1 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
1 e du cas pathologique. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’on a vu sévir parmi certains milieux d’avant-garde une confusion a
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2 ment le devenir révolutionnaire. Mais c’est de la mythomanie  ; les « Forces économiques », dont ils parlent avec tremblement, n’ex
3 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
3 ment le devenir révolutionnaire. Mais c’est de la mythomanie  : les « Forces économiques », dont ils parlent avec tremblement, n’ex
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
4 ment le devenir révolutionnaire. Mais c’est de la mythomanie  : les « Forces économiques », dont ils parlent avec tremblement, n’ex
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
5 tendu traduire, ce qui reviendrait à les taxer de mythomanie . La ferveur littéraire indiscrète, qui fera sans doute le succès de c
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
6 ment le devenir révolutionnaire. Mais c’est de la mythomanie  : les Forces économiques, dont ils parlent avec tremblement, n’existe
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
7 de. Mais il s’agit plutôt des contorsions de leur mythomanie politique, subitement confrontée avec un fait brutal. La disproportio