1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
1 ttraits : nous étions loin de nous douter de la «  modernité  » aiguë des problèmes que posèrent un Hamann, un Carus, à propos de l
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
2 act son objet même. Cet objet, c’est peut-être la modernité — voulue, créée et ressentie comme telle. Une passion d’expérimenter
3 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
3 ou presque tout » de ce qui donne sa figure à la modernité du monde. L’idée même de modernité, cet instantané du Progrès… L’idée
4 sa figure à la modernité du monde. L’idée même de modernité , cet instantané du Progrès… L’idée même de Laboratoire, ce lieu privi
4 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
5 peut manquer d’être frappé par la vigueur, par la modernité surtout de ses prises de position qui étaient formulées, rappelons-le
5 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
6 act son objet même. Cet objet, c’est peut-être la modernité — voulue, créée, et ressentie comme telle. Une passion d’expérimenter
6 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
7 Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)dt Tout est venu
8 nt — très provisoire — je prendrai le sujet de la modernité , comme le prétexte d’une nouvelle approche, et d’une remise de mes th
9 thèses au banc d’essai. I. Moderne, modernisme, modernité Chez les intellectuels et les artistes occidentaux qui s’en réclam
10 ion vaut mieux que la mise en ordre. Au total, la modernité est ce qui doit être préféré, sitôt que certifiée moderne, à toute es
11 l serait en effet difficile de reconnaître que la modernité , étant ce qui récuse les vérités reçues et remet en question les trad
12 ier grand apport de l’extérieur, définissant la «  modernité  » d’une époque, — « modernité » au sens de rupture de la tradition, d
13 r, définissant la « modernité » d’une époque, — «  modernité  » au sens de rupture de la tradition, d’où les condamnations répétées
14 ure même où ils ont signifié trop facilement la «  modernité  » pendant deux ou trois décennies, ils sont rejetés par les nouvelles
15 rines, de pratiques, d’orientations, constitue sa modernité . L’idée de révolution se manifeste par la volonté de rompre avec la t
16 l’impérialisme national-soviétique et yankee. La modernité consiste donc pour la Chine à renier le Chinois le plus célèbre, pour
17 « révolution culturelle », marquant ainsi que la modernité ne saurait se développer spontanément dans un peuple que toute sa tra
18 ment. Car cette « révolution » est en réalité, la modernité décrétée. Le chemin de la paysannerie du tiers-monde vers la société
19 iques, écologiques et ethno-culturelles. La vraie modernité pour l’Europe pourrait offrir l’exemple au monde, et dont on peut esp
20 rontières. dt. Rougemont Denis de, « Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde », Bulletin du Centre européen de la
7 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
21 exclusivement européenne… Reste le paradoxe de la modernité et de l’avant-garde : dans les arts et dans la politique, il s’agit d
8 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
22 relate ses premières initiatives en faveur de la modernité la plus provocante à l’époque, alors qu’il avait encore un pied à la