1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 rfois, lorsque la tourmente humaine ne la moleste ni ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette « flamme pensante » d
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
2 olée qu’un Greco. Mais il n’y a pas les couleurs, ni l’amère volupté des formes. Une sensation de barre d’acier sur la nuq
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
3 e, il n’est peut-être pas de pensée plus vivante, ni de plus tonique que celle de ce « Pascal protestant ». k. « Ernest
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 voir les séparer. On n’écrit plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un livre est une action, une expérience. Et, l
5 ne singulière préfiguration : Certes ce ne seront ni les lois importunes des hommes, ni les craintes, ni la pudeur, ni le
6 s ce ne seront ni les lois importunes des hommes, ni les craintes, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de
7 les lois importunes des hommes, ni les craintes, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni to
8 rtunes des hommes, ni les craintes, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort
9 es, ni les craintes, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort, ni l’effroi d
10 ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort, ni l’effroi d’après-tombe qui m’em
11 le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort, ni l’effroi d’après-tombe qui m’empêcheront de join
12 pect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort, ni l’effroi d’après-tombe qui m’empêcheront de joindre ce que je désire 
13 e qui m’empêcheront de joindre ce que je désire ; ni rien — rien que l’orgueil, sachant une chose si forte, de me sentir p
14 e craignent pas de choisir parmi leurs instincts, ni de les améliorer 10. Tout ceci est assez nouveau. (Après tant de cock
5 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
15 ui ont souffert, et qui ne se payent plus de mots ni d’utopies, Clerville, Janson et Brémond ont su arracher leurs auditeu
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
16 ontairement sec permettent de suivre sans passion ni fatigue le développement un peu théorique mais intelligent d’un probl
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
17 aux conditions nouvelles de travail ou de repos, ni dans son plan ni dans le détail des rues. Congestion : « un cheval ar
18 ouvelles de travail ou de repos, ni dans son plan ni dans le détail des rues. Congestion : « un cheval arrête 1000 chevaux
8 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
19 l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie. Ni métaphysicien, ni logicien, dit-il d’Alban — (de lui-même) — il n’« a
20 t de son désaccord avec la vie. Ni métaphysicien, ni logicien, dit-il d’Alban — (de lui-même) — il n’« accroche » pas à ce
9 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
21 s chapitres à la fois si concis et achevés, n’est ni un album de vues pittoresques, ni le journal plus ou moins lyrique au
22 achevés, n’est ni un album de vues pittoresques, ni le journal plus ou moins lyrique auquel nous ont habitués les voyageu
23 aît pas croire à un péril oriental très pressant, ni surtout que nous ayons à chercher là-bas notre salut. « La seule leço
10 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
24 jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’emboîter le pas, mais seulement de retenir sa place au spectacle qu
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
25 ssibles, des histoires dont on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’elles ont fait souffrir. Rendez-
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
26 , et le goût de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même celui de souffrir. Le dernier rire d’Aragon, c’est l’éclat de sa
13 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
27 de timidité. ⁂ On ne m’en voudra pas de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enfance géniaux et prophétiques, ni o
28 ’en voudra pas de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enfance géniaux et prophétiques, ni opinions de critiques au
29 nce, ni traits d’enfance géniaux et prophétiques, ni opinions de critiques autorisés. Du benjamin, Eugène Bouvier, qui a 2
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
30 s êtres par le monde… Il ne s’agit plus de mépris ni d’adoration. J’ai défini une « maladie » dont je parviens à tirer que
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
31 t pas que nous ayons brûlé toutes nos cartouches. Ni que l’indignation provoquée sur tous les bancs par certains de nos ar
16 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
32 nce avec son objet qu’il en saisit sans mièvrerie ni vulgarité la grâce un peu trouble et l’insidieuse mélancolie. Un déta
17 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
33 ées pour leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment dans ces lieux
18 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
34 rands conteurs sous prétexte qu’il n’est styliste ni psychologue ? Laisserons-nous Jules Verne aux enfants ? J’allais oubl
19 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
35 lité de l’illusion dont se nourrit Louis II n’est ni aussi pure ni aussi rare qu’on voudrait l’imaginer. Il reste qu’il a
36 sion dont se nourrit Louis II n’est ni aussi pure ni aussi rare qu’on voudrait l’imaginer. Il reste qu’il a voulu la vivre
20 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
37 le et précise dans l’exposé, sans rien simplifier ni préciser à l’excès dans le caractère. Daniel-Rops voit bien que l’épi
21 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
38 a grande allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autr
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
39 hes ? (Le verre en était toujours jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits bourgeois. Ils sont au
40 rre en était toujours jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits bourgeois. Ils sont au moins aussi
41 lles l’apport du xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’utilité, et ils sont déjà démodés. On dit que le s
42 u xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’utilité, et ils sont déjà démodés. On dit que le style 1880 n’en
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
43 nelles et qu’elles ont la valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est temps que je fasse passer un petit examen aux
44 t qu’elles ont la valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est temps que je fasse passer un petit examen aux principe
45 ublique, ceux que n’atteignent dans leur principe ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations prati
46 nent dans leur principe ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations pratiques. Le programme a)
47 cessaire de connaître la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on écrit les noms dans les casiers.
