1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 inet, ne voir d’abord que les grands traits de sa nature , ne connaître que les grands mots de la langue morale, suivre à l’éga
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
2 ons adieu aux charmes troubles et inhumains de la nature . Il s’agit de créer à notre vie moderne un décor utile et beau. Or « 
3 « redents » des terrains de jeux et des parcs, la nature annexée à la ville. « C’est un spectacle organisé par l’Architecture
4 parfaite expression du triomphe de l’homme sur la Nature . Architecture : « tout ce qui est au-delà du calcul… Ce sera la passi
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
5 cultiver pour cela seul qu’ils sont naturels : la nature est un champ de luttes, de tendances vers la destruction et vers la c
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
6 erdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature … L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux phrases rapides on
7 is. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Nature  ! qui nous enivrait, promettant à nos sens, fatigués de l’esprit qui
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
8 autoportrait moral : je me compose plus laid que nature . Faut-il conclure avec Gide : « L’analyse psychologique a perdu pour
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
9 japonais : une historiette un peu plus banale que nature , très bien photographiée. C’est le film du type « Jeux de soleil dans
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 a de cela cinq ou six ans. Il peignait alors des natures mortes, de petits paysages, il dessinait des nus aux crayons de fard.
11 t seulement. Il manque à ces recompositions de la nature , à ces natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mai
12 l manque à ces recompositions de la nature, à ces natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mais l’atmosphère
13 cole du gris-noir neurasthénique. Il peignait des natures mortes qui décidément l’étaient, à faire froid dans le dos ; ou bien
14 us pensiez n’être qu’une épure : c’est intitulé «  nature morte ». Pourquoi pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve d
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
15 trie ne peut subsister qu’en progressant. Mais la nature humaine a des limites. Et le temps approche où elles seront atteintes
16 s dernières sirènes. Au monde, c’est-à-dire à une nature dont l’usine lui a fait oublier jusqu’à l’existence, et à une liberté
17 me qui était un membre vivant dans le corps de la Nature , lié par les liens les plus subtils et les plus profonds à tous les a
18 les plus profonds à tous les autres membres de la Nature , choses, bêtes et anges, — le voici devenu sourd à cette harmonie uni
19 oisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : vraiment, il ne lui manque plus rien — que l’
20 lave. Pour s’être exclu lui-même de l’ordre de la nature , il est condamné à ne plus saisir que des rapports abstraits entre le
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
21 demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe
10 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
22 se connaître et que cela n’a point stérilisé : sa nature , il est vrai, s’y prêtait, peu complexe et comme réduite à deux dimen
11 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
23 ion Comme le poète terminait sa théorie sur la nature de l’inspiration, un doute lui vint. Il alla au cinéma. On donnait un
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
24 Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature . Quelle peut bien être la vertu éducatrice d’un tel milieu, moral et
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
25 pose donc sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cet
26 e triomphe. L’école s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur
27 la réalisation d’un programme entièrement contre nature exige une discipline sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l
28 u’on attend de ce travail. Je doute qu’il soit de nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits. Là enc
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
29 ferai à l’école nouvelle un reproche d’une autre nature . Elle prétend donner plus de liberté aux enfants en leur rendant le t
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
30 surde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, que c’est ab
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
31 lusif de l’utile, l’incompréhension brutale de la nature , la haine des supériorités naturelles, l’habitude de l’ersatz et du t
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
32 mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entraîne dans une direction tout opposée. C’est très malin d’avo
33 qui ne change pas le rendement, j’imagine, ni la nature des produits excrétés. On forme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
34 e cultive ce qu’il y a d’anti-irrationnel dans la nature de l’homme. Elle punit froidement la spontanéité et l’invention. Elle
35 gues, même dans la mesure sans doute faible où la nature des enfants le supporte, on économiserait plusieurs semestres de trav
36 oup de choses qui restent cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la natu
37 ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature . Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De faire connaissanc
