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ement aux succès de la croissance des villes, des
mégalopoles
infinies où 80 % de l’humanité va vivre, ou plutôt s’entasser, dans v
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n l’a bien vu au Vietnam. Enfin, les villes : les
mégalopoles
du xxe siècle ne sont plus administrables, ni en fait gouvernées, co
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cs), soixante ans après l’irruption des premières
mégalopoles
de béton, modèle Manhattan, une réaction générale se déclare dans le
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bref délai. Énumérons quelques symptômes. 1. Les
mégalopoles
du type New York « ne sont plus gouvernables » (maire L. Lindsay). El
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en circuit fermé (ex. canadiens). 2. Réduire les
mégalopoles
à des cités « à mesure d’homme » ne peut se faire que par leur divisi
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un sens. Mais en a-t-il encore beaucoup, dans nos
mégalopoles
? Nos villes ne sont-elles pas l’exemple dramatique de ce que peut fa
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structible et de plutonium à longue période ; les
mégalopoles
en croissance de type cancéreux ; les rendements décroissants dans l’
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ques, sexuelles, économiques. Mais déjà, dans les
mégalopoles
dont on calcule qu’elles enfermeront vers la fin de ce siècle quatre
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. Mais à l’inverse, certains ensembles, comme les
mégalopoles
(qui ne méritent plus le nom de communautés) sont trop vastes pour as
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lérer ce processus ? Évacuer systématiquement les
mégalopoles
au profit de cités nouvelles d’environ cinquante mille habitants préc
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-cents espèces sont menacées d’extinction. 8. Les
mégalopoles
invivables de 2 à 13 millions d’habitants, livrées à la délinquance p
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prévenir le développement d’allure cancéreuse des
mégalopoles
. (Villes nouvelles de 50000 habitants préconisées par C. Doxiadis et
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rable à celle des gouverneurs d’État et maires de
mégalopoles
qui militent aux USA pour les autonomies locales et les régions trans
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sions. Si la cité est trop grande, à l’instar des
mégalopoles
hellénistiques, le citoyen perd le sentiment de sa responsabilité civ