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âme ; j’ai voulu attirer là-dessus l’attention du
médecin
, mais il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par
2
dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un
médecin
« alchimiste ». Retenons ceci : au seuil de l’initiation, chez Goethe
3
âme ; j’ai voulu attirer là-dessus l’attention du
médecin
, mais il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par
4
st parce qu’ils savent les correspondances que ce
médecin
parle avec mystère des objets que nous touchons, — ce mystique avec n
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âme ; j’ai voulu attirer là-dessus l’attention du
médecin
, mais il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par
6
st parce qu’ils savent les correspondances que ce
médecin
parle avec mystère des objets que nous touchons, — ce mystique avec n
7
n qu’on se sentît malade pour aller rechercher le
médecin
sévère que la santé moins déprimée d’un autre siècle avait tué. C’est
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storiens font la grimace, mais les lettrés et les
médecins
de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse
9
ue cérébrale et matérialiste. Il s’opposait32 aux
médecins
galénistes qui voyaient l’homme sous l’aspect d’un concept. Il se fût
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l’aspect d’un concept. Il se fût opposé aussi aux
médecins
de la Renaissance, à Léonard, à Cardan, à Vésale, aux techniciens de
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dique le choix même d’un pseudonyme. L’alchimiste
médecin
Paracelse, en réalité, se nommait Theophilus Bombast ». Or Paracelse
12
t pas un pseudonyme, mais un des trois prénoms du
médecin
, qui se nommait, « en réalité », Théophraste Paracelse Bombaste de Ho
13
ions du réformisme. Et par exemple, craignons les
médecins
malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont la sollicitu
14
ge qu’à guérir des maux déjà anciens, et dont ces
médecins
-là s’accommodaient très bien. Penser en vue de l’action ! Agir en vue
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ions du réformisme. Et par exemple, craignons les
médecins
malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont la sollicitu
16
ge qu’à guérir des maux déjà anciens, et dont ces
médecins
-là s’accommodaient très bien. Penser en vue de l’action ! Agir en vue
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urrir son homme. Et l’on cite M. Duhamel, qui est
médecin
. Voire ! Outre que les cas de « second métier » sont rares et fort pe
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fièvre ! » Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de
médecin
. Sa fille dit : « Elle ne voulait même plus toucher à la viande, pens
19
que sur le continent. Et l’on meurt vieux, et les
médecins
ne font pas fortune. Quelle conclusion tirer de tout cela ? Quand on
20
teur. Le second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux
médecin
tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve u
21
coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le
médecin
de l’île et trois représentants de commerce, qui se précipitent dans
22
teur. Le second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux
médecin
tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve u
23
s travailleurs manuels, les employés, ingénieurs,
médecins
, etc., qui ne peuvent plus exercer leur profession quand les instrume
24
ue sur le continent. Et l’on meurt vieux5, et les
médecins
ne font pas fortune. Quelle conclusion tirer de tout cela ? Quand on
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ièvre ! » — Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de
médecin
. Sa fille dit : « Elle ne voulait même plus toucher à la viande, pens
26
a, Hegel. 10. L’équivalent de l’ouvrage du vieux
médecin
sur l’île. 11. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme, et n’ai pa
27
un peu tous les organes, sans rien dire, comme le
médecin
qui ausculte en silence et déjà votre sort lui est connu. Je conçois
28
res. Je vois beaucoup de bourgeois : professeurs,
médecins
, commerçants, industriels, avocats, employés, rentiers plus ou moins
29
urieux, si l’on y réfléchit. Quand il y a trop de
médecins
dans un pays, et donc chômage dans la profession médicale, personne n
30
res. Je vois beaucoup de bourgeois : professeurs,
médecins
, commerçants, industriels, avocats, employés, rentiers plus ou moins
31
eurs de foules, savants, écrivains, journalistes,
médecins
: le questionnaire, pour fixer les idées, énumère ces catégories de n
32
un Gide, un Claudel… Ils sont rares. Restent les
médecins
de famille : ce n’est pas nouveau. Et les psychanalystes : c’est prat
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étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens,
médecins
, prêtres, professeurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais donnaient
34
