1
e « qui fait lever la haine ». « La faiblesse est
mère
du combat. » C’est donc à un lacédémonisme renouvelé que nous conduir
2
mots de tous les jours aux vivants et aux morts :
Mère
, je sais très mal comme l’on cherche les morts… « … Cette chose haute
3
e qu’il existe divers ordres de sainteté ». Cette
mère
qui s’est sacrifiée aux siens, n’était-ce pas une sainte, comme ce mi
4
ine rudesse. « Il s’examine jusqu’au ventre de sa
mère
et cognoit que dès lors il a esté corrompu et infect et adonné à mal
5
souvenir. Qui parmi nous sait encore parler de sa
mère
avec cette virile et religieuse tendresse ? C’est un Chinois, c’est u
6
renaissance de l’esprit dont elle devrait être la
mère
. Elle favorise le culte exclusif de l’utile, l’incompréhension brutal
7
renaissance de l’esprit dont elle devrait être la
mère
. Elle favorise le culte exclusif de l’utile, l’incompréhension brutal
8
z émouvant, on entrevoit la famille indignée, une
mère
qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le livre se résout dans une ame
9
car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
10
de Dieu fût invoqué (je pense au testament de la
mère
par exemple), c’est au « sort » que l’on s’en remet, ni plus ni moins
11
qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma
mère
me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la rencontre de ton père
12
car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
13
e, « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa
mère
, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui
14
qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma
mère
me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la rencontre de ton père
15
car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
16
autre secret : il sait que l’un des frères de sa
mère
complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Empire. Voilà
17
e, « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa
mère
, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui
18
erre ou en légume. On peut aimer un pays comme sa
mère
, un autre comme sa femme, un autre comme les femmes, un autre enfin c
19
eux Allemands, et quinze Français. (Du côté de ma
mère
, du sang prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-grand
20
il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa
mère
et naître ? Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si u
21
, celle-là justement — rentrer dans le sein de sa
mère
! Et tous ces galopins viennent aujourd’hui prétendre que c’est cela
22
ur un instant) : où on a en commun un Père et une
Mère
, où la grande parenté des hommes est entr’aperçue pour un instant. Ca
23
d’une civilisation est sans nul doute la question
mère
de toute problématique culturelle. Mais une mesure n’est en soi ni vr
24
charbons, et cette épreuve le fortifie. » Mais la
mère
, Métaneire, fait irruption. « Elle repoussa la déesse et tout le surh
25
chômeurs ? On m’a dit qu’il y en a 400 à A ? » La
mère
, vivement : « Jamais je n’ai engagé de chômeurs, Monsieur, c’est un p
26
— Je vais chez les Calixte. On nous a dit que la
mère
a la grippe. Je trouve à la cuisine la fille et une voisine. Elles se
27
r faire une lessive à la maison pour remplacer sa
mère
. Nous manquons de corde pour étendre le linge ; elle imagine de le me
28
des heures, la petite chienne Marquise — c’est la
mère
du basset Pernod — a trottiné tout gentiment sur les restanques, en f
29
et reprend, l’œil fixe, son travail invisible de
mère
. C’est beau. C’est fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant co
30
it le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte
mère
. Le matin je me dis : qu’est-ce qu’on va manger, ce jour ? Je n’avais
31
chefs allemands (22e mille) ; Race et humour ; La
mère
allemande (80e mille) ; Le livre des femmes nationales-socialistes ;
32
Qu’importe, puisque le but final est la richesse,
mère
du bonheur. N’est-ce pas là ce que voulait Marx ? Résumons : Marx n’a
33
it le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte
mère
. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais
34
et reprend, l’œil fixe, son travail invisible de
mère
. C’est beau. C’est fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant co
35
? On m’a dit qu’il y en a quatre-cents à A… ?… La
mère
, vivement : — Jamais je n’ai engagé de chômeurs, monsieur, c’est un p
36
— Je vais chez les Calixte. On nous a dit que la
mère
est malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se
37
r faire une lessive à la maison pour remplacer sa
mère
. Nous manquons de corde pour étendre le linge ; elle imagine de le me
38
des heures, la petite chienne Marquise — c’est la
mère
du basset Pernod — a trottiné tout gentiment sur les restanques, en f
39
ai déjà vue, et dont je me souviens… Image de la
mère
, sans nul doute, et la psychanalyse nous apprend quels empêchements t
40
du xxe siècle : or plus encore que l’image de la
Mère
, ce qui les tyrannise, c’est la « beauté standard ». De nos jours — e
41
. — Traduisez-moi le titre ! — « Petit manuel des
mères
». Rageur, il fouille dans les mouchoirs. Nouvelle discussion à propo
42
rahisse son honneur : c’est qu’elle est née d’une
mère
russe. (Tout métis a la trahison dans le sang.) On voit un vieux past
43
» de beauté féminine (souvenir inconscient de la
mère
) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu
44
u viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la
Mère
, Nietzsche poursuit l’image obscure, et à lui-même infiniment secrète
45
us inquiète, lorsque le fils apprit le sort de la
mère
… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me donna le jour
46
re… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma
mère
me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leu
47
tion de la beauté, n’est-ce pas le souvenir de la
mère
« fixé » dans sa mémoire secrète ? ⁂ Si telles sont bien les causes d
48
voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de
mère
naquit La tiens dedans mes bras, donc plus ne me soucie Ni de jaloux
49
la Trinité, et le dernier quart par amour pour la
Mère
céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et
50
peut bien parler de la tragédie, dont elle est la
mère
et la fille Toutefois, dans le cas de Tristan, l’élément plastique in
51
mi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des
mères
qui procréent des soldats, bref de tous les « moyens de production »,
52
ai déjà vue, et dont je me souviens… Image de la
mère
, sans nul doute, et la psychanalyse nous apprend quels empêchements t
53
du xxe siècle : or plus encore que l’image de la
Mère
, ce qui les tyrannise, c’est la « beauté standard ». De nos jours — e
54
loyé seulement pour définir les rapports entre la
mère
et les fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’affection pour
55
de la mystique germanique. Nous savons que par sa
mère
et par certains amis de celle-ci, tel le curé Matthias Hattinger, le
56
est le père du travail, dont la discipline est la
mère
, et dont la fille est la prospérité… Les compagnons. — Hou ! Hou
57
Tout cela est vrai, frère Claus. Mais songe aux
mères
, à Dorothée, à tes enfants ! Toi seul peux nous sauver par ton exhort
58
us inquiète, lorsque le fils apprit le sort de la
mère
… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me donna le jour
59
re… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma
mère
me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leu
60
tion de la beauté, n’est-ce pas le souvenir de la
mère
« fixé » dans sa mémoire secrète ? ⁂ Si telles sont bien les causes d
61
répond Marie, symbole de pure Lumière salvatrice,
Mère
intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Juge plein de douceu
62
voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de
mère
naquit La tient dedans mes bras, donc plus ne me soucie Ni de
63
la Trinité, et le dernier quart par amour pour la
Mère
céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et
64
u fils contre le père (obstacle à l’amour pour la
mère
) et par le sentiment de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’aut
65
social et moral ; le poids de l’interdit lié à la
mère
(donc au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la f
66
rtement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et
Mère
… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se concentre aut
67
elle-même une chose sacrée, une incarnation de la
Mère
. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs à tous les
68
nte synthétise toute la nature féminine, elle est
mère
, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut79 ». Ainsi le tantr
69
Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de la
Mère
, de la Vierge. Il participe de cette épiphanie de l’Anima, qui figure
70
nté de la Déesse Minne, reviviscence de la Grande
Mère
des plus vieilles religions de l’humanité. Mais sitôt absorbé, le phi
