1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 ’une anarchie dont les causes semblent avant tout morales . Les tendances encore un peu vagues d’un groupe tel que Philosophies
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
2 la plus brûlante les richesses intellectuelles et morales du grand vaudois. Vraiment, tout ce qui semble viable et humain dans
3 nt chrétienne — un mysticisme de cadre solidement moral , c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière — me paraît infiniment plus
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 ait accorder trop d’importance à leurs tentatives morales , si singulières soient-elles — dont le grand public reste le témoin s
5 s, le pire et le meilleur, toutes les vieilleries morales et immorales, tous les paradoxes, le chaos, etc. — Certes, aucune épo
6 émonstrations par l’absurde de quelques problèmes moraux et littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse. (« Nous
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
7 ticulière à ces rencontres. Rien de plus aéré, au moral comme au physique. Chacun dit ce qu’il pense sans se préoccuper d’êtr
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
8 s. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de conte moral , avec ses personnages un peu conventionnels et l’invraisemblance asse
6 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
9 s’accumulent les traits qui composent le portrait moral de l’Oriental, celui de l’Européen se précise dans la même mesure, — 
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 toujours de probité intellectuelle ou de courage moral , nous avons élevé à la hauteur d’une vertu première — et qui légitime
11 arde de confondre le plan littéraire avec le plan moral . Telle action peut paraître gratuite au lecteur parce qu’il ne sait p
12 n morale. Impossibilité de faire mon autoportrait moral  : je bouge tout le temps. Danger de faire mon autoportrait moral : je
13 e tout le temps. Danger de faire mon autoportrait moral  : je me compose plus laid que nature. Faut-il conclure avec Gide : « 
14 fférent », ce qui est la négation de tout progrès moral . De la sincérité envisagée comme moyen de connaissance, le cas extrêm
8 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
15 (guerre de la confession d’Augsbourg) et surtout morales  : car malgré des félicitations arrachées par Louis XIV au pape, les c
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
16 oin d’évasion qui est la condition de son progrès moral . C’est ainsi qu’il consent, non sans une imperceptible satisfaction,
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
17 un homme. » Voilà qui nous fait oublier certaines morales d’extrême moyenne d’où sont exclues toutes grandeurs au profit de fui
18 ience toujours ratés — on ne m’y prendra plus ! —  morales américaines et hygiéniques en tous genres, instruction publique, situ
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
19 ns la confusion où je parais être engagé, du plan moral avec l’économique, qu’une expression nouvelle, et non dénuée d’ironie
20 etient de tirer de votre conduite les conclusions morales qu’elle paraît impliquer, c’est ce caractère de, comment dirai-je…, d
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
21 nt ou ne veulent y voir que révoltes contre leurs morales , ou menaces pour leurs instables certitudes, et qui nous font un péch
13 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
22 9, et leur façon inexplicable de lier des valeurs morales aux cours de bourse. « Heureux quoique pauvre » comme ils disent dans
23 lier de plaisirs, avec assurance contre faillites morales et douleurs d’amour — ô vertige sans prix du lâchez-tout ! Ils ont in
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
24 M. Marcel de ce qu’elle « mène loin… dans l’ordre moral  ». Et quand cela serait ! dirons-nous, — avec le Benda qui ne trahit
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
25 e qui devint la formule de mes premières douleurs morales . Après six ans de ce régime, on m’avait suffisamment rabroué pour que
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
26 ut bien être la vertu éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’école publique, telle que nous la voyons est semblabl
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
27 e qui devint la formule de mes premières douleurs morales . Après six ans de ce régime, on m’avait suffisamment rabroué pour que
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
28 ut bien être la vertu éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’école publique, telle que nous la voyons est semblabl
19 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
29 ne ; ils assistent à des bouleversements sociaux, moraux et surtout spirituels d’une portée planétaire, mais ils trouvent d’ex
30 a révolution morale… parce qu’elle manque de sens moral . » Le Français qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demand
20 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
31 iberté. (Je pense à la boussole autant qu’au sens moral .) Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre con
21 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
32 L’amour, loin de causer une « désorganisation du moral  », multiplie à nos yeux les correspondances. Comprenons à ce signe qu
22 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
33 des nuages qui animaient la matière d’intentions morales . Elle-même cependant est tout occupée à minéraliser l’esprit. La tâch
34 ns un discours prononcé à l’Académie des sciences morales et politiques, en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cité
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
35 ives de Goethe. Aucune arrière-pensée de jugement moral ne perce dans le ton ni dans l’agencement des incidents. Ce n’est pas
