1 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
1 choises. Puis un palais gothique 1880, qui est le Parlement . Et voici la trouée du Danube, Bude solidement amarrée à Pest par qua
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
2 atie. Les journaux, les cercles, les coulisses de parlements et autres potinières ne vivent que de semblables accusations. Du mome
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
3 atie. Les journaux, les cercles, les coulisses de parlements et autres potinières ne vivent que de semblables accusations. Du mome
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
4 les guerres, les grèves, les pourritures de leurs parlements et l’insolence des pouvoirs ; on ne voit pas à quoi mène la philosoph
5 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
5 Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)e Le Parlement, dans le système actuel, a deux missi
6 ntaires contre le Parlement (octobre 1933)e Le Parlement , dans le système actuel, a deux missions : d’une part, coordonner le
7 l doit défendre des libertés. Or non seulement le Parlement actuel (depuis que les grands bourgeois qui défendaient ce qu’ils cro
8 s le domaine où il devrait agir, non seulement le Parlement n’agit pas, non seulement il laisse agir à sa place des fonctionnaire
9 quelques pages, une histoire pertinente de notre parlement . Aux républicains (mais personne n’emploie ce mot, ce qui a permis de
10 Désordre ! Désordre ! Dans le domaine enfin où le Parlement devrait protéger et défendre les libertés locales, corporatives, fami
11 i devrait être protégé est en fait empêché par le Parlement . Sous le coup d’une fiscalité toujours plus oppressive et des taxes s
12 nécessaire comme toute autre pièce du dossier. Le Parlement  ! Qu’a-t-il fait des hommes les plus nobles ? Dans l’un des derniers
13 ance et dans sa brutalité la voici : Bien sûr, le parlement me dégoûte, mais je m’y plais parce que c’est un club. Nous concluron
14 ementaires ? e.  « Les parlementaires contre le Parlement  », L’Ordre nouveau, Paris, n° 4, octobre 1933, p. 7-9. Texte rédigé a
6 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
15 on au parlementarisme. Nous ne combattrons pas le Parlement avec des discours, mais bien en créant un monde où il apparaîtra sous
7 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
16 . Les auteurs du plan commencent par condamner le Parlement , « dont le fonctionnement exclut par définition une rénovation politi
8 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
17  ! parmi quels tigres vivons-nous… qu’une cour de Parlement se licencie ainsi contre le droit naturel, contre l’honnêteté civile 
9 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
18 ns un ordre nouveau. (Condamnation des partis, du Parlement , des moyens de propagande de masses, etc. Méfiance méthodique à l’éga
10 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
19 4.Ni droite ni gauche Le plus dur pour un parlement , c’est de conclure. Le plus dur pour la Révolution, c’est de commence
20 la Révolution commence par ce qui fait mourir un parlement  : par une décision, par un acte. Commencer la Révolution c’est compre
21 mais jusqu’aux moelles, que le monde n’est pas un parlement , qu’il ne s’agit pas pour nous d’aller nous asseoir quelque part, mai
22 hinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements et les partis n’avaient jamais eu d’existence que dans la cervelle d’
23 politique. D’où la condamnation, bien entendu, du Parlement . Le Parlement : une dizaine de programmes, représentés par autant de
24 ù la condamnation, bien entendu, du Parlement. Le Parlement  : une dizaine de programmes, représentés par autant de groupes fort i
25 par les experts. (C’est la seule opération que le Parlement puisse faire avec soin.) 4. — Le produit — infécond — de ce croisemen
11 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
26 « basse » réalité qui alimentent les discours des parlements et des académies. La bibliothèque-sanctuaire-ruche active offrirait d
12 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
27 ent ; ni de la police, ni de la majorité, ni d’un parlement — chose curieuse — ni d’un duce, ni d’un pape, ni d’un soviet, ni d’u
28 pouvoirs institués » par Conseil des ministres et Parlement .) Mais une autorité qui prétend échapper aux risques inséparables de
13 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
29 vocabulaire des journaux, qui dérive de celui du parlement ou des affaires. Le vocabulaire des parlementaires dérive à son tour
14 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
30 vocabulaire des journaux, qui dérive de celui du parlement ou des affaires. Le vocabulaire des parlementaires dérive à son tour
15 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
31 ons directes dans les agences, les rédactions, le parlement , les syndicats, les milieux financiers… Par la diversité de sa compos
16 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
32 e la collusion des puissances financières avec le Parlement et l’exécutif, collusion responsable de la mauvaise marche des admini
17 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
33 ntaire le prouve : rien de moins suisse que notre Parlement , importé d’Amérique à une époque récente, et plus ou moins contaminé
18 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). III. Organisation de la Ligue
34 t établie : la Ligue n’entend pas créer de petits parlements de groupes, mais des équipes de travail. Ce n’est pas en vain que nos
19 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
