1
lyriques. m. « Simone Téry : L’Île des bardes. “
Notes
sur la littérature irlandaise contemporaine” (Flammarion, Paris) », B
2
elle, s’il voulait…) o. « Adieu, beau désordre… (
Notes
sur la jeune littérature et la morale) », Bibliothèque universelle et
3
oir tout ce que je n’ai pas dit dans ces quelques
notes
. 3. Il suffit encore : f 2.50, nom et adresse. e. « L’atmosphère d
4
dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide. Les
notes
d’un chant qui voudrait s’élever. Puis enfin la marée de mes désirs.
5
l’homme et la bête une sympathie que Montherlant
note
à plusieurs reprises. C’est « par la divination de cet amour qu’Alban
6
-font-des-gestes. Les autos répètent sans fin les
notes
mêlées d’une symphonie qui va peut-être composer tous les bruits de l
7
’écris ces choses. Puis, dans un ancien carnet de
notes
, je retrouve un être si différent. Les gestes et les sentiments qui s
8
e même J’en étais à peu près à ce point de mes
notes
— à ce point de mon dégoût pour ce que beaucoup continuaient d’appele
9
u’odieux. Au hasard de quelques lectures, je pris
note
des passages suivants (les paraphraser serait d’une ingratitude insig
10
s la préface des Mariés de la tour Eiffel. Et une
note
d’Orphée précise : « Inutile de dire qu’il n’y a pas un seul symbole
11
même si cela doit m’anéantir. Hoffmann. I (
Notes
écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le Salut de
12
-Genève-Fribourg, n° 6, mai 1927, p. 180-185. Une
note
de bas de page indique : « La rédaction rappelle que les idées émises
13
[NdE] Le texte publié place également un appel de
note
plus bas dans le paragraphe, après « Narcisse », sans qu’on sache s’i
14
rer, te haïr… 9. Calembour sur une idée juste. (
Note
de l’éd.) k. « Dés ou la clef des champs », Neuchâtel 1928 : beaux-a
15
rée. Un violon vient vous siffler à l’oreille les
notes
les plus aiguës d’une chanson populaire, et à l’autre extrémité de la
16
n Cahier de la quinzaine, ça faisait de mauvaises
notes
dans nos carnets hebdomadaires, et une semonce à nous gâter toute une
17
amais soupçonné ce que cela représente. 10. Voir
note
A à la fin du cahier. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’
18
? Areuse, 26 décembre 1928-10 janvier 1929.
NOTE
A On est toujours tenté d’attribuer à ses adversaires des intentions
19
up de rigueur morale ne saurait même pas prévoir.
NOTE
B La culture de notre sensibilité nous aiderait à retrouver l’accord
20
. On peut faire des haltères et rester pacifiste.
NOTE
C Vous parlez de la grande vulgarité de mes attaques. Ce qui est vulg
21
n Cahier de la quinzaine, ça faisait de mauvaises
notes
dans nos carnets hebdomadaires, et une semonce à nous gâter toute une
22
amais soupçonné ce que cela représente. 10. Voir
note
A à la fin du livre, p. 65. 11. Est-il besoin de déclarer formelleme
23
? Areuse, 26 décembre 1928-10 janvier 1929.
NOTE
A On est toujours tenté d’attribuer à ses adversaires des intentions
24
up de rigueur morale ne saurait même pas prévoir.
NOTE
B La culture de notre sensibilité nous aiderait à retrouver l’accord
25
. On peut faire des haltères et rester pacifiste.
