1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 n, et de l’autre dessinant dans l’air des phrases musicales . Après quoi Richardot, entrant par la fenêtre, vint annoncer qu’on ét
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
2 ens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 ens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 regards est infini, est indéfiniment grandiose et musical . Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient point
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 ens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 regards est infini, est indéfiniment grandiose et musical . Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient pas t
7 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
7 le provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale , donc romane-syrienne puisque le plain-chant est roman-syrien — et le
8 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
8 que ? D’abord, je vous dirai qu’il y a 30 parties musicales et que le choral du premier acte par exemple forme le centre même de
9 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
9 rique : non seulement dans ses formes verbales et musicales , mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
10 oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage musical . Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
10 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
11 Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical , c’est en vertu de l’affinité originelle de ce mode d’expression et d
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
12 rique : non seulement dans ses formes verbales et musicales , mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
13 oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage musical . Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
14 ttfried que Wagner va ressusciter par l’opération musicale . Le monde créé appartient au démon. Tout ce qui dépend de son empire
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
15 Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical , c’est en vertu, de l’affinité originelle de ce mode d’expression et
13 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
16 rique : non seulement dans ses formes verbales et musicales , mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
17 oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage musical . Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
18 ttfried que Wagner va ressusciter par l’opération musicale . Le monde créé appartient au démon. Tout ce qui dépend de son empire
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
19 Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical , c’est en vertu de l’affinité originelle de ce mode d’expression et d
15 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
20 lois de l’harmonie et du contrepoint ; les genres musicaux et littéraires ; les conventions de l’opéra et de la danse ; les pers
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 ens des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
22 regards est infini, est indéfiniment grandiose et musical . Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient pas t
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
23 pour l’Europe et pour l’humanité. » Grande prose musicale , et qui n’est pas indigne du poète de l’Exil et d’Anabase. Lorsqu’il
19 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
24 rs procédés techniques ou rhétoriques, des formes musicales et littéraires inventées ici ou là, et elles en vivent encore, dans l
20 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
25 Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)i Motifs et objectifs
26 fs L’un des faits les plus frappants de la vie musicale actuelle en Europe, c’est que des œuvres de compositeurs célèbres de
27 otifs extra-musicaux. La situation de la critique musicale d’après-guerre est également peu satisfaisante du point de vue intern
28 ment pas joués. De nombreux problèmes de critique musicale , qui devraient être discutés sur un plan international, restent sans
29 réponse : ainsi la relation entre les techniques musicales contemporaines et la qualité des nouveaux publics populaires, ou le r
30 œuvres basées sur elles. En outre, les critiques musicaux ne peuvent que très rarement rencontrer de jeunes compositeurs et éta
31 férence internationale de compositeurs, critiques musicaux et exécutants. Elle aura lieu au printemps 1954, à Rome. Ses buts son
32 Rome 75 à 100 personnes (compositeurs, critiques musicaux et exécutants) de différents pays d’Europe et d’Amérique, pour partic
33 re, de compositeurs, chefs d’orchestre, critiques musicaux et musicologues, dressera des listes, d’après lesquelles seront chois
34 ir de base aux discussions. Le Comité consultatif musical du Centre décidera des thèmes des conférences et discussions. Le Cong
35 sera proposé à bref délai aux membres du Conseil musical . Dès que ces derniers auront donné leur accord, des lettres personnel
36 nitive) : 1. Musique et politique. 2. La fonction musicale crée-t-elle encore ses organes ? 3. Technique, style, esthétique. 4.
37 e l’opéra moderne sur le développement du langage musical . 5. Qu’est-ce qu’un bon programme ? i. « Une nouvelle initiative d
38 ve du CEC : Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants », Bulletin du Centre européen de la culture, n° 8-9, d
21 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
39 que le Prix littéraire européen et la Conférence musicale . Il a ainsi doté l’Europe d’un instrument de coopération intellectuel
22 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
40 urs enfants des chansons du régiment. Un folklore musical considérable, riche en chefs-d’œuvre charmants, narquois ou mélancoli
23 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
41 ommes connaissant toute l’histoire des techniques musicales . Mais il y a plus. Le public d’aujourd’hui, immensément élargi par la
42 Pierre Boulez, « Éventuellement… », dans la Revue musicale d’avril 1952 — étude par ailleurs importante et fort intelligente.
