1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 it fait le soir avant pour les milieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des questions de partis, avec une passion cont
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 tueuses intelligences — tous les tableaux dans le noir des musées ! — et si tu veux soudain le son grave de l’infini, pour ê
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 r sacré. » (Edmond Jaloux.) Entre un monsieur en noir  : Permettez-moi de me présenter… d’ailleurs une ancienne connaissance
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 encore : cette fois-ci c’est un Evard : des roses noires sur une table, dans un espace bizarrement lumineux où se coupent des
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 heureuse des violons. Le diable sort des parois, noir et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’est un duo des tén
6 voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire . Je sentis que je l’avais déjà reconnu. Il portait une cape bleu somb
7 Se penchant vers moi il prononça : « La nuit sera noire et blanche. » Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cette phrase c
8 allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, reflétant le plafond
9 ête frisée jetait des insolences sur les chapeaux noirs de ses cavaliers. Tout cela s’empila dans des autos ; en dix minutes,
10 auto à l’écart des autres. Une femme aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Mar
11 ; je reconnus la voiture de la femme aux bandeaux noirs . Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du mat
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
12 ins de Jacques Ernotte) (Éditions “Le Rouge et le Noir ”) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 19
7 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
13 on ! non ! jamais ! » Officiers élégants, tout de noir vêtus, belles femmes aux voix agréablement rauques… Sortez pour en su
14 alage pour admirer un coussin aux curieux dessins noirs et blancs : il représente l’ancienne Hongrie découpée en blanc sur fo
15 nte l’ancienne Hongrie découpée en blanc sur fond noir et portant, en cœur noir, la nouvelle… « Savez-vous qu’on nous a pris
16 coupée en blanc sur fond noir et portant, en cœur noir , la nouvelle… « Savez-vous qu’on nous a pris les deux tiers de notre
8 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
17 tion d’amour destinée à une femme blonde. Je suis noire . Mais je sais qui c’est. J’ai fait suivre. Alexandrine un jour m’a la
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
18 ieux les innombrables défense de, petites crottes noires et blanches qui marquent un peu partout le passage de l’État, et dont
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
19 de depuis le xviiie (depuis les dernières pestes noires ). Si vous creusez un peu la notion de démocratie, vous trouvez bien v
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
20 enté d’attribuer à ses adversaires des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été développé jusqu’au ridi
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
21 ieux les innombrables défense de, petites crottes noires et blanches qui marquent un peu partout le passage de l’État, et dont
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
22 de depuis le xviiie (depuis les dernières pestes noires ). Si vous creusez un peu la notion de démocratie, vous trouverez bien
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
23 enté d’attribuer à ses adversaires des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été développé jusqu’au ridi
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
24 nt parmi les roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires . Il y fallait cette féminité ingénue et précieuse, toujours prête à é
25 sa technique ! Et qui eût pensé qu’avec un jeu de noirs et de gris l’on pût recréer toute la ferveur d’un coucher de soleil.
