1
poète s’il ne s’efforçait de donner raison aux 75
pages
où il voulut nous persuader que tout poème doit être une dictée non c
2
contraint de suivre jusqu’au bout un roman de 500
pages
comme Rabevel. Car si la liquidation des questions traitées est rapid
3
essent trop complètement résolu dès les premières
pages
, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-
4
dans les Bestiaires font pardonner bien d’autres
pages
de vrais délires taurologiques. Quand le lyrisme de Montherlant décol
5
Espagne et du génie taurin. Ce qui perce à chaque
page
, ce qui peu à peu obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève
6
érêt si soutenu et parfois — je pense à certaines
pages
sur Jérusalem qui touchent particulièrement une sensibilité protestan
7
s beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a là des
pages
d’un accent très noble et courageux mêlé, parfois, d’une certaine ame
8
é peut-être mieux que ne le feraient une suite de
pages
lyriques toujours un peu stylisées. Il apparaît, ici, comme le type d
9
ivit naguère sur les Fontaines du désir certaines
pages
magnifiques et sobres, jetées de haut avec la nonchalance des vrais p
10
eries fatigantes et quelques sombres délires, des
pages
d’un lyrisme inouï. Que Louis Aragon ne se croie pas tenu de justifie
11
une certaine puissance de l’effet, aux dernières
pages
. Il règne dans la Maladère une étrange harmonie entre le climat des s
12
Novembre 1926. Je viens de retrouver quelques
pages
écrites il y a un an, tel soir de colère où le thermomètre eût indiqu
13
us de choses qu’il n’y paraît d’abord dans ces 50
pages
. Beaucoup sont excellentes et leur facilité même est une réussite. Lé
14
clairs. Il déplia le journal et se mit à lire les
pages
d’annonces. On m’apporta une liqueur. Et quand j’eus fini de boire, m
15
isit son journal. Il en parcourait rapidement les
pages
, la proie d’une agitation visible. Bientôt il m’offrit de jouer un mo
16
donner une apparence d’utilité publique. À chaque
page
de ses livres, on pourrait relever les sophismes plus ou moins consci
17
entraîne le lecteur par ruse jusqu’à la dernière
page
, et là déclare froidement ne pas exister. Non : il a remarqué que l’é
18
sont jamais méchants, et seulement aux dernières
pages
du livre, un peu amers… On voudrait un livre de Cassou qui ne serait
19
ne faut pas songer à décrire en quarante petites
pages
tous les méfaits de l’instruction publique. C’est à peine assez pour
20
pier, d’un crayon et d’une règle (pour diviser la
page
en casiers rectangulaires, bien proprement.) Évidemment, il est préfé
21
es d’avenir. Un jour on voit s’étaler en première
page
des illustrés la face épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de
22
. Il ne faut pas songer à décrire en 50 petites
pages
tous les méfaits de l’instruction publique. C’est à peine assez pour
23
pier, d’un crayon et d’une règle (pour diviser la
page
en casiers rectangulaires, bien proprement). Évidemment, il est préfé
24
es d’avenir. Un jour on voit s’étaler en première
page
des illustrés la face épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de
25
à l’imbécillité et au vice. » L’école de demain,
page
12. 5. Il est peut-être avantageux dans certains cas de soustraire l
26
ssante et parfois émouvante bizarrerie (Mort d’un
Page
). Cependant je préfère ses proses : il y a ici plus qu’une manière et
27
gueur, de moelleux et de précision… À la dernière
page
, l’artiste fait une belle grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be
28
mme il est, lui, de l’autre école, il referme ces
pages
et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’aise. Eh bien oui : je me
29
n mettait notre volonté aimante, entre toutes les
pages
, sur toutes les choses. Nous écrivions aux auteurs, nous recevions de
30
phné, beaucoup plus long, — il compte plus de 600
pages
dans l’édition française — d’un rythme plus inégal aussi, il ne lui e
31
rendre la réalité. Et c’est au cours des quarante
pages
qu’il consacre à la « conversion » au catholicisme de la princesse Bl
32
it se ralentit, au contraire, fâcheusement en ces
pages
— et qui s’explique si l’on a lu la phrase par quoi se termine un pré
33
eu est le plus absent. Car nous y sommes à chaque
page
incités à juger, induits en tentation, induits en discussion. Je sais
34
e rompent les discussions, et qu’en tant d’autres
pages
de cette belle œuvre, d’une simple indication tranquille et profonde
35
ns qu’un pasteur ne parlerait pas autrement. 20.
