1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
1 récit. Dans le Cœur gros, c’était un parc avant l’ orage , le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
2 l, il faut obtenir un scandale. Il faut un de ces orages qui rafraîchissent l’air. » Il prétend « traquer l’inconnu ». Sa femm
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 allez pas nous toucher, nous sommes dangereux. Un orage de tendresse va crever sur le monde. Aigles d’amours, oiseaux doux et
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
4 et l’angoisse autour de lui grandit. De partout l’ orage s’amasse. Vers le soir, il éclate tragiquement. Est-ce la fin ? Grand
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
5 ais s’abandonner aux bienheureuses violences de l’ orage , au repos de la démesure. On rit de ses allures compassées, des solen
6 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
6 la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’ orage s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ orage nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
8 s pour cette ville à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
9 la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’ orage s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ orage nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
11 s pour cette ville à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
12 dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’ orage , avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
13 rdre, la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
14 Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
15 de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’ orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
12 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
16 ces battements de paupières plus terribles que l’ orage , ces battements d’espace au-dessus des pluies qui se tirent à l’horiz
13 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
17 et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’ orage s’amasse. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande
14 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
18 mme un oiseau s’envole anxieux aux approches de l’ orage , ainsi, flairant le danger », il a dit : Je n’ai pas la foi, — certai
15 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
19 . Nuit de Pâques Clair de lune, à minuit, après l’ orage . Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
16 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
20 où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de novembre qui crible et bat les flots durant la courte traversée, p
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
21 e Pâques 1935 Clair de lune, à minuit, après l’ orage . Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
18 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
22 dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’ orage , avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
19 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
23 os, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’ orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
24 manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie
20 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
25 t. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie, » c
26 (Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux orages désirés)153. ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées q
21 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
27 atante de gloire et d’or. Toi, de là-haut, vois l’ orage futur et la dévastation des liens sacrés. (Voix de femmes.) Quel est
28 use de discorde ! Toi, notre saint dans la nuée d’ orage , oh ! oh ! oh !… Ne cesse pas d’implorer Dieu pour nous ! (Brusque fa
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
29 os, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’ orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
30 manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie,
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
31 it. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie », c
32 (Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux orages désirés171.) ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées q
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
33 héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel d’ orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
34 manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
35 t. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie », c
36 Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux orages désirés160. ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées qu
26 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
37 devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’ orage sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
27 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
38 dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’ orage , avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
39 devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’ orage sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
28 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
40 ais s’abandonner aux bienheureuses violences de l’ orage , au repos de la démesure. On rit de ses allures compassées, des solen
29 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
41 et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’ orage s’amasse. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande
30 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
42 Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)g Grands plateaux onduleux et livrés au
43 du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’ orage ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
44 e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets ? Vo
45 d’écrire la suite du roman. g. « Souvenir d’un orage en Virginie », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 11, novem
31 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
46 e et qu’elle s’efforce d’imiter. Souvenir d’un orage en Virginie Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
47 du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’ orage ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
48 e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent folle, j’ai tellement peur. Et vous ? Vous êtes muets. Vou
32 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
49 dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’ orage , avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
33 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
50 devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’ orage sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
34 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
51 ugne à l’un autant qu’à l’autre… 9 mai 1941 Orage à Central-Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous
35 1946, Journal des deux mondes. Virginie
52 t vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en Virginie. — Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
53 du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’ orage ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
54 e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vou
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
55 la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’ orage s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
56 viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ orage nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
57 s pour cette ville à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
58 où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de novembre qui crible et bat les flots durant la courte traversée, p
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
59 Pâques (1935) Clair de lune, à minuit, après l’ orage . Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
60 dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’ orage , avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
61 devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’ orage sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
62 ique d’Honegger. Salué pour lui. 9 mai 1941 Orage à Central Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
63 gratte-ciel du Retiro va disparaître. Un dernier orage rougeoie dans la direction du Tigré. Nous montons vers l’hiver améric
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
64 t vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en Virginie. — Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
65 du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’ orage ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
66 e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vou
45 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
67 rdre, la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
68 Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
69 de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’ orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
46 1948, Suite neuchâteloise. VII
70 rdre, la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
71 Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
72 de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’ orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
47 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
73 un soir d’Automne, sur les derniers roulements d’ orage … Demain, ce continent largué… S’ensuit une description charmante et
48 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
74 rer de cap, ou bien d’affronter la tempête et les orages désirés. Tous les deux ont raison contre la vie, dès qu’elle relâche
49 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
75 rer de cap, ou bien d’affronter la tempête et les orages désirés. Tous les deux ont raison contre la vie, dès qu’elle relâche
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
76 est son asile le plus sûr. Si par hasard quelque orage survient, elle sera attaquée de toutes les façons, assaillie par tout
77 ersent, pour le seul plaisir de se féliciter de l’ orage qu’ils auront provoqué. Et après cela, peut-on dire que ces hommes jo
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
78 el heureux abri put conserver au milieu de tant d’ orages le flambeau des sciences prêt à s’éteindre ? Quoi ! cette religion qu
52 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
79 que par nos fautes, à nous. Nous marchons sous l’ orage  ; mais au-delà est le soleil, le soleil de Dieu, brillant, éternel. I
53 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
80 s, mais chaque auteur y ajoute ses variations, un orage , un solo de chevrier, un groupe de Suisses, et les 25 000 spectateurs
54 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
81 e campagne à vendre ; à travers un paysage où « l’ orage de mai, proche et grondant de foudres mauves, laisse dans l’air un go
55 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
82 s sur les revers de sa redingote. Par moments, un orage déchaîné faisait baisser et s’éteindre pour quelques secondes toutes
56 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
83 iment du récit. Dans Le Cœur gros un parc avant l’ orage , le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Dans La
57 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
84 e en sa demeure ? Et certes, rien n’annonce les orages wagnériens dans la pure et dolente mélodie de Bernard, mais l’amour d
58 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
85 s dans son invocation célèbre : Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! À
59 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
86 taient en elles la guerre « comme la nuée porte l’ orage  ». À cette fin, nos interlocuteurs s’appelaient aussi bien Blumao que