ette maladie était toujours mortelle. Le meilleur
médecin
ne saurait sauver des malades qui veulent mourir.42 » Notons enfin ce
35
naissons que Jean de la Croix joue ici le rôle du
médecin
, et non du pauvre névrosé. « Il vous semblera peut-être, écrit sainte
36
être malade. Le voici donc dans la situation d’un
médecin
qui étudie sur lui-même les progrès et les singularités d’un mal qu’i
37
e longtemps privé. Des témoignages sans nombre de
médecins
et de soldats prouvent que la guerre du matériel s’est traduite en ré
38
étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens,
médecins
, prêtres, confesseurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais donnaient
39
ite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par un
médecin
de Chosroès Ier, roi de Perse. De là, on peut suivre son progrès rapi
40
naissons que Jean de la Croix joue ici le rôle du
médecin
, et non du pauvre névrosé. « Il vous semblera peut-être, écrit sainte
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être malade. Le voici donc dans la situation d’un
médecin
qui étudie sur lui-même les progrès et les singularités d’un mal qu’i
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e longtemps privé. Des témoignages sans nombre de
médecins
et de soldats prouvent que. la guerre du matériel s’est traduite en r
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étendus. Ils étaient à la fois devins, magiciens,
médecins
, prêtres, confesseurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais donnaient
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ite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par un
médecin
de Chosroès Ier, roi de Perse. De là, on peut suivre son progrès rapi
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naissons que Jean de la Croix joue ici le rôle du
médecin
, et non du névrosé. « Il vous semblera peut-être, écrit sainte Thérès
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être malade. Le voici donc dans la situation d’un
médecin
qui étudie sur lui-même les progrès et les singularités d’un mal qu’i
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e longtemps privé. Des témoignages sans nombre de
médecins
et de soldats prouvent que la guerre du matériel s’est traduite en ré
48
t le « Mal » à des mécanismes subjectifs, dont le
médecin
pourra se rendre le maître. Chaque époque a son utopie. Le Moyen Âge
49
eaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès. Le
médecin
commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner la cure. (E
50
rfums, sur l’activité de millions d’avocats et de
médecins
, sur les magazines illustrés, sur tous les commerces de modes. Sur be
51
politique ou moral ? Pour dissiper l’hypnose, le
médecin
parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-êtr
52
hé et le Mal à des mécanismes subjectifs, dont le
médecin
pourra se rendre le maître. Chaque époque a son utopie. Le Moyen Âge
53
eaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès. Le
médecin
commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner la cure. (E
54
nuit, sur un canapé du salon… » — Madame, dit le
médecin
, vos enfants savent tout cela. — Impossible, docteur, connaissant mon
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rfums, sur l’activité de millions d’avocats et de
médecins
, sur les magazines illustrés, sur tous les commerces de modes. Sur be
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politique ou moral ? Pour dissiper l’hypnose, le
médecin
parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-êtr
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hé et le Mal à des mécanismes subjectifs, dont le
médecin
pourra se rendre le maître. Chaque époque a son utopie. Le Moyen Âge
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eaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès. Le
médecin
commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner la cure. (E
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uit, sur un canapé du salon… » — « Madame, dit le
médecin
, vos enfants savent tout cela. » « Impossible, docteur, connaissant
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rfums, sur l’activité de millions d’avocats et de
médecins
, sur les magazines illustrés, sur tous les commerces de modes. Sur be
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politique ou moral ? Pour dissiper l’hypnose, le
médecin
parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-êtr
62
’est-à-dire qu’il devient la proie d’un autre. Un
médecin
qu’il jugera très brutal et hostile lui suggère alors que cet « autre
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dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un
médecin
qui se donnait pour alchimiste. Retenons ceci : au seuil de l’initiat
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ladie dont il souffrit à 18 ans fut guérie par un
médecin
de Francfort qui se vantait de connaître les remèdes des alchimistes.