43 ef de leur coffre. Mais d’où tant de perspicacité musicale vint-elle à Denis de Rougemont ? Il habite Ferney ; le génie du lieu
44 st donc pour rien. (Ce n’est pas pour des raisons musicales que Voltaire ne prisait pas Rousseau.) Mais il y a que Denis de Rouge
24 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour les grands festivals de musique l’Europe est faite ! (octobre 1955)
45 par le CEC, sur une proposition de son conseiller musical , Igor Markevitch, les directeurs d’une quinzaine de grands festivals
46 s tel autre pays. L’organisation de « pèlerinages musicaux  » sera développée dans un souci de qualité culturelle. Un bulletin pé
47 informations destiné à la presse et aux critiques musicaux paraîtra prochainement. Enfin, la brochure-programme sera sensiblemen
48 sur les nouveautés intéressantes dans le domaine musical sera constitué sans délai. III. Entreprises communes. — L’étude d’un
49 reprises communes. — L’étude d’un projet de revue musicale européenne des festivals sera reprise sur des bases nouvelles. Des ar
25 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
50 de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres musicales modernes, projections de films ; expositions de publications (livres,
51 seront pas difficiles à imaginer. Les exécutions musicales d’œuvres soviétiques sont quasi quotidiennes en Occident· : Prokofiev
26 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
52 uses des chefs, quelques éléments folkloriques et musicaux … (Focillon parle à juste titre d’un « orientalisme de pays froid ».)
53 (surtout postérieure à Beethoven) qu’au folklore musical dont se réclamait l’idéologie nationaliste de certains de ses représe
54 sses allaient renouveler et même régénérer la vie musicale et théâtrale de l’Occident. Mais voici l’été de 1914 : il surprend l
27 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Nouvelles culturelles européennes (août-septembre 1956)
55 écouvertes et inventions ; créations littéraires, musicales et artistiques de portée européenne ; résultats obtenus par des œuvre
28 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
56 le qu’on me dit voisine de la misère. Les milieux musicaux ont loué sa « dignité ». Stravinski vient d’écrire sur commande une œ
57 , le grand public à cause de l’œuvre, les milieux musicaux à cause du cachet, et les critiques à cause des deux. La sottise et l
29 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
58 it donner aux créateurs et responsables de la vie musicale de nos pays l’occasion d’exprimer leurs vues sur « le phénomène festi
59 êt très vif porté aux festivals, dans les milieux musicaux  : en effet, sur 80 questionnaires envoyés, 43 nous sont revenus rempl
60 nstrument, les chorales populaires, les Jeunesses musicales , Bach et Mozart et Tchaïkovski sifflotés dans les rues de toutes nos
61 rouver une base de jugement, permettant au public musical de s’orienter. La suggestion de créer un jury international, qui aura
62 mouvement, à « européaniser » les manifestations musicales , illustrant ainsi par des propositions concrètes les conclusions géné
30 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
63 tionale de compositeurs, critiques et interprètes musicaux à Rome (5-16 avril). — Signature des statuts et ouverture de la Fonda
31 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
64 aghilev) qui reviennent apporter un nouveau style musical à notre Europe de l’Ouest. Le périple de la peinture est à peu près l
32 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
65 re autres le Congrès de compositeurs et critiques musicaux à Rome, en 1953, le Prix européen de littérature, et l’initiative de
33 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
66 nées. Un comité d’experts en éducation et un jury musical présidèrent au choix des expériences-pilotes et des compositeurs. En
34 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
67 e verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef musicale  : « Chaque être connaît le mode de prière et de glorification qui lui
35 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
68 ’expression totale de la passion ne peut être que musicale . « Par la musique, les passions jouissent d’elles-mêmes. »94 L’un par
69 clut », l’expression de Don Juan ne peut être que musicale . Et c’est pourquoi le seul Don Juan conforme au mythe95, c’est le Don
70 l’opéra lui-même (dont la pénétration proprement musicale est stupéfiante, Kierkegaard se disant lui-même un « amateur » sans a
71 ractère, mais puissance et vie, donc « absolument musical  », les autres personnages, qui ne sont que passions déterminées par D
72 rminées par Don Juan, sont dans cette mesure même musicaux . « On peut arriver pendant la représentation, on est immédiatement au
73 ertaine manière (que précise l’analyse des thèmes musicaux ), il est « placé en dehors de la pièce, ou il la circonscrit ». Comme
74 ation n’a pu manquer de réveiller dans la mémoire musicale de Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’Invocation à la Nu