16 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
26 Sud, un soir de mai. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
27 s, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince
28 Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bethlen venait à la SDN en tenue de magnat, beauco
29 iste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir . Quelques articles favorables à la Hongrie, au moment où l’Europe sem
30 cine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nou
18 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
31  ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-on gipsys. Pour leur nom allemand, c
32 u Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire , et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses
33 aimer !… Je me souviens de ces terrains de sable noir , piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dern
34 uit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre… Que
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
35 des étendues de toits de tuiles, avec de la fumée noire qui s’en échappait. Osaka, la nuit, avait un air étrange, quelque cho
36 à se rendre intéressant à lui-même en poussant au noir le tableau, ou au contraire en s’excitant sur ses belles actions. Il
20 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
37 ette œuvre serait comme le frontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propos, fit obser
21 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
38 upements révolutionnaires allemands (tant « Front Noir  » que communistes), français et belges. Des délégués suisses y assist
22 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
39 massif central de sapins et de lacs secrets, cœur noir et tourmenté du continent —, cette région escarpée entre Munich, Salz
23 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
40 heureuse des violons. Le diable sort des parois, noir et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’est un duo des tén
41 voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire . Je sentis que je l’avais déjà reconnu. Il portait une cape bleu-somb
42 Se penchant vers moi il prononça : « La nuit sera noire et blanche. » Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cette phrase c
43 allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, reflétant le plafond
44 ête frisée jetait des insolences sur les chapeaux noirs de ses cavaliers. Tout cela s’empila dans les autos ; en un quart d’h
45 iture à l’écart des autres. Une femme aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Mar
46 ; je reconnus la voiture de la femme aux bandeaux noirs . Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du
24 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
47 s, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince
48 Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bethlen venait à la SDN en tenue de magnat, beauco
49 iste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir . Quelques articles favorables à la Hongrie, au moment où l’Europe se
50 cine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nou
51  ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-on gipsys. Pour leur nom allemand, c
52 u Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire , et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses
53 r aimer ! Je me souviens de ces terrains de sable noir , piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dern
54 uit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Que
25 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 , dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire , des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent s
56 oir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce
57 que toutes choses est la rencontre sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la Lune
58 ages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement, au sein du silence et
26 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
59 y eut plus qu’une piste de terre entre les sapins noirs , la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte
60 des étalons de course, géants aux longs fessiers noirs luisants. Sur la plaine éblouissante, des troupeaux de chevaux pâture
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
61 massif central de sapins et de lacs secrets, cœur noir et tourmenté du continent, — cette région escarpée entre Munich, Salz
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
62 s, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince
63 Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume noir et or. Si le comte Bethlen venait à la SDN en tenue de magnat, beauco
64 iste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir . Quelques articles favorables à la Hongrie, au moment où l’Europe sem
65 cine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nou
66  ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-on gipsys. Pour leur nom allemand, c
67 u Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire , et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses
68 r aimer ! Je me souviens de ces terrains de sable noir , piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dern
69 uit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Que
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
70 y eut plus qu’une piste de terre entre les sapins noirs , la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte
71 des étalons de course, géants aux longs fessiers noirs luisants. Sur la plaine éblouissante, des troupeaux de chevaux pâture
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
72 , dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire , des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent s
73 oir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce
74 que toutes choses est la rencontre sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la Lune
75 ages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement, au sein du silence et
76 r, et une plus petite enveloppe blanche bordée de noir . » (Sentiment de certitude tranquille, ces objets vus dans une lumièr
77 el à sept heures du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui mentionne en passant la mort de sa belle-mère,
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
78 est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignot
79 he sur ses géraniums, l’autre ajuste des lunettes noires … Quelques jeunes gens viennent boire un verre, le soir. Un violoniste
80 du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les larmes aux yeux.
81 ministère. Un vieux monsieur très grand, vêtu de noir , aux pantalons étroits, aux longs souliers pointus, sort d’un xixe s
82 quoi ni protester, et ce n’est plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des nourritures authentiques pour les corps et po
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
83 œur le cirque proche des crêtes dentées de sapins noirs , fermer les yeux pendant les treize tunnels, dans le long courant d’a
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
84 ïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires , j’ai lu ses lettres. Dernière d’une lignée très catholique, elle cac
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
85 ui suffit pour décrire l’ennui : « Un maigre chat noir , demi-sauvage, qui pêchait de petits poissons en plongeant sa patte d
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
86 échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du noir Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un orage s’illumine pa
87 près du hangar des trams, et l’eau n’est pas plus noire que mon cœur humilié. Dans ce « local » empuanti de tabac de pipes et
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
88 r les menées moroses des hauts plateaux boisés de noir . Ils vont jusqu’au Tibet, me disait un jour Ramuz (dont la géographie
89 ité des musulmans, qu’il suffit de les voir, tout noirs dans leurs cuisines, fatalistes et irréductibles… J’aime tous ceux qu
37 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
90 ont, depuis la guerre, chez nos voisins. Du Front noir national-socialiste (Otto Strasser) jusqu’au Neue Volk marxiste (Vitu
38 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
91 erpétuelle : nous peignons notre état un peu plus noir qu’il n’est, afin d’éclairer par contraste un avenir qui devra son éc
39 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
92 dont la main prodigieuse se détachant sur le ciel noir désigne le Sauveur en croix : « Il faut qu’il croisse et que je dimin
40 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
93 s tout bravement refuser de toucher le prix d’une noire trahison. Se montrer désintéressé, au sens subtil où il l’entend, c’e
41 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
94 ales de la Réforme. Voilà l’opposition réelle, du noir au blanc, que nos frères catholiques ont tant de peine à distinguer.