35 sonnelles que requiert la conduite de l’État. Le Parlement doit être réformé dans le sens d’une stricte distinction des compéten
36 ’autres régimes à la catastrophe. L’adjonction au Parlement d’une Chambre économique est l’une des premières réformes à envisager
20 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
37 ntaire le prouve : rien de moins suisse que notre Parlement , importé d’Amérique à une époque récente, et plus ou moins contaminé
21 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
38 tout les distances convenables. La coutume de nos parlements , de nos partis et de leurs chefs, paraît aujourd’hui toute contraire 
22 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
39 tout les distances convenables. La coutume de nos parlements , de nos partis et de leurs chefs, paraît aujourd’hui toute contraire 
23 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
40 ormes isolées ou matérielles comme l’abolition du Parlement , des salaires plus élevés, la nationalisation des grandes industries,
24 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
41 aient désignés par les peuples et secondés par un Parlement mondial, la possibilité d’une opposition non seulement respectée mais
25 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
42 nte dans toute l’Europe aux élections et dans les parlements , elle a ses troupes disciplinées, elle fait sa politique jusque dans
26 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
43 Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Conseil économique entreprenne la mis
27 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
44 nte dans toute l’Europe aux élections et dans les parlements , elle a ses troupes disciplinées, elle fait sa politique jusque dans
28 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
45 es vives » prêtes à collaborer dans chaque pays : parlements , partis politiques, organisations syndicales et professionnelles, égl
46 Nous voulons que ce Conseil soit contrôlé par un Parlement de l’Europe. Nous voulons qu’un Conseil économique entreprenne la mis
47 lle des chevaliers, qui est celle d’un très vieux Parlement , mille personnes, mille Européens. Je reconnais dans la foule quelque
48 tres et anciens ministres, deux-cents députés aux parlements européens, et six-cents autres délégués de vingt-cinq pays… Mais je m
49 forces vives des nations, non pas seulement leurs parlements  ; un organisme économique commun ; un Centre européen de la culture4
50 est pas prête. » Or rien n’est plus urgent qu’un Parlement de l’Europe. Et la grande masse ne se lèvera pour l’Europe qu’au jour
29 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
51 ence des Cinq va peut-être accepter notre plan de Parlement européen. Cette assemblée, que nous voulons élue à la fois par les pa
52 ssemblée, que nous voulons élue à la fois par les parlements et par les forces vives de chaque pays, doit se réunir dans quelques
53 us les fédéralistes, en invitant gouvernements et parlements à convoquer cette année une Assemblée européenne. C’est maintenant —
30 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
54 tembre, et dont les députés seront nommés par les parlements . 2. (Réd. — Nous devons à l’obligeance de M. Denis de Rougemont de p
31 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
55 e. Le 7 mai 1948, dans la Salle des chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le Congrès de l’Europe. Nous étions cette fois
56 ministres, près de deux-cents députés aux divers parlements européens, des syndicalistes et des grands patrons, des socialistes e
57 ient élus « dans leur sein ou au-dehors » par les parlements des nations participantes. Ce projet fut mis au point très rapidement
58 à Paris, aux fins d’étudier la constitution d’un Parlement et d’un Conseil des ministres européens. Le 28 janvier 1949, la confé
59 uerre, est aujourd’hui discuté par la presse, les parlements , les ministères, comme quelque chose qu’il faut réaliser d’urgence, e
60 tation aussi large que possible non seulement des parlements (partis politiques), mais aussi des « forces vives » de chaque nation
32 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
61 s efforts, lorsque s’ouvrira, dans Strasbourg, le Parlement consultatif de treize nations. Mais toutes les constructions économiq
33 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
62 on de cent-un députés, régulièrement élus par les parlements de douze pays, matérialisa le 10 août les efforts développés depuis q
63 semblée la proposeront, mais les gouvernements et parlements nationaux en disposeront. Et qui dispose de ces divers pouvoirs, sino
64 t régulièrement acceptés par les gouvernements et parlements , en attendant le verdict populaire. ⁂ Nous sommes en pleine action, e
34 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
65 re où elle reste impuissante — d’où le refus d’un Parlement européen ; secundo : que les champions d’un régime fédéral fondé sur
66 e les conduit aux mêmes conclusions négatives. Au Parlement européen, s’il est doté de pouvoirs législatifs, à l’Autorité politiq
35 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
67 États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candidats. Et les mouvemen
68 des élections. En d’autres termes, il faut que le Parlement issu des élections ait quelque chose à faire. Qu’un but concret soit
69 us pouvez passer outre, et jurer de rester où vos parlements vous envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos parlements, qui
70 s envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos parlements , qui restent les seuls juges d’un conflit éventuel.) Si vous acceptez