75 « Les stades de l’érotique spontané ou l’érotique musical  » (troisième stade). 97. Étapes sur le chemin de la vie, « In Vino
76 énie créateur de Mozart (Essai sur l’instauration musicale des personnages dans Les Noces de Figaro, Don Juan, La Flûte enchanté
77 les analyses de Kierkegaard. À coup de citations musicales et dans le langage de son art, Breydert illustre abondamment l’intuit
78 on art, Breydert illustre abondamment l’intuition musicale de Kierkegaard, que celui-ci voulait attribuer à « la sûreté omniprés
36 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
79 u monde charnel, par son sens cosmique du langage musical , par sa rondeur, sa pesanteur et sa bonhomie sensuelle, plus encore q
37 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Présence des mythes et leurs pouvoirs dans divers ordres
80 iment ou ambition, à son expression littéraire ou musicale ou picturale, c’est-à-dire au langage en général, mais sous ses forme
38 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
81 ’expression totale de la passion ne peut être que musicale . « Par la musique, les passions jouissent d’elles-mêmes.23 » L’un par
82 clut », l’expression de Don Juan ne peut être que musicale . Et c’est pourquoi le seul Don Juan conforme au mythe24, c’est le Don
83 l’opéra lui-même (dont la pénétration proprement musicale est stupéfiante, Kierkegaard se disant lui-même un « amateur » sans a
84 ractère, mais puissance et vie, donc « absolument musical  », les autres personnages, qui ne sont que passions déterminées par D
85 rminées par Don Juan, sont dans cette mesure même musicaux . « On peut arriver pendant la représentation, on est immédiatement au
86 ertaine manière (que précise l’analyse des thèmes musicaux ), il est « placé en dehors de la pièce, ou il la circonscrit ». Comme
87 « Les stades de l’érotique spontané ou l’érotique musical  » (troisième stade). 26. Étapes sur le chemin de la vie, « In Vino
39 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
88 istence de Gide, n’est donc ni « littéraire », ni musicale , comme chez Kierkegaard et chez Nietzsche. Elle n’est même pas consci
40 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
89 e verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef musicale  : « Chaque être connaît le mode de prière et de glorification qui lui
41 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
90 dans l’entre-deux, cela ne fait pas une tradition musicale  ; et les épopées symboliques démesurées d’un Carl Spitteler ne suffis
42 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
91 , définis en termes de structures et de relations musicales pour la conscience. Le primat de l’éthique ensuite : « Ne jugeons poi
92 ale équivaut à la mort de Dieu pour la conscience musicale  ». L’atonalité serait-elle la définition du péché, en termes de techn
93 le la définition du péché, en termes de technique musicale  ? Dans ce contexte, une autre thèse me frappe : la musique est d’Euro
43 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
94 ve pas de vrais créateurs suisses dans le domaine musical . Cette lacune de plus d’un millénaire est presque sans exemple dans l
95 « indicatif » de la cité. Au xixe siècle, la vie musicale des villes s’organise sous la direction compétente de chefs allemands
96 ermet à Genève et Paul Sacher à Bâle. À cette vie musicale intense durant toute la saison d’hiver, s’ajoutent en été des festiva
97 une occasion populaire) est une forme de théâtre musical proprement suisse. Lorsqu’on me demanda d’en écrire un (ou quelque ch
98 z. Avec « La Belle de Moudon », charmante comédie musicale et, si l’on veut, la « Danse des Morts » inspirée à Claudel par des f
44 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
99 de ces tableaux, monuments, œuvres littéraires ou musicales . Ayant acquis une idée de la manière dont tout cela a été fait, il lu
45 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
100 ravinsky, qui a créé en Suisse la meilleure œuvre musicale « de chez nous », L’Histoire du soldat. On peut citer les prix Nobel
101 rté Karl Barth pendant longtemps ; en composition musicale , nous avons exporté Honegger ; en littérature, nous avons exporté Bla
46 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
102 rs procédés techniques ou rhétoriques, des formes musicales et littéraires inventées ici ou là ; et elles en vivent encore, dans
47 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC
103 dans l’édition les guildes du livre ; dans la vie musicale , la vogue des festivals ; et dans l’enseignement, la notion subversiv
48 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
104 de ces tableaux, monuments, œuvres littéraires ou musicales . Ayant acquis une idée de la manière dont tout cela a été fait, il lu
49 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
105 ommes connaissant toute l’histoire des techniques musicales . Mais il y a plus. Le public d’aujourd’hui, immensément élargi par la
106 8. Pierre Boulez, Éventuellement… dans la « Revue musicale  », avril 1952 — étude par ailleurs importante et fort intelligente.
