1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 sorte que cette enquête rejoint parfois celle qu’ ouvrit la Revue de Genève sur « l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les deux répo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 ies d’un divan le soir, tandis que les fenêtres s’ ouvraient vers le ciel de Florence… « Du sang, de la volupté et de la mort », u
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 22-25 mars 1926 (mai 1926)e Cette conférence s’ ouvrit par une bise qu’on peut bien dire du diable et se termina sous le plu
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 he d’inconnu, je m’élançais sur la voie qu’elle m’ ouvrait , avec tant de rires amis, vers tout ce que momentanément je choisissa
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
5 xagérées, lui valait le surnom de Bin-Bin. Urbain ouvrit les yeux et ne vit rien. On rappelle que les étoiles s’étaient décroc
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
6 e œil (février 1927)h Décembre L’époque s’ ouvre où l’on attend un miracle pour la fin de la semaine. « Messieurs, dis
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
7 uvenir par le rayonnement de la robe, fleur qui s’ ouvre pour dégager le mouvement obsédant de deux jambes, l’harmonie de leur
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
8 né pour la mort. » Il fait assez beau pour que s’ ouvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de tendre orgueil. Il respi
9 oleil du haut-lac. Justement, voici que tout va s’ ouvrir , qu’un monde s’est ouvert devant lui. Et l’eau n’est pas moins somptu
10 nt, voici que tout va s’ouvrir, qu’un monde s’est ouvert devant lui. Et l’eau n’est pas moins somptueuse. Et bien sûr, je n’ai
9 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
11 e retombe devant le visage. Aurèle tient un livre ouvert , et ce n’est pas je pense qu’il le lise, mais il aime caresser la rel
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
12 létaient de nombreuses glaces. Les fenêtres que j’ ouvris firent tourner des soleils sur les parois claires. Du balcon, on voya
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
13 a trop de monde ici. 14. Paul Morand, auteur d’ Ouvert et de Fermé la nuit, titres également scandaleux. Le Grand Écart, rom
12 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
14 ranges qu’appelle la musique. Je me gardai donc d’ ouvrir le journal. Les Petites nouvelles ont un pouvoir tyrannique sur mon e
15 s me remercier. Vois quels chemins de perdition j’ ouvre sans cesse à ta course aveugle ; tu n’aurais pas trouvé ça tout seul,
13 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
16 er à l’idée qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui
17 ées. Des autos attendaient devant le porche grand ouvert . Les chauffeurs faisaient les cent pas dans la neige fraîche ou s’acc
14 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
18 ux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle ouvre des perspectives d’évasion — où seuls les poètes savent se perdre. Et
15 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
19 ur, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et là s’ ouvrent des perspectives saisissantes sur l’époque. Anderson est avant tout u
16 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
20 e vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ ouvre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vi
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
21 ussent ruiné trop de certitudes apprises. Enfin j’ ouvris , c’est-à-dire que je me posai la question : est-ce vrai que tous les
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
22 ussent ruiné trop de certitudes apprises. Enfin j’ ouvris , c’est-à-dire que je me posais la question : est-ce vrai que tous les
19 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
23 enirs s’épousent entre eux pendant que tes yeux s’ ouvrent n’attends rien d’autre qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends
20 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
24 Charles Du Bos, en kimono de soie « capstan ». Il ouvre une de ces parenthèses dont il a le secret, et dans laquelle la rédac
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
25 vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas des nonn
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
26 encore un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier conseille d
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
27 ustrations de F.-L. Schmied pour « Ruth et Booz » ouvrent des perspectives pour de futures éditions d’art protestantes. La scul
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
28 i-même avait exprimé le souhait formel que l’on n’ ouvrît pas par ce roman la série de traductions de ses livres. Mais ce Journ
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
29 psychologie et des ruses de l’art, sans que ne s’ ouvre jamais une perspective poétique ou métaphysique. À cette heure où le
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
30 du recueillement et de l’adoration lui demeurait ouvert , les secrets de la vie intime n’étaient pas révélés parce qu’on les c
27 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
31 de certains actes à Vérité et Poésie. Le drame s’ ouvre sur un réveil : l’exercice sans frein des arts occultes laisse l’espr