Pages
495-499. g. « Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche de Ma
36
éterminations. ⁂ Ce qui frappe, dès les premières
pages
, c’est l’extrême minutie du récit. Les auteurs qui écrivent leurs mém
37
décida à faire profession de disciple du Christ.
Page
étrange, en vérité, et dont l’accent presque nietzschéen choquera peu
38
révélés et leur souffrance s’est écrite dans les
pages
innombrables de notre littérature. L’ouverture s’est faite, mais non
39
Car il n’est point de vérité sans forme. Quelques
pages
étranges et puissantes sur les chimères de Notre-Dame illustrent ce r
40
n témoigner. À tous il tend la Parole « morte aux
pages
», mais voici que de toutes parts les Signes paraissent sur la terre,
41
Grande heure de terreur et de prière. Puis, « la
page
du ciel a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’e
42
taillés. Mais l’important, je pense, c’est qu’une
page
de Ramuz — même pas très réussie, et il y en a qui ont un air raté, u
43
é, un air pastiche de Ramuz —, c’est qu’une seule
page
de ce livre lue avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans
44
des bétonnages. On n’en retiendra qu’un dans ces
pages
, celui que l’on voudrait nommer l’a priori éthique. Kierkegaard, aprè
45
ont su percevoir l’accent dominateur et tendu des
pages
les plus égales et sereines du Faust. Mais, qu’à ce tempérament démon
46
grandissante que l’on poursuit la lecture de ces
pages
où maints paragraphes apportent entre deux tours repris des meilleurs
47
e qu’on appelait jadis le morceau de bravoure, la
page
sur « les bruits de mon village » qui servira de modèle aux écoliers
48
se…” Oh ! vous ne diriez plus cela, Verlaine ! » (
page
16). 17. « Si je cherche querelle au monde, c’est que, jusqu’à nouve
49
ue de la générosité. Hélas, fallait-il perdre une
page
à dire qu’ils ne méritent pas de vous dégoûter de la Révolution, jeun
50
ne suite d’études parues pour la plupart dans les
pages
de l’Action française, mais qui, marquons-le tout de suite, ne compor
51
dehors et que personne s’occupe ». Dès la seconde
page
, c’est à pousser des cris de joie. Les enfants comprendront-ils ? Dan
52
Mal » ou « péché » — le débat se ramène sur cette
page
, à une question de vocabulaire. Une simple question de vocabulaire co
53
aquais de forges ». On nous entendra. Six grandes
pages
de dessins inspirés à M. Hermann-Paul par l’actualité (peut-être même
54
le, au point de perdre toute efficacité dès la 2e
page
. Il semble que M. Paul s’adresse exclusivement à ce bourgeois au faci
55
uche quelques accords, l’acteur Moissi tourne les
pages
et secoue ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un
56
mme il est, lui, de l’autre école, il referme ces
pages
et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’aise. Eh bien oui : je me
57
re de sa vie », dont il compose chaque matin deux
pages
à la machine. Il y juge du monde en général, de la religion, des mœur
58
es avec le commerce quotidien. J’en traduis cette
page
Sur la mort. Mes funérailles devront se dérouler dans le cadre de Jés
59
erther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les
pages
, à cause de toutes ces larmes. Maintenant, parlez-moi du modernisme é
60
à l’impudeur. Apparemment, l’on est ici plus à la
page
que chez mes burgraves. Les maîtres de lieu sourient un peu de « ceux
61
uche quelques accords, l’acteur Moissi tourne les
pages
et secoue ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un
62
à l’impudeur. Apparemment, l’on est ici plus à la
page
que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux
63
re de sa vie », dont il compose chaque matin deux
pages
à la machine. Il y juge du monde en général, de la religion, des mœur
64
es avec le commerce quotidien. J’en traduis cette
page
Sur la mort : « Mes funérailles devront se dérouler dans le cadre de
65
erther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les
pages
, à cause de toutes ces larmes. Maintenant, parlez-moi du modernisme é
66
Quand je me souviens — C’est l’Europe Ces
pages