NOTE
C Vous parlez de la grande vulgarité de mes attaques. Ce qui est vulg
26
on nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette
note
de Beausire : « Barrès se plaint très souvent de ses migraines, de se
27
de corps et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule
note
, il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut que la force de r
28
sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes
notes
fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais a
29
ente. (Vers l’époque où il ébauche son Empédocle,
note
M. Babelon, Hölderlin écrit de nombreux essais philosophiques.) Le tr
30
la rafale dont l’approche déjà fait grésiller les
notes
basses du cymbalum, — et maintenant ferme les yeux sous la vague touj
31
ial, 1930, p. 242-245. Le texte est précédé de la
note
suivante : « M. Denis de Rougemont a poursuivi des études de lettres
32
préface qu’il a donnée à la traduction française
note
avec raison que M. Baring se montre « quelque peu inexorable dans la
33
e. En même temps que les actions de ses héros, il
note
les jugements contradictoires qu’elles provoquent. Et le tragique qui
34
tradition d’individualisme lui frayait la voie »,
note
fort justement notre auteur. L’homme seul en face des sommets, qu’écr
35
e Procureur regardait distraitement son carnet de
notes
. Il tremblait jusqu’au bout des doigts. Il eut été impossible de dire
36
aire en s’excitant sur ses belles actions. Il les
note
, simplement, sans oublier d’indiquer ses hésitations, les traverses s
38
devient la rançon. (Divers, p. 75.) Ces quelques
notes
voudraient marquer une réaction toute personnelle provoquée par la de
39
Vie, Paris, n° 31, octobre 1931, p. 725-729. Une
note
précise : « Divers (« Caractères. — Un esprit non prévenu. — Dictées.
40
ame antique. M. Saurat doit se tromper, lorsqu’il
note
que dans ce conflit moral, Dieu est « tranquillement oublié ». Il y a
41
e. Laisse donc tous ces noms dont se meublent les
notes
de ton enquête, comme de guéridons démodés supportant des bouquins d’
42
e, n° 2, avril-juin 1932, p. 12-15. Précédé de la
note
suivante : « Le texte qu’on va lire est une réponse et un écho à l’ét
43
n terminant la plupart de ses traits sur quelques
notes
ironiques, destinées peut-être à indiquer qu’il n’est pas dupe, qu’il
45
la rafale dont l’approche déjà fait grésiller les
notes
basses du cymbalum, — et maintenant ferme les yeux sous la vague touj
46
sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes
notes
fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais a
47
de corps et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule
note
, il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut que la force de r
48
. Mais vous n’êtes qu’une petite fille.20 20. [
Note
à l’achevé d’imprimé :] « Relativement à « La pluie et le beau temps
49
la rafale dont l’approche déjà fait grésiller les
notes
basses du cymbalum —, et maintenant ferme les yeux sous la vague touj
50
. Il doit y avoir d’autres solutions… [NdE] Cette
note
avait disparue de la version publiée en 1968 dans le Journal d’une é
51
sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes
notes
fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais a
52
sur notre Suisse romande aux derniers siècles. Je
note
pourtant que l’un des traits qu’ont en commun presque toutes les anci
53
, Paris, n° 5, mars 1933, p. 286-293. La première
note
indique : « Introduction à une discussion organisée par la fédération
54
che —, une pétulance idéologique qui s’exprime en
notes
, digressions et plaisanteries jamais dépourvues d’ailleurs d’une cert
55
ogie de Barth se donne en effet pour une simple «
note
marginale » à tous les systèmes existants. Barth lui-même l’a nommée,
57
e n° 1, me met la plume à la main. Voici quelques
notes
rapidement rédigées dans les marges. M. Reymond, je le crois, ne m’en
58
et d’une présence, qui juge tout. x. « Petites
notes
sur les vérités éternelles », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuch
59
et Nunc, Paris, n° 5, janvier 1934, p. 18-23. Une
