1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 Barrès dans des dilemmes où l’art trouvait mal sa nourriture . Drieu la Rochelle tente la même fuite. Mais trop lucide, hésite, tré
2 qui a son origine dans l’œuvre de Gide. Entre les Nourritures terrestres, les Caves du Vatican et Dada, il y a place pour tous les
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 ique. Si je cite tel auteur dont nous fîmes notre nourriture une saison de naguère, voilà le rictus de votre bouche, une injure de
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
4 dans les livres — et nulle part ailleurs. Maigre nourriture pour nos rêves. Nous arrivions dans la vie avec des mentions honorabl
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
5 ? C’est un repos de l’esprit en même temps qu’une nourriture pour l’imagination. On goûtera les citations nombreuses que l’auteur
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
6 rt, lui-même, la terre, les pierres, le sable, la nourriture , les femmes, les filles, les bateaux à vapeur, même le vide qu’il ava
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
7 era ou sera niée en termes concrets, en termes de nourriture par exemple, non plus en termes curieux ou convenables. Nous recherch
7 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
8 plan où la vanité chercherait en vain la moindre nourriture . Le congrès de Francfort9 organisé par Plans a révélé cette unité fon
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
9 Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture , — la question fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture , — la question fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
11 st plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des nourritures authentiques pour les corps et pour les esprits. Ne comptez plus sur
11 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
12 e conte du journal, c’est-à-dire s’il demande une nourriture rapidement assimilable, mais tout de même reconstituante ? Des romans
12 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
13 artons dans le vaste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma maison, comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit cette femme. M
13 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
14 Viens avec nous, nous t’assurerons le travail, la nourriture et le logis. » Le capitaliste aussi disait cela, et bien d’autres cho
14 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
15 Viens avec nous, nous t’assurerons le travail, la nourriture et le logis. » Le capitaliste aussi disait cela, et bien d’autres cho
15 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
16 lectes publiques et de récolte de vêtements et de nourriture destinées à secourir les pauvres pendant l’hiver. C’est actuellement
16 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
17 i. Livre trop plein, trop scrupuleux, trop grave, nourriture trop complexe pour être épuisée d’un seul trait : non qu’il faille re
17 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
18 le n’est plus à notre mesure, elle nous offre des nourritures de luxe, et nous avons besoin de pain de ménage. Elle nous offre des
18 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
19 le n’est plus à notre mesure, elle nous offre des nourritures de luxe, et nous avons besoin de pain de ménage. Elle nous offre des
19 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
20 millions de personnes de toutes conditions : une nourriture , un exercice de l’âme, de l’intelligence et du cœur. Dès lors, les ef
20 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
21 me que je le convoite… », A. Gide : Les Nouvelles Nourritures . 37. Freud : Trois essais sur la théorie de la sexualité. La définit
21 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
22 les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quelquefois on nous envoie des journ
23 France n’a guère à donner à ceux qui ont faim de nourriture solide, élémentaire. Défaut de naïveté, de force ou de conviction. On
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
24 les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quelquefois on nous envoie des journ
25 France n’a guère à donner à ceux qui ont faim de nourriture solide, élémentaire. Elle manque de naïveté, de force et de convictio
26 individu qui a su tirer du monde où il est né les nourritures les plus richement assimilables. Il choisit, il compose, il n’accepte
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
27 ement plus spacieux, plus clair et plus sain, une nourriture meilleure et plus variée, des occasions plus fréquentes de respirer l
24 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
28 un d’eux me présente un travail sur les Nouvelles Nourritures de Gide, que je viens de recevoir et lui ai prêtées. Il s’étonne sinc
25 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
29 les vingt ans de sa retraite, il n’a pris d’autre nourriture que l’hostie, une fois par semaine ? L’évêque et les autorités ont bi
30 mandait à Nicolas comment il pouvait vivre « sans nourriture corporelle », il se bornait à dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnan
26 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
31 rt que les auteurs religieux dont elle faisait sa nourriture intellectuelle étaient tous fortement imbus de rhétorique courtoise e
27 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
32 ience bizarrement scrupuleuse. Il ne prend aucune nourriture le vendredi, et peu à peu s’exerce à jeûner également d’autres jours.
