1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 Sortie dans un matin sourd, frileux, qui avait la nausée . Je rentrai seul. Voici quelques mots que j’écrivis à ma table en dés
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
2 and malaise étreignait l’âme américaine, prise de nausée dès qu’elle ressent l’approche d’une limite infranchissable. Où s’éla
3 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
3 de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour guérir cette nausée , il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Combien de peupl
4 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
4 de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour guérir cette nausée , il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Combien de peupl
5 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
5 and malaise étreignait l’âme américaine, prise de nausée dès qu’elle ressent l’approche d’une limite infranchissable. Où s’éla
6 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
6 and malaise étreignait l’âme américaine, prise de nausée dès qu’elle ressent l’approche d’une limite infranchissable. Où s’éla
7 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
7 , p. 17), B.-H. Lévy cite en premier lieu « cette nausée , ce dégoût, qui prend à la gorge le peuple des petits devant des “par