1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 mme d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle paraît parfois, lorsque la tourmente humaine ne la moleste ni ne l’avive plu
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
2 thode des textes généralisée ? Point du tout ! Il paraît qu’il est la seule attitude littéraire aujourd’hui concevable. Mais p
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
3 avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la maison paraît s’être un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le temps de
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
4 al, c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière — me paraît infiniment plus forte que celle d’un Maurras ou que celle d’un Marita
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
5 es adonnés à la culture et à la libération du moi paraissent bien les ancêtres des nouvelles générations de héros de roman, lesque
6 commenté par ceux qui le portent en eux qu’il en paraît plus incurable. Ces jeunes gens n’en finissent pas de peindre leur dé
6 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
7 ces et autant de cultes en trois jours, cela peut paraître excessif à qui n’a pas connu l’atmosphère particulière à ces rencontr
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
8 out cela est sublimé dans un monde poétique où il paraît inconvenant d’introduire le jargon de la science moderne.) Si nous re
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
9 u’en commentaires. Le talent de Mme de Watteville paraît mieux à l’aise dans la description du milieu patricien que dans la cr
9 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
10 qu’il ait trouvé, Jean Cocteau a réuni ce qui me paraît le meilleur de son œuvre : ses récits de critique et d’esthétique (Le
10 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
11 d’une foule absurde, bienveillante, repue, — tous paraissaient détenir un secret très simple, et un peu narquois ils me considéraien
12 t. 4. La sincérité absolue, « scientifique » me paraît aller contre fin. Une attention trop directe et soutenue modifie son
13 et les intransigeances. Toutes les aspirations me paraissent légitimes chez d’autres, même celles que je juge bon d’éliminer de mo
11 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
14 e sur les rapports de l’Orient et de l’Europe, me paraît destiné à lever plusieurs des plus tenaces de ces confusions. M. de T
15 ns : « Le mensonge, autant qu’une politesse, leur paraît une beauté », c’est pour affirmer par contraste une « préférence irré
16 tière si complexe — sont plutôt optimistes. Il ne paraît pas croire à un péril oriental très pressant, ni surtout que nous ayo
12 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
17 iais l’œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me paraît liée à cette confusion. Mais s’il est bien établi que les lois de la
18 ant que la position de l’auteur dans cet essai me paraît encore ambiguë : on peut se demander s’il nie vraiment l’interaction
19 enne, en effet, où l’on court le double risque de paraître trop littéraire aux philosophes, et trop philosophe aux littérateurs.
13 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
20 it parler son Chinois de telle façon qu’ils ne le paraissent point. Et alors le relativisme angoissant qui semblait devoir résulte
14 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
21 ailleurs : « En chaque être, le pire instinct me paraissait le plus sincère. » La sincérité spontanée, vertu moderne en qui renaî
22 littéraire avec le plan moral. Telle action peut paraître gratuite au lecteur parce qu’il ne sait pas tout sur le personnage. M
23 pe à toute analyse préalable et sans quoi le saut paraît impossible, absurde.) Enfin, désagrégation de la personnalité, car l’
24 que certains, peut-être, jouent leur vie. Rien ne paraît plus sinistre à la sincérité presque pure de cet âge. Mais il le faut
15 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
25 efuser de nous affirmer avec une netteté qui a pu paraître parfois quelque peu impertinente. Le fait est que nous éprouvons irré
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
26 ule vue d’un liquide me soulevait le cœur. L’aube parut . On éteignit toutes les lampes, et les couples charlestonnaient plus
27 sageaient de plus en plus impudemment : je devais paraître si perdu. Chaque fois qu’un paquet de dix personnes s’engouffrait dan
28 re démarche. Mais, pendant ce temps, vous pouviez paraître enfin où mon désir surmené vous appelait encore, haletant. Et le temp
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
29 ’est pas le bon rire de cinéma. Quand la danseuse paraît , ils n’attendent que le moment où ils pourront se pousser en disant :
30 n’est pas encore un miracle de ciné. Et les fées paraissent vieux jeu avec leur baguette, pour moi qui chaque soir crée ma chambr
18 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
31 d’un choix presque impossible, notre incertitude paraît sans remède. Mais, ici, M. Daniel-Rops n’a-t-il pas cédé à la tentati
19 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
32 Mais je suis vos travaux avec intérêt, et il m’a paru que depuis quelque temps… enfin, comment dirais-je… je me suis dit qu
33 rrévocablement prévus de nous-mêmes que faisaient paraître les petits faits de nos longues journées. Nous aimions la révolution
20 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
34 du palais s’étoilèrent des halos. Le jour tendre paraissait sous l’égide de la mort. Il vit des fleurs de son enfance, une églant