33 ans un des villages voisins, et c’est là toute sa nourriture . Car n’est-il pas écrit, comme il le répétera souvent : « L’homme ne
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
34 rt que les auteurs religieux dont elle faisait sa nourriture intellectuelle étaient tous fortement imbus de rhétorique courtoise e
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
35 rt que les auteurs religieux dont elle faisait sa nourriture intellectuelle étaient tous fortement imbus de rhétorique courtoise e
30 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
36 era ou sera niée en termes concrets, en termes de nourriture par exemple, non plus en termes curieux ou convenables. Nous recherch
31 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
37 se à mort du fils, offert ensuite aux dieux comme nourriture meilleure, il est surprenant d’observer qu’elle invertit exactement l
38 me dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux, Tantale se voit refuser celle du commun des hommes. Sa jal
32 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
39 t de gare, et nous nous ruons aveuglément sur des nourritures indéfinissables. Deux heures. Je demande au chef de train pourquoi no
33 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
40 st plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des nourritures authentiques pour les corps et les esprits. Ne comptez plus sur vos é
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
41 Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture , — la question fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
42 les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quelquefois on vous envoie des journ
43 France n’a guère à donner à ceux qui ont faim de nourriture solide, élémentaire. Elle manque de naïveté, de force et de convictio
44 individu qui a su tirer du monde où il est né les nourritures les plus richement assimilables. Il choisit, il compose, il n’accepte
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
45 ement plus spacieux, plus clair et plus sain, une nourriture meilleure et plus variée, des occasions plus fréquentes de respirer l
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
46 un d’eux me présente un travail sur Les Nouvelles Nourritures de Gide, que je viens de recevoir et lui ai prêtées. Il s’étonne sinc
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
47 t de gare, et nous nous ruons aveuglément sur des nourritures indéfinissables. Deux heures. Je demande au chef de train pourquoi no
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
48 st plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des nourritures authentiques pour les corps et pour les esprits. Ne comptez plus sur
40 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
49 ont tous quelque chose qu’ils aiment plus que la nourriture ou le sommeil ou le vin ou la compagnie d’un ami. C’est la raison pou
41 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
50 se à mort du fils, offert ensuite aux dieux comme nourriture meilleure, il est surprenant d’observer qu’elle invertit exactement l
51 me dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux, Tantale se voit refuser celle du commun des hommes. Sa jal
42 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
52 r goût des douceurs, des ice-creams, du lait, des nourritures d’enfants ; voyez leur correction trop attentive, leur pédantisme fré
43 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
53 s qu’il s’agirait bien concrètement de lui donner nourriture et logis ? Et je parlais des « pâles libertés » définies par la Chart
44 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
54 ers appareils : « y compris les chaudrons pour la nourriture des porcs ». 25. Exportations suisses en 1913 : vers l’Europe 75 % ;
45 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
55 s fin ni cesse, d’être indéfiniment avide. Chaque nourriture qu’il trouve, au lieu de l’apaiser, excite encore son appétit. Par où
56 publique, on lui apporta des quantités énormes de nourriture , elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim
57 aim. Ils lui dirent : Nous t’avons donné toute la nourriture du pays. Elle dit : Quand vous m’aurez donné cent fois et mille fois
46 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
58 l’envie d’améliorer son sort ou d’amasser plus de nourriture et de richesses : cette théorie « économique » ou utilitaire suppose
59 os jours, et dont dépendait notre sort : salaire, nourriture et logement. Si la technique, demain — comme elle le peut — permet à
47 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
60 os jours, et dont dépendait notre sort : salaire, nourriture et logement. Si la technique, demain — comme elle le peut — permet à
48 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
61 l’envie d’améliorer son sort ou d’amasser plus de nourriture et de richesses : cette théorie « économique » ou utilitaire suppose