28 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
32 r à l’idée qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui
33 ées. Des autos attendaient devant le porche grand ouvert . Les chauffeurs battaient la semelle dans la neige fraîche ou s’accou
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
34 cord brusque de rumeurs à travers une porte qui s’ ouvre ramène le bal dans mes déserts. (Elle est partie. — Des rires en cape
30 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
35 vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas des nonn
36 encore un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier conseille d
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
37 e vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ ouvre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vi
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
38 la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vi
39 ns cesse des hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre, ou bien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gar
33 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
40 cortège se forme. La porte de la salle à manger s’ ouvre à deux battants et le comte entre le premier, à grands pas, suivi par
34 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
41 grande lenteur. C’est l’avenir ou l’éternité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose, écoute, attends… Peut-être que déj
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
42 cord brusque de rumeurs à travers une porte qui s’ ouvre ramène le bal dans mes déserts. (Elle est partie. — Des rires en cape
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas des nonn
44 encore un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier conseille d
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
45 grande lenteur. C’est l’avenir ou l’éternité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose, écoute, attends… Peut-être que déj
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
46 cortège se forme. La porte de la salle à manger s’ ouvre à deux battants et le comte entre le premier, à grands pas, suivi par
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
47 e vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ ouvre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vi
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
48 la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vi
49 ns cesse des hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre, ou bien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gar
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
50 au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ ouvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me prom
51 eurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop
52 ine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ ouvre — l’aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour amé
53 rai, s’il n’est pas le masque d’une haine, s’il m’ ouvre à l’Être au lieu de me refermer sur quelque obsession de l’Avoir, cha
54 elles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsi
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
55 les temps, créant notre avenir aussi, parce qu’il ouvre l’attente ardente de sa résolution — de son pardon. Jours de nos vies
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
56 ductibles… J’aime tous ceux qui prolongent ou qui ouvrent des voies. Je garde ma méfiance pour l’espèce de mensonge qui rend la
44 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
57 a vu Babitt. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière4 vou
45 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
58 lucidité nouvelle et d’une aventure authentique. Ouvrez -le : vous serez frappé d’y voir cités plus d’hommes de science que de
46 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
59 sa vie, peut-être alors le secret du grand Pan s’ ouvrirait -il à son amour ? Mais serait-ce amour ou défi ? Empédocle n’a rien sa
47 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
60 idélité. Certes, l’exemple de la phénoménologie a ouvert la voie à une nouvelle liberté de la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’
48 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
61 uisse d’une théorie générale de la Révolution qui ouvre la seconde partie du livre. Esprit et Révolution… « Le malaise révol
49 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
62 les hommes, il n’y a qu’un moyen : c’est de leur ouvrir sa maison. D’où les confessions privées ou publiques, qui sont l’un d
63 t non content d’y vivre dans un dénuement absolu, ouvre sa chambre aux misérables sans-abris. Ses trois premiers hôtes sont u
50 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
64 tantes qu’entraîne toujours la vie moderne, … lui ouvrir toutes grandes les fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entraîner l
51 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
65 econnaître qu’il sue le plus insupportable ennui. Ouvrez une revue de province si vous pensez que j’exagère. Faut-il donc mett
66 , cet homme qui le prend de si haut ? Son livre s’ ouvre par un discours lyrique « sur le peu de réalité » et se termine par d
52 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
