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ines de nos cités mécaniciennes, ils rallument le
mirage
d’un Orient paradisiaque d’où nous viendraient une fois de plus la sa
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effable et se perd avec lui vers le désert et ses
mirages
. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition,
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effable et se perd avec lui vers le désert et ses
mirages
. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition,
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effable et se perd avec lui vers le désert et ses
mirages
. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition,
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llages blancs au-delà des lagunes transfigurés en
mirages
de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vi
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t assumée ; et rien ne le flatte davantage que le
mirage
d’infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de p
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t assumée ; et rien ne le flatte davantage que le
mirage
d’infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de p
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t assumée ; et rien ne le flatte davantage que le
mirage
d’infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de p
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t assumée ; et rien ne le flatte davantage que le
mirage
d’infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de p
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décrit ni mentionné par la Genèse. Il n’est qu’un
mirage
du démon, une projection de nos erreurs hors de nous-mêmes, obnubilan
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décrit ni mentionné par la Genèse. Il n’est qu’un
mirage
du démon, une projection de nos erreurs hors de nous-mêmes, obnubilan
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es : elles ne sont que néant, elles ne sont qu’un
mirage
, il les a dépassées… Il est le mendiant qui possède l’univers, et tou
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effable et se perd avec lui vers le désert et ses
mirages
. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition,
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llages blancs au-delà des lagunes transfigurés en
mirages
de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vi
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s Français veulent un roi, c’est qu’ils cèdent au
mirage
du « Grand Un », à l’attrait du « Gentil Seigneur » auquel on offre «
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re qui nous paraît miraculeuse n’est encore qu’un
mirage
reflété sur le Vide, si elle n’est pas une parabole de l’éternel. Ces
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re qui nous paraît miraculeuse n’est encore qu’un
mirage
reflété sur le Vide, si elle n’est pas une parabole de l’éternel. Ces
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s-mêmes, ne se sont pas évanouies comme un triste
mirage
? Est-ce que la décomposition et l’individualisation ne s’y font pas
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arrêterait les frais de l’Histoire, une fois les
mirages
payés. On mettrait le pays sur la touche. On augmenterait judicieusem
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4 millions, dont une bonne part pour l’achat de «
Mirages
». On n’hésitait donc pas à « saigner le pays » pour acheter à l’étra
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urs paraît aussi démodée que le seront demain les
Mirages
. Cependant le Conseil fédéral propose aux Chambres de tripler la dota
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nal de la recherche d’ici 1970. Le scandale des «
Mirages
» aura peut-être contribué à ce réveil tardif. Mais l’effort de la Su
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arrêterait les frais de l’Histoire, une fois les
Mirages
payés. On mettrait le pays sur la touche. On augmenterait judicieusem
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t, des visages qui nous regardent — apparences ou
mirages
aux yeux de la science, apparitions plutôt, aux yeux de l’artiste pou