1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
1 de la psychanalyse. Les interprétations de la vie onirique , qu’il nous propose, sont infiniment plus larges que celles du savant
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
2 ais pour rêver…) Pourquoi retomber dans le poncif onirique 1925 ? Ce n’était pas la peine de lire Feuerbach, cité à la page suiv
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
3 e. — Elle est analogue dans l’éveil à la fonction onirique dans le sommeil. Rites, symboles constants, figures des jeux, rhétori
4 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
4 ou l’autre, y compris Léonard de Vinci. Le motif onirique du vol, attesté par des centaines d’auteurs depuis trois-mille ans, e
5 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
5 au service des fins propres de l’homme. Genèse onirique des inventions L’histoire des grandes inventions, de celle du feu
6 les mobiles ou à pédales, puis à moteur. Le motif onirique du vol, attesté par des centaines d’auteurs depuis trois à quatre-mil
6 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
7 de Shakespeare, les opéras de Wagner, les récits oniriques du surréalisme, la part du rêve dans la culture occidentale. Faut-il
7 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
8 s d’avions à ailes mobiles ou à pédales. Le motif onirique du vol est antérieur à toute espèce de considération utilitaire, écon