1 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
1 grois. Enfin, l’Autriche, puissance catholique et multinationale , pourrait servir de rempart à l’Europe contre l’expansion russe. Pour
2 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
2 s régionaux, et la formation d’entités régionales multinationales à l’échelle de l’Europe — toutes propositions qui étaient encore prop
3 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
3 s régions, créations d’organismes de coopérations multinationales du type de la Regio Basiliensis, unions professionnelles et industrie
4 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
4 s régions, créations d’organismes de coopérations multinationales du type de la Regio Basiliensis, mesures professionnelles et industri
5 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe des régions
5 s appelées encore périphériques, de leur vrai nom multinationales . Exemples : le triangle Maastricht — Liège — Aix-la-Chapelle, et la R
6 un peu moins efficaces. — L’exemple des régions multinationales met en évidence la nécessité de parvenir dans les plus brefs délais a
7 ticiper à des dynamismes. Ainsi, dans des régions multinationales apparaîtront des forces de rayonnement divergentes : la Romandie pour
8 -nation et à elles-mêmes au cas où elles seraient multinationales . R. — Les régions vont progressivement former entre elles un tissu d
6 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
9 es régions, création d’organismes de coopérations multinationales du type de la Regio Basiliensis, unions professionnelles et industrie
7 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
10 fs régionaux et la formation d’entités régionales multinationales à l’échelle de l’Europe — propositions proprement impensables pour un
8 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. I. Pour une nouvelle définition du fédéralisme
11 s régions, créations d’organismes de coopérations multinationales du type de la Regio Basiliensis, unions professionnelles et industrie
9 1973, Articles divers (1970-1973). Face à la crise de notre continent, l’utopie de Denis de Rougemont : l’Europe des régions (1er-2 décembre 1973)
12 t que du seul profit matériel. Et les sociétés multinationales  ? Vous dénoncez l’existence des États-nations comme une entrave à
13 les grands pouvoirs économiques, et les sociétés multinationales  ? Ne constituent-ils pas une entrave tout aussi puissante ? L’existen
14 e tout aussi puissante ? L’existence des sociétés multinationales est une démonstration de l’inadaptation de l’État-nation aux réalités
15 re d’un millier d’années ! Bien sûr, les sociétés multinationales peuvent contrecarrer certains intérêts nationaux, mais, pour revenir
16 Notez que je ne me fais pas l’avocat des sociétés multinationales  ! … sans se faire l’avocat du diable, on peut penser néanmoins que le
17 néanmoins que le souci d’adaptation des sociétés multinationales profite essentiellement à ces dernières ! Certes, elles cherchent d’a
10 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
18 e toute l’affaire, notre affaire. Les sociétés multinationales Nous allons aborder maintenant une autre « internationale » qui se
19 re en cause les États-nations, celle des sociétés multinationales . En effet, si l’État-nation n’était pas en crise, il n’y aurait pas d
20 était pas en crise, il n’y aurait pas de sociétés multinationales . C’est parce que l’État-nation, comme le dit la critique fédéraliste,
21 s trop petit et trop grand qu’il y a des sociétés multinationales . Les États-nations ont n’importe quelles dimensions, au hasard des tr
22 tières. Dès qu’on prononce ce terme de sociétés «  multinationales  » on provoque aujourd’hui des jugements stéréotypés qui ne vont pas d
23 s du tout dans la réalité de la chose : « société multinationale  », c’est nécessairement diabolique, horriblement mauvais dans tous le
24 réussit à faire sinon à créer un espace pour les multinationales  ? » Et alors la question est réglée à partir de ce moment-là. Or, je
25 ns deux types complètement différents de sociétés multinationales . Il y a celles qui sont axées sur la puissance, qui réunissent le plu
26 iétés américaines mais aussi beaucoup de sociétés multinationales européennes qui jouent ce rôle-là, par exemple : les pétroliers, et ç
27 ctivités économiques de s’y intégrer. Il y a donc multinationale colonisante, et multinationale à caractère de développement ? Une mul
28 égrer. Il y a donc multinationale colonisante, et multinationale à caractère de développement ? Une multinationale qui travaille par e
29 multinationale à caractère de développement ? Une multinationale qui travaille par exemple dans le lait, l’alimentation et les produit
30 ls ne la font à Paris. Précisément, vis-à-vis des multinationales du type que j’appellerai colonisateur, il s’agit de trouver un pouvoi
