1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
1 les uns ont pour réponse affirmative oc, d’autres oïl , d’autres si, à savoir les Espagnols, les Français et les Latins. Mai
2 , ainsi que la Sicile. Quant aux gens de langue d’ oïl , ce sont en quelque sorte des septentrionaux en regard de ceux-là, ca
2 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
3 ssage du vers latin au vers en langue vulgaire, d’ oïl ou d’oc. Et l’on découvre que ce passage s’est opéré par le moyen des
3 1973, Articles divers (1970-1973). De Genève à l’Europe par les régions (mars 1973)
4 co-provençal, entre la langue d’oc et la langue d’ oïl , ancêtre de tous nos patois, oubliés certes mais sans doute actifs da
4 1973, Articles divers (1970-1973). Une possibilité européenne : la région genevoise (novembre 1973)
5 le xe siècle entre la langue d’oc et la langue d’ oïl , et dont procèdent les dialectes savoyard, romand et franc-comtois, o
5 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
6 ençal, langue distincte à la fois de l’oc et de l’ oïl , et que parlèrent nos populations du ixe au début du xixe siècles. 
6 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
7 entée à la fois à la langue d’oc et à la langue d’ oïl . Il en reste des traces dans nos patois. Les mots de patois neuchâtel
7 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
8 s s’opèrent au profit de quelques-unes : langue d’ oïl des pays du Nord de la France (picard, normand, champenois, francien,