1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 votre silence jusqu’à l’heure. Que je taise votre mot de ralliement, paradis à l’ombre des épées. Rien de moins artificiel
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 là ce que nous admirons dans le Chant funèbre. Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette œuvre : je ne sa
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
3 ur impuissance. « Il n’y a pas de pensée hors les mots  » (Aragon). Aussi se paient-ils de métaphores comme d’autres de raiso
4 c les surréalistes, c’est que — pour reprendre un mot de Cocteau — ils « embaument de vieilles anarchies ». L’ironie qui sa
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
5 Saint-John-Perse, un Supervielle parlent avec des mots de tous les jours aux vivants et aux morts : Mère, je sais très mal c
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
6 esprit de la plupart de nos jeunes moralistes. Le mot de paradoxe serait bien pauvre pour expliquer ce besoin de porter à s
7 traits de sa nature, ne connaître que les grands mots de la langue morale, suivre à l’égard de soi-même la méthode de l’Éva
6 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
8 vu, qui ont souffert, et qui ne se payent plus de mots ni d’utopies, Clerville, Janson et Brémond ont su arracher leurs audi
7 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
9 our de soi… Mais moi, qui suis-je ? Par ces trois mots commence le drame de toute vie. Ha ! Qui je suis ? Mais je le sens tr
8 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
10 victime « une sympathie (au sens étymologique du mot ) qui la renseigne du dedans, pour ainsi dire, sur la vulnérabilité de
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
11 l’autre. Pourtant, jusqu’au bout, il semble qu’un mot , un geste décisif, ou certaine amitié de la saison suffirait à dissip
12 qu’ils se soient délivrés d’eux-mêmes pour que ce mot , ce geste, soient possibles. C’est d’Armande surtout qu’on les attend
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
13 avait la nausée. Je rentrai seul. Voici quelques mots que j’écrivis à ma table en désordre où je venais de jeter mon col de
14 ès d’elle, je pourrai lui dire très vite quelques mots si bouleversants qu’avant le dernier étage… » Je délirais, bien sûr.
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
15 r ? Ces deux solutions peuvent se résumer en deux mots  : inquiétude ou foi. Dès lors sont-elles vraiment les deux termes d’u
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
16 éternelle anarchiste, la Poésie.   On dit : « Des mots  ! » au lieu de « Je ne comprends pas ». On dit : « Je ne comprends pa
17 t enfin rassuré. C’est incompréhensible !, trois mots dont l’un savant. Je ne connais pas de meilleur remède contre Dieu. M
18 vées par le repas dont vous sortez, que ces trois mots où se résume la défense de la loi sociale, patriotique, religieuse (?
19 ge votre paresse à concevoir en esprit. Ces trois mots vous ont délivré du plus absurde malaise, et vous rallumez votre ciga
20 ujateries » affectées par mépris de l’honneur, le mot de Cambronne prodigué et des phrases d’un fascinant éclat : « Ô grand
21 de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends ce mot dans son sens le plus vaste. Il y a eu quatre-vingt-treize, la Réform
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
22 de laqué, d’élégant, de « bien français » ; et le mot sang n’évoque ici qu’une tache de couleur, plus sentimental que cruel
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
23 heure plus tard, j’étais à la gare, j’écrivais un mot d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direction qu
24 qui ne sont que la traduction en actes de jeux de mots plus ou moins cruels… » — Je vous entends, interrompit Saint-Julien,
25 turelle dont il paraissait lui-même gêné. En deux mots , vous ne me trouvez pas sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais
15 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
26 hes une malicieuse et fine psychologie. Mais à ce mot , son visage s’assombrit un peu. « Tous nos ennuis nous seraient éparg
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
27 ocation de Cocteau fait fleurir sur vos lèvres le mot de Cambronne : hommage à Louis Aragon. Ce cristal est une citation de
28 un vers d’Éluard14. Et des phrases, des cris, des mots . Au défaut de l’ivresse naissante se glisse un poème où vous aimiez à
29 ves à certains états de la réalité. Mais plus les mots se plient à des exigences sémantiques — dont on connaît la portée soc
30 . Et c’est une réaction de défense. On cherche un mot , une phrase, pour tuer une réalité dont la connaissance devient doulo
31 e Muse qu’ils n’ont pas coutume d’aborder sans le mot de passe de la dernière mode ou de savantes séductions. On sait bien,
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
32 ditionnons : ils s’annulent. Il reste à dire deux mots sur la paradoxale situation intellectuelle d’une revue d’étudiants co
33 n signe d’amitié qui ne trompe pas. Deux ou trois mots , on s’est compris. Que pouvions-nous espérer d’autre ? Il y eut quelq
18 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
34 (décembre 1927)ao À ceux qui se contentent du mot fumeux pour caractériser tout lyrisme germanique, il faudra opposer l
19 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
35 re, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien français et ses applications faciles à cent célébrités locales.