48 qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte
49 ui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte le mieux
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
50 voilà qui ne change pas le rendement, j’imagine, ni la nature des produits excrétés. On forme nos gosses, dès l’âge de 6
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
51 est pas créateur d’êtres spirituellement vivants, ni d’aucune grandeur supérieure à la somme de ses éléments. Il n’engendr
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
52 hes ? (Le verre en était toujours jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits-bourgeois. Ils sont au
53 rre en était toujours jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits-bourgeois. Ils sont au moins aussi
54 lles l’apport du xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’utilité, et ils sont déjà démodés. On dit que le s
55 u xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’utilité, et ils sont déjà démodés. On dit que le style 1880 n’en
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
56 nelles et qu’elles ont la valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est temps que je fasse passer un petit examen aux
57 t qu’elles ont la valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est temps que je fasse passer un petit examen aux principe
58 ublique, ceux que n’atteignent dans leur principe ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations prati
59 nent dans leur principe ni les réformes de détail ni les modalités locales de réalisations pratiques. 3.a. Le programme
60 cessaire de connaître la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on écrit le nom dans les casiers. E
61 qu’on lui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte
62 ui donne à l’école. (Cet argent de poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte le mieux
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
63 voilà qui ne change pas le rendement, j’imagine, ni la nature des produits excrétés. On forme nos gosses, dès l’âge de 6
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
64 est pas créateur d’êtres spirituellement vivants, ni d’aucune grandeur supérieure à la somme de ses éléments. Il n’engendr
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
65 la Mort difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du sujet ni de la manière de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce ge
66 ficile de René Crevel ne s’étonneront ni du sujet ni de la manière de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce genre de livre
31 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
67 puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs insoluble : «
68 lle manque de sens moral. » Le Français qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il faut faire l
69 e sens moral. » Le Français qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il faut faire la révolution
32 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
70 chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser, Thé
33 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
71 donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : « Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le le
34 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
72 tendais une révélation, non point de cet endroit, ni même par lui, — mais à cet endroit, en ce temps… Qui sait si tu ne l’
35 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
73 d’un nouvel humanisme qu’il nous désigne un but, ni même une direction : il y réussirait trop aisément. Ce qui manque à l
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
74 ère-pensée de jugement moral ne perce dans le ton ni dans l’agencement des incidents. Ce n’est pas un auteur qui s’arroge
75 re, sont ridicules et conventionnelles à souhait ( ni plus ni moins que la majorité des gens de cette sorte, mais est-ce à
76 ridicules et conventionnelles à souhait (ni plus ni moins que la majorité des gens de cette sorte, mais est-ce à eux que
77 e n’est plus du tout exemplaire et ne peut servir ni le catholicisme (le milieu protestant étant nul), ni la foi chrétienn
78 le catholicisme (le milieu protestant étant nul), ni la foi chrétienne en général (du fait précisément que les mobiles hum
37 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
79 i, Kierkegaard, « l’Isolé », n’a plus rien en lui ni de Faust, ni du Caïn de Byron, il a dépassé le romantisme. Ou plutôt,
