1
les uns ont pour réponse affirmative oc, d’autres
oïl
, d’autres si, à savoir les Espagnols, les Français et les Latins. Mai
2
, ainsi que la Sicile. Quant aux gens de langue d’
oïl
, ce sont en quelque sorte des septentrionaux en regard de ceux-là, ca
3
ssage du vers latin au vers en langue vulgaire, d’
oïl
ou d’oc. Et l’on découvre que ce passage s’est opéré par le moyen des
4
co-provençal, entre la langue d’oc et la langue d’
oïl
, ancêtre de tous nos patois, oubliés certes mais sans doute actifs da
5
le xe siècle entre la langue d’oc et la langue d’
oïl
, et dont procèdent les dialectes savoyard, romand et franc-comtois, o
6
ençal, langue distincte à la fois de l’oc et de l’
oïl
, et que parlèrent nos populations du ixe au début du xixe siècles.
7
entée à la fois à la langue d’oc et à la langue d’
oïl
. Il en reste des traces dans nos patois. Les mots de patois neuchâtel
8
s s’opèrent au profit de quelques-unes : langue d’
oïl
des pays du Nord de la France (picard, normand, champenois, francien,