65
n qu’on se sentît malade pour aller rechercher le
médecin
sévère que la santé moins déprimée d’un autre siècle avait tué. C’est
66
ls, 30 novembre 1940 Notre propriétaire est un
médecin
des chiens. Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au
67
saisi l’occasion pour obéir aux avertissements du
médecin
et me faire accorder un congé de plusieurs mois. Cela tombait bien, e
68
s, la Bombe autorisant toutes les hardiesses. Les
médecins
allopathes, disais-je, tout comme les artilleurs et bombardiers, sont
69
science vulgaire. J’ai méchamment ajouté que les
médecins
n’avaient pas lieu de le prendre de si haut, puisqu’ils sont notoirem
70
s, la Bombe autorisant toutes les hardiesses. Les
médecins
allopathes, disais-je, tout comme les artilleurs et bombardiers, sont
71
science vulgaire. J’ai méchamment ajouté que les
médecins
n’avaient pas lieu de le prendre de si haut, puisqu’ils sont notoirem
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réputées stériles sont aujourd’hui enceintes. Les
médecins
américains estiment que le fait est dû à la fin des hostilités, plutô
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âme ; j’ai voulu attirer là-dessus l’attention du
médecin
, mais il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par
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st parce qu’ils savent les correspondances que ce
médecin
parle avec mystère des objets que nous touchons, — ce mystique avec n
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coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le
médecin
de l’île et trois représentants de commerce, qui se précipitent dans
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teur. Le second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux
médecin
tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve u
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s travailleurs manuels, les employés, ingénieurs,
médecins
, etc., qui ne peuvent plus exercer leur profession quand les instrume
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e sur le continent. Et l’on meurt vieux31, et les
médecins
ne font pas fortune. Quelle conclusion tirer de tout cela ? Quand on
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ièvre ! » — Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de
médecin
. Sa fille dit : « Elle ne voulait même plus toucher à la viande, pens
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a, Hegel. 36. L’équivalent de l’ouvrage du vieux
médecin
sur l’île. 37. En même temps que les épreuves de mon Journal, je reç
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un peu tous les organes, sans rien dire, comme le
médecin
qui ausculte en silence et déjà votre sort lui est connu. Je conçois
82
res. Je vois beaucoup de bourgeois : professeurs,
médecins
, commerçants, industriels, avocats, employés, rentiers plus ou moins
83
le besoin de publier une mise en garde, comme un
médecin
qui craint l’abus d’un remède de son invention : « trop d’irresponsa
84
C le jour même du pacte germano-russe. Aragon est
médecin
militaire. Breton idem. Éluard, officier d’administration. Bref, tous
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ls, 30 novembre 1940 Notre propriétaire est un
médecin
des chiens. Il vient sonner vers les huit heures du soir, s’assoit au
86
j’ai saisi l’occasion pour obéir aux conseils du
médecin
et me faire accorder un congé de plusieurs mois. Cela tombait bien. À
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explorateurs, des cinéastes, des pédagogues, des
médecins
, des psychologues, des ingénieurs et, pourquoi pas, des sportifs. Au
88
urs propriétaires légaux, la libération de quinze
médecins
sur neuf accusés d’assassinat et l’emprisonnement de ceux que l’on ve
89
lles procurent à leurs membres des avocats et des
médecins
, des conférences instructives et des publications, des facilités de v
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urs qui iront bâtir des ponts aux États-Unis, des
médecins
qui pratiqueront en Afrique ou en Amérique du Sud, des juristes qui i
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celle des kolkhozes ; de l’accusation contre les
médecins
de Staline à leur réhabilitation. On sent qu’il s’agit là d’une néces
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uit au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par un
médecin
de Chosroès Ier, roi de Perse. De là, on peut suivre son progrès rapi
93
ituteurs et universitaires, éditeurs, ingénieurs,
médecins
, juristes : les questions qui peuvent les grouper et qui appellent un
94
chez les ingénieurs, chez les juristes, chez les
médecins
et les pharmaciens… À mesure que s’élargit la base de ces initiatives
95
épuisant, se reconnaissant épuisé, s’abandonne au
médecin
paternel — image du Roi dans l’inconscient — qui l’envoie d’un ton fe
96
lita, et qui se révèle d’ailleurs trop faible, le
médecin
qui l’a procuré s’étant trompé d’étiquette ou ayant trompé son client
97
nteurs, de savants, d’étudiants, de gymnastes, de
médecins
ou de tireurs au fusil !)23 qui seules entretenaient l’idéal d’une pa
98
istrats supérieurs, d’autres des commerçants, des
médecins
, d’anciens commandants de divisions de l’armée victorieuse ; tous hom
99
bord l’interprétation pittoresque proposée par un
médecin
brabançon du xvie siècle, Johannes Goropius. Elle se fonde sur la do
100
somnies et d’une mauvaise condition cardiaque, un
médecin
lui prescrivit un long voyage en mer. Non sans d’incroyables difficul
101
monde telle que l’Amérique latine ; parce que le
médecin
lui avait conseillé la mer ; parce que l’aventure le tentait, mais au
102
rd, il était paralysé des jambes et des mains. Le
médecin
diagnostiqua une polynévrite — probablement consécutive au saut en pa
103
électrochoc, il demande à être écouté : non comme
médecin
psychiatre, non comme prêtre, et non comme avocat, et encore moins co
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lita, et qui se révèle d’ailleurs trop faible, le
médecin
qui l’a procuré s’étant trompé d’étiquette ou ayant trompé son client
105
électrochoc, il demande à être écouté : non comme
médecin
psychiatre, non comme prêtre, et non comme avocat, et encore moins co
106
plutôt que des créateurs d’art ou de pensée pure.