80 d, « l’Isolé », n’a plus rien en lui ni de Faust, ni du Caïn de Byron, il a dépassé le romantisme. Ou plutôt, le romantism
38 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
81 t ce lyrisme n’est pas dépourvu de grandiloquence ni de pieuse fadeur. La montagne, ne serait-elle jamais qu’un écrasant s
82 , ou en remparts de la liberté. La montagne n’est ni bienveillante ni maternelle ; elle poursuit une grandiose existence g
83 de la liberté. La montagne n’est ni bienveillante ni maternelle ; elle poursuit une grandiose existence géologique sans ra
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
84 es conditions d’existence du prolétariat mondial, ni que nous ignorions que notre siècle est celui des meneurs. Mais le ra
85 rien du moralisme glacial des « honnêtes gens », ni rien du dogmatisme haineux des communistes. Et c’est l’un des secrets
86 général, guère attirants — (le devraient-ils ?) — ni même vivants — (ils le devraient.). Pour celui qui referme le livre d
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
87 us le recommande. Non point à cause de la logique ni même d’une norme sociale. Mais à cause de la grandeur. ⁂ Ce livre man
88 Ne détermine rien en nous. Ne nous met en demeure ni d’agir, ni d’aimer, ni même de douter fortement. C’est constamment me
89 e rien en nous. Ne nous met en demeure ni d’agir, ni d’aimer, ni même de douter fortement. C’est constamment mesuré, consc
90 us. Ne nous met en demeure ni d’agir, ni d’aimer, ni même de douter fortement. C’est constamment mesuré, conscient, exquis
41 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
91 llence du chrétien, hors duquel il n’est pour lui ni mesure, ni grandeur, ni forme, mais seulement chimères et incohérence
92 hrétien, hors duquel il n’est pour lui ni mesure, ni grandeur, ni forme, mais seulement chimères et incohérence. Que l’on
93 duquel il n’est pour lui ni mesure, ni grandeur, ni forme, mais seulement chimères et incohérence. Que l’on considère en
42 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
94 exemple), c’est au « sort » que l’on s’en remet, ni plus ni moins que dans un drame antique. M. Saurat doit se tromper, l
95 ), c’est au « sort » que l’on s’en remet, ni plus ni moins que dans un drame antique. M. Saurat doit se tromper, lorsqu’il
43 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
96 eure. Et je m’inquiète ; non pas de ces questions ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramuz,
97 ser et qui ne peuvent tirer de nous rien d’exquis ni d’original, mais au contraire nous plongent dans l’humiliation, dans
98 ment moralisant ou jacobin (comme les marxistes), ni victime ni juge d’une bourgeoisie à laquelle il échappe entièrement e
99 sant ou jacobin (comme les marxistes), ni victime ni juge d’une bourgeoisie à laquelle il échappe entièrement et de toute
100 re ne doit pas être cherchée dans le pittoresque, ni dans l’ingéniosité, ni dans l’harmonie de sons, mais bien dans la pes
101 rchée dans le pittoresque, ni dans l’ingéniosité, ni dans l’harmonie de sons, mais bien dans la pesée. Tous les procédés r
102 de ne pas faire prendre une chose pour une autre, ni certain aspect usuel de la chose pour toute la chose. C’est pourquoi
44 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
103 és à ce point — il n’est question de s’en réjouir ni de le déplorer — où le choix n’est plus qu’entre marxisme et christia
104 ulaire du xixe , mais d’incarnation de la pensée. Ni moralisme, ni socialisme. ⁂ Moralisme. Il y a des gens qui disent :
105 , mais d’incarnation de la pensée. Ni moralisme, ni socialisme. ⁂ Moralisme. Il y a des gens qui disent : j’ai tel idéa
45 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
106 e plus que leur propre rationalisme, sans tension ni grandeur : ils ne savent pas voir dans la sagesse faustienne qu’elle
107 plus. Pourtant Rimbaud ne fut jamais un écrivain, ni ne se soucia de l’être. Et Goethe ne fut qu’entre autres choses un éc
108 the est un des moyens de silence dont il dispose. Ni plus ni moins que l’étude des sciences naturelles, la régie d’un théâ
109 un des moyens de silence dont il dispose. Ni plus ni moins que l’étude des sciences naturelles, la régie d’un théâtre ou l
46 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
110 ns pas besoin d’avoir beaucoup de grands hommes —  ni même d’avoir quoi que ce soit —, mais seulement d’être, efficacement.