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
38 Et vous pensez que c’est un grand progrès sur la Nature . Quelle peut bien être la vertu éducatrice d’un tel milieu, moral et
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
39 pose donc sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cet
40 e triomphe. L’école s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur
41 la réalisation d’un programme entièrement contre nature exige une discipline sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l
42 u’on attend de ce travail. Je doute qu’il soit de nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits. Là enc
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
43 ferai à l’école nouvelle un reproche d’une autre nature . Elle prétend donner plus de liberté aux enfants en leur rendant le t
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
44 surde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, que c’est ab
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
45 lusif de l’utile, l’incompréhension brutale de la nature , la haine des supériorités naturelles, l’habitude de l’ersatz et du t
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
46 mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entraîne dans une direction tout opposée. C’est très malin d’avo
47 qui ne change pas le rendement, j’imagine, ni la nature des produits excrétés. On forme nos gosses, dès l’âge de 6 ans, à ne
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
48 e cultive ce qu’il y a d’anti-irrationnel dans la nature de l’homme. Elle punit froidement la spontanéité et l’invention. Elle
49 gues, même dans la mesure sans doute faible où la nature des enfants le supporte, on économiserait plusieurs semestres de trav
50 oup de choses qui restent cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la natu
51 ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature . Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De faire connaissanc
26 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
52 t donne à « l’humaine liberté » des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas ; — que ces limites rendent absurde
27 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
53 Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable.
28 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
54 e froid paralyse la mâchoire. 6. Doutes sur la nature du Sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suit
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
55 e dans l’Etna pour mieux communier avec la divine Nature . Mythe grec, mais devenu, par excellence, germanique ; mythe païen, m
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
56 s’y baigner est une règle de savoir-vivre avec la Nature . Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, t
31 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
57 ement au point de vue, mais à la complexion, à la nature même de l’auteur, — laissant à l’approfondissement psychologique et a
58 . Mais n’est-ce pas là un défaut qui relève de la nature même d’un esprit « critique » dans l’exercice de sa probité ? Défaut
32 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
59 de l’homme et son illustration des puissances de nature inhumaine. Nous pourrons définir un tel humanisme : l’organe d’équili
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
60 ux prises avec l’humanité civilisée, mais avec la nature la plus sauvage. Comme Les Conquérants, c’est une sorte de roman d’av
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
61 ent des cimes ou des hautes vallées, seul avec la nature dans une sorte d’ivresse morne, il parvenait à oublier la fuite des h
62 bien être le plus fécond et le plus adéquat à la nature alpestre. Il contient en puissance toute une morale de l’effort indiv
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
63 pria Dieu de lui donner Kobé et les bas-fonds. La nature , le sommeil et les enfants étaient ses meilleurs réconforts. Comment
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
64 6, non exilé, non réfugié, mais d’éducation et de nature toute française. M. Thibaudet ajoute à ce propos : On m’a fait obse
65 e pense, depuis qu’elle existe, n’a pas changé de nature , et, si elle paraissait autrefois plus simple, c’est qu’elle était pe
37 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
66 a mesure au sein d’un tout fini : famille, dieux, nature . Il ne se recherche pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire,
38 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
67 -vis de la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature humaine, qui, selon cette vue, serait bonne, ou du moins meilleure, s
39 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
68 a froid, qui a faim, qui a été jeté au sein d’une nature hostile, de sorte qu’il lui faut sans cesse s’efforcer, ne connaissan
69 e sa race. Il a cette même lenteur imposée par la nature , ce même besoin de précision utile. Ce n’est pas un art d’après le pe
40 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
70 e n’est pas seule responsable d’un divorce que la nature humaine désirait de toute sa lâcheté. Mais l’exemple de Descartes est
41 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
71 de celui qui, tout enfant, édifiait un autel à la Nature , trouvait son aliment dans une méditation, renouvelée des rose-croix,