21 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
35 prématurée. Mais le seul fait qu’elle se pose me paraît indiquer que l’un au moins des deux éléments nécessaires à ce regroup
36 ulation dans l’œuvre de Bouvier. Sa technique qui paraît au premier abord masquer ses intentions, en réalité les exprime par s
37 les (Madeleine Woog, G. H. Dessoulavy)… Mais déjà paraissaient dans les Voix (cette courageuse revue qu’il avait fondée avec J. P. Z
38 ois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un article paru dans le numéro de février de cette revue. j. « Jeunes artistes neuch
22 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
39 en vient à une conception de la sincérité qui me paraît proprement inhumaine. Tout dire, vraiment ? C’est l’exigence d’une dé
23 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
40 int comme le patron des voyageurs… » Saint-Julien parut satisfait de cette dernière plaisanterie. Il but avec beaucoup de dél
41 de votre conduite les conclusions morales qu’elle paraît impliquer, c’est ce caractère de, comment dirai-je…, de juvénile inso
42 agressif — effet d’une timidité naturelle dont il paraissait lui-même gêné. En deux mots, vous ne me trouvez pas sérieux. Le repro
24 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
43 éthode ne suffirait pas à supprimer. Or, ils nous paraissent entraîner assez naturellement chez des jeunes « et qui pensent » ce g
25 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
44 Sur l’utilité de la littérature Montherlant me paraît être le moins « littératuré » des écrivains d’aujourd’hui. Quand il p
26 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
45 raire », de gazetiers ; au cœur de ces sujets qui paraît -il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la peur. ao.
27 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
46 es ! Mais il a su mettre plus de choses qu’il n’y paraît d’abord dans ces 50 pages. Beaucoup sont excellentes et leur facilité
28 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
47 s’avança lentement vers la mienne et s’assit sans paraître me voir. Une grande figure aux joues mates, aux yeux clairs. Il dépli
48 le. Les yeux brillants, il compta. Une indécision parut sur ses traits. Puis il reprit les dés brusquement, et me fixant avec
29 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
49 lles de secrètes ressemblances, qui pour d’autres paraissaient purement mystiques… Mais vous savez, « les autres » n’y comprennent j
30 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
50 s de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la
51 u’elle n’est qu’un oubli. Et pourtant, comme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miro
31 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
52 az Après cet austère Pays qui n’est à personne paru l’année dernière — un livre assez troublant et qu’on a trop peu remar
32 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
53 amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraît anarchique dans un monde où tout est bon à quelque chose, où rien plu
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
54 r ordre de grandeur ; à quoi je me bornerai. Il a paru sur le sujet de l’instruction publique deux petits livres1 excellents
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
55 biles et muets 6 heures par jour durant 8 ans. Il paraît que cela facilite le travail du maître. Il se peut. Tout dépend de ce
35 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
56 toyen. Moi je voudrais l’enfant tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins je soupçonne dans tous ces mouvem
36 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
57 deux siècles au moins. L’évolution de l’humanité paraît conforme à la dialectique hégélienne ; on y retrouve facilement les t
37 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
58 t d’opinion. Et l’opinion publique mène le monde, paraît -il. À ce propos : que les journalistes s’engagent désormais à ne publ
38 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
59 r ordre de grandeur ; à quoi je me bornerai. Il a paru sur le sujet de l’instruction publique deux petits livres1 excellents
39 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
60 biles et muets 6 heures par jour durant 8 ans. Il paraît que cela facilite le travail du maître. Il se peut. Tout dépend de ce
40 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
61 oyen. Moi, je voudrais l’enfant tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins, je soupçonne dans tous ces mouve
41 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
62 deux siècles au moins. L’évolution de l’humanité paraît conforme à la dialectique hégélienne ; on y retrouve facilement les t
42 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
63 t d’opinion. Et l’opinion publique mène le monde, paraît -il. À ce propos : que les journalistes s’engagent désormais à ne publ
43 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
64 e à formuler qu’à décrire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un commun penchant au libertinage mental trois phénomènes
65 ompris la Religion, thème catholique. Servir leur paraît ridicule. Soit, mais il faudrait donner une œuvre. Il faudrait créer,
66 de faim, ce qui ne se porte plus, — voire même à paraître ennuyeux13… Ils recherchent tous un équilibre, le trouvent bien vite,
67 lques-uns. Paris, avril 1930. 13. C’est ici que paraît tout de même la grandeur d’un Ramuz, dont Beausire ne veut voir que l
68 rage éponyme de Pierre Beausire et Daniel Simond, paru aux « Petites Lettres de Lausanne ».