47 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
111 ndamentale que créent en nous non pas des maîtres ni des noms, mais la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un h
48 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
112 s n’avez aucune raison de suspecter la bonne foi, ni même la bonne volonté, vous serviront avec une assurance tempérée de
113 et par d’autres, ce qu’il ne voudrait pas faire, ni subir. C’est-à-dire qu’il se décide pour la police contre la révoluti
114 r mâchoire brutale, sans qu’on puisse distinguer ( ni eux) si c’est de volupté ou de terreur. La peur du sang, le goût du s
49 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
115 hilosophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de questions.
116 t. Seul l’Évangile — je ne dis pas les religions, ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assurance da
117 — je ne dis pas les religions, ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assurance dans le monde et con
118 es religions, ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assurance dans le monde et contre Dieu —, seul l
50 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
119 es Valette dans une langue insolite et touchante, ni petit nègre, ni bêtifiante, d’une grande force d’expression concrète.
120 une langue insolite et touchante, ni petit nègre, ni bêtifiante, d’une grande force d’expression concrète. Le petit chien
51 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
121 ne sait ou n’ose plus définir et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en parle, car la Société vit sous le règn
122 and presque plus personne n’y croit avec sérieux, ni à l’enfer ? Quand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse
52 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
123 nt. Non pas que ses arguments fussent bien neufs, ni même honnêtement choisis. Mais simplement sa conclusion le classe, qu
124 s, jugerait de tels cas sommairement sans avocats ni simulacres d’aucune sorte. Qui trompe-t-on ici ? Les « grands princip
53 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
125 « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » Cette absence d’illusions quant à la va
126 ssez pur de révolutionnaire. Nous ne pouvons être ni conformistes — les ordres de la foi sont absolus — ni réformistes, n’
127 onformistes — les ordres de la foi sont absolus — ni réformistes, n’ayant rien qui nous assure de l’action continue de la
54 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
128 . Ce n’est plus de conflits d’idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la vie sous
129  ? La révolution, ce n’est plus un état d’esprit, ni un refus des tâches d’homme. Henri Lefebvre l’a montré, je n’ajoutera
130 n marxisme faux ? Il reste à faire la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a rien pour nous. Nous nous plaçons à l
131 ux ? Il reste à faire la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a rien pour nous. Nous nous plaçons à l’origine de q
132 d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne verserons no
133 a condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne verserons notre sang. Il y a une vérité
55 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
134 u péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’
135 e en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque
56 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
136 mensonge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un s
57 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
137 ées pour leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment dans ces lieux
58 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
138 esses de tous les ordres — pour rien. Exactement. Ni plaisir ni profits. Voilà bien à quels jeux aboutissent tant d’ambiti
139 us les ordres — pour rien. Exactement. Ni plaisir ni profits. Voilà bien à quels jeux aboutissent tant d’ambition et le sé
59 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
140 donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : « Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le le
141 tendais une révélation, non point de cet endroit, ni même par lui, — mais à cet endroit, en ce temps. Qui sait si tu ne l’
60 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
142 a grande allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autr
61 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
143 larves et de systèmes qui ne correspondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’e
144 tèmes qui ne correspondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que c
145 dent. Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, — va s’asseoir de l’autre côté du couloir, tout a
146 s morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie du petit jo
62 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
147 s : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque c
148 e contredisent pas leurs travaux et n’en figurent ni la revanche ni l’évasion : mais ils s’ordonnent tranquillement dans u
149 pas leurs travaux et n’en figurent ni la revanche ni l’évasion : mais ils s’ordonnent tranquillement dans une activité qui
63 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
150 chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser, Thé