42 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
95 ment de reporter sur le papier de l’encre la plus noire . » Au lieu de : Réfléchissons, analysons : « Ruminons la bouchée inte
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
96 russe et son passé, etc. 2. « Maigre immortalité noire et dorée. Consolatrice affreusement laurée… » Paul Valéry, de l’Acadé
44 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
97 étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en noir jacassent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jouent au
98 assent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jouent au football dans le ruisseau avec un torchon de papier d’embal
99 le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir . Avec fanatisme. J’observe aussi qu’ils s’arrangent pour vivre plus m
100 surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir . C’est la propriétaire, Madame Turc. Elle nous fait entrer. Pour la v
101 é sur le ventre, les pieds découverts, un foulard noir sur les épaules, et je crois bien sa blouse noire aussi. Elle me dit
102 noir sur les épaules, et je crois bien sa blouse noire aussi. Elle me dit qu’elle a été assez mal. On devait lui retirer son
103 s de peupliers : il faut suivre des yeux la route noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’une tac
45 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
104 ce qu’ils la rôtissent ? On distingue des étoffes noires qui se gonflent sur le brasier… Je me suis réveillé tard. Tandis que
46 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
105 mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le tableau noir .) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tous lai
106 énergique et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques
107 nférencier, et nous sortons ensemble. Dans la rue noire , un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il veu
47 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
108 quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir , et joliment disposées, une photo de bateau, et un vieil arbre généal
109 ncore parlé de la poule, la triste et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin. Elle y est pourtant depuis notre
110 de ce monde « mal compassé ».   16 avril La poule noire couve depuis hier ses treize œufs. J’ai semé des salades, planté des
111 d’immenses plateaux rocheux, pourpres, jaunes et noirs se révèlent au-delà de la plage, nouveau pays tout grouillant de merv
112 art est fixé au 10. Il va falloir vendre la poule noire et les poulets encore trop jeunes pour être mangés. Régler vingt peti
48 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
113 vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire et muette où rôdent les grandes menaces originelles ! On l’avait oubl
49 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
114 molles au-dessus du jardin. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le long de l’allée unique, entr
115 bus. Il faut s’éloigner du village. De nouveau le noir , et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me gliss
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
116 lochers peints de blanc jusqu’à mi-hauteur, et de noir au-dessus, repères pour les navigateurs. L’autocar sent la marée fraî
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
117 , les marais et deux ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La lumière n’a plus cette intensité blanche et bleue qui n
118 te un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires , la veille encore recouvertes de sable. Peu d’hommes aux champs, peti
119 de sable. Peu d’hommes aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le village vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’en
120 quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir , et joliment disposées, une photo de bateau, et un vieil arbre généal
121 mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le tableau noir .) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tous lai
122 énergique et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques
123 onférencier et nous sortons ensemble. Dans la rue noire , un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il veu
124 l’appellent les vieux du village. Il faisait nuit noire , et un de ces mauvais froids humides. Rien de plus lugubre que l’île