20 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
36 ’accommode mal de tant de gesticulations, de gros mots et de discours en très beau style contre un monde très laid dont ils
21 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
37 à où nos psychiatres proposeraient de moins jolis mots  ; mais ce n’est pas la moindre habileté du biographe. D’ailleurs, réu
22 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
38  » qu’il a choisi comme public, et brusquement le mot éclate : menteur. Feintes et esquives adroites du « prince » qui disp
23 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
39 ie une de ces marques. Stéphane a oublié jusqu’au mot de prière. Orphée perd Eurydice par scepticisme, par esprit scientif
40 nt de protester contre le miracle. Parmi tous ses mots fous, noms, baisers, appels qui reçoivent en même temps leur réponse,
24 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
41 nd de cuir ou poète (au sens le plus large de ces mots .) (Mais je tiens à le leur dire ici : les anciens bellettriens qui on
25 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
42 ps-là on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de malices ? Noisettes et cornichons ? t. « Souvenirs d
26 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
43 criptions cascadantes, à l’orientale (on pense au mot bazar, qui sonne rouge et jaune aussi). Soudain se dresse une énorme
27 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
44 ême ; son art y gagne en densité, en émotion. Des mots simples, mais chacun dans sa mûre saveur ; une phrase naturellement g
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
45 sa petite amie, au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
46 us les sujets, espécialement sur la pédagogie. Ce mot revient souvent dans sa conversation ; il le prononce avec un inimita
47 On sent que c’est là son affaire : Monsieur en un mot est M’sieu l’Instituteur. Signes particuliers : cheveux longs, regard
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
48 Démocratie, qui est une prétention (réservons le mot d’idéal), découle cette exigence théorique : tous les enfants doivent
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
49 tes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al », tous les verbes déponents ; désormais l’étude des verbes a
50 8. Voir à l’appendice le sens que je donne à ce mot .
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
51 mprendront le sens des images.) 9. J’emploie ce mot au sens fort, au sens enivrant, 100 %. Beaucoup de gens mourront sans
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
52 répare de consciencieuses poires, des esclaves du mot . Il est clair, par exemple, que seules les victimes de l’instruction
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
53 aste arrière-fond de poésie et de grandeur que ce mot comporte — quelles qu’en soient d’ailleurs les réalisations —, par de
35 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
54 ndra les ficelles, peu importe.) Les économistes ( mot stupide) et les philosophes13 les mieux informés de ce temps s’accord
55 s le plus clair de nos forces, — le Poète dira un mot , ou bien fera un acte, et ces peuples de somnambules s’éveilleront du
56 omprendre, ici encore, c’est la peur scolaire des mots . Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les étriqués. On croi
57 ga est un drill de l’esprit. Je sais que ces deux mots sont bien dangereux et impopulaires. Tout comme ce qu’ils désignent d
58 s attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot , c’est le genre distingué de la bourgeoisie qui se monte le cou. 13
59 esoin de leurs attendus pour juger. 14. Ces deux mots en effet, terrorisent à tel point les bourgeois qu’ils n’en distingue
36 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
60 sa petite amie, au secours ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du
37 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
61 Démocratie, qui est une prétention (réservons le mot d’idéal), découle cette exigence théorique : tous les enfants doivent
38 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
62 tes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al », tous les verbes déponents ; désormais l’étude des verbes a
63 8. Voir à l’appendice le sens que je donne à ce mot , p. 57.
