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récit. Dans le Cœur gros, c’était un parc avant l’
orage
, le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans
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l, il faut obtenir un scandale. Il faut un de ces
orages
qui rafraîchissent l’air. » Il prétend « traquer l’inconnu ». Sa femm
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allez pas nous toucher, nous sommes dangereux. Un
orage
de tendresse va crever sur le monde. Aigles d’amours, oiseaux doux et
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et l’angoisse autour de lui grandit. De partout l’
orage
s’amasse. Vers le soir, il éclate tragiquement. Est-ce la fin ? Grand
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ais s’abandonner aux bienheureuses violences de l’
orage
, au repos de la démesure. On rit de ses allures compassées, des solen
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la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’
orage
s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
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viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’
orage
nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
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s pour cette ville à présent sans relâche, où les
orages
n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
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la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’
orage
s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
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viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’
orage
nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
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s pour cette ville à présent sans relâche, où les
orages
n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
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dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’
orage
, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
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rdre, la méditation des ciels bas, la passion des
orages
complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
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Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un
orage
s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
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de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’
orage
est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
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ces battements de paupières plus terribles que l’
orage
, ces battements d’espace au-dessus des pluies qui se tirent à l’horiz
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et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’
orage
s’amasse. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande
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mme un oiseau s’envole anxieux aux approches de l’
orage
, ainsi, flairant le danger », il a dit : Je n’ai pas la foi, — certai
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. Nuit de Pâques Clair de lune, à minuit, après l’
orage
. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
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où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet
orage
de novembre qui crible et bat les flots durant la courte traversée, p
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e Pâques 1935 Clair de lune, à minuit, après l’
orage
. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
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dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’
orage
, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
23
os, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’
orage
qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
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manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous,
orages
sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie
25
t. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite,
orages
désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie, » c
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(Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux
orages
désirés)153. ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées q
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atante de gloire et d’or. Toi, de là-haut, vois l’
orage
futur et la dévastation des liens sacrés. (Voix de femmes.) Quel est
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use de discorde ! Toi, notre saint dans la nuée d’
orage
, oh ! oh ! oh !… Ne cesse pas d’implorer Dieu pour nous ! (Brusque fa
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os, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’
orage
qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
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manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous,
orages
sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie,
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it. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite,
orages
désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie », c
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(Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux
orages
désirés171.) ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées q
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héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel d’
orage
qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchef
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manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous,
orages
sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie
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t. Et la célèbre invocation : « Levez-vous vite,
orages
désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie », c
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Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux
orages
désirés160. ⁂ « Pour ces rationalistes malgré eux, pour ces athées qu
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devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’
orage
sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
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dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’
orage
, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
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devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’
orage
sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
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ais s’abandonner aux bienheureuses violences de l’
orage
, au repos de la démesure. On rit de ses allures compassées, des solen
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et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’
orage
s’amasse. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande
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du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’
orage
ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
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e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les
orages
me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets ? Vo
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d’écrire la suite du roman. g. « Souvenir d’un
orage
en Virginie », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 11, novem
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e et qu’elle s’efforce d’imiter. Souvenir d’un
orage
en Virginie Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
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du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’
orage
ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
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e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les
orages
me rendent folle, j’ai tellement peur. Et vous ? Vous êtes muets. Vou
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dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’
orage
, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
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devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’
orage
sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
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ugne à l’un autant qu’à l’autre… 9 mai 1941
Orage
à Central-Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous
52
t vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un
orage
en Virginie. — Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
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du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’
orage
ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
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e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les
orages
me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vou
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la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’
orage
s’amassait. Ma mère me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la r
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viens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’
orage
nous a fait fuir sous la tonnelle du vestiaire. « N’est-ce pas, les F
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s pour cette ville à présent sans relâche, où les
orages
n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre im
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où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet
orage
de novembre qui crible et bat les flots durant la courte traversée, p
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Pâques (1935) Clair de lune, à minuit, après l’
orage
. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent épro
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dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’
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, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les se
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devant moi s’écrie, voyant s’abattre une pluie d’
orage
sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était p
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ique d’Honegger. Salué pour lui. 9 mai 1941
Orage
à Central Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous
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gratte-ciel du Retiro va disparaître. Un dernier
orage
rougeoie dans la direction du Tigré. Nous montons vers l’hiver améric
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t vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un
orage
en Virginie. — Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’
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du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’
orage
ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr
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e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les
orages
me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vou
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rdre, la méditation des ciels bas, la passion des
orages
complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
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Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un
orage
s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
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de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’
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est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
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rdre, la méditation des ciels bas, la passion des
orages
complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans
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Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un
orage
s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r
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de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’
orage
est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s
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un soir d’Automne, sur les derniers roulements d’
orage
… Demain, ce continent largué… S’ensuit une description charmante et
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rer de cap, ou bien d’affronter la tempête et les
orages
désirés. Tous les deux ont raison contre la vie, dès qu’elle relâche
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rer de cap, ou bien d’affronter la tempête et les
orages
désirés. Tous les deux ont raison contre la vie, dès qu’elle relâche
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est son asile le plus sûr. Si par hasard quelque
orage
survient, elle sera attaquée de toutes les façons, assaillie par tout
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ersent, pour le seul plaisir de se féliciter de l’
orage
qu’ils auront provoqué. Et après cela, peut-on dire que ces hommes jo
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el heureux abri put conserver au milieu de tant d’
orages
le flambeau des sciences prêt à s’éteindre ? Quoi ! cette religion qu
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que par nos fautes, à nous. Nous marchons sous l’
orage
; mais au-delà est le soleil, le soleil de Dieu, brillant, éternel. I
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s, mais chaque auteur y ajoute ses variations, un
orage
, un solo de chevrier, un groupe de Suisses, et les 25 000 spectateurs
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e campagne à vendre ; à travers un paysage où « l’
orage
de mai, proche et grondant de foudres mauves, laisse dans l’air un go
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s sur les revers de sa redingote. Par moments, un
orage
déchaîné faisait baisser et s’éteindre pour quelques secondes toutes
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iment du récit. Dans Le Cœur gros un parc avant l’
orage
, le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Dans La
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e en sa demeure ? Et certes, rien n’annonce les
orages
wagnériens dans la pure et dolente mélodie de Bernard, mais l’amour d
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s dans son invocation célèbre : Levez-vous vite,
orages
désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! À
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taient en elles la guerre « comme la nuée porte l’
orage
». À cette fin, nos interlocuteurs s’appelaient aussi bien Blumao que