sont nées à des dates différentes d’un même état de sensibilité, dont
67
ignorais encore quand on m’a proposé d’écrire ces
pages
sur mon pays natal. On insistait amicalement : je venais de rentrer,
68
Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de
pages
où perce l’étonnement. Le Prince se fait représenter en son absence
69
ller ce chaos. Passons le détail, qui tient deux
pages
. Coxe en conclut, non sans hésitation, que l’autorité législative sem
70
c, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces
pages
de confidences pudiques, pleines d’idéal et de mélancolie, mais sans
71
enir et à guérir. Il convenait qu’au terme de ces
pages
j’apporte aussi ma petite contribution au centenaire que l’on va célé
72
le de Jean-Richard Bloch, que l’on trouvera vingt
pages
avant le vôtre, et qui sauvegarde dans ce numéro à la fois la précéde
73
nie24 et vous aurez ce petit volume de deux-cents
pages
qui, délayé en six-cents, se verrait décerner le titre de « monument
74
ose publique la chose désavantageuse 25, quelques
pages
brillantes et fortes qui rejoignent curieusement les doctrines de L’O
75
emière fois. Et c’est à peine de lui. Dix petites
pages
émouvantes, d’une confidence encore contrainte : « Ah ! comme je suis
76
y a fait naguère, de ce point de vue, en quelques
pages
, une histoire pertinente de notre parlement. Aux républicains (mais p
77
rues allemandes et italiennes, et jusque dans les
pages
illustrées de nos quotidiens. Il me reste à marquer la dépendance thé
78
é à l’écrire, et qu’il expose en une vingtaine de
pages
précises, mesurées, et convaincantes. Il me semble que cette préface
79
is une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaque
page
. Toute une vie de femme se déroule sur un rythme large à travers une
80
nnées à tant de traductions qui ne valent pas dix
pages
de ce roman ! La mode passe, le public se fatigue, paraît-il. « Achet
81
nfident », l’auteur. Peut-être avons-nous ici les
pages
les plus éloquentes et les plus irréfutables d’un penseur qui sut dev
82
d lyrisme intellectuel (le style admirable de ces
pages
a été rendu aussi bien qu’il était possible par le traducteur). Mais
83
aut vivement louer l’auteur de conserver à chaque
page
le souci des références à l’actuel. La description qu’il fait de l’ho
84
e nouveau, Paris, n° 11, mai 1934, p. 3-7. i. En
page
II du n° 12 de L’Ordre nouveau , du 15 juin 1934, Rougemont apporte
85
Aron et Dandieu. Il faudrait pouvoir citer ici la
page
finale que Dandieu ajouta de sa main, sur épreuves, quelques jours av
86
reuves, quelques jours avant sa mort. Aussi telle
page
sur Kreuger, ou sur le but de la révolution, qui atteignent à la gran
87
pements qui parfois mettraient de l’aise dans nos
pages
. Notre ambition serait d’être relus. Nous aimons cette maxime de Niet
88
ous voulons. Nous rejoignons ici le propos de ces
pages
. La littérature nouvelle sera le fait de l’homme renouvelé, je ne dis
89
gens, qui ne possédaient rien, qui ont écrit les
pages
héroïques de l’histoire, et non les gens âgés qui possédaient tout. C
90
ès vagues et évasives. Par contre, je trouve deux
pages
sur un projet d’« extension africaine », qui me paraît une rêverie de
91
is une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaque
page
. Toute une vie de femme se déroule sur un rythme large à travers un p
92
parfois qu’on trouve dans une de ces feuilles une
page
digne de l’écrivain qui l’a signée : Montherlant par exemple, ou Gion
93
culièrement improbable. Tout en admirant à chaque
page
l’ingéniosité et la science de M. Goguel, on se sent parfois gêné par
94
es faits, cités ici en très grand nombre à chaque
page
. Faits sinon nouveaux pour la plupart, en tout cas rassemblés pour la
95
asses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cents
pages
de plus ou de moins n’y changeront rien, dit le bon sens. Mais j’ai m
97
asses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cents
pages
de plus ou de moins n’y changeront rien, dit le bon sens. Mais j’ai m
98
omme si cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les
Pages