39 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
64 mprendront le sens des images.) 9. J’emploie ce mot au sens fort, au sens enivrant, 100 %. Beaucoup de gens mourront sans
40 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
65 oison. Au contraire, elle prépare des esclaves du mot . Il est clair, par exemple, que seules les victimes de l’instruction
41 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
66 aste arrière-fond de poésie et de grandeur que ce mot comporte — quelles qu’en soient d’ailleurs les réalisations —, par de
42 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
67 ndra les ficelles, peu importe.) Les économistes ( mot stupide) et les philosophes 13 les mieux informés de ce temps s’accor
68 ns le plus clair de nos forces — le Poète dira un mot , ou bien fera un acte, et ces peuples de somnambules s’éveilleront du
69 pirituel retrouvent le courage d’être, malgré les mots  14, des anarchistes et des utopistes. J’appelle anarchiste, tout ce q
70 omprendre, ici encore, c’est la peur scolaire des mots . Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les étriqués. On croi
71 ga est un drill de l’esprit. Je sais que ces deux mots sont bien dangereux et impopulaires. Tout comme ce qu’ils désignent d
72 s attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot , c’est le genre distingué de la bourgeoisie qui se monte le cou. 13
73 esoin de leurs attendus pour juger. 14. Ces deux mots en effet, terrorisent à tel point les bourgeois qu’ils n’en distingue
43 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
74 trospection la plus poussée. Il invente aussi des mots et en fait de courts poèmes d’une divertissante et parfois émouvante
44 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
75 . III Fais rentrer dans leur peau d’ombre ces mots qui voudraient fleurir tourne le dos ferme les poings ne fais qu’un o
45 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
76 duperie commerciale. Mais vous pensez que tant de mots pour une simple question de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien
77 ce que je vois. Ruse connue : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus penser q
78 urire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend ici sa noblesse. Mon voisin qui a la tête de Fran
46 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
79 on au milieu de vers à peine ébauchés, — quelques mots isolés, des bribes de phrases… Or, si comme je le crois et voudrais l
80 t à chercher dans leur rythme seulement, — si ces mots séparés par des suites de points ne lui servaient qu’à noter des mètr
47 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
81 gramme, jette son petit caillou. Ici, le sens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et
82 sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux mots suffiraient-ils à l’indiquer quand je m’en parle ? Tout en donnant le
48 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
83 e. Le style d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots , ce même sens à la fois scrupuleux et assuré de la qualité, qui est c
49 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
84 utorité en ne parlant jamais que par allusions et mots couverts. Il intimide un peu le lecteur qui ne se sent pas complice d
50 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
85 ns toutes les mesures, tout redevenait neuf : les mots « forme », « couleur », « architecture ». Et Dieu avait une place plu
86 ques, concernant la Vierge et les saints. En deux mots , il y a des « sujets catholiques », il n’y a pas de « sujets protesta
51 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
87 pression sur ses convictions religieuses. Mais le mot conviction ne doit être pris ici qu’au sens le plus conventionnel. Ca
88 e son pasteur préféré, la même tante Harriet a ce mot exquis : « Il prêche merveilleusement sans jamais aucune excentricité
52 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
89 t-il ? Les prêtres sont-ils, dans le vrai sens du mot , les successeurs du Christ ? Ne sont-ils pas plutôt des fonctionnaire
53 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
90 lace. » Sénancour éprouvait ce qu’il appela, d’un mot admirable, « la lenteur des choses ». C’est qu’il a pénétré dans ces
91 n plus la « virtu ». L’héroïsme, au vieux sens du mot , ne trouve plus où s’exercer. Et ce n’est guère qu’au plus obscur de
54 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
92 la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi ces deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Quel horrible e
93 de ce récit qu’il faut revenir, si l’on veut d’un mot le caractériser. Parmi les innombrables sentiments : doutes, passions
55 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
94 pé un esprit qui s’honore — on excusera le jeu de mots — d’être « non-prévenu ». Mais voici ce qu’il y a : l’on éprouve une
95 omporte. Un nom me hante, pendant que j’écris ces mots  : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des premiers, l’a prononcé e
56 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
96 à celle des deux interprétations étymologiques du mot penser. Celui-ci ayant la même origine que peser, il est loisible de