67 t de se dire révolutionnaire. Quelle autre voie s’ ouvrirait donc au christianisme, hors celle de la révolution ? Quand bien même
53 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
68 taille, il peut bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance, celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et
54 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
69 a vu Babitt. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du père de la Brière34 vo
55 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
70 uisse d’une théorie générale de la Révolution qui ouvre la seconde partie du livre. Antithétique — an-archique —, seule et pa
56 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
71 t de se dire révolutionnaire. Quelle autre voie s’ ouvrirait donc au christianisme, hors celle de la révolution ? Quand bien même
57 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
72 taille, il peut bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance, celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et
58 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
73 a vu Babitt. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière27 vo
59 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
74 à leur espoir de bien plus formidables chiffres. Ouvrez le dernier livre de M. Guéhenno67, vous y trouverez cette confession
60 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
75 terpréter les formes par les formes, n’est-ce pas ouvrir les portes à une nouvelle mythologie, dans le sens d’un Schelling et
76 toutes choses « le charme éternel » qui les crée. Ouvrez donc au hasard tel recueil d’aphorismes, le Gai savoir, Aurore : c’es
61 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
77 ible qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ ouvrit d’elle-même à la page que je cherchais. Je lus ceci : « Mais il y eut
62 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
78 mérite de cette introduction, c’est qu’elle nous ouvre , en une quinzaine de pages, les principales perspectives de « l’unive
63 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
79 productrice. L’esprit pur s’évanouit. L’âge qui s’ ouvre sera celui du spirituel décisif. La seule doctrine, ou pour mieux dir
64 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
80 r son fidèle serviteur. Mais celui-ci, impatient, ouvrit la tombe deux jours trop tôt. Paracelse y gisait, métamorphosé en bel
81 grandes chances. Et c’est une ère favorable qui s’ ouvre , celle où l’esprit se remet à chercher ce qu’est l’homme, et quelle e
65 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
82 donnent. Les volontés se tendent. Les chantiers s’ ouvrent . Une fois de plus, la France va affirmer sa vitalité, sa puissance d’
83 ravail bien fait et les conquêtes des humanistes, ouvre les temps modernes et reste la charte de la clarté française, de la r
84 on clerc peu fortuné. Deux espèces de carrières s’ ouvrent à lui : celle des accommodements et celle du chômage. La carrière des
85 iel. Exposer les dernières inventions mécaniques, ouvrir une bibliothèque de plus, chatouiller avec de grands mots dépréciés e
66 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
86 convient de remercier M. Chuzeville de nous avoir ouvert par son anthologie tout un monde spirituel et poétique plein de dange
67 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
87 convient de remercier M. Chuzeville de nous avoir ouvert par son anthologie tout un monde spirituel et poétique plein de dange
68 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
88 Sa révélation dans cette Parole. Le Saint-Esprit ouvre nos cœurs à cette Parole, Il la rend vivante et agissante en nous, en
69 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
89 la fois visage, vision, et vue au sens d’idée.) ⁂ Ouvrez un livre de Ramuz : les choses « viennent », le monde « vient » (à no
70 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
90 ailleurs à croire que les yeux de beaucoup vont s’ ouvrir sur la réalité fasciste de l’URSS. Mais le plus difficile reste à fai
71 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
91 ous, personnalistes, que dirons-nous ? Le livre s’ ouvre par une fable. L’enfant Démophon est soigné par Déméter, déguisée en
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
92 comme dit Rimbaud, ceux qui œuvrent ; et ceux qui ouvrent . L’esprit n’est vrai que lorsqu’il manifeste sa présence, et dans le
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
93 ler les travailleurs intellectuels et manuels. On ouvrira les universités aux ouvriers en URSS, et les camps de travail aux étu
74 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
94 ague même des dernières déclarations de Rosenberg ouvre le champ aux possibilités les plus inattendues51. Le composé hitlérie
75 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
95 nd nombre, qu’il a « réussi » en Russie, et qu’il ouvre une ère historique, je poserais encore ma question : est-ce un systèm
76 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
96 nstantes qu’entraîne toujours la vie moderne… lui ouvrir toutes grandes des fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entrainer l
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
97 omme dit Rimbaud ; ceux qui œuvrent ; et ceux qui ouvrent . L’esprit n’est vrai que lorsqu’il manifeste sa présence, et dans le