125 ncore parlé de la poule, la triste et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin. Elle y est pourtant depuis notre
126 aître dans l’écrit ? 17 avril 1934 La poule noire couve depuis hier ses treize œufs. J’ai semé des salades, planté des
127 d’immenses plateaux rocheux, pourpres, jaunes et noirs se révèlent au-delà de la plage, nouveau pays tout grouillant de merv
128 la replonge dans l’eau elle vous éternue son jet noir cinq ou six fois, jusqu’à épuisement, avant de se retirer dans son tr
129 art est fixé au 10. Il va falloir vendre la poule noire et les poulets encore trop jeunes pour être mangés. Régler vingt peti
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
130 étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en noir jacassent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jouent au
131 assent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jouent au football dans le ruisseau avec un torchon de papier d’embal
132 le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir . Avec fanatisme. J’observe aussi qu’ils s’arrangent pour vivre plus m
133 surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir . C’est la propriétaire, Mme Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vent
134 é sur le ventre, les pieds découverts, un foulard noir sur les épaules, et je crois bien sa blouse noire aussi. Elle me dit
135 noir sur les épaules, et je crois bien sa blouse noire aussi. Elle me dit qu’elle a été assez mal. On devait lui retirer son
136 s de peupliers : il faut suivre des yeux la route noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’une tac
137 ce qu’ils la rôtissent ? On distingue des étoffes noires qui se gonflent sur le brasier… Je me suis réveillé tard. Tandis que
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
138 n goudronné. Petites allées de campagne, en terre noire . Parfois on voit une haie fleurie, un buisson qui surplombe une palis
54 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
139 Le Monastère noir , par Aladár Kuncz (janvier 1938)ai Professeur, écrivain, traducteu
140 ie dans un camp à Perpignan. De là au « monastère noir  », la forteresse de Noirmoutier, puis à l’île d’Yeu. Il ne sera libér
141 es qui se taisent, etc., etc. ai. « Le Monastère noir , par Aladár Kuncz. Traduit du hongrois par L. Gara et M. Piermont (Ga
55 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
142 molles au-dessus du jardin. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le long de l’allée unique, entr
143 bus. Il faut s’éloigner du village. De nouveau le noir , et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me gliss
56 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
144 cine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nou
57 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
145 la police s’opposa aux bandes armées des chemises noires . Ce fut à Sarzana, en juillet 1921. 500 fascistes avaient débarqué à
146 premier coup de feu, la petite armée des chemises noires s’enfuit dans les campagnes. Cet épisode est symbolique, comme le pro
58 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
147 Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)c Eh bien ! en ont-ils fait des histoires sur ma petite
148 el en chômage , il y a une poule. C’est une poule noire , triste et digne nous dit-on, dont nous faisons connaissance page 92.
149 — dans votre expérience. Témoin la fameuse poule noire et ses treize poussins. Certains en sourient, de votre poule noire ;
150 ze poussins. Certains en sourient, de votre poule noire  ; moi, je lui trouve une vertu particulière. Voilà au moins un sujet
151 lait dire. Et l’on reconnaît enfin que moi, poule noire , j’étais « un sujet substantiel, et qui a tenté de fort bons auteurs 
152 n auteur. Car, sous prétexte de décrire une poule noire , savez-vous qu’il s’en prenait en vérité à la petite épargne, aux pet
153 remarque aux déclarations judicieuses de ma poule noire  ? Ce ne sont pas seulement les poules qui jouissent de cette faculté.
154 ui est imprimé. c. « Caquets d’une vieille poule noir  », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 8, août 1938, p. 115-
155 (ou, comme on dit, pondues) par la vieille poule noire mise en scène p. 92 de son livre. Nos lecteurs jugeront eux-mêmes s’i
156 ’est en pages 98-99 qu’est mise en scène la poule noire .