50 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
107 et vallées qui relient les hauts lieux de la vie musicale . Le circuit le plus intérieur pourrait partir de Lucerne, par exemple
108 r sa petite note séductrice dans la grande rumeur musicale de nos étés européens ? Si je n’en ai nommé qu’une trentaine, c’est p
109 cologues, critiques et « animateurs » d’émissions musicales à la radiotélévision, sur le phénomène festival dans la société d’auj
110 ouvent un festival viable. (Le cas des « semaines musicales  » d’été organisées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou Zuric
111 ulement à la radio-télévision et dans la critique musicale des magazines hebdomadaires dont ils deviennent une rubrique régulièr
112 re en produisant ses propres œuvres, son dialecte musical particulier, mais bien par une certaine manière qui n’est qu’à lui de
51 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
113 rence de cultures. Second exemple. Le jazz, style musical , style de chant et de danse, et presque style de vie depuis 1920 pour
114 , d’Apollinaire à Picasso, en passant par l’école musicale dite groupe des Six. Ces exemples d’interférences culturelles pourrai
52 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
115 ue naît avec le chant grégorien — premier langage musical européen — au vie siècle en Italie, s’enrichit au couvent de Saint-G
116 monde des corps et de l’intellect. Les structures musicales se raccordent au psychisme de l’homme européen qui a conçu les machin
53 1971, Articles divers (1970-1973). L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)
117 le naît avec le chant grégorien — premier langage musical européen — au vie siècle en Italie ; s’enrichit aux couvents de Jumi
54 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
118 inent, des films, des ballets et des compositions musicales manifestaient diverses « lectures » assez libres de mon ouvrage. Voil
119 é du Roman primitif, par l’expérience poétique et musicale . C’est une question d’oreille et non de preuves écrites ou de sources
120  au commencement était le Chant, qui est le Verbe musical  — et cela tient à la nature même de l’amour, de cet amour-passion que
121 sur la mélodie. La forme strophique est d’essence musicale … Le seul texte musical que nous possédions de Guillaume de Poitiers u
122 strophique est d’essence musicale… Le seul texte musical que nous possédions de Guillaume de Poitiers use des mêmes formules m
55 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
123 donnait sa valeur réelle à cette forme plastique, musicale , ou magique. Et sans plus de souci de l’intégrer à notre tradition ch
124 niveau microscopique des effets d’une forme (ici musicale ) que l’on impose à la sensibilité d’un peuple, — lequel n’est pas en
125 monde des corps et de l’intellect. Les structures musicales se raccordent au psychisme de l’homme européen qui a conçu les machin
56 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
126 ation d’une part ; « concert européen », concours musical et bourses pour de jeunes compositeurs d’autre part. Un domaine « pop
57 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
127 anente à l’expression, premièrement littéraire et musicale (au xiie siècle), puis théâtrale dès la fin du xvie siècle, enfin c
128 ’Isolde agonisante au dernier vers du grand poème musical de Wagner. L’amour-passion n’est donc pas le mélange, mais la composi
58 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
129 et vallées qui relient les hauts lieux de la vie musicale . Le circuit le plus intérieur, celui qui pourrait partir de Lucerne,
130 r sa petite note séductrice dans la grande rumeur musicale de nos étés européens ? Si je n’en ai nommé qu’une trentaine, c’est p
131 de son article sur la coopération dans le domaine musical . Ce jeune chef prestigieux connaissait les problèmes artistiques et p
132 é de les amener à se concerter — terme éminemment musical … Il avait son idée là-dessus. Pour ma part, je venais de fonder le Ce
133 musicologues, critiques et animateurs d’émissions musicales à la radiotélévision, sur le phénomène festival dans la société d’auj
134 ouvent un festival viable. (Le cas des « semaines musicales  » d’été organisées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou même
135 eulement à la radiotélévision et dans la critique musicale des magazines hebdomadaires dont ils deviennent une rubrique régulièr
136 nt en produisant ses propres œuvres, son dialecte musical particulier, mais bien par une certaine manière qui n’est qu’à lui de
59 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
137 ue par l’idéalisation, le rêve ou la belle phrase musicale . Au contraire, elle surgit lentement, difficilement, comme malgré lui
60 1979, Articles divers (1978-1981). Le mythe et l’opéra (1979)
138 ps, impur, hybride, plus méli-mélo dramatique que musical ou vraiment théâtral. Par-dessus tout le condamnaient ses caractères
61 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
139 ration quotidienne de violence physique, verbale, musicale et morale. Mais quand la politique devient spectacle, le citoyen devi
62 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
140 e aux indices de lecture, à l’intensité de la vie musicale et artistique, à la quantité des inventions techniques, au nombre des
63 1985, Articles divers (1982-1985). Éloge de Jean Starobinski (1985)
141 la critique, à l’histoire elle-même, le caractère musical et la plénitude d’une création indépendante. Belle ambition, soutenu