71
peut bien parler de la tragédie, dont elle est la
mère
et la fille. Toutefois, dans le cas de Tristan, l’élément plastique i
72
mi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des
mères
qui procréent des soldats, bref de tous les « moyens de production »,
73
ai déjà vue, et dont je me souviens… Image de la
mère
, sans nul doute, et la psychanalyse nous apprend quels empêchements t
74
du xxe siècle : or plus encore que l’image de la
Mère
, ce qui les tyrannise, c’est la « beauté standard ». De nos jours — e
75
us inquiète, lorsque le fils apprit le sort de la
mère
… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me donna le jour
76
re… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma
mère
me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leu
77
tion de la beauté, n’est-ce pas le souvenir de la
mère
« fixé » dans sa mémoire secrète ? ⁂ Si telles sont bien les causes d
78
répond Marie, symbole de pure Lumière salvatrice,
Mère
intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Juge plein de douceu
79
voir aube ni jour Car la plus belle fille qui de
mère
naquit La tient dedans mes bras, donc plus ne me soucie Ni de jaloux
80
la Trinité, et le dernier quart par amour pour la
Mère
céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et
81
u fils contre le père (obstacle à l’amour pour la
mère
) et par le sentiment de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’aut
82
social et moral ; le poids de l’interdit lié à la
mère
(donc au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la f
83
rtement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et
Mère
… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se concentre aut
84
elle-même une chose sacrée, une incarnation de la
Mère
. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs à tous les
85
nte synthétise toute la nature féminine, elle est
mère
, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »70. Ainsi le tantr
86
Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de la
Mère
, de la Vierge. Il participe de cette épiphanie de l’Anima, qui figure
87
nté de la Déesse Minne, reviviscence de la Grande
Mère
des plus vieilles religions de l’humanité. Mais sitôt absorbé, le phi
88
peut bien parler de la tragédie, dont elle est la
mère
et la fille. Toutefois, dans le cas de Tristan, l’élément plastique i
89
mi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des
mères
qui procréent des soldats, bref de tous les « moyens de production »,
90
ai déjà vue, et dont je me souviens… Image de la
Mère
, sans nul doute, et la psychanalyse nous apprend quels empêchements t
91
du xxe siècle : or plus encore que l’image de la
Mère
, ce qui les tyrannise, c’est la « beauté standard ». De nos jours — e
92
loyé seulement pour définir les rapports entre la
mère
et les fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’affection pour
93
ormatrices — Idées de Platon, Catégories de Kant,
Mères
de Goethe, Archétypes de Jung. Dans le mythe, une réalité équivaut pa
94
erez pisté dans le passé jusqu’au ventre de votre
mère
, affublé d’un numéro d’ordre et privé du droit d’avoir faim. Ce qui m
95
ormatrices — Idées de Platon, Catégories de Kant,
Mères
de Goethe, Archétypes de Jung. Dans le mythe, une réalité équivaut pa
96
erez pisté dans le passé jusqu’au ventre de votre
mère
, affublé d’un numéro d’ordre et privé du droit d’avoir faim. Ce qui m
97
pour un instant) où on a en commun un Père et une
Mère
, où la grande parenté des hommes est entre-aperçue pour un instant. C
98
saisons. Enfin il reste les 3 lettres dites les 3
Mères
, qui sont attachées à nos trois cartes majeures : l’Homme (Le Bateleu
99
eur nature. Les arcanes sont issus de la nuit des
Mères
, et de l’Underground éternel. Peut-être même faudrait-il voir dans le
100
rois cercles concentriques s’y inscrivent : Père,
Mère
, Fils. Au milieu, une roue à 8 rayons signifie la manifestation parfa
101
son père était un Canadien français et sa vieille
mère
est une Allemande du Sud. La famille de l’autre mari est de ce pays d
102
1. Il faut tenir la théologie chrétienne pour la
mère
de la pensée occidentale, de même que l’Église, par son culte, est la
103
tale, de même que l’Église, par son culte, est la
mère
de presque tous nos arts. La musique est née dans le chœur des église
104
son père était un Canadien français et sa vieille
mère