97 igine que peser, il est loisible de jouer avec le mot de la façon suivante : le Français pèse le pour et le contre ; l’Alle
98 5. C’est même peut-être la première fois que les mots bourgeois et seul se trouvent accolés, donnant cet aspect d’erreur ty
57 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
99 t fécond. Car un tel silence n’est pas absence de mots . C’est encore chez Goethe une activité réelle, et même à double effet
100 un temps, c’est l’action, la Tätigkeit — le grand mot goethéen — qui triomphera désormais. Mais une action qui par avance d
101 ce. Vous pouvez lui parler sans le troubler : les mots n’atteignent plus son rêve profond. Et le cérémonieux silence du mini
102 ce front, disent d’un sobre et méditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : « Et all
58 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
103 quelque espoir à condition de ne plus dire un mot de ne plus rien. La morte ou la nue Quand tes yeux se confo
59 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
104 ire qu’il n’y a plus de païen, au sens antique du mot , depuis que la venue du Christ a modifié la nature même de l’homme et
60 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
105 uête sur l’Humanisme, je les nouerai dans le seul mot d’actualisation. C’est le mot de passe d’une génération révolutionnai
106 ouerai dans le seul mot d’actualisation. C’est le mot de passe d’une génération révolutionnaire. Et en même temps la défini
61 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
107 euples. On le sait à Genève : tout est affaire de mots . Il n’y a pas de « guerre » en Chine, l’ordre règne à Varsovie, et en
108 tre interviewé. Nous allions oublier les derniers mots de sa déclaration. M. Durand-Dupont cherchait à nous persuader. 6. « 
62 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
109 andeau l’appelle imprudence ou générosité. Et ces mots ne désignent pas autre chose qu’une intensité ou une pureté toujours
63 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
110 acun de nous. Vérité actuelle aux deux sens de ce mot , qui sont acte et présence. Et certes notre activité serait injustif
64 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
111 e « monde-chrétien », nous exprimons par ces deux mots l’antinomie hors de laquelle toute méditation constructive reste vain
65 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
112 nifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot , le « salut » n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais en
66 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
113 et « confusion » ? Car il est trop certain que le mot démesure désigne dans l’esprit d’un bourgeois cartésien quelque chose
114 ble », — qui dans ce sens, vraiment, n’est pas un mot français. En ceci, le monde de l’Europe centrale est plus chrétien q
115 oudrais rechercher maintenant. Bienveillance — un mot des campagnes… Et ces prairies où notre adolescence encore « marche,
67 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
116 duperie commerciale. Mais vous pensez que tant de mots pour une simple question de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien
117 ce que je vois. Ruse connue : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus penser q
118 urire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend ici sa noblesse. Mon voisin qui a la tête de Fran
119 gramme, jette son petit caillou. Ici, le sens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et
120 sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux mots suffiraient-ils à l’indiquer quand je m’en parle ? Tout en donnant le
68 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
121 is presque oublié. — « Seul et séparé », ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24
122 31 mai 1929 Personne n’a fabriqué autant de mots abstraits que les professeurs allemands, et cependant, par une appare
123 ne du jardin, du premier Faust. Presque les mêmes mots  !). Doux malentendu qui nous rapproche sous la forme, respectivement,
69 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
124 l’arme en ballant, durant des heures sans dire un mot , — car il ne fallait pas effrayer le gibier sensible au moindre son d
70 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
125 e savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vous paraissent simples, évidents et indifférents. C’est pourquoi vou
126 ps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot  : courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit belle, peut-être, mais qu’ell
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
127 et « confusion » ? Car il est trop certain que le mot démesure désigne dans l’esprit d’un bourgeois cartésien quelque chose
128 ble », — qui dans ce sens, vraiment, n’est pas un mot français. En ceci, le monde de l’Europe centrale est plus chrétien qu
129 oudrais rechercher maintenant. Bienveillance — un mot des campagnes… Et ces prairies où notre adolescence encore « marche,
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
130 urire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend ici sa noblesse. Mon voisin qui a la tête de Fran
131 gramme, jette son petit caillou. Ici, le sens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et