72 s aveugle pour d’autres formes d’existence que la Nature se voit pour ainsi dire contrainte d’assigner à l’homme actif 8, l’on
73 formules d’enchaînement Si j’étais devant toi, ô nature un homme solitaire, Sans doute vaudrait-il alors la peine d’être un h
42 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
74 t vain de chercher à en savoir plus que ce que la nature visible nous en révèle. Cette attitude s’accuse de plus en plus à mes
75 ’était rien d’autre que l’ensemble des lois de la nature . Ainsi la conception de la transcendance divine aboutit pratiquement,
76 u mot, depuis que la venue du Christ a modifié la nature même de l’homme et l’ensemble des données religieuses. Mais, d’autre
77 Faust le salut par l’effort humain au sein d’une nature harmonieuse — et quand bien même il fait intervenir, à la fin, « l’am
43 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
78 prévisions horribles, et cependant conformes à la nature des choses. e. « Querelles de famille, par Georges Duhamel (Mercure
44 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
79 pas le seul désespoir réel : celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclata
45 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
80 usqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie nature , apparaît comme un cas privilégié de la folie capitaliste-matérialist
46 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
81 essineraient, si nous étendions l’analyse, deux «  natures  » fondamentalement divergentes, dont il serait facile de suivre les m
82 n’ordonner que des idées, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force de se craindre dupe, elle a pe
47 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
83 demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
84 ésente de profil son visage un peu plus grand que nature . À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de
49 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
85 froid paralyse la mâchoire. vi Doutes sur la nature du sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suit
86 demeurer ici, c’est demeurer vraiment « en pleine nature  », un peu au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel, là où
87 s’y baigner est une règle de savoir-vivre avec la Nature . Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, t
50 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
88 r blanc sous la futaie.) J’avançais à travers une nature de divagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit où circulent d
89 Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable.
90 ent très près de ce qu’il y a de plus pur dans la nature et toutes sortes de sensualités et de gourmandises qui s’éveillent, e
51 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
91 uses, à grand renfort de chevaux de trait, car la nature marécageuse du sol rend les transports malaisés.   Souvent, après dîn
92 ns une activité qui tire son unité foncière de la nature même des choses. Le rythme perpétuellement syncopé du travail et du
93 e, comment le concevoir ailleurs qu’au sein d’une nature qui, sans cesse exige de l’homme la maîtrise et le déploiement de ses
94 erviteur, des rapports personnels de l’homme à la nature sous toutes ses formes, animales, végétales, domestiquées ou catastro
95 s ont besoin de tels mythes. Mais au regard de la nature , cela n’a point de sens. Ou bien alors : cela désigne une nouvelle ré
96 nouvelle répartition des terres. Question que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Prusse-Orientale
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
97 essineraient, si nous étendions l’analyse, deux «  natures  » fondamentales divergentes, dont il serait facile de suivre les mani
98 n’ordonner que des idées, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force de se craindre dupe, elle a pe
53 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
99 ésente de profil son visage un peu plus grand que nature . À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
100 demeurer ici, c’est demeurer vraiment en « pleine nature  », un peu au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel, là où
101 s’y baigner est une règle de savoir-vivre avec la Nature . Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, t
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
102 uses, à grand renfort de chevaux de trait, car la nature marécageuse du sol rend les transports malaisés. Souvent, après dîner
103 ns une activité qui tire son unité foncière de la nature même des choses. Le rythme perpétuellement syncopé du travail et du l
104 e, comment le concevoir ailleurs qu’au sein d’une nature qui, sans cesse exige de l’homme la maîtrise et le déploiement de ses
105 erviteur, des rapports personnels de l’homme à la nature sous toutes ses formes, animales, végétales, domestiquées ou catastro
106 s ont besoin de tels mythes. Mais au regard de la nature , cela n’a point de sens. Ou bien alors : cela désigne une nouvelle r
107 nouvelle répartition des terres. Question que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Prusse-Orientale
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
108 r blanc sous la futaie.) J’avançais à travers une nature de divagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit où circulent d
109 Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une barbe en crin de cheval du diable.