36 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
71 États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront les candidats. Et les mouvements
72 des élections. En d’autres termes, il faut que le Parlement issu des élections ait quelque chose à faire. Qu’un but concret soit
37 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
73 re où elle reste impuissante — d’où le refus d’un Parlement européen ; secundo : que les champions d’un régime fédéral fondé sur
74 e les conduit aux mêmes conclusions négatives. Au Parlement européen, s’il est doté de pouvoirs législatifs, à l’Autorité politiq
38 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
75 États, en vue de nommer leurs députés au premier parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candidats. Et les mouvemen
76 des élections. En d’autres termes, il faut que le Parlement issu des élections ait quelque chose à faire. Qu’un but concret soit
77 us pouvez passer outre, et jurer de rester où vos parlements vous envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos parlements, qui
78 s envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos parlements , qui restent les seuls juges d’un conflit éventuel.) Si vous acceptez
39 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
79 ue l’armée européenne non encore ratifiée par les parlements  : — et tout cela donne de passionnants problèmes d’arithmétique élect
40 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
80 es, par exemple) et contrôlé par la majorité d’un parlement . Comment un ministère pourrait-il donc (quels que soient les désirs d
81 peines, que s’il peut démontrer aux Finances, au Parlement , aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le p
41 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
82 es, par exemple) et contrôlé par la majorité d’un parlement . Comment un ministère pourrait-il donc (quels que soient les désirs d
83 peines, que s’il peut démontrer aux Finances, au Parlement , aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le p
42 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
84 er ; — la CED est en voie de ratification par les parlements  ; — un projet de Constitution européenne vient d’être remis officiell
85 istres des Six, prévoyant l’élection directe d’un Parlement européen. Tout cela résulte d’une longue préparation. Mais aux yeux d
43 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
86 ressent ou non aux combinaisons raffinées de leur Parlement , le reste de l’Europe doit marquer le pas et les Russes en profitent
87 fois la nation et l’individu, les partis et leurs parlements , les idéologies et leurs journaux, les intérêts et leurs intermédiair
44 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
88 ient ; les synodes et le sénat, d’où viennent nos parlements . Rien ne se ressemble plus que nos folklores, prétendus « nationaux »
45 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
89 us écrire. Nous voyons que l’Europe a besoin d’un Parlement et d’un exécutif qui lui permettent d’exister politiquement, et donc
90 sur votre demande par les délégués officiels des parlements de vos pays. Le refuser comme base de travail équivaudrait en fait à
91 r soit à l’échec de tout contre-projet devant vos parlements , soit à revenir après de longs détours à quelque chose qui serait trè
92 3. Dans ses grandes lignes, le Projet prévoit un Parlement élu et un exécutif dont on ne sait, à vrai dire, s’il sera fédéral ou
46 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
93 précédé du chapeau suivant : « “Ce Congrès est un parlement des intellectuels de nombreux peuples qui ont reconnu leur dépendance
47 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
94 ans, un État doté d’une armée, d’un budget, d’un Parlement et d’un pouvoir exécutif central. En somme, ce ne fut guère qu’à part
48 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
95 des partis, ne se manifestent guère que dans les parlements des cantons à prédominance citadine, comme Genève. Partout ailleurs,
96 hambres fédérales. Ils ont coutume de comparer ce Parlement à un conseil d’administration. L’éloquence, à vrai dire, n’y est pas
97 impôts. Il serait donc injuste d’affirmer que le Parlement manque de contact avec la population. Allons plus loin : cette absenc
49 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
98 ère, l’Italie a décidé de poser la question à son Parlement , et des progrès minimes mais peut-être décisifs ont été enregistrés e
99 seul concret.) Ces efforts peuvent échouer si le parlement français repousse demain la CED et avec elle ses suites et ses implic
100 autres « garanties » réclamées par tel groupe du Parlement de ce pays apparaît simplement démente, si l’on a vu la situation mon
50 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
101 seul concret.) Ces efforts peuvent échouer si le parlement français repousse demain la CED, et avec elle ses suites et ses impli
51 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
102 is l’Europe ne pourra s’unir en temps utile si le parlement français repousse la CED, et avec elle ses suites et ses implications
103 es » réclamées par tel groupe ou demi-groupe d’un Parlement pulvérulent, apparaît simplement démente, si l’on a vu la situation m
52 1954, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Rejet de la CED : l’avis de Denis de Rougemont (20 septembre 1954)
104 dans ces lieux indécents que sont les couloirs de parlements , mais dans les esprits et les cœurs. Et le reste suivra — l’armée, l’
