1
du xiie siècle. 28. Charles-Albert Cingria, Ieu
oc
tan (dans Mesures, n° 2, 1937). 29. Ibid. 30. Otto Rahn, La Croisa
2
rès précisément. 30. Charles-Albert Cingria, Ieu
oc
tan (dans Mesures, n° 2, 1937). « Provençal » veut dire en réalité :
3
s précisément. 22. Charles-Albert Cingria, « leu
oc
tan » (dans Mesures, n° 2, 1937). « Provençal » veut dire en réalité
4
s. En effet, les uns ont pour réponse affirmative
oc
, d’autres oïl, d’autres si, à savoir les Espagnols, les Français et l
5
et presque tout le reste. Les peuples de langue d’
oc
occupent l’occident de l’Europe méridionale au-delà du pays des Génoi
6
en se heurtant à la raison d’État, la religion d’
oc
, plutôt que de se mutiler, devait s’idéaliser dans le domaine de la p
7
origines » excluent tout contact avec la poésie d’
oc
sortie, elle, « des plus hautes classes de la société » (P. Belperron
8
vers latin au vers en langue vulgaire, d’oïl ou d’
oc
. Et l’on découvre que ce passage s’est opéré par le moyen des formes
9
e à l’aire du franco-provençal, entre la langue d’
oc
et la langue d’oïl, ancêtre de tous nos patois, oubliés certes mais s
10
l, insérée depuis le xe siècle entre la langue d’
oc
et la langue d’oïl, et dont procèdent les dialectes savoyard, romand
11
franco-provençal, langue distincte à la fois de l’
oc
et de l’oïl, et que parlèrent nos populations du ixe au début du xix
12
érente, quoiqu’apparentée à la fois à la langue d’
oc
et à la langue d’oïl. Il en reste des traces dans nos patois. Les mot
13
enois, francien, lorrain, bourguignon) ; langue d’
oc
des contrées méridionales (gascon, occitan, limousin, auvergnat, prov