44 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
69 certaines pubertés ; quant à l’amour, Maldoror ne paraît pas de taille à le concevoir au-delà de sa tendresse pour les adolesc
45 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
70 . Mais combien votre sort, ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; m
71 eu élevée, à demi recouverte de rosiers, et qu’il paraît impossible de situer dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’o
72 nt admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infiniment baroque, à peine compréhensible, car on ne choisit pas un
73 « bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le contraire du style hongrois. Il y a aussi une extrême gauche,
74 plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important du Nyugât (l’Occident),
75 comme le seul Clerc qui n’ait pas trahi — qui me paraissent être la grandeur de la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la g
46 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
76 La Mort d’Empédocle et les Poèmes de la folie ont paru simultanément, et l’on annonce Hypérion. Il ne manquera plus que les
47 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
77 aut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, ta
78 déclarer » après des semaines de voyage ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’
48 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
79 dans l’allure de leur progrès. Les humanités nous paraissaient devoir transmettre aux générations cette notion d’un équilibre propre
80 tation qui le guette et à laquelle tout humanisme paraît enclin : celle de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé
49 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
81 ie, mais auquel cette vie même, en fin de compte, paraît absurde, parce qu’il refuse de lui trouver un sens dans la mort. L’ho
50 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
82 omme un homme devrait vivre… — Être un homme nous paraît la seule entreprise légitime… — Nous pensions vie intérieure, quand i
83 réforme à une préalable révolution économique qui paraît de plus en plus impossible, car elle équivaudrait à une transformatio
51 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
84 a périphérie des vérités religieuses, là où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux pénétrer, à les approfon
85 r en définitive la conversion de son héroïne nous paraît être à tel point la seule solution possible qu’elle n’est plus du tou
86 plus que je ne peux supporter. La vie humaine me paraît intolérable. — Elle l’est presque, mais pas tout à fait. Il faut l’ac
52 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
87 hristianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres paraissent petits à côté de lui. La question essentielle pour Kierkegaard était 
53 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
88 proprement littéraire et descriptive, elles nous paraissent intéressantes par tout ce qu’elles révèlent de la mentalité des écriv
89 lles inspirent. Ce thème éthique et philosophique paraît bien être le plus fécond et le plus adéquat à la nature alpestre. Il
54 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
90 e sans partage et sans failles. Quelques articles parus dans des revues françaises ou suisses nous avaient appris à connaître
91 e tout à fait insolite, et qui dans certains cas, paraîtra presque scandaleuse à maints lecteurs. Kagawa ne « décolle » jamais d
55 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
92 a naguère, dont la « saine rudesse » m’a toujours paru plus rude que saine. Je ne pense pas qu’il faille opposer aux suggest
56 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
93 lle existe, n’a pas changé de nature, et, si elle paraissait autrefois plus simple, c’est qu’elle était peut-être plus chaste. Au
94 vue de Genève » — c’est-à-dire protestant — nous paraît avoir doué ceux qui le professèrent (en dépit de certain défaut de sy
57 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
95 sner se montre disciple de Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à toute description, car elle opère sur des mythes concre
58 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
96 le mérite original et important d’un tel livre me paraît résider avant tout dans l’ordre des faits qu’il met en jeu, dans la p
59 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
97 tive sévérité. Et dès lors, c’est cela qu’il nous paraît utile et nécessaire, aujourd’hui, de confesser. Aussi bien, la force
98 généralité, de son insistance… Et de ce fait qui paraît bien la confirmer : le dessèchement distingué de notre art. Toute for
60 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
99 ager notre condition la plus nue. « Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit paraître l’homme dans sa grandeur, c’e
100 s on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit paraître l’homme dans sa grandeur, c’est-à-dire dans l’élémentaire : un être q
101 ages », mais voici que de toutes parts les Signes paraissent sur la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guerre et la mo
102 e du ciel a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas morts ! » Le monde renaît dans une soirée pure e
61 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
103 ire la similitude essentielle, hors du temps, qui paraît dans ces deux expériences, à mesure qu’on les abstrait de toute la li
104 talement divergentes, une attitude humaine qui me paraît commune. Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses grandes et sec
105 rreur venait… J’étais mûr pour le trépas… » Alors paraît le doute, entraînant la conscience. « Je vois que mes malaises vienne
