » par l’État fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer ? Où do
190 ou religieuses, par exemple, des « idées » qu’ils mettent en action. La littérature nouvelle, couronnant un ordre nouveau, sera
96 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
191 ropositions du Plan, p. 46. 18. Nous les aurions mis à la porte. j. « Plans de réforme », L’Ordre nouveau, Paris, n° 14,
97 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
192 caractères, de la vie intérieure, une morale qui mette des obstacles et qui crée des conflits dramatiques dans les vies les
193 Seigneur », ou encore « l’insondable Providence » mise en action au gré d’un moraliste qui se donne l’air de l’avoir bel et
98 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
194 qui ont relevé mon front de la poussière. Ils ont mis leur douce main sous mon menton. Ils m’ont dit : — Fais voir tes yeux
99 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
195 ablir entre la « révocation » et les mesures de «  mise au pas » prises par Hitler me paraît riche d’enseignements très actue
100 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
196 qu’il y ait quelque chose de concret, il faut une mise en présence certifiée par un événement ; il faut que la rencontre d’u
197 aminons d’un peu plus près les données qu’il faut mettre en présence. Sujet en tant qu’actif, objet en tant qu’agi, sont des
198 ent ? La manière d’être de l’objet lorsqu’il est mis en présence du sujet n’est point passive ; elle est de résister. Mais
199 nsaisissable devient tout à coup un acteur, et se met à se comporter tout comme s’il connaissait le fil du drame. D’où lui
200 que. Est-ce à dire que le bien de tous doive être mis au service du bien de chacun ? Prenons garde de retomber ici dans un