note
ajoute : « Extrait d’un volume à paraître, intitulé Penser avec les m
60
ia, ce que vous aurez la chance d’en trouver, une
note
ici ou là, quelques petits livres à tirage limité. N’allez pas croire
61
sion, comme aussi de toute responsabilité !) ; il
note
bien que ce sentiment permet l’économie de tout « concours actif de l
62
pérance, — elles sont inséparables jusqu’au bout,
note
M. Marcel, qui m’apparaît ici très « dialectique » — démarche de la c
63
du langage. Je ne voudrais pas clore ces quelques
notes
, qui sont loin d’épuiser la revue des principaux thèmes de l’œuvre12,
64
, n° 6, 4 août 1934, p. 3. f. Comme l’indique la
note
, il s’agit d’Avant l’aube (Éditions « Je sers ») dont Rougemont donne
65
is, n° 65, octobre-novembre 1934, p. 812-817. Une
note
précise : « Roman, par Kasimir Edschmid. Traduit de l’allemand et int
66
raires, Paris, n° 629, 3 novembre 1934, p. 3. Une
note
de lecture plus courte du même roman a également paru dans le Journal
67
s, n° 1, novembre 1934, p. 29-35. Il s’agit d’une
note
critique de La Foi à la résurrection de Jésus dans le christianisme p
68
plan du marxisme. Je laisserai de côté, dans ces
notes
, le fameux problème de la personne chrétienne en face du collectif ma
69
re destin (Spes). [NdE] Nous avons placé là cette
note
, en l’absence d’appel de note clairement indiqué dans l’édition origi
70
vons placé là cette note, en l’absence d’appel de
note
clairement indiqué dans l’édition originale. 77. Voir plus loin une
71
harakterbild (Leipzig, 1879) on trouve citées les
notes
consignées par l’interne de service dans le journal de l’hôpital Fréd
72
ait encore de toutes les faveurs de nos droites. (
Note
de 1946.) 40. C’est au reçu d’une circulaire m’invitant à adhérer à
76
e un volumineux choix de sentences, aphorismes et
notes
tirés des papiers posthumes de Nietzsche. On ne saurait surestimer l’
77
7. Journal d’un homme de 40 ans (Grasset). v. «
Notes
en marge de Nietzsche », Foi et Vie, Paris, n° 68, mars 1935, p. 250-
78
les-Paris, n° 4, mars 1935, p. 42-54. La première
note
indique : « Les pages qui suivent, détachées d’un ouvrage assez vaste
79
es plus clairs. Notre intention, dans cette brève
note
, n’est pas évidemment de déplorer ce qui s’est fait, ni de chercher p
80
de Commune (mai 1935)p Monsieur, Votre petite
note
sur mon livre illustre une fois de plus la mauvaise foi de Commune. S
81
is, n° 265, octobre 1935, p. 599-601. v. Voir la
note
de Rougemont sur le Paracelse de Frédéric Gundolf, dans la NRF de sep
82
raires, Paris, n° 681, 2 novembre 1935, p. 5. Une
note
de lecture sur le même livre a également paru dans la Nouvelle Revue
83
Autour de Nietzsche : petite
note
sur l’injustice (novembre 1935)h Plus une personne est grande, plu
84
t stupéfiante… h. « Autour de Nietzsche : petite
note
sur l’injustice », Présence, Lausanne et Genève, n° 9, novembre 1935,
85
38-42. Ce texte, signé « XXX », est précédé de la
note
suivante : « Un de nos amis, retour d’Allemagne, nous communique des
86
nos amis, retour d’Allemagne, nous communique des
notes
sur ses entretiens avec de jeunes hitlériens. Nous en détachons ces p
87
1936)q Un témoin de nos amis nous envoie ces
notes
. Nous les publions à titre documentaire. Il faut mesurer tout le volu
88
arts, et à nulle autre chose ; à quoi tendent les
notes
et à nulle autre chose ; tous les mots qu’on écrit, les tableaux qu’o
89
, Esprit, Paris, n° 44, mai 1936, p. 154-168. Une
note
précise : « Fragments d’une étude à paraître dans un recueil intitulé
90
ai-je dit, une étrange et vivante compilation de
notes
, de journaux, de lettres, de fragments de sermons, de boutades, d’ana
91
rit, Paris, n° 50, novembre 1936, p. 251-273. Une
note
précise : « Chapitres extraits de Penser avec les mains , à paraître
92
mais autrement, je n’en finirais pas, dans cette
note
, et j’ignore même si j’en viendrais jamais à bout dans mon esprit. Vo
95
le reste aura le droit d’être littérature. u. «
Note
sur nos notes », Esprit, Paris, n° 50, novembre 1936, p. 346-347.