de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise consci
99
de cas. Une lucidité virile forme la leçon de ces
pages
, tantôt généreuse, tantôt corrosive, toujours tendue entre deux pôles
100
vince ; mais cela donne au moins une matière. Les
pages
de Soulillou qui décrivent les conditions de travail dans l’industrie
101
er par des romans du format standard : 224 ou 600
pages
exactement. Il me semble que ce conformisme, dont on sait les raisons
102
rofondes. Certains sujets mériteraient à peine 50
pages
, d’autres demandent trois volumes… Mais Adolphe ou l’Idiot seraient a
103
e cet ensemble, que de lire avec eux les quelques
pages
de la première partie intitulées Religion et christianisme. Je ne pui
104
souvent les atteintes. Dans ce même livre, quatre
pages
plus bas, j’en trouve un autre exemple : Nietzsche croit découvrir qu
105
nt le cas privilégié par excellence. Au cours des
pages
qui précèdent, je me suis attaché à définir, plutôt que les principes
106
1935, p. 42-54. La première note indique : « Les
pages
qui suivent, détachées d’un ouvrage assez vaste, risquent de paraître
107
le moment, tout autre chose à faire. Dans les 32
pages
de notre revue, nous ne pouvons pas commenter la Révolution, nous nou
108
ion en cours. Et c’est à quoi s’emploient les 180
pages
mensuelles d’ Esprit . Rien dans tout cela qui empêche une collaborat
109
trop sinueuses nous inquiètent parfois, dans ces
pages
. Certes, le fascisme et le stalinisme se sont faits à coups de simpli
110
e par tous les peuples de couleur ? Aux dernières
pages
, nous voyons Bell, le chef du groupe, agoniser dans une tranchée sous
111
es gens qui ne possédaient rien qui ont écrit les
pages
héroïques de l’histoire, et non les gens âgés qui possédaient tout. C
112
temps de la Parole de Dieu. Nous la trouvons aux
pages
148 à 155 du premier tome (en cours de traduction). Il y a trois sort
113
schéma. Certes, et j’ai dû schématiser encore les
pages
que Barth consacre à ce problème. Mais faut-il le redire ? La théolog
114
ns l’ouvrage de M. Monod. Vous savez qu’il a 3000
pages
. Mais que dites-vous de ces deux phrases qui me sont tombées sous les
115
érence. Permettez-moi de vous le lire. C’est à la
page
512 du premier tome : « … n’avoir pas fait une expérience est à la po
116
ée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la
page
que je cherchais. Je lus ceci : « Mais il y eut un homme d’entre les
117
ociations verbales d’un type particulier, dont la
page
39 donne un bon exemple, trop long à citer, la phrase ayant 18 lignes
118
tique, l’on puisse attribuer les quinze dernières
pages
de ce livre, où l’on retrouve parfois le ton des grandes utopies du p
119
ge le sujet de son actualité. 23. Voir toutefois
page
297 un essai de réaffirmation de la responsabilité « individuelle ».
120
on, c’est qu’elle nous ouvre, en une quinzaine de
pages
, les principales perspectives de « l’univers » calvinien. Il faut bie
121
e c’est aujourd’hui l’attitude personnaliste. Les
pages
qu’Alexandre Marc consacre à la situation de la personne dans le temp
122
e mention. J’aurais aimé analyser aussi les trois
pages
où Jean Wahl résume tout le vertige ontologique, et l’article de G. S
123
éalisme. Je me bornerai à signaler pour finir les
pages
très curieuses de P. Klossowski sur Sade, où il est démontré par des
124
tigué. Un trait qui manque par hasard dans cette
page
, et qu’on retrouve dans toutes les autres, c’est la mauvaise humeur d
125
serez payé dix francs, vingt ou trente francs la
page
au maximum. Publiez un article dans un hebdomadaire, sur un sujet lit
126
hètes et les Apôtres. Il faut reconnaître que les
pages
les plus « belles » — du point de vue de l’art — de cette anthologie,
127
restauration des majuscules dont se hérissent les
pages
de Service public. Nos Morts, les Martyrs de la Passion française, la
128
rtant, c’est en vain que l’on cherchera, dans ces
pages
, quelque autre réponse directe à la fière question du début : « De qu
129
t large. » Que trouvons-nous dans ce volume ? Des
pages