64 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
151 jamais cherché ce que doit être le « bon » temps, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est pourquoi vous pensez encore qu
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
152 mensonge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un sy
66 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
153 esses de tous les ordres — pour rien. Exactement. Ni plaisir ni profits. Voilà bien à quels jeux aboutissent tant d’ambiti
154 us les ordres — pour rien. Exactement. Ni plaisir ni profits. Voilà bien à quels jeux aboutissent tant d’ambition et le sé
67 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
155 tendais une révélation, non point de cet endroit, ni même par lui, — mais à cet endroit, en ce temps. Qui sait si tu ne l’
68 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
156 s : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque c
157 e contredisent pas leurs travaux et n’en figurent ni la revanche ni l’évasion : mais ils s’ordonnent tranquillement dans u
158 pas leurs travaux et n’en figurent ni la revanche ni l’évasion : mais ils s’ordonnent tranquillement dans une activité qui
69 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
159 a grande allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autr
70 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
160 larves et de systèmes qui ne correspondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’e
161 tèmes qui ne correspondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que c
162 enu que je ne pouvais voir à travers l’enveloppe, ni de leur expéditeur (je n’ai pas vu l’écriture des adresses), elles ro
163 anticipation ne pouvait exercer le moindre effet ni sur leur rédaction, ni sur le moment de leur arrivée, ni sur ma condu
164 t exercer le moindre effet ni sur leur rédaction, ni sur le moment de leur arrivée, ni sur ma conduite : la vision n’a « s
165 leur rédaction, ni sur le moment de leur arrivée, ni sur ma conduite : la vision n’a « servi » exactement à rien. (Était-c
166 dent. Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, — va s’asseoir de l’autre côté du couloir, tout a
167 s morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie du petit jo
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
168 ntendu, ne signifie rien sur sa valeur « en soi » ni sur la vôtre que personne ne peut mesurer. Mais dans cette relation,
169 n ciel, à 150 mètres à la seconde, sans vibration ni courant d’air, et sans nul signe apparent de mouvement. Les uns écriv
170 e au cours du dernier épisode, on ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre, mais de se préparer pour la su
171 épisode, on ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre, mais de se préparer pour la suite, pour l’heure où
172 oit bon, l’or abondant, les enfants bien nourris. Ni même qu’on dise merci tout le temps, à tout propos, cinq ou six fois
173 ommes libres sans que personne ose dire pour quoi ni protester, et ce n’est plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des
174 ur les esprits. Ne comptez plus sur vos épargnes, ni sur la seule valeur de l’inertie pour sauver ce qui tient encore debo
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
175 maintenant, à cet instant précis, et non pas hier ni même une seule seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je donc fait par
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
176 ’une nature contrastée de charme et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman victo
177 ccent se gâte, la rhétorique n’est plus enseignée ni connue. L’histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le st
178 x rives basses, peuplé de mouettes, où mon regard ni ma pensée ne se heurte à rien d’accidentel ou d’étranger. Comment, mo
74 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
179 nue des bien-aimées clairières entre deux pluies, ni d’une femme ni d’une fièvre pour agrandir et soudain noyer de suie le
180 mées clairières entre deux pluies, ni d’une femme ni d’une fièvre pour agrandir et soudain noyer de suie le regard ni d’un
181 pour agrandir et soudain noyer de suie le regard ni d’une lueur muette qui s’approche et nous aime. Car voici l’heure de
182 un mutisme sombre et ce n’est point menace encore ni même froncement de ce grand visage qui nous regarde tellement, mais n
75 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
183 me il ne serait poussé que par quelques-uns, rien ni personne ne pourra faire qu’il n’y ait eu cette preuve, aujourd’hui,
76 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
184 ans la nuit, ne connaissant, de par notre nature, ni le pourquoi, ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de
185 connaissant, de par notre nature, ni le pourquoi, ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de l’Origine et de
77 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
186 e : il ne sait même pas pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ;
187 n monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la nature définitivement asservie. C
188 ra bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-il e
78 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
189 ut pas de petites férocités soudaines, raffinées, ni le bavardage, ni une espèce d’indignation morale aux sursauts fréquen