110 ent très près de ce qu’il y a de plus pur dans la nature et toutes sortes de sensualités et de gourmandises qui s’éveillent, e
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
111 ames lumineuses en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit no
112 irection d’une beauté oubliée. Plus Suisse que nature 7 avril 1946 — Que la Suisse soit restée aussi suisse m’a paru pro
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
113 traditions locales, aussi sensuellement lié à sa nature , peut-il produire tant de nomades ? C’est le secret du « Service étra
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
114 d’émouvant d’une culture solide et variée, d’une nature contrastée de charme et de tristesse, ni même de la tension des contr
115 il penser que cette culture fut trop mêlée, cette nature trop vantée pour nous troubler ? Que ces contraintes furent ou bien t
116 ment tournées ? Je ne sais. Et tout cela, sauf la nature , est en train de changer rapidement. L’accent se gâte, la rhétorique
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
117 ssez Madame… J’ai 19 ans. Je n’aime encore que la nature , et ma solitude avec elle. Et vraiment, à cet âge, elle me l’a bien r
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
118 spèce de mensonge qui rend la vie plus petite que nature , sous prétexte d’exactitude. Pays des horlogers à domicile, des longu
62 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
119 te solidarité entre « vous » et « nous », sont de nature à induire en erreur un lecteur qui ignorerait — ce dont vous vous sou
63 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
120 ais dans un savoir qui exige sa réalisation. » Nature du « savoir » chrétien Nous marchons dans la nuit, ne connaissant,
121 rchons dans la nuit, ne connaissant, de par notre nature , ni le pourquoi, ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la cle
64 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
122 e dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore humain ? Que fera
65 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
123 y a plus rien dans l’un qui permette de saisir la nature de l’autre, il n’y a plus alors que de l’absurdité pour l’esprit qui
66 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
124 n conflit créateur avec lui-même d’abord, avec la nature ensuite, avec l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte un choix
67 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
125 manité, et dont les éléments sont presque tous de nature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivité
68 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
126 institutions, et la morale, c’est méconnaître la nature concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions, n’aya
127 tive, mais encore que sa revendication est contre nature , et forcément tyrannique. D’autre part, et ceci est plus grave, l’ég
128 nne toutes les institutions, c’est reconnaître la nature concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions qui co
69 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
129 (avril 1934)g C’est en notre vie seule que la Nature vit. Coleridge. Car nous sommes là pour deviner les choses dans le
130 nous sommes là pour deviner les choses dans leurs natures particulières : alors elles nous en sont reconnaissantes. C. F. Ramu
131 omme antique n’a pas en lui de quoi répondre à la Nature  : il est lui-même une question que Dieu ne semble pas entendre. L’hom
132 en lui, à ce pouvoir qu’il sait avoir perdu ? La Nature se révolte en désordre. Elle veut la mort de l’homme parce qu’il ne s
133 lement, et plus il se défend, plus il impose à la Nature sa tyrannie, moins il comprend le sens de sa haine anxieuse. Peut-êtr
134 issé, ressort d’une révolte rationnelle contre la Nature , — cette dialectique fondamentale de l’univers antique, ne pouvait se
135 encore la dialectique antique entre l’homme et la nature , mais transposée dans le déchirement personnel. Lutte stérile, et don
136 nique ont supprimé définitivement la question. La Nature n’est plus que matières premières, surfaces d’exploitations, richesse
137 le xviiie siècle, sous le nom de Sentiment de la Nature . L’Occidental rationaliste naît dans une ambiance chrétienne qui le r
138 et suffisante quant aux intentions cachées de la Nature . Il arrive alors que cet homme, trahissant la mission dont la foi le
139 ion dont la foi le chargeait, se retourne vers la Nature et s’en aille lui demander précisément ce qu’il lui doit : la révélat
140 le désir qu’il dit avoir de « communier » avec la Nature , révèlerait encore qu’il pressent une séparation dont, par ailleurs,
141 ule l’irréparable gravité. La « communion avec la Nature  », telle que la chante un lyrique incroyant, n’est rien que l’abandon
142 trompé sur son état. Le sentiment extatique de la nature , dans la Cinquième Rêverie, comment le décrit-il, sinon, précisément,
143 tre époque. Le recours aux émotions fortes que la Nature est censée dispenser à toute âme un peu cultivée, fournit à la prédic
144 raduit la vénération de l’homme en présence de la Nature  ; que le mot de awe, qui exprime chez les lakistes ce même sentiment
145 ique et citadine, théorise sur le sentiment de la Nature , sans jamais atteindre au pathétique existentiel de la question. Un s
146 ul, peut-être, a pressenti le sens chrétien de la Nature , c’est Benjamin Constant : on l’accusa de panthéisme. Constant, drôle
147 e plus simple que d’imaginer que cet effort de la nature pour pénétrer en nous n’est pas sans une mystérieuse signification ? 