59 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
157 ysage des souvenirs d’enfance : Blonde, aux yeux noirs , en ses habits anciens Que dans une autre existence peut-être J’ai dé
60 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
158 aine au plus, trois ou quatre en uniforme brun ou noir . Présentation du nouveau « lecteur », après quoi, le Dr N. prononce s
159 la rue retentissait de chants. C’était une troupe noire ou brune, par rangs de trois, qui défilait ; ou bien une formation de
160 et donnant leurs pfennigs par crainte des listes noires , produit un sentiment de honte générale. Tâchons du moins de sauver l
161 tourmenté, stature mince et très droite, vêtue de noir . Et cette certitude saisissante, après quelques minutes de son discou
162 , nuit Fête du solstice d’été. — Dans la nuit noire , sur une plaine inégale, où le pied bute, nous suivons des foules sil
163 t rougeoyante à la hauteur des chemises brunes ou noires , des blouses blanches. Au-dessus, sur le fond de la nuit, ondule une
61 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
164 us malin que cela ? Il suffit de poser à la clé : noir égale blanc, et ainsi de suite. Enfin l’on va pouvoir s’entendre ! To
62 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
165 e notre ère, avant l’an mille, pendant les pestes noires , pendant les guerres de religion qui obscurcissent l’image du monde c
63 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
166 on les reconnaît : puissant, massif, les cheveux noirs en bataille, le geste large et le sourire généreux, voici Honegger, l
64 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
167 au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire . Tristan meurt. Iseut la blonde débarque à cet instant, monte au chât
65 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
168 soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire . Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galates), p
66 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
169 échir. Il y eut surtout, en 1348, la grande peste noire qui ravagea l’Europe : et voilà qui rappelle au poète que ses « quali
170 yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tortures
171 reté. — Elle expire, Seigneur ! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire ! Malgré tout, — malgré mê
172 usseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui rendent « a
173 Comme on voit, en fermant les yeux, une statue noire à la place de la blanche que l’on vient de considérer, l’éclipse du m
67 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
174 mment suggestif. Les écus sont blancs, violets et noirs , semés de larmes blanches ; on les touche par pitié pour la « Dame de
175 venue reine d’Angleterre, le roi René apparaît en noir , sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un é
176 erre, le roi René apparaît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larm
177 paraît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir , avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
178 n cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les
179 d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi a
180 emagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi apparaît encore dans la coutum
68 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
181 ysage des souvenirs d’enfance : Blonde, aux yeux noirs , en ses habits anciens Que dans une autre existence peut-être J’ai dé
69 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
182 fermée.) Dure est la peine, affreux le sacrifice, noire la nuit, et la voie solitaire. Mais Dieu pourvoit au soin de ceux qui
183 r la face des glaciers Louez Dieu dans les gorges noires Louez Dieu dans le cirque des rochers Louez Dieu dans le bruit des to
70 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
184 te. Les solitaires se retournent : un vieil homme noir se tient près de l’abri.) Ulrich. —  Un mendiant ? Par où est-il mo
185 ne du courage, la nuit, dans la forêt horrible et noire  ! Nicolas. —  Pauvres gens ! Il y a donc la guerre là-bas ? Le
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
186 au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire . Tristan meurt. Iseut la blonde débarque à cet instant, monte au chât
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
187 soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire . Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galates), p
188 quelle espèce de liens peut-on imaginer entre ces noirs cathares, que leur ascétisme contraignait à fuir tout contact avec l’
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
189 échir. Il y eut surtout, en 1348, la grande peste noire qui ravagea l’Europe : et voilà qui rappelle au poète que ses « quali
190 yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tortures
191 reté. — Elle expire, Seigneur ! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire ! Malgré tout — malgré mêm
192 usseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui rendent « a
193 Comme on voit, en fermant les yeux, une statue noire à la place de la blanche que l’on vient de considérer, l’éclipse du m
74 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
194 mment suggestif. Les écus sont blancs, violets et noirs , semés de larmes blanches ; on les touche par pitié pour la « Dame de
195 venue reine d’Angleterre, le roi René apparaît en noir , sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un é
196 erre, le roi René apparaît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larm
197 paraît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir , avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
198 n cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les
199 d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi a
200 emagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi apparaît encore dans la coutum
75 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
201 ysage des souvenirs d’enfance : Blonde, aux yeux noirs , en ses habits anciens Que dans une autre existence peut-être J’ai dé
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
202 au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire . Tristan meurt. Iseut la blonde débarque à cet instant, monte au chât
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