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
98 ler les travailleurs intellectuels et manuels. On ouvrira les universités aux ouvriers en URSS, et les camps de travail aux étu
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
99 ague même des dernières déclarations de Rosenberg ouvre le champ aux possibilités les plus inattendues52. Le composé hitlérie
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
100 nd nombre, qu’il a « réussi » en Russie, et qu’il ouvre une ère historique, je poserais encore ma question : est-ce un systèm
81 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
101 nstantes qu’entraîne toujours la vie moderne… lui ouvrir toutes grandes des fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entraîner l
82 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
102 s salaires et d’abaissement des redevances eût pu ouvrir une ère de prospérité. Mais les capitalistes et les classes moyennes
83 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
103 utume de répliquer, de nos jours. Mais nous avons ouvert la rubrique intitulée « Pouvoir des mots » pour montrer justement que
84 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
104 enne, n’aura plus qu’à fermer les yeux pour que s’ ouvrent les portes du merveilleux. » Phrase étonnante à la fois par la grande
85 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
105 arçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouvert  : « Pensez-vous qu’on pourrait faire la même chose ici ? » Pour sa pa
86 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
106 antin, ou tout simplement jeune devant un présent ouvert de tous côtés… Une seule vertu peut alors nous sauver de cette tentat
107 est absurde et violemment inacceptable, qui ne s’ ouvre pas sur l’attente d’une révélation à venir, et d’une « consolation »
108 irant : elle serre entre ses pattes un œuf à demi ouvert d’où sort un long cou maigre, tout humide. Un poulet gris, déjà séché
87 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
109 uis aujourd’hui qu’indiquer les pistes qu’il nous ouvre  ; il faudrait une équipe pour les suivre. Le professeur Martin Lamm e
88 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
110 édéralisme », coordonné par Denis de Rougemont et ouvert par une lettre de C. F. Ramuz, que Rougemont commente ici en introduc
89 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
111 messe, au point où tout se renverse, où le ciel s’ ouvre sur le châtiment, où le démon découvre que son œuvre a libéré les hom
90 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
112 traignit la Chine, sous la menace des canons, à s’ ouvrir au commerce de l’opium. Un tel fait donne raison en apparence à la cr
91 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
113 antin, ou tout simplement jeune devant un présent ouvert de tous côtés… Une seule vertu peut alors nous sauver de cette tentat
114 arçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouvert  : « Pensez-vous qu’on pourrait faire la même chose ici ? » Pour sa pa
115 est absurde et violemment inacceptable, qui ne s’ ouvre pas sur l’attente d’une révélation à venir, et d’une « consolation »
92 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
116 du métro, vers 7 heures du soir, j’avais réussi à ouvrir le livre que je portais, et j’avais coupé quelques pages avec mon tic
93 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
117 Seulement allez-y tout de suite, car les portes s’ ouvrent à 5 heures. — Mais il n’est annoncé que pour 9 heures. — Venez voir !
94 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
118 entes ou flatteuses. C’est tout le possible qui s’ ouvre , un destin qui acquiesce au désir ! Je vais y entrer, je vais y monte
119 là, on passe à des mesures d’ordre eugénique. On ouvre une « école de fiancés » pour les futures femmes des SS (Schütz Staff
95 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
120 la révélation de l’Agapè voit soudain le cercle s’ ouvrir  : il est délivré par la foi de sa religion naturelle. Il peut mainten
96 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
121 ède. Mais il entend se rattraper sur le reste. On ouvre une malle. Posé sur des vêtements, un livre apparaît. Le douanier s’e
122 gues romanes où je vais enseigner. (Le semestre s’ ouvrira au début de novembre.) Dans la bibliothèque, un seul étudiant. Il a d
123 Seulement allez-y tout de suite, car les portes s’ ouvrent à 5 heures. — Mais il n’est annoncé que pour 9 heures, et j’ai une ca
97 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
124 s de cette chance et des risques immenses qu’elle ouvre . Car on ne peut plus se le dissimuler : les masses modernes, privées
125 et de celui du Dieu vivant. L’ère des religions s’ ouvre à nous, chargée de promesses, mais aussi de menaces. Ère nouvelle pou
98 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
126 ’hui chez l’instituteur laïque. Cette déclaration ouvre et ferme le recueil (p. 23 et 286). Elle le situe dans les cadres de
99 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
127 lle espère et qu’elle prie, et vers lequel elle s’ ouvre à l’infini. « Et l’Esprit et l’Épouse disent : Viens ! Et que celui q
100 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
128 ement dont on se préserve comme sans y penser. On ouvre un parapluie, on enfile un « imper », on s’isole avec soin, avec déda