31 ibles du terme. Notez cependant que le danger des multinationales qui fascine actuellement l’attention de la presse, des partis, de l’o
32 elle région exactement de la même manière que les multinationales vis-à-vis de telle ou telle nation, qui sont en train de détruire san
33 actement comparables à ceux que l’on reproche aux multinationales . La seule différence c’est que les frontières ont été supprimées entr
34 e que je dis là ne vise pas à exonérer toutes les multinationales , mais à augmenter la méfiance à l’égard des trop grandes sociétés qui
11 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
35 rd’hui est une Europe taillée à la convenance des multinationales . Si cette Europe-là se réalise, ce sera pour le plus grand profit d’u
12 1977, Articles divers (1974-1977). Pierre Desgraupes fait le point avec Denis de Rougemont (10 octobre 1977)
36 on ! Mes dix-neuf collègues représentent tous des multinationales , des producteurs d’électricité, des fabricants de pièces de centrales
13 1977, Articles divers (1974-1977). Écologie, régionalisme, fédéralisme : l’avenir selon Denis de Rougemont (30 décembre 1977)
37 us en plus grande et à partir des années 1960 aux multinationales . Mais le tiers-monde continuera-t-il à se laisser exploiter, continue
14 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
38 nstruisent des réacteurs, nous constatons que les multinationales sont seules capables d’assurer nos indépendances nationales. Aussi lo
15 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
39 reprises158, mais simultanément à la formation de multinationales , la grande entreprise nationale se découvre de plus en plus mal adapt
40 faudrait agir : circulation automobile, sociétés multinationales , pollution. Dans la revue d’une association nationale qui entend repr
16 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
41 e-ci se joue de lui, en réalité, par le biais des multinationales . S’il n’y avait plus d’États-nations, et une monnaie commune pour l’E
42 ations, et une monnaie commune pour l’Europe, les multinationales deviendraient des sociétés de production comme les autres. Elles perd
17 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
43 -il ? Pour l’essentiel, ils dépendent de quelques multinationales . Revenons à l’exemple de l’énergie nucléaire, qui est censée rendre l
44 c, à l’ère atomique, la France dépendrait de deux multinationales et, en plus, des USA et de l’URSS pour le combustible (puisqu’elle po
45 e de ce que je viens de vous décrire à propos des multinationales . Ils ne doivent pas nous obnubiler. Ce qu’il faut définir, c’est ce q
18 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
46 cheté des brevets de construction à Westinghouse, multinationale américaine, et son capital est constitué avec seulement 30 % des fond
47 tenté de reprendre ses billes) — et par Siemens, multinationale allemande. Et le président est le baron belge Empain. Qu’y a-t-il de
19 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
48 il s’agisse de celle des bureaux, ou de celle des multinationales , ou de celle des esprits et des cœurs, de celle des peuples. Et voilà
20 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
49 financiers, d’industriels, de gouvernements ou de multinationales … C’est faux. L’Europe, c’est une nécessité qui s’inscrit dans le cour
21 1979, Articles divers (1978-1981). Rapport au peuple européen (9 mai 1979)
50 riels au service de gouvernements dominés par les multinationales … Soyons sérieux : l’union de l’Europe est simplement une nécessité, l
22 1979, Articles divers (1978-1981). L’Europe : idéal… et moyen de survie (3 août 1979)
51 riels au service de gouvernements dominés par les multinationales … Soyons sérieux : l’union de l’Europe est simplement une nécessité, l
23 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
52 que le travail ; en partie au transfert (par les multinationales ) de nos technologies aux pays du tiers-monde ; enfin à une certaine l
53 ix », puis des Neuf ou des Douze. Les progrès des multinationales s’inscrivaient dans cette prétendue « nécessité » économique. L’ère d
24 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
54 gard (procédé auquel recourent habituellement les multinationales ). La seconde mesure générale étant de confier à des agences continent
25 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’Europe et le tiers-monde
55 e de la main-d’œuvre à bon marché, qui permet aux multinationales européennes, exportatrices de technologies, de faire des bénéfices tr
26 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
56 e automobile (General Motors) et ses annexes, les multinationales pétrolières (Exxon), déterminent la conjoncture industrielle mondiale
57 d des gouvernements et des sociétés nationales ou multinationales . (Aller plus loin serait se condamner, je le crains, à ne plus trouve