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
36 pas me laisser entraîner sur le terrain purement moral ou immoral où Gide provoque ses lecteurs à le juger, sûr d’avance que
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
37 de Gaston Frommel, dans ses Études littéraires et morales . Nous sommes certains d’intéresser les lecteurs de cette revue en cit
26 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
38 suite de méditations sur le thème du tout-ou-rien moral qui caractérise Kierkegaard. L’on y trouvera moins de paradoxe et plu
27 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
39 it se tromper, lorsqu’il note que dans ce conflit moral , Dieu est « tranquillement oublié ». Il y a visiblement chez Jean Sch
40 its négatifs, alliés à d’évidentes préoccupations morales , composent précisément ce que beaucoup se plaisent à nommer « un cara
41 e flatteur, ou commode. Cette espèce de stoïcisme moral , dans lequel nous voyons se complaire beaucoup de « protestants par t
28 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
42 ut être aliénée au premier automatisme venu, même moral , cependant que d’autre part notre esprit débrayé, comme un psychologu
29 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
43 sait l’autre. Ils n’ont pas le format physique et moral nécessaire pour intégrer, rejeter, recréer l’apport des révolutions d
30 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
44 ’Évangile — je ne dis pas les religions, ni leurs morales , ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assurance dans le monde et
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
45 e romanesque. Un Kierkegaard critique ses mesures morales , en donne la référence : ce Dieu terrible. Et sa vertu est choix. L’a
32 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
46 rien mérité, sinon la colère de Dieu. En face de morales de plus en plus débilitantes, asservies à la classe, à la race, et à
33 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
47 donnait en paix à ses déterminations physiques et morales . Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait ad
34 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
48 es marxistes nous accusent de mêler des notions «  morales  » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiqu
35 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
49 part où s’exercer : d’où les conflits purement «  moraux  » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences. Jeux des enf
50 rgueil physiques, en revanche hérissés de vanités morales et de provocantes civilités, qui viennent vous dire, entre deux bridg
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
51 part où s’exercer : d’où les conflits purement «  moraux  » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences. Jeux des enf
52 rgueil physiques, en revanche hérissés de vanités morales et de provocantes civilités, qui viennent vous dire, entre deux bridg
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
53 leine débâcle printanière des valeurs civiques et morales . L’esprit d’Hitler encore, peut-être pour longtemps, tyrannise les Eu
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
54 tristesse, ni même de la tension des contraintes morales , dont vécut le roman victorien. Faut-il penser que cette culture fut
39 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
55 ure, puisse s’y « fier » et se passer de recettes morales inventées par les anciens juifs, Kant, Joseph Prudhomme ou le pasteur
40 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
56 des autres ou parlant en général : ceci est bon, moral , cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du
41 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
57 ; l’objet pur opprime, le sujet pur s’évade ; les morales échouent, l’immoralisme n’est qu’une morale de plus ; l’athéisme cons
42 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
58 et qui met en état de crise toutes nos sécurités morales . (Ce n’est qu’à certains degrés de tension que la réalité de nos réal
43 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
59 mme un acte et non pas comme un donné physique ou moral , matériel ou abstrait. La personne, c’est l’individu engagé dans un c
44 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
60 La personne est aussi, par conséquent, l’individu moral , l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’es
45 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
61 doctrines sont contradictoires ? Les évaluations morales sont devenues presque impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la c
46 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
62 privée et la vie publique. Nous n’avons pas deux morales . Tout ce que nous allons dire sur la morale sociale ON peut être trad
47 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
63 grande correspondance existe entre tous les êtres moraux et physiques. Il n’y a personne, je le pense, qui, laissant errer ses
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
64 signifierait pas une révolution. Les évaluations morales du philosophe et les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute comm
65 au fascisme, à conduire la critique des hérésies morales que toute la bourgeoisie, et le peuple à sa suite, révèrent. Car elle
66 ouvrir la profondeur et la gravité des confusions morales dans lesquelles nous vivons. Je ne connais pas de plus salutaire leço
49 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
67 de se présenter à la table sainte dans un état «  moral  » insuffisant ; mais sait-il bien que seul l’aveu de sa totale insuff
50 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
68 disée à l’américaine, et de toutes les « méthodes morales  », puritaines. Volontaristes, pragmatistes, optimistes, scientifiques
