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er rompit finalement avec l’Église et revint à un
nietzschéisme
violent. On voit percer par endroits, dans ce livre, une espèce de re
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extes de L’Ordre nouveau manifestent un certain
nietzschéisme
, une certaine foi en l’acte seulement humain, qui figure, pour un chr
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e l’homme que la raison païenne admet fort bien :
nietzschéisme
agressif, ou désespoir du démoniaque qui veut être soi-même, « en hai
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d’impatiences suspectes, de rancunes sociales, de
nietzschéisme
mal digéré. Les excuses qu’on leur offre ne sont guère plus reluisant
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en à quoi devait aboutir le véritable et intégral
nietzschéisme
dans le plan politico-social. Historiquement, l’on ne peut voir dans
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e l’homme que la raison païenne admet fort bien :
nietzschéisme
agressif ou désespoir du démoniaque qui veut être soi-même « en haine
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dépit aussi de mes sérieuses divergences avec le
nietzschéisme
antichrétien qui anime alors plusieurs des dirigeants de l’Ordre nouv
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a famille, et que nous acceptions tous ; quant au
nietzschéisme
, qu’il partageait d’ailleurs avec la plupart des membres du Comité, c