190 férocités soudaines, raffinées, ni le bavardage, ni une espèce d’indignation morale aux sursauts fréquents. 25. « Mais c
79 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
191 là à concevoir l’ordre nouveau, il y a un abîme. Ni science ni bon sens ne seront d’aucune aide pour le traverser. Il fau
192 voir l’ordre nouveau, il y a un abîme. Ni science ni bon sens ne seront d’aucune aide pour le traverser. Il faut un saut,
193 iviste au marxiste orthodoxe, on passe sans heurt ni saut, par une simple accélération de chute. La trahison à l’esprit da
80 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
194 rruption du travail. Notre siècle ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs liens vivants. Nou
195 avail. Notre siècle ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs liens vivants. Nous le voyons lo
196 x. Leurs moyens sont plus simples, plus élégants. Ni plus ni moins efficaces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au s
197 moyens sont plus simples, plus élégants. Ni plus ni moins efficaces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au service d
198 mmune ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loisir ; s’il n’y a plus rien dans l’un qui permet
81 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
199 s le donné hostile du monde ambiant. Elle ne veut ni la thèse seule, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synthès
200 du monde ambiant. Elle ne veut ni la thèse seule, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synthèse. Elle veut le ris
201 ntient. Accusation qui ne porte pas sur le détail ni sur la valeur morale de cette méthode, mais qui tombe perpendiculaire
202 vrai dialecticien sait que ce centre ne peut être ni appréhendé, ni contemplé. » Et pourtant, cette impossibilité radicale
203 en sait que ce centre ne peut être ni appréhendé, ni contemplé. » Et pourtant, cette impossibilité radicale s’est incarnée
82 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
204 qu’on entende intellectuel, idéaliste, clérical, ni surtout « spiritualiste ».   III. — Nous ne disons pas : « Esprit ! E
205 s’identifie pas pour nous à sa fonction sociale, ni à son utilité productive, ni à ses qualités biologiques. Une révoluti
206 sa fonction sociale, ni à son utilité productive, ni à ses qualités biologiques. Une révolution n’est pas seulement une re
83 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
207 pour autant renoncer à la « culture » bourgeoise ni au pavillon de banlieue. « Avec ce que je dois au proprio, je pourrai
208 njustice, mais sans force pour concevoir l’ordre. Ni l’infamie, ni l’utopie ! disent-ils. Entendons — et c’est la véritabl
209 sans force pour concevoir l’ordre. Ni l’infamie, ni l’utopie ! disent-ils. Entendons — et c’est la véritable définition d
84 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
210 ourmenté par cette question à laquelle il ne peut ni ne veut se soustraire, Karl Barth se met à relire l’Épître aux Romain
85 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
211 les dimensions de la Revue n’y suffiraient plus — ni la patience du lecteur à mon endroit, je le crains… 1. S’il n’y a pas
212 réaction. Barth, croyons-nous, n’a jamais proposé ni prôné de dogmes « si possible immuables » (p. 14). On pourrait dire q
86 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
213 ue je puis. Je ne sais pas pour combien d’hommes, ni pour quels hommes j’aurai pu être « le prochain » (Luc 10. 36/37), — 
87 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
214 e tu, considérés d’un point de vue qui n’est plus ni celui du je ni celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport
215 s d’un point de vue qui n’est plus ni celui du je ni celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport objectivé, vu
216 ue l’un des pôles de leur être n’est plus visible ni concret, échappe aux prises de leurs mains. Pour chacun d’eux, le tu
217 un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel, ni d’aucune réalité humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître assez
88 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
218 la presse, auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La classe et la race : voilà peut-être les divin
219 nce, un homme sans destin, un homme sans vocation ni raison d’être, un homme dont le monde n’exigeait rien. Cet être-là, f
220 écouvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à servir. C’est l’état le plus dégradant qui soit. On vit al
221 Mais compter avec eux, ce n’est pas les diviser, ni abdiquer sous leur implacable destin. Ceux qui l’ont fait et qui le f
89 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
222 chose à faire. La paix n’est pas une occupation, ni un but. Du moins pour notre civilisation, elle n’est rien que l’absen
223 nous d’établir les équilibres stériles ou forcés, ni des compromis dégradants pour l’une et l’autre partie, mais des tensi
224 es hommes réveillés. Nous n’appelons pas un chef, ni des meneurs, mais des hommes humains. On ne refait un monde qu’avec d
90 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
225 même. Elle ne se résout pas dans une indignation ni dans une compréhension résignée, mais dans un acte. C’est la tension