69 ble pas à ces tentatives de violation de domicile moral . Pour entrer en contact avec les hommes, il n’y a qu’un moyen : c’est
70 t là aussi le moyen de faire tomber les barrières morales qui séparent nos contemporains, l’on s’en persuadera facilement en li
51 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
71 e faire valoir avec intransigeance. Or le critère moral de l’ancienne bourgeoisie a perdu tout prestige à nos yeux. Et les cr
72 idienne des citadins : ils ont en tête trente-six morales contradictoires et autant de modèles qu’ils voudraient égaler, et cep
52 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
73 uls ont su créer des empires solides, des valeurs morales stables, de la fidélité. Les blancs seuls savent tenir une parole, se
53 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
74 oyons un peu sur quelles difficultés. Difficultés morales d’abord. La France est démoralisée par une « oligarchie de profiteurs
54 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
75 ’économique serait le dernier mot des souffrances morales  ? Pour peu qu’on sorte de sa chambre, on est presque forcé d’en conve
55 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
76 doctrines sont contradictoires ? Les évaluations morales sont devenues presque impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la c
56 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
77 gent, selon le cours des modes, mais les réalités morales demeurent et savent se faire entendre sans discontinuer par les génér
57 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
78 donnait en paix à ses déterminations physiques et morales . Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait ad
58 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
79 des autres ou parlant en général : ceci est bon, moral , cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du
59 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
80 erbeuse, puis toute cette suite de décompositions morales que les historiens vont décrire mais que d’autres savants connaissent
60 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
81 es marxistes nous accusent de mêler des notions «  morales  » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiqu
61 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
82 privée et la vie publique. Nous n’avons pas deux morales . Et tout ce que nous disons sur la morale sociale doit et peut être i
62 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
83 ier » de cette façon. À cet égard, l’égalitarisme moral a misé sur la lâcheté humaine. C’est le contraire d’un idéal. Pers
63 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
84 e sûr appui grâce auquel on peut résister au choc moral de la surprise. Dans la panique générale, dans le désordre inévitable
85 saire de beaucoup discourir sur les autres vertus morales .) 4. Mieux vaut un convaincu sans influence sociale, que mille sympat
64 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
86 olitique européen, et personnalistes dans le plan moral , ils occupent une position originale et bien nette, particulièrement
65 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
87 e peut être utilement intégrée à notre patrimoine moral , culturel, social, national et même religieux. ⁂ Kierkegaard en tant
66 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
88 ’économique serait le dernier mot des souffrances morales  ? Pour peu qu’on sorte de sa chambre, on est presque forcé d’en conve
67 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
89 doctrines sont contradictoires ? Les évaluations morales sont devenues presque impossibles ? Oui, certes ! Sur le plan de la c
68 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
90 gent, selon le cours des modes, mais les réalités morales demeurent et savent se faire entendre sans discontinuer par les génér
69 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
91 donnait en paix à ses déterminations physiques et morales . Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait ad
70 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
92 des autres ou parlant en général : ceci est bon, moral , cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, mange du
71 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
93 erbeuse, puis toute cette suite de décompositions morales que les historiens vont décrire mais que d’autres savants connaissent
72 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
94 es marxistes nous accusent de mêler des notions «  morales  » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiqu
73 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
95 privée et la vie publique. Nous n’avons pas deux morales . Et tout ce que nous disons sur la morale sociale doit et peut être i
74 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
96 ier » de cette façon. À cet égard, l’égalitarisme moral a misé sur la lâcheté humaine. C’est le contraire d’un idéal. Pers
75 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
97 e sûr appui grâce auquel on peut résister au choc moral de la surprise. Dans la panique générale, dans le désordre inévitable
98 saire de beaucoup discourir sur les autres vertus morales .) 4. Mieux vaut un convaincu sans influence sociale, que mille sympat
76 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
99 olitique européen, et personnalistes dans le plan moral , ils occupent une position originale et bien nette, particulièrement
77 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
100 ien commun. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales , l’une privée et l’autre politique, la plupart du temps contradictoir
78 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