148 e, charité de la foi, nous permet d’apporter à la Nature une réponse qui dépasse sa question et qui atteint et qui embrasse l’
149 11. On confond communément le Grand Pan avec la Nature . Erreur moderne. Le Grand Pan, c’est notre angoisse devant la Nature.
150 rne. Le Grand Pan, c’est notre angoisse devant la Nature . La Résurrection nous délivre de cette angoisse en nous révélant l’ét
151 rge d’une nouvelle responsabilité vis-à-vis de la Nature . 12. Mais on peut dire que la bataille qu’imaginait ce capitaine éta
152 uralise » les réalités eschatologiques. 14. « La nature n’a point fait de l’homme un être isolé, destiné seulement à cultiver
70 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
153 lifié. La mode est au marxisme et au mépris de la Nature  ? Mode bourgeoise, tyrannie décadente, tout occupée à calculer sa pro
154 ble (l’homme sauvé par son progrès). 27. Pas la Nature de Rousseau, – la Nature des choses. 28. Certains écrivains marxiste
155 n progrès). 27. Pas la Nature de Rousseau, – la Nature des choses. 28. Certains écrivains marxistes français protestent ave
71 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
156 t d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les touches du surna
72 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
157 est que « la fine fleur du ressentiment » que les natures faibles vouent aux valeurs aristocratiques. La haine jalouse et rancu
73 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
158 ussement « réaliste » qui trompe sur la véritable nature de la pensée, et sur ses droits. Sans théorie révolutionnaire, pas d
74 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
159 oche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’histoire, mais non pas comme la
75 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
160 Il y a en lui un amour des objets, un sens de la nature , une compréhension des symboles qui appartiennent au génie japonais t
76 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
161 s prétextes, de nos dernières incertitudes sur la nature et sur les exigences concrètes de l’esprit ? Mais ne fallait-il pas q
77 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
162 connaissons bien mieux ce qui nous blesse que la nature des réalités que nous sentons, en nous, obscurément blessées. Notre c
163 en commun que des banalités. » Mais quelle est la nature de ces banalités ? L’aventure du romantisme et l’équivoque libérale a
78 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
164 igée mais tenu de respecter les indications de la Nature et de ménager les ressources du Trésor » ; ou encore : « Le problème
79 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
165 t d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les marques du surna
80 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
166 nt étrangers. Ce sont François, vrais François de nature comme vous, mieux que vous d’affection, s’il est vrai que l’humanité
167 sellement humain, n’est-il pas significatif de la nature du danger qu’on courait ? La conclusion de cette requête mérite d’ail
81 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
168 aucune présence. C’est là le rôle du sujet, et sa nature . La manière d’être du sujet est essentiellement provocante. Il cherch
169 s une chose faible et petite dont ils ignorent la nature . Ceux qui calculent avec les hommes ne calculent qu’avec leur angoiss
170 ction16. (Ce qui confirme nos propositions sur la nature actuelle de la personne). La foi au Christ est proprement ce qui « pe
171 âme sont deux aspects de l’homme concret, dont la nature réelle n’apparaît que dans l’acte. L’aspect corporel de l’homme est l
82 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
172 manité, et dont les éléments sont presque tous de nature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivité
83 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
173 Marx révélait ainsi à cette bourgeoisie la vraie nature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes e
174 monde — et peut-être eux-mêmes — sur la véritable nature des rapports humains et du statut social dont ils étaient les bénéfic
175 la poésie pure ou à la contingence des lois de la nature  ! » Mais le marxisme, à la suite surtout des derniers écrits de Marx,
176 e cet argument polémique, de ce rappel à la vraie nature des choses, ou tout au moins à un aspect des choses qu’on avait cru p
177 t, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’abord la thèse matérialiste en elle-même, dans
178 a de plus animal, de plus aveuglément soumis à la nature , et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait, dépersonna
179 t par opposition avec les lois inéluctables d’une nature tyrannique, entièrement livrée à la nécessité. L’esprit est d’abord j
84 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