62 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
106 simple fait qu’une équivoque si grave subsiste et paraisse avoir été cultivée par Goethe, ne prouve-t-il pas suffisamment l’inau
107 idences, et où la volonté de sobriété spirituelle paraît avoir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse. Ce qu
108 nt les valeurs que le « christianisme » de Goethe paraît avoir négligées ou niées : le scandale divin, le péché radical. Mais
63 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
109 urs inventés pour les besoins de la cause, et qui paraissent totalement étrangers aux buts de notre civilisation capitaliste, et m
64 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
110 me pardonne l’image technique — n’embraye pas, et paraît forcée. Ses laborieuses exagérations (Message aux Princes des Prêtres
65 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
111 éactionnaires. Et c’est bien pour cela qu’il nous paraît urgent de leur coller une étiquette qui les distingue, sans méprise p
112 mmencer par bon nombre de révolutionnaires qui ne paraissent « pas très comme il faut », et, pour tout dire, « confusionnistes » à
66 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
113 tification de la pensée. Une telle évolution peut paraître favorable à la pensée chrétienne. La pensée protestante, en particuli
114 r lesquels la crise est dans les institutions. Il paraît supposer une rénovation intérieure, celle précisément que postule le
115 pression de la personne humaine. Sa critique nous paraît pertinente, mais elle serait plus efficace si on la sentait inspirée
116 cause. Je n’insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France parti
67 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
117 aphorismes qui composent l’Éloge de l’imprudence paraîtront plus abstraits qu’ils ne le méritent. C’est qu’ils supposent l’existe
68 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
118 tarder en obéissance révolutionnaire. Ceci pourra paraître orgueil et vanité aux yeux des hommes. Ceci n’est rien, en vérité, qu
69 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
119 Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». Que faire donc ? Briser d’abord les idoles, menaçantes
70 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
120 un choix, une partialité violente, voilà ce qu’on paraît trop facilement admettre autour de nous. Voilà bien l’exigence que no
121 t vous chercherez des équipes de sauvetage.   Ici paraît le communisme, comme une constatation de la faillite, une liquidation
71 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
122 tellectuels, et si violemment accentué qu’il peut paraître suffisant pour définir un front unique, fût-il provisoire. C’est dans
72 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
123 t de mensonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît fausse, parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordr
124 t assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. L
125 d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jo
73 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
126 es de secrètes ressemblances, qui pour les autres paraissaient purement mystiques… Mais vous savez, « les autres » n’y comprennent j
74 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
127 s princes et des femmes à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de génie ne f
128 de nuage flotte sur le bassin, grand œil vide où paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin
129 es. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y paraît , mène parfois bien près de la réalité — et d’un mouvement non dépourv
75 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
130 . Mais combien votre sort, ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; m
131 eu élevée, à demi recouverte de rosiers, et qu’il paraît impossible de situer dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’o
132 nt admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infiniment baroque, à peine compréhensible, car on ne choisit pas un
133 « bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le contraire du style hongrois. Il y a aussi une extrême gauche,
134 plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important du Nyugât (l’Occident),
135 aut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, ta
136 déclarer » après des semaines de voyage ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’
137 comme le seul clerc qui n’ait pas trahi — qui me paraissent être la grandeur de la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la g
76 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
138 s de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la
139 u’elle n’est qu’un oubli. Et pourtant, comme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miro
77 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
140 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir encore — sans
141 ut bien la regarder, la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’élément minable des populations qu’il t
142 ndit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait une blanche et lumineuse fleur qui resplendissait comme une étoile. M
78 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
143 voiles claires parmi les blés violents ; le ciel paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaien
144 s de pics, vibration basse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un vaste portail, aux piles couronnée
145 brique au toit de chaume. Un appel : l’inspecteur paraît sur son seuil au garde à vous, et débite son rapport en deux minutes.