sur l’Espagne, d’autres sur l’Algérie, échantillons de cette Rose de
130
avec de jeunes hitlériens. Nous en détachons ces
pages
qui se rattachent au sujet du présent numéro. »
131
nt de tout pouvoir, s’évanouissent et meurent aux
pages
des livres. L’action de l’homme devient aussi la vérité ; et la norme
133
ésus-Christ a voulu faire… Comme je citais cette
page
à un abbé fort écouté, dont les travaux marient avec aisance théologi
134
hoisir. Car, enfin, si Bossuet, en écrivant cette
page
, a déformé la vérité, il le faut déclarer hérétique, de même que ceux
135
holiques » que ce texte trahit. Reprenons donc la
page
de Bossuet : « … Le Sauveur a-t-il voulu laisser aux hommes à disting
136
a question ? ⁂ En vérité, la question que pose la
page
de Bossuet ce n’est pas seulement la question capitale de la Cène, c’
137
râce. Voir l’article de R. de Pury. k. « Sur une
page
de Bossuet (ou Tradition et Révélation) », Hic et Nunc, Paris, n° 11,
138
culièrement efficace dans la polémique : voir les
pages
du dernier chapitre sur le colonel de la Rocque, « cet en avant qui n
139
s les cafés. À tous il tend la Parole « morte aux
pages
» ; mais voici que de toutes parts les signes paraissent sur la terre
140
Grande heure de terreur et de prière… Puis, « la
page
du ciel a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’e
141
taillés. Mais l’important, je pense, c’est qu’une
page
de Ramuz — même pas très réussie, et il y en a, il faut le dire, qui
142
un air de pastiche de Ramuz —, c’est qu’une seule
page
de ce livre lue avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans
143
retour au Paradis perdu. ⁂ Il faut citer ici une
page
des Souvenirs sur Stravinsky qui me paraît d’une importance extrême,
144
omme si cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les
Pages
de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise consci
145
il marque en même temps son dépassement. Ces 3000
pages
contiennent la somme de la problématique particulière à une école — e
146
s’en défende dans sa préface. Cela nous vaut des
pages
fort curieuses sur la Nature, des élévations romantiques, telle descr
147
ents d’un journal de jeunesse qui remplissent 200
pages
du premier tome, témoignent d’une véritable frénésie de problèmes, d’
148
intenant par trois remarques, qui se dégagent des
pages
précédentes. 1. La ressemblance formelle entre les moyens d’approche
149
ommes d’aujourd’hui. 60. Dans le volume dont ces
pages
sont extraites figure avant ce paragraphe un chapitre sur la culture
150
air contre du papier noirci », et il rapporte 300
pages
, qui resteront sans doute comme l’un des documents humains les plus f
151
(La division du livre en aphorismes d’une ou deux
pages
facilite heureusement ce genre de lecture.) Trois thèmes : la biograp
152
pères l’ont eue. Nos lecteurs se souviennent des
pages
sur le journalisme, la condition du fonctionnaire et le « moyen de pa
153
e qui veut rester humain. J’aime un peu moins les
pages
sur Barrès, peut-être à cause du modèle, peut-être aussi à cause de l
154
er un monde où notre vie s’accepte. Aux premières
pages
j’ai pensé : document sur les déceptions d’une génération. Puis j’ai
155
age d’une génération sans foi. 62. Payot, 1932,
page
135. v. « Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu, Gallimard.
156
tre ; et « connaissance », qui s’inscrit à chaque
page
. La rumeur quotidienne tend à faire de « poète » une circonstance att
157
honoré en ce monde et être sauvé dans l’autre” » (
page
137). Ce principe nous est devenu familier. Mais au déclin du Moyen Â
158
ire. Je cite encore de Man, un peu longuement, la
page
en vaut la peine : Tant que cette classe (bourgeoise) fut au pouvoir
159
e, positive. 6. Il est curieux de noter qu’à la
page
36 de son livre, de Man soutient un point de vue tout contraire : « I
160
intenant par trois remarques, qui se dégagent des
pages
précédentes. 1° La ressemblance formelle entre les moyens d’approche
161
estion. Faut-il résumer clairement le contenu des
pages
qui précèdent ? Je dirai simplement ceci : le reproche qu’il y a lieu