180 oche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’histoire, mais non pas comme la
85 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
181 pas le seul désespoir réel : celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclata
86 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
182 e dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore humain ? Que fera
87 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
183 est presque impossible d’envisager froidement la nature réelle du danger. Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques pr
184 1° L’antifascisme, en France, ignore la véritable nature de son adversaire. 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les p
88 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
185 usqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie nature , apparaît comme un cas privilégié de la folie capitaliste-matérialist
89 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
186 institutions, et la morale, c’est méconnaître la nature concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions, n’aya
187 tive, mais encore que sa revendication est contre nature , et forcément tyrannique. D’autre part, et ceci est plus grave, l’éga
188 nne toutes les institutions, c’est reconnaître la nature concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions qui co
90 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
189 Ceci, et cela, pour telles raisons déduites de la nature des choses et du destin de l’homme. — Utopie ! Utopie ! Voyez-vous, j
190 Dans nos plans, nous parlons des choses, de leur nature et de leurs lois, de leur production, répartition et usage humain, et
191 e présent état social ne permet pas de prévoir la nature . Et je ne donne ici que deux exemples extrêmes, c’est-à-dire simplifi
192 condition dans laquelle ils sont nés, soit par la nature même de leurs aptitudes. C’est à la fois le plus insaisissable et le
193 plus personne non plus pour rien connaître de la nature du litige humain. Nous mourrons de la mort des singes.) Perspectiv
91 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
194 est désormais de créer une tactique déduite de la nature de la personne en acte. Pouvoir de la doctrine Nous disons que l
195 nécessaires ; 3° La doctrine est enseignante par nature , comme la révolution qui est toujours et tout d’abord enseignement, o
92 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
196 y a plus rien dans l’un qui permette de saisir la nature de l’autre, il n’y a plus alors que de l’absurdité pour l’esprit qui
93 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
197 ussement « réaliste » qui trompe sur la véritable nature de la pensée, et sur ses droits. « Sans théorie révolutionnaire, pas
94 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
198 manité, et dont les éléments sont presque tous de nature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivité
95 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
199 Marx révélait ainsi à cette bourgeoisie la vraie nature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes e
200 monde — et peut-être eux-mêmes — sur la véritable nature des rapports humains et du statut social dont ils étaient les bénéfic
201 la poésie pure ou à la contingence des lois de la nature  ! » Mais le marxisme, à la suite surtout des derniers écrits de Marx,
202 e cet argument polémique, de ce rappel à la vraie nature des choses, ou tout au moins à un aspect des choses qu’on avait cru p
203 t, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur nature réelle. Prenons donc d’abord la thèse matérialiste en elle-même, dans
204 a de plus animal, de plus aveuglément soumis à la nature , et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait, dépersonna
205 t par opposition avec les lois inéluctables d’une nature tyrannique, entièrement livrée à la nécessité. L’esprit est d’abord j
96 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
206 oche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’histoire, mais non pas comme la
97 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
207 pas le seul désespoir réel : celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclata
98 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
208 e dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore humain ? Que fera
99 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
209 est presque impossible d’envisager froidement la nature réelle du danger. Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques pr
210 1° L’antifascisme, en France, ignore la véritable nature de son adversaire. 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les p
100 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
211 usqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie nature , apparaît comme un cas privilégié de la folie capitaliste-matérialist