146 ur » à tel état soit souhaitable ? La question me paraît , au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je
147 iétaires de la presse qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes p
79 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
148 assez déchirante, à mi-voix. 20. Depuis lors a paru Samsara — un beau livre baroque — et dont le titre explique tout ce q
80 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
149 s où est votre bien. C’est pourquoi les mots vous paraissent simples, évidents et indifférents. C’est pourquoi vous admettez que «
150 l’homme. Et, dès lors, de tous les événements qui paraissent autour de nous, aucun n’importe, sinon celui qui dans le même temps s
81 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
151 t de mensonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît fausse, parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordr
152 t assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. L
153 d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jo
82 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
154 s princes et des femmes à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de génie ne f
155 de nuage flotte sur le bassin, grand œil vide où paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin
156 es. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y paraît , mène parfois bien près de la réalité — et d’un mouvement non dépourv
83 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
157 . Mais combien votre sort, ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; m
158 eu élevée, à demi recouverte de rosiers, et qu’il paraît impossible de situer dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’o
159 « bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le contraire du style hongrois. Il y a aussi une extrême gauche,
160 plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le groupe important du Nyugât (l’Occident),
161 aut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, ta
162 déclarer » après des semaines de voyage ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’
163 comme le seul clerc qui n’ait pas trahi — qui me paraissent être la grandeur de la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la g
84 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
164 voiles claires parmi les blés violents ; le ciel paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaien
165 s de pics, vibration basse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un vaste portail, aux piles couronnée
166 brique au toit de chaume. Un appel : l’inspecteur paraît sur son seuil au garde à vous, et débite son rapport en deux minutes.
167 ur » à tel état soit souhaitable ? La question me paraît , au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je
168 iétaires de la presse qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes p
169 adel) d’avant 1350 selon le Gotha. a. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque, sur laquelle se fonde pour l’es
170 ’auteur pour la présente édition. b. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque indique : « Le mouvement nationa
171 l’auteur pour la présente édition. c. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque indique « 1926 ». Nous signalons
85 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
172 s de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la
173 u’elle n’est qu’un oubli. Et pourtant, comme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miro
86 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
174 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais sait-on d’où il peut en sortir encore — sans compt
175 ut bien la regarder, la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’élément minable des populations qu’il t
176 ndit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait une blanche et lumineuse fleur qui resplendissait comme une étoile. »
87 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
177 s au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde me dit : « Le petit nuage passera, oui… et nous
178 “… car ils ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte parut le 17 juin dans la Gazette de Lausanne , entre l’arrivée au pouvoir
179 l y en a toujours trop. Cependant notre sort vous paraissait enviable, à juste titre. Les pires tourments de l’esprit et du cœur o
180 res tourments de l’esprit et du cœur ont toujours paru préférables à la torture physique, ou même à sa menace. Autant dire q
181 une couche de nuages. Trois-mille mètres plus bas paraît une surface bleue, comme un papier grenu ponctué de défauts blancs. U
182 s libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraissent bizarres, ici. Comme ils se mettent immédiatement à ressembler à ce q
183 6 — Que la Suisse soit restée aussi suisse m’a paru proprement incroyable. Je ne trouve d’autre sujet de m’étonner que de