203 soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire . Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine et en Asie Mineure (Galates), p
204 quelle espèce de liens peut-on imaginer entre ces noirs cathares, que leur ascétisme contraignait à fuir tout contact avec l’
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
205 échir. Il y eut surtout, en 1348, la grande peste noire qui ravagea l’Europe : et voilà qui rappelle au poète que ses « quali
206 yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tortures
207 reté. — Elle expire. Seigneur ! — D’une action si noire Que ne peut avec elle expirer la mémoire ! Malgré tout — malgré mêm
208 usseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui rendent « a
209 Comme on voit, en fermant les yeux, une statue noire à la place de la blanche que l’on vient de considérer, l’éclipse du m
79 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
210 mment suggestif. Les écus sont blancs, violets et noirs , semés de larmes blanches ; on les touche par pitié pour la « Dame de
211 venue reine d’Angleterre, le roi René apparaît en noir , sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un é
212 erre, le roi René apparaît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larm
213 paraît en noir, sur un cheval noir caparaçonné de noir , avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’
214 n cheval noir caparaçonné de noir, avec une lance noire et un écu de sable aux larmes d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les
215 d’argent… Pour l’Arbre Charlemagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi a
216 emagne, les écus sont noirs et violets aux larmes noires ou or. » L’élément érotique du tournoi apparaît encore dans la coutum
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
217 ysage des souvenirs d’enfance : Blonde, aux yeux noirs , en ses habits anciens Que dans une autre existence peut-être J’ai dé
81 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
218 t subsister longtemps, et alors c’en sera fait de noire liberté vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance n
82 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
219 r la balançoire dialectique : le blanc conduit au noir , le bien au mal, la foi pure de Luther à l’action pure d’Hitler. Mais
83 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
220 stes blanches délimitées par des lignes jaunes et noires , entre lesquelles se déplacent lentement, de droite à gauche, de gauc
84 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
221 plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard, que ce jour-là j’avai
85 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
222 on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir . J’arrive à la salle de lecture. Il n’y avait que des feuilles de pap
86 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
223 e les lire à rebours, selon la coutume des messes noires . C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les critères mêmes de
87 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
224 oliques ? Les démons, ce sont les nazis, vêtus de noir , grinçant des dents, mal nourris et semant la mort. Mais quoi ? Vous
225 on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir . J’arrive à la salle de lecture. Il n’y avait que des feuilles de pap
88 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
226 rdre personnel Le diable et sa colonne d’anges noirs « qui n’ont pas conservé leur dignité, mais qui ont déserté leur prop
227 it parfois s’évanouir avec un dégagement de fumée noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait pleurer,
89 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
228 blotins1. On lui invente une église et des messes noires . On lui oppose des tribunaux, une Chambre ardente, qui lui envoient d
90 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
229 e les lire à rebours, selon la coutume des messes noires . C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les critères mêmes de
91 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
230 oliques ? Les démons, ce sont les nazis, vêtus de noir , grinçant des dents, mal nourris et semant la mort. Mais quoi ? Vous
231 on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir . J’arrive à la salle de lecture. Il n’y avait que des feuilles de pap
92 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
232 rdre personnel Le diable et sa colonne d’anges noirs « qui n’ont pas conservé leur dignité, mais qui ont déserté leur prop
233 it parfois s’évanouir avec un dégagement de fumée noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait pleurer,
93 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
234 blotins2. On lui invente une église et des messes noires . On lui oppose des tribunaux, une Chambre ardente, qui lui envoient d
94 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
235 e les lire à rebours, selon la coutume des messes noires . C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les critères mêmes de
95 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
236 oliques ? Les démons, ce sont les nazis, vêtus de noir , grinçant des dents, mal nourris et semant la mort. Mais quoi ? Vous
237 on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir . J’arrive à la salle de lecture. Il n’y avait que des feuilles de pap
96 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
238 rdre personnel Le diable et sa colonne d’anges noirs « qui n’ont pas conservé leur dignité, mais qui ont déserté leur prop
239 it parfois s’évanouir avec un dégagement de fumée noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait pleurer,
97 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
240 ’éveille parfois tout à fait, et ses yeux dans le noir imaginent. Une étreinte qui s’égalerait à l’Infini. Se fondre en un s
98 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
241 plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard, que ce jour-là, j’ava
99 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
242 le naturel de l’héroïsme populaire. Ce peuple en noir au regard vif s’est révélé face au danger. Il manquait d’armes, il lu
100 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
243 r quelques pas. Les autres, je les risque dans le noir , — dans la nuit de la foi ou du pressentiment, soutenu par l’espoir d