101 que toutes ces pseudo-mesures d’ordre culturel ou moral ont été supprimées par l’État soviétique, plus rigoureux dans son app
79 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
102 té de Dieu devient insupportable. C’est le « Dieu moral  » qui empêche, en particulier, une certaine théologie libérale de rec
103 ées, de toutes ces choses. N’est-ce pas ce « Dieu moral  » qui détourna plusieurs générations des églises où on le prêchait en
104 utation de Dieu : en somme, ce n’est que le “Dieu moral ” qui est réfuté. Il est bien significatif que les fragments de Nietz
80 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
105 rien qui s’exagère, par où j’entends : rien de «  moral  » — ou d’immoral. Et l’illusion lorsqu’elle se risque à subsister dan
106 urs à ces abstractions usuelles, à ces catégories morales ou sociales que nous croyons « toutes naturelles ». Une forme peut êt
81 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
107 n’a voulu donner, jusqu’ici, que les fondements moraux ou religieux, et certaines amorces juridiques. Autre différence, ou p
82 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
108 ards que nous pouvons porter sur les grands faits moraux et matériels du temps. Les mémoires et la correspondance du sinistre
83 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
109 s analyses nietzschéennes portant sur les valeurs morales . Il attaque l’altruisme, et démasque dans cette « vertu » les effets
110 mps, il a beau, par dépit de l’impuissant amour «  moral  », renverser les données terrestres, tenter le contact par la haine,
84 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
111 es leurs, il y a tout l’abîme qui sépare un idéal moral d’une foi au Christ vivant ? Car le chrétien n’est pas idéaliste, et
112 su ou n’a osé prévoir l’aboutissement matériel et moral de la révolution industrielle, c’est-à-dire du capitalisme. La bourge
113 lent une morale créatrice, prenant le pas sur nos morales trop idéalistes, ou cyniques. Et le triomphe d’une telle morale, à so
85 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
114 orgueil ni modestie, ni aucune espèce de valeurs morales , de même que la digestion, si vous voulez. L’idée même de s’en vanter
86 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
115 sister essentiellement dans un réveil des valeurs morales les plus traditionnelles. Valeurs de « pères de familles », morale bo
87 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
116 l donne un sens à nos vies. Alors les règles, les morales et les lois qui nous disaient d’agir dans le même temps qu’elles nous
88 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
117 ar accident, une série d’attitudes et de causes «  morales  » à une série parallèle d’attitudes et de faits visibles ; l’accent é
89 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
118 Kierkegaard pour une espèce d’esthète du paradoxe moral , pour un immoraliste avant la lettre nietzschéenne. Admettons que la
90 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
119 ien commun. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales , l’une privée et l’autre politique, la plupart du temps contradictoir
91 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
120 séduits par certains résultats matériels et même moraux , et par l’euphorie juvénile qui paraît bien s’être emparée d’une part
121 éhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin le défaut c
122 ands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix morales contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ose plus avouer à quel
92 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
123 ocialistes, sans étatiser du même coup les forces morales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la guerre : pour réussir à c
93 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
124 économiques, trans­mutation de toutes les valeurs morales , etc. Et tous ces sens se chevauchent pour former dans l’esprit des p
94 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
125 tidienne, l’on pressent chez Kafka des intentions morales , une philosophie, et la recherche au moins d’une théologie. Tout cela
126 u dessein secret de Kafka. Sa passion de l’absolu moral et religieux, sa psychologie de l’angoisse dérivent sans doute de Kie
95 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
127 ’un ensemble de causes économiques, politiques et morales , dont les « intellectuels » m’apparaissent responsables pour une part
96 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
128 cupé exclusivement par les aspects économiques et moraux , il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la puissance bourgeoise éta
129 ques. Il accorde autant d’importance aux facteurs moraux de l’histoire, et par là même sa critique se révèle plus féconde du p
130 iques, des styles de vie, des conceptions d’ordre moral . C’est ici qu’une question plus profonde me paraît devoir être posée 
97 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
131 me de la bourgeoisie, dans ses luttes sociales et morales , scientifiques et religieuses, ce fut toujours la raison raisonnante,
98 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
132 économiques., transmutation de toutes les valeurs morales , etc. Et tous ces sens se chevauchent pour former dans l’esprit des p
99 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
133 séduits par certains résultats matériels et même moraux , et par l’euphorie juvénile qui paraît bien s’être emparée d’une part
100 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
134 éhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin le défaut c
135 ands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix morales contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ose plus avouer à quel