184 l est un grand espoir, très vague encore, qui m’a paru se libérer dans beaucoup de consciences et beaucoup de pays, parfois
88 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
185 impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, se dirige vers le lac qu’on aperçoit en
89 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
186 ît ! » (janvier 1933)p Le lecteur moderne est, paraît -il, un homme pressé, beaucoup plus pressé que ne le furent ses ancêtr
187 pliquer, avec une passion nouvelle. Nous avons vu paraître , il y a quelque dix ans, les premières Explications de notre temps. E
188 . » Et l’on pense au titre de cet album de photos paru récemment en Allemagne : « Weltgeschichte gefälligst », Histoire du m
90 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
189 fin de l’enquête, pourquoi cette solidarité nous paraissait encore plus indésirable qu’impossible. Je ne répondrai pas ici à votr
91 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
190 r l’opportunité. (Cette tolérance peut d’ailleurs paraître suspecte, à beaucoup de chrétiens.) C’est ainsi que Ferdinand Fried d
191 entatives de rupture proprement théologiques nous paraissent encore plus significatives et plus riches de possibilité. On a souven
92 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
192 bien souvent l’aspect d’une destruction. Il peut paraître étrange que l’on doive rappeler de telles choses, mais la raison en e
93 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
193 lectique (juillet 1933)e Au cours d’un article paru en Suisse allemande, le professeur O.-E. Strasser déclare que le sonn
194 n de cet hymne, dont nous nous sommes inspirés, a paru dans la Nouvelle Revue française du 1er avril 1923 (trad. Jean de Men
94 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
195 a croyance en une synthèse possible, voilà qui ne paraît point faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon choix et quelles
196 onsidérer comme plus réel que le spirituel. Il me paraît certain qu’une dialectique fondée sur l’actualité permanente de la pe
197 opposition globale à la dialectique humaniste qui paraît à nos yeux s’en rapprocher le plus. ⁂ Cet acte dont nous parlions, à
198 , s’il accepte ce non, l’affirmation de son salut paraît  : il reconnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un souci peut-êt
95 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
199 uses marchandises, et l’activité spirituelle a pu paraître le privilège d’une caste, d’un niveau de fortune, d’une qualité de cu
200 ersonne concrète.   IV — Aucune confusion ne nous paraît dès lors possible entre le ressort spirituel de L’Ordre nouveau et l’
201 à la von Papen, ou le matériel à la Staline, nous paraissent également attenter aux véritables valeurs spirituelles. Une révolutio
202 r et des Schupos. Pourquoi n’en use-t-il pas ? Il paraît maître absolu du pays, mais la violence spirituelle est du côté de Hi
96 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
203 n gros livre que trois éditeurs refusent mais qui paraît finalement en librairie après la guerre. Aventure étonnante que celle
97 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
204 La lecture du bel article de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à la main. Voici quelques notes rapi
98 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
205 ut autant qu’à l’individu atomique. Le vœu humain paraît comblé… Mais ce nous est-il autre chose qu’une moyenne entre le je de
206 une réalité humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître assez arides, et curieusement abstraites, s’agissant du concret par e
207 la dépendance théologique d’une analyse qui peut paraître strictement humaine. On peut parler en termes de philosophie du rappo
208  18-23. Une note ajoute : « Extrait d’un volume à paraître , intitulé Penser avec les mains . »
99 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
209 fort simples. J’insiste sur le mot simple, qui me paraît caractériser notre siècle. On dit le contraire un peu partout, je le
210 toires ! Sur le plan politique tout au moins, ils paraissent s’opposer avec une certaine violence, mais par rapport à l’homme, ils
211 éon Chestov disait un jour à quelques amis : « Il paraît qu’il existe deux théories tout à fait opposées concernant l’origine
212 e : aimer son prochain, c’est bien vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon
213 est l’acte le plus révolutionnaire qui ait jamais paru dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècle, lu
100 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
214 cette action même rendait inefficaces : l’Égalité parut glorieusement encadrée par la Liberté et la Fraternité. En fait, l’ég
215 al, police, lutte de classes, guerre. Primauté du paraître sur l’être. ⁂ Définitions. — La personne, c’est l’homme concret, c’e
216 s. Si le troisième paragraphe de cette thèse peut paraître encore utopique, remarquons toutefois qu’il ne l’est pas plus que la