96
le droit d’être littérature. u. « Note sur nos
notes
», Esprit, Paris, n° 50, novembre 1936, p. 346-347.
97
avez fait, et dont vous paraissez si fiers ! » Je
note
d’abord que ces propos m’ont été tenus spontanément, par des personne
98
Brod s’est expliqué sur ce point délicat dans une
note
jointe à l’édition posthume du Procès : je doute que les lecteurs de
99
de la vérité que j’ai en vue ? Quelles sont les «
notes
» de la mesure vraie ? Je répondrai par deux définitions que l’exempl
100
8. Lanson accorde trois lignes à Rimbaud dans une
note
de son manuel, au nom de sa méthode et en toute impartialité. La note
101
au nom de sa méthode et en toute impartialité. La
note
se termine par ces mots : « Il renonça trop tôt. » (Modestie ou pares
102
de la vérité que j’ai en vue ? Quelles sont les «
notes
» de la mesure vraie ? Je répondrai par deux définitions que l’exempl
103
tion sont les « Utopies » que je prévoyais alors (
Note
de 1972.) 56. Cela explique, s’il est besoin de l’expliquer, que je
104
0. Lanson accorde trois lignes à Rimbaud dans une
note
de son manuel, au nom de sa méthode et en toute impartialité. La note
105
au nom de sa méthode et en toute impartialité. La
note
se termine par ces mots : « Il renonça trop tôt. » (Modestie ou pares
106
ièvre romanesque (janvier 1937)y Marcel Arland
note
à propos du roman d’un débutant : « Les personnages n’y semblent naît
107
ique que le livre de Thibaudet se termine sur une
note
pessimiste, et sur l’expression de « dégradation de la littérature, a
108
yer d’un pédantisme moins barbare. Je rédigeai la
note
qui suit, en m’appliquant à écarter les conseils de pitié que me dict
109
véritable message « religieux » de Nietzsche. Les
notes
et aphorismes traduits pour la première fois à la suite du Zarathoust
110
quelle nous renvoyons à l’ouvrage déjà cité (voir
note
1), indiquons cependant quelques traits caractéristiques. La commune
111
brouillards et mon beau temps au-dedans de moi »,
note
Pascal. En sorte que s’étonner d’une pluie « intempestive » c’est une
112
s crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des
notes
basses, et le chœur lui répond deux octaves au-dessus. Toujours ces l
113
Esprit, Paris, n° 57, juin 1937, p. 368-387. Une
note
précise : « Extraits d’un ouvrage à paraître prochainement, sous ce t
114
Esprit, Paris, n° 57, juin 1937, p. 479-480. Une
note
précise : « Des fragments de ce livre ont paru dans Esprit, septembre
115
suis bien curieux. 15 décembre 1933 Je relève les
notes
prises l’autre soir sur la conférence à A… … Grande salle de la mairi
116
lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur
note
le nom du « président » et promet de lui envoyer un Nouveau Testament
117
du premier venu. 13 février 1934 La presse. — Je
note
à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « de droite »
118
n° 12, 15 juin 1937, p. 826-851. Introduit par la
note
suivante : « M. Denis de Rougemont, qui a publié récemment un remarqu
119
r qu’à Paris). Recettes : 80 francs pour quelques
notes
publiées dans une revue. Reste : environ 200 francs. Le sentiment de
120
haut d’une page que je retrouve dans une pile de
notes
. La page est restée blanche. Et toute réflexion faite, c’est bien ain
121
termes trop vagues, barré cinq lignes et mis une
note
au bas de la page. Il me semble vraiment que cela se tient. Il me sem
122
ibilités, et finalement ne rien payer de plus. Je
note
ceci parce que c’est un petit signe assez typique du malentendu qui a
123
nne, n° 202, 25 juillet 1937, p. 1. Précédé de la
note
suivante : « Par les soins de la Guilde du Livre, à Lausanne, paraîtr
124