226 préjugé romantique, la décadence n’est pas belle, ni la mort. Ce qui est beau, c’est la lutte contre la mort. Ce qui est g
91 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
227 ls ne tiendraient plus réellement compte du péché ni de la grâce. Et le symbole de cette passivité, proclamé par la Renais
228 rien faire ici-bas d’utile et de bon pour autrui ni pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couché dans un
92 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
229 e lumière boréale. Cette femme n’est pas un ange, ni une sainte. Elle pèche, elle désespère, elle touche le fond de la dét
93 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
230 a pensée chrétienne n’a jamais eu plus impérieuse ni plus nette vocation. Le lieu, les modes de son obéissance sont plus v
231 st à elle, en particulier, et non pas au marxisme ni au fascisme, à conduire la critique des hérésies morales que toute la
232 utes les valeurs bourgeoises il n’y a pas la Loi, ni l’Évangile, il y a tout au contraire une sournoise révolte de l’homme
94 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
233 le choix, et non pas dans la rue, dans l’opinion, ni dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui crée, c’est la personn
95 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
234 Je n’en vois pas de plus haute dans notre ordre, ni de plus digne de conquête. La question reste, évidemment, de savoir c
96 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
235 t, fort bien exprimé par Pascal : « L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bê
236 bien exprimé par Pascal : « L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête. »16
237 dre établi ne saurait être en aucun cas définitif ni suffisant. Contre le marxiste, il affirme que l’évolution nécessaire
238 iller et penser, mais jamais un système politique ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que personne
239 sante que l’Évangile appelle l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrest
240 l’Évangile appelle l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrestres, mais
241 le appelle l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrestres, mais impliqua
242 l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrestres, mais impliquant l’activ
243 é pour ma part. III. Qu’allons-nous faire ? Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif. Révolution sans
244 a part. III. Qu’allons-nous faire ? Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif. Révolution sans illusion
245 III. Qu’allons-nous faire ? Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif. Révolution sans illusions. Droits
246 allons-nous faire ? Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif. Révolution sans illusions. Droits supérieur
247 e de propriété privée. Parmi eux, je citerai le «  ni droite ni gauche » repris depuis peu par les ligues d’anciens combatt
248 iété privée. Parmi eux, je citerai le « ni droite ni gauche » repris depuis peu par les ligues d’anciens combattants (dont
97 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
249 scrète n’étonna personne. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évang
250 ersonne. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’a
251 it-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en comm
252 héologie, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en commun des difficul
253 ne dizaine d’entre nous parlèrent, sans artifices ni gêne, ni excès d’aucune sorte. À plus d’une reprise, j’eus l’impressi
254 e d’entre nous parlèrent, sans artifices ni gêne, ni excès d’aucune sorte. À plus d’une reprise, j’eus l’impression, qu’on
255 fera jamais par le moyen de mouvements de masse, ni par des organisations, ni par des corps constitués mais par des homme
256 de mouvements de masse, ni par des organisations, ni par des corps constitués mais par des hommes concrets, agissant dans
257 publient pas de revues, ils ne sont pas une secte ni une nouvelle Église. Ils travaillent par petites équipes. Ils voyagen
98 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
258 sme au nom des biens qu’ils n’ont pas su défendre ni davantage sacrifier. Ils affirment trop tardivement que « l’argent ne
259 r un autre chemin : un chemin qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Moscou, mais à nous-mêmes devant Dieu. ⁂ Søren Kierke
260 emin : un chemin qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Moscou, mais à nous-mêmes devant Dieu. ⁂ Søren Kierkegaard est san
261 e plus pesant. On ne rit pas devant le dictateur, ni dans les rangs des troupes d’assaut. Ah ! si le rire est le propre de
262 du Monde qu’ils se figurent (mais sans franchise, ni précision) comme une espèce de vertébré monstre, invisible, mystérieu
99 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
263 raire de cette littérature n’a plus de sens réel, ni plus d’autorité. Critiquer, c’est d’abord posséder un critère, ensuit
264 e assez haut. Pas trop haut — erreur romantique — ni trop bas — erreur soviétique. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est l
100 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
265 du peuple et de l’activité créatrice des élites ? Ni le pouvoir ni les lois ne peuvent compter sur une longue durée ou sur
266 e l’activité créatrice des élites ? Ni le pouvoir ni les lois ne peuvent compter sur une longue durée ou sur une action un