est une Allemande du Sud. La famille de l’autre mari est de ce pays d
105
erre ou en légume. On peut aimer un pays comme sa
mère
, un autre comme sa femme, un autre comme les femmes, un autre enfin c
106
qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma
mère
me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la rencontre de ton père
107
autre secret : il sait que l’un des frères de sa
mère
complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Empire. Voilà
108
car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
109
e, « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa
mère
, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui
110
it le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte
mère
. Le matin, je me dis : Qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais
111
et reprend, l’œil fixe, son travail invisible de
mère
. C’est beau. C’est fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant co
112
On m’a dit qu’il y en a quatre-cents à A… ?… » La
mère
, vivement : « Jamais je n’ai engagé de chômeurs, monsieur, c’est un p
113
— Je vais chez les Calixte. On nous a dit que la
mère
est malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se
114
r faire une lessive à la maison pour remplacer sa
mère
. Nous manquons de corde pour étendre le linge ; elle imagine de le me
115
des heures, la petite chienne Marquise — c’est la
mère
du basset Pernod — a trottiné tout gentiment sur les restanques, en f
116
. — Traduisez-moi le titre ! — « Petit manuel des
mères
». Rageur, il fouille dans les mouchoirs. Nouvelle discussion à propo
117
rahisse son honneur : C’est qu’elle est née d’une
mère
russe. (Tout métis a la trahison dans le sang.) On voit un vieux past
118
e mystérieux Esprit de Subversion. Ces dames, nos
mères
, étaient victimes d’expressions telles que « sous les drapeaux ». L’a
119
son père était un Canadien français et sa vieille
mère
est une Allemande du Sud. La famille de l’autre mari est de ce pays d
120
erre ou en légume. On peut aimer un pays comme sa
mère
, un autre comme sa femme, un autre comme les femmes, un autre enfin c
121
Satan, dit-on, sait occuper les mains oisives. La
mère
américaine, libérée des travaux qui la maintiennent ailleurs dans les
122
. Mom le transmute en sentimentalité fixée sur la
mère
dévorante. Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la Mère la tr
123
. Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la
Mère
la tragédie secrète d’une civilisation qui produit plus de divorces,
124
e, le jeune Américain, inconsciemment, cherche la
mère
. Il la sert, elle l’endort et le semonce. Au culte qu’il est censé lu
125
es mains tremblaient, et l’on pensait que sans sa
mère
qui l’accompagnait ce jour-là, elle ne ferait pas deux pas toute seul
126
» de beauté féminine (souvenir inconscient de la
mère
) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu
127
u viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la
Mère
, Nietzsche poursuit l’image obscure, et à lui-même infiniment secrète
128
Satan, dit-on, sait occuper les mains oisives. La
mère
américaine, libérée des travaux qui la maintiennent ailleurs dans les
129
. Mom le transmute en sentimentalité fixée sur la
mère
dévorante. Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la Mère la tr
130
. Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la
Mère
la tragédie secrète d’une civilisation qui produit plus de divorces,
131
e, le jeune Américain, inconsciemment, cherche la
mère
. Il la sert, elle l’endort et le semonce. Au culte qu’il est censé lu
132
e querelle… ⁂ Mesdames et Messieurs, si l’Europe,
mère
des nations et des partis, n’invente pas les moyens de surmonter le n
133
le et morale de cette Jeunesse dépend surtout des
mères
et des éducateurs ; Souhaite : A) que les femmes et les éducateurs s
134
ersécutées peut sortir une spiritualité nouvelle,
mère
d’une civilisation imprévisible. 2. Nous répondons au challenge des p
135
eux Allemands, et quinze Français. (Du côté de ma
mère
, du sang prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-gran
136
petit à petit l’oiseau fait son nid, prudence est
mère
de sûreté, chi va piano va sano, wait and see, step by step, und so w
137
r, pour résister à la réabsorption dans la grande
mère
, que la petite Europe, au cours des siècles, a pris conscience d’elle
138
ce doit nous être interdite, car la puissance est
mère
des utopies exaltées, de la confiance en soi, du gaspillage des force