132 sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux mots suffiraient-ils à l’indiquer quand je m’en parle ? Tout en donnant le
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
133 l’arme en ballant, durant des heures sans dire un mot , — car il ne faut pas effrayer le gibier sensible au moindre son de v
74 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
134 is presque oublié. — « Seul et séparé », ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24
135 31 mai 1929 Personne n’a fabriqué autant de mots abstraits que les professeurs allemands, et cependant, par une appare
136 ne du jardin, du premier Faust. Presque les mêmes mots  !). Doux malentendu qui nous rapproche sous la forme, respectivement,
75 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
137 it : « C’est difficile de chanter ça ce soir. Les mots vous restent dans la gorge… » Le drame ne put être joué, la plupart d
138 perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots  : nubicula est, transibit, c’est un petit nuage, il passera. » Je vi
139 squines. « C’est un petit nuage, il passera. » Ce mot me fut parole d’Évangile quand je le lus l’année dernière. À cett
140 rre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots . Petits matins déjà doux des terrasses, moments les plus aigus de la
141 et la sagesse amère des adieux, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’amour… Quand je me souvie
76 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
142 r de ce qui vient ? D’où remontent ces rythmes de mots , cette épithète, ce nœud d’idées, où je ne reconnais rien de déjà lu 
143 vivra ; quelque chose que l’on peut désigner d’un mot simple, et qui figure dans l’ordre naturel comme un reflet de la comm
77 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
144 ne reste rien à la détermination des Juges… En un mot , et pour m’exprimer sur l’esprit de cette législation dans les termes
78 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
145 par un Précis de géographie comparée et Quelques mots sur les nombres rythmiques de la prophétie… « L’ennui que j’aime à tr
146 e l’honneur protestant, il était au plein sens du mot l’homme engagé, celui qui ne revendique rien pour soi, tout pour « la
147 st à l’exemple de mon père que j’ai pensé ; et ce mot d’engagement, dont on abuse, d’où l’aurais-je pris si ce n’est de sa
148 semble aujourd’hui que pour la première fois, ces mots s’animent en moi vers un sens émouvant. Jours prolongés, non pas mult
79 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
149 ou crie, après des siècles où nul n’a prononcé un mot plus haut que l’autre, ou plus bas, de plus près ? J’ai vu percer que
80 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
150 le pénètre… Mais il sent qu’il va dire les grands mots impossibles, dans un fol abandon, et ce sera vrai. Comme tout est fac
81 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
151 tassées avec art. Nous passions les clédars (beau mot celtique, l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermions
152 moyens, qui sont ceux d’un monteur et ajusteur de mots , par métier soucieux de langage. Cadeau modeste mais peut-être utile,
82 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
153 questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots , alors qu’il eût fallu répondre à un tourment réel, maladroitement ex
154 un tourment réel, maladroitement exprimé par ces mots . Mais, bien souvent aussi, on répond mal parce qu’on prend au sérieux
155 e. Et voilà bien la seule acception chrétienne du mot « positif ». Pour les uns, « positif », c’est ce qui rapporte. Pour l
83 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
156 lle, réellement, vous cherchez à répondre ? En un mot , est-ce une question existentielle — pour employer un terme favori de
157 ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général, non moins précis, qui désigne une con
158 e. Faut-il voir là autre chose qu’une question de mots  ? Dans l’un et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir quel sens
159 e de sa défiance à l’endroit de la Providence. Ce mot peut nous fournir un autre exemple. Un chrétien qui s’écrie : c’est p
84 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
160 y fallait un cas très simple, un de ces cas où le mot « concret » devient presque synonyme de matériel. Un bras cassé (le g
85 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
161 elle-même une réalité d’un autre ordre et que les mots n’atteignent jamais directement ?… Nous développerons un jour ces thè
162 nasce).   N. B. — Le poème contient deux jeux de mots intraduisibles : « When thou hast done, thou hast not done » (vers 5)
86 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
163 ns « la critique » au sens le plus littéral de ce mot  : l’accusation qui met en état de crise l’ensemble de ces affirmation
164 , voulu décrire une dialectique qui juge tous nos mots . Je voudrais simplement en avoir dit assez pour qu’il soit inutile d’
165 raliste, parle de choix, de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de commun avec l’acte,
166 5. Qu’on nomme en France « pathos » alors que ce mot désigne en Allemagne, à peu près, la terminologie propre à un auteur.