Médecins
praticiens, guérisseurs d’âmes, réformateurs politiques ou religieux,
107
bord l’interprétation pittoresque proposée par un
médecin
brabançon du xvie siècle, Johannes Goropius. Elle se fonde sur la do
108
ans son consentement. Les enquêtes faites par les
médecins
de Goering sur des prisonniers des camps de concentration pour découv
109
e nature lutte énergiquement. En vain, hélas ! Le
médecin
sait que les jours du malade sont comptés. Il s’agit, en effet, d’un
110
plutôt que créateurs d’art ou de grands systèmes.
Médecins
praticiens, guérisseurs d’âme, réformateurs politiques ou religieux,
111
ys) plutôt que créateurs d’art ou de pensée pure.
Médecins
praticiens, guérisseurs d’âmes, mystiques intervenant pour sauver la
112
urs disciples (pasteurs et théologiens d’un côté,
médecins
psychiatres et philosophes des religions de l’autre) coexistent sans
113
ys) plutôt que créateurs d’art ou de pensée pure.
Médecins
praticiens, guérisseurs d’âmes, mystiques intervenant pour sauver la
114
fils, dont deux nous intéressent. Emmanuel devint
médecin
, puis moine, administra l’évêché de Monaco, et enfin fut élu général
115
urs disciples (pasteurs et théologiens d’un côté,
médecins
psychiatres et philosophes des religions de l’autre) coexistent sans
116
le noble tombée dans la pauvreté. Son père devint
médecin
de ville à Villach (Carinthie), quand Paracelse avait 9 ans. Il revin
117
nommé professeur à la faculté, contre l’avis des
médecins
officiels. Plus tard, il fait de longs séjours à Saint-Gall et en App
118
Je peux très bien imaginer qu’un physicien, ou un
médecin
, ou un dentiste, soit retenu à Genève, même s’il y est moins payé qu’
119
pas uniquement physicien, il n’est pas uniquement
médecin
, et s’il trouve un bon orchestre, un bon quatuor qui joue de la musiq
120
sans le moindre doute, on fait ce qu’a ordonné le
médecin
, au lieu de se débattre interminablement avec la voix de sa conscienc
121
gne organise une souscription en sa faveur. Mille
médecins
russes réunis en congrès lui décernent le prix de Moscou, « pour serv
122
uit de très près « l’histoire » (comme disent les
médecins
) de cette intoxication caractérisée250 à laquelle il rapporte express
123
ux objections de l’écologiste, de l’urbaniste, du
médecin
, ou du citoyen qui assume son rôle dans la cité, les « impératifs du
124
prépare des avocats, une faculté de médecine, des
médecins
, une faculté des lettres, des professeurs de lettres, une faculté des
125
entourage urbain. Car tout cela donne à faire aux
médecins
, aux hôpitaux, aux assurances, aux carrossiers, et aux entrepreneurs
126
ux objections de l’écologiste, de l’urbaniste, du
médecin
, ou du citoyen qui assume son rôle dans la cité, les « impératifs du
127
régions de la même manière que les ordonnances du
médecin
par celui qui l’a consulté — contrairement à ce qui se passe d’ordina
128
passant par le nombre de téléphones, d’autos, de
médecins
pour 1000 habitants et de prix Nobel par million d’habitants, le gran
129
régions de la même manière que les ordonnances du
médecin
par celui qui l’a consulté, — contrairement à ce qui se passe d’ordin
130
’esprit schizoïde correspondant aux obsessions du
médecin
Pinel : il y a plus qu’un parallélisme entre l’évolution de la psycho