139
petit à petit l’oiseau fait son nid, prudence est
mère
de sûreté, chi va piano va sano, wait and see, step by step, und so w
140
les repus qui n’écoutent pas, que la disette fut
mère
des civilisations, comme l’angoisse l’est de la pensée. Quant à l’err
141
s repus qui n’écoutent pas, et que la disette est
mère
des civilisations, comme l’angoisse l’est de la pensée. ⁂ — Que cherc
142
à cinq personnes sur une bicyclette — le père, la
mère
, et trois enfants — où enfin, d’une manière générale, il y a partout
143
’idée du moi distinct, de la personne — à la fois
mère
et fille de l’Europe — forme nos vies, permet qu’elles aient un sens,
144
c’est uniquement par obéissance aux désirs de sa
mère
. Il ne peut prendre son parti de la commune condition humaine. Une in
145
a conduire à l’Europe, à la fois fille de Rome et
mère
de nos nations. Et voilà que l’Europe soudain chancelle, hésite, semb
146
nés dans des régions séparées pour un temps de la
mère
patrie, un de Gasperi, un Schuman, quand ils rejoignent leur communau
147
e et notre Russie. » « L’Europe est notre seconde
mère
. Nous lui devons beaucoup et lui devrons plus encore. » « Nous entrev
148
u fils contre le père (obstacle à l’amour pour la
mère
) et par le sentiment de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’aut
149
social et moral ; le poids de l’interdit lié à la
mère
(donc au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la f
150
rtement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et
Mère
… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se concentre aut
151
elle-même une chose sacrée, une incarnation de la
mère
. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs à tous les
152
nte synthétise toute la nature féminine, elle est
mère
, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »21. Ainsi le tantr
153
Féminin de la çatki, le culte de la Femme, de la
Mère
, de la Vierge. Il participe de cette épiphanie de l’Anima, qui figure
154
’humanité : la politique des relations maritimes,
mère
du progrès des civilisations. Deux politiques La politique cont
155
à tous ceux qui sont morts pour « l’Europe notre
mère
», comme le disait un de leurs derniers poèmes, récité dans les ruine
156
ent bien devoir s’imposer nécessairement à l’Asie
mère
. Ils la divisent déjà en deux moitiés. Comment les accorder ? Ce sera
157
s repus qui n’écoutent pas, et que l’angoisse est
mère
de la pensée. Si les anciens Hindous, les Sumériens, les Égyptiens et
158
de tous ceux qui se réclament de « l’Europe notre
mère
». Si les critères physiques sont vraiment incertains, qu’en est-il
159
elations entre la culture générale et la science,
mère
de la technique ; puis, d’une manière plus précise, les relations ent
160
s, et nous. Poussés par une curiosité passionnée,
mère
de toute science, ils découvrirent d’abord la surface de toute la Ter
161
pour posséder l’enfant, dont il épouse d’abord la
mère
. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une auto. H. H. emmè
162
is un point d’ironie frappe l’allusion. Ainsi, la
mère
du héros meurt très tôt (comme dans Tristan), mais voici le ton du ré
163
is voici le ton du récit : « Ma très photogénique
mère
mourut dans un accident capricieux (pique-nique, éclair) quand j’avai
164
eille et grave mélodie » qui marque la mort de la
mère
dans Tristan !) Le nom de l’hôtel où se passe la nuit de la séduction
165
nt de vie. Et ce lointain, c’est la Russie, cette
mère
glorieuse, incomparable, dont la renommée s’étend au-delà des mers, c
166
la conduire en Crète, où elle deviendra reine, et
mère
des rois de la dynastie de Minos. De cette légende, qui inspira sans
167
là que se célébreront tes noces. Et je te rendrai
mère
de nobles fils, qui tous, parmi les hommes, seront porteurs de sceptr
168
e conçut des enfants du fils de Cronos, et devint
mère
. C’est sans nul doute le songe du début de l’Idylle qui contient, po
169
u déclin de la Crète et de son culte de la Grande
Mère
, éclaire et reflète à la fois la naissance de l’Europe historique. Ai
170
eux que personne : Europe nous est venue d’Asie,
mère
de toutes les grandes religions, génératrice de tous les grands mythe
171
oration de la terre et de la fécondité, la Grande
Mère
où tout est un et divers à la fois. Dès que ce mythe arrive au bord d
172
es de prestige, selon les sociologues. Mais notre
mère
à tous, n’est-ce pas l’Europe ? 93. Allocution à la Salle Gaveau pe