62 os jours, et dont dépendait notre sort : salaire, nourriture et logement. Si la technique, demain — comme elle le peut —, permet à
49 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
63 rine. Quelle boisson capable de te plaire, quelle nourriture trouves-tu dans l’onde salée ? Sans doute tu es un dieu ; ce que tu f
50 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
64 l’échec atroce de son mariage, que Gide écrit Les Nourritures terrestres, bréviaire du nomadisme dionysiaque. Don Juan surgit comme
65 igraphe de Ménalque quand ce fragment central des Nourritures parut en revue.) L’un des premiers titres choisis par Gide pour La Po
66 La Porte étroite était Essai de bien mourir. Les Nourritures terrestres traduisent la volonté d’opposer brutalement l’ici-bas de D
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
67 rine. Quelle boisson capable de te plaire, quelle nourriture trouves-tu dans l’onde salée ? Sans doute tu es un dieu ; ce que tu f
52 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
68 ont trop artificielles et trop compliquées, notre nourriture et notre genre de vie sont trop éloignés de la saine nature et nos re
53 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
69 étache notre individualité, et dont elle tire ses nourritures élémentaires ? Ce ne peut être que l’Europe entière. L’Europe est la
54 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
70 étache notre individualité, et dont elle tire ses nourritures élémentaires ? Ce ne peut être que l’Europe entière. L’Europe est la
55 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
71 s fin ni cesse, d’être indéfiniment avide. Chaque nourriture qu’il trouve, au lieu de l’apaiser, excite encore son appétit. Par où
72 publique, on lui apporta des quantités énormes de nourriture , elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim
73 s-tu ? — J’ai faim. — Nous t’avons donné toute la nourriture du pays. — Quand vous m’aurez donné cent fois et mille fois plus, j’a
56 1965, Fédéralisme culturel (1965). I. « Toute culture est création de diversité »
74 illions d’Européens à gober passivement les mêmes nourritures , sans rapports (ou seulement par hasard) avec leurs vrais désirs et l
57 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
75 ers appareils : « y compris les chaudrons pour la nourriture des porcs ». 73. Cette accélération s’est produite en dépit de l’opp
58 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
76 étache notre individualité, et dont elle tire ses nourritures élémentaires ? Ce ne peut être que l’Europe entière. L’Europe est la
59 1969, Articles divers (1963-1969). « La lecture des Nourritures terrestres… » [réponse à un questionnaire sur l’influence d’André Gide] (printemps 1969)
77 « La lecture des Nourritures terrestres… » [réponse à un questionnaire sur l’influence d’André Gid
78 ’André Gide] (printemps 1969)41 La lecture des Nourritures terrestres à 16 ans m’a fait jouer du violon comme jamais, mais ce n’
79 yeux, du désordre établi. 41. « La lecture des Nourritures terrestres… », Revue neuchâteloise, Neuchâtel, n° 46, printemps 1969,
60 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le rôle de la recherche en Europe
80 s fin ni cesse, d’être indéfiniment avide. Chaque nourriture qu’il trouve, au lieu de l’apaiser, excite encore son appétit. On voi
81 publique, on lui apporta des quantités énormes de nourriture , elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim
82  » Ils lui dirent : « Nous t’avons donné toute la nourriture du pays. » Elle dit : « Quand vous m’aurez donné cent fois et mille f
61 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
83 plus guère une fois l’urbanisation achevée et les nourritures égalisées. Resteront donc invariables le nombre de calories et le cub
62 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
84 population ratière devient trop nombreuse pour la nourriture disponible, les rats deviennent homosexuels. Mécanisme cybernétique.
63 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
85 a Nature » — à moins que des quantités énormes de nourriture ne puissent être procurées de l’extérieur. Une partie de cette alimen
64 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
86 rrive !) Ou, à moins que des quantités énormes de nourriture puissent être apportées par l’extérieur. Or, qui peut les procurer ?
65 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
87 a Nature » — à moins que des quantités énormes de nourriture ne puissent être procurées de l’extérieur. Une partie de cette alimen
66 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
88 publique, on lui apporta des quantités énormes de nourriture , elle mangea tout, et dit qu’elle avait encore faim, aussi grand-faim
89 ». Ils lui dirent : « Nous t’avons donné toute la nourriture du pays. » Elle dit : « Quand vous m’aurez donné cent fois et mille f
90 enquête sur les besoins réels d’une population en nourriture , énergie, transports, formation professionnelle, etc. Ces commissions