87 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
167 e, bouleverse les anciennes déterminations, en un mot , l’acte qui libère. Le désordre dont souffre le monde nous apparaît d
168 l y a eu, en ce domaine, de grandes trahisons. Ce mot d’esprit a couvert de douteuses marchandises, et l’activité spirituel
88 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
169 ail d’un domaine dans l’autre, aboutissant, en un mot , au désordre. D’abord dans le domaine où il devrait agir, non seuleme
170 ent. Aux républicains (mais personne n’emploie ce mot , ce qui a permis de ne pas percevoir le passage du temps où tout le i
89 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
171 ints d’interrogation que Barth place derrière des mots comme religion, piété, expérience religieuse, problème de Dieu. Il n’
172 eu devient homme. Nous pouvons répéter ces quatre mots , mais en les répétant, nous n’avons pas dit la parole de Dieu, dans l
90 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
173 ous est possible maintenant de désigner d’un seul mot l’objectif de nos attaques. Le processus concret dans lequel Marx a i
174 ques que nous envisageons pour les réaliser. Deux mots toutefois sur notre attitude révolutionnaire. Certains s’étonneront p
175 liquées dans notre exposé. Voici donc en quelques mots nos positions de combat : 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’ac
91 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
176 e une raison de se montrer optimiste ? Devant des mots comme « approfondissement » ou « élargissement » de notre horizon de
92 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
177 l authentique, de l’aspect brut des choses et des mots . Imaginez, dans cette vision du monde, ce que donnerait l’usage d’un
93 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
178 en quelques traits fort simples. J’insiste sur le mot simple, qui me paraît caractériser notre siècle. On dit le contraire
179 allons voir que le simple assemblage de ces deux mots , destin et siècle, contient peut-être le secret de tout le mal dont n
180 en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le mot de Goethe, sans le savoir, ils nous enseignent que la loi seule nous
181 elle ? Voulons-nous être des personnes ? Voilà le mot lâché. Je connais la réaction qui l’accueille. Hé quoi ! dit-on, en f
182 immédiat. Acte, présence et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne
183 possède, mais c’est une consolation. Je prends ce mot dans son sens le plus fort, tel que le donne l’étymologie. Consoler,
184 ontré Dieu. 42. L’Histoire au sens hégélien du mot , c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution. q. « Destin du siècle
94 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
185 à la limite, l’héroïsme. Nous savons bien que ce mot introduit une équivoque grave. Les fascismes régnants en ont fait un
186 n flagrante ne nous empêchera pas de prononcer un mot auquel il est urgent de rendre son prestige et sa valeur d’appel. L’h
95 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
187 s caractéristiques ? N’était-ce point là selon le mot de Théodore Flournoy, tenter de « faire une guirlande en mettant bout
96 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
188 se. On serait tenté de dire : d’une action, si le mot n’était mal entendu de la plupart de nos contemporains. « L’action »,
189 , La Révolution nécessaire.e Certes, on abuse du mot révolution. On le fait synonyme tantôt d’émeute et de chambardement,
97 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
190 , et l’homme, séparé de Dieu. Pourtant le dernier mot a été prononcé. ⁂ L’effort de l’homme pour imposer au monde — mais sa
191 aractérisé dans ses effets bons et mauvais par le mot de séparation. D’une part, il constitue le ressort de toute invention
192 les antiques. ⁂ N’est-il pas significatif que le mot de Ehrfurcht qui, chez Goethe, traduit la vénération de l’homme en pr
193 tion de l’homme en présence de la Nature ; que le mot de awe, qui exprime chez les lakistes ce même sentiment mêlé d’amour
194 ême sentiment mêlé d’amour et de terreur, que ces mots soient intraduisibles en notre langue13 ? Alors que toute l’Allemagne
98 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
195 e qui s’est passé chez les bourgeois, au sujet du mot « esprit ».) Le vrai matérialiste, c’est Ramuz. Parce qu’il aime les
99 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
196 retient encore le pathos chrétien que renferme le mot . Ces quelques lignes décrivent assez bien le mouvement général de la
197 rences successives et inconsistantes — ce dernier mot est essentiel — ou, pour reprendre la phrase de Shakespeare, à une hi
100 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
198 ctrine de l’Ordre nouveau tient dans ces quelques mots  : le destin particulier de chaque homme est plus grand que tous les «