omme l’a si bien dit Keyserling). En relisant mes
notes
, je m’aperçois que c’est la nostalgie d’une vraie communauté qui cons
125
robable que ces visions, de même que celles qu’on
note
chez la plupart des mystiques, doivent être considérées comme des pse
126
d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)b
Note
pour une préface. — « C’est une entreprise hardie que d’aller dire au
127
ps que les épreuves de mon journal, je reçois une
note
à l’encre rouge, signée du correcteur de l’imprimerie. Je la recopie
128
euves de son livre, il y trouva jointe une petite
note
écrite à l’encre rouge par le correcteur de l’imprimerie : Épicerie
129
ie, cela tient à l’absence du christianisme. » Je
note
ici, à l’appui des dires de de Man, que le mouvement syndicaliste au
130
ibilités, et finalement ne rien payer de plus. Je
note
ceci parce que c’est un petit signe assez typique du malentendu qui a
131
: 770 francs. Recettes : 80 francs pour quelques
notes
publiées dans une revue. Reste : environ 200 francs. Le sentiment de
132
e ces jours… 15 décembre 1933 Je relève les
notes
prises l’autre soir sur la conférence à A. — Grande salle de la Mairi
133
lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur
note
le nom du « président » et promet de lui envoyer un Nouveau Testament
134
un ami près de Taillefer.) J’ai interrompu mes
notes
depuis quinze jours. Pour la raison très simple que le souci du lende
135
ns cet inconfort matériel. Je viens de relire mes
notes
de Taillefer. Il me semble déjà que l’ambiance où j’étais en les écri
136
mier venu. 13 février 1934 La presse. — Je
note
à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « de droite »
137
haut d’une page que je retrouve dans une pile de
notes
. La page est restée blanche. Et, toute réflexion faite, c’est bien ai
138
10 avril 1934 Inconcevable lacune dans ces
notes
: je n’ai pas encore parlé de la poule, la triste et digne poule noir
139
termes trop vagues, barré cinq lignes et mis une
note
au bas de la page. Il me semble vraiment que cela se tient. Il me sem
140
Rien n’est plus significatif à cet égard que les
notes
sur Venise du Journal italien. Tout au début je trouve ces deux phras
141
ner autre chose qu’un « Je m’en fichiste » ? 4. (
Note
de 1937). — J’avais raison de marquer ce doute. Un agriculteur auquel
142
s chimères précises ? 4 novembre 1934 Cette
note
de la nuit dernière peut corriger ce que je disais de l’anti-intellec
143
s allures ! De tout cela je rapporte un paquet de
notes
qu’il faudra rédiger un jour. Pour l’instant, je me bornerai à consig
144
brouillards et mon beau temps au-dedans de moi »,
note
Pascal. En sorte que s’étonner d’une pluie « intempestive », c’est un
145
s crapauds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des
notes
basses, et le chœur lui répond, deux octaves au-dessus. Toujours ces
146
de ne pas spéculer arbitrairement sur les textes,
note
en effet cette restriction : « Et aussi ne faut-il pas entendre ceci
147
al d’un intellectuel en chômage (avril 1938)v
Note
pour une préface. — « C’est une entreprise hardie que d’aller dire au
148
ur le national-socialisme (1er juin 1938)f Les
notes
qui suivent sont extraites d’un « journal » tenu en 1935 et 1936 par
149
d’approche, un compromis avec le régime détesté. (
Note
de 1938 : cet étudiant vient d’entrer dans le Parti.) Parents et en
150
dait encore au milieu de la nuit. Je reprends mes
notes
du 11 mars 1936. Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-mi
151
, Paris, n° 26, 10 juin 1938, n. p. Précédé de la
note
suivante : « L’auteur de Penser avec les mains reprend ici les posi