53 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
105 ment agissant sur les primaires de la presse, des parlements , et de tous les degrés de l’enseignement. Dès qu’on y touche, on prov
54 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
106 à tort ; il montre simplement qu’une partie d’un Parlement (devenue majorité grâce à l’appui des communistes) n’a pas encore sen
107 spérait faire adopter l’une après l’autre par les parlements . On n’a pas cherché à produire sur l’opinion publique le choc révolut
55 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
108 sur des textes marchandés par les partis dans les parlements excités. Il ne confondait pas l’action réelle avec les grands éclats
109 être tenus pour foncièrement incompatibles ? Les parlements latins sont les plus éloquents et font en conséquence la pire des pol
56 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
110 e gauche ou de droite, ni des politiciens, ni des parlements . Un doctrinaire brutal a provoqué la Révolution d’octobre. Un saint a
57 1955, Articles divers (1951-1956). Rien n’est perdu, tout reste à faire (janvier 1955)
111 à tort : il montre simplement qu’une partie d’un parlement (devenue majorité grâce à l’appui des communistes) n’a pas encore sen
112 spérait faire adopter l’une après l’autre par les parlements . On n’a pas cherché à produire sur l’opinion publique le choc révolut
58 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
113 et qui disposent des moyens nécessaires dans les parlements et dans la presse, de se conformer avec ensemble aux mots d’ordre lan
59 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
114 esseurs et d’érudits que des séances houleuses de parlements modernes, ou même des conventions de partis en Amérique. Convoqués pa
60 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
115 sse aux lendemains de l’échec de la CED devant le Parlement français. Cette origine de l’expression en indique le sens véritable 
116 uropéenne, d’où sortiraient un gouvernement et un parlement supranationaux. Cet extrémisme politique correspond à un certain temp
61 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
117 en Europe des sources d’énergie nouvelles. Si le Parlement français le comprenait enfin, il voterait l’Euratom sans un jour de d
62 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
118 rgente des faits et d’une sûre documentation. Les parlements discutent — et quelques-uns acceptent — le projet de marché commun. L
119 ssez fortes chances de succès dans nos différents parlements . Mais il serait insensé de crier victoire. La construction d’une Euro
120 uge, la jeunesse bouge, le danger croît, mais les parlements restent cois. Suez et Budapest n’auraient-ils pas suffi ? Faudra-t-il
63 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
121 s pays de l’Est, dotée d’un pouvoir fédéral, d’un Parlement et d’une armée. Une neutralité « à la suisse » n’aurait donc aucun se
64 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
122 istence officielle d’une représentation du PCF au Parlement traduit une tolérance paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilè
65 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
123 os armements, là nos formes politiques, partis et parlements . Plus tard, telle nation neuve ou telle fraction de son intelligentsi
124 une et les syndicats ; le suffrage universel, les parlements , l’État centralisé, la bureaucratie et les partis ; l’instruction pub
66 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
125 CECA, le Marché commun et l’Euratom ; et que les parlements les votent bien vite, sans trop voir ce qui est engagé. — Oui, mais l
126 ien sans la force, qui n’est pas rationnelle. Les parlements peuvent tout, y compris décréter que les États-nations ont fait leur
127 institutions européennes seront bloquées par les parlements si ceux-ci ne subissent pas une pression populaire imposant l’électio
67 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
128 sseurs et d’érudits, que des séances houleuses de parlements modernes, ou même des Conventions de partis, en Amérique. Convoqués p
68 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
129 décide la politique de nos États ; que votent les parlements et même parfois les peuples ; et que l’Histoire s’écrira demain. L’ir
69 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
130 minster à Strasbourg, enfin dans les couloirs des parlements . Non seulement nos méthodes ne peuvent être estimées une à une, du po
131 (CECA, CEE, Euratom), actuellement nommée par les parlements nationaux. Tandis que d’autres veulent élire une Assemblée non prévue
132 tributions constituantes, à ratifier soit par les parlements ou par les peuples des États, soit par le peuple européen dans les di
70 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
133 ne gêne irritante, troublant « le jeu normal » du Parlement  ; comme une sorte d’aberration. L’extrême insoutenable du régime fut
134 éraliste, qui est politique et non politicien. Le Parlement , dans une fédération, tient toute son existence des États membres et
135 et le cabinet, prépare des lois et les soumet au Parlement mais si ce dernier les refuse, le Conseil ne démissionne pas : il pro
136 he par un référendum. — Que me dites-vous là ? Le Parlement ne pourrait donc pas renverser les ministres élus par lui ? — Il ne
71 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
137 nues de l’Asie, comme les Églises, la commune, le Parlement , la Nation. Et enfin, ne l’oublions pas, c’est l’Europe qui a découve
138 e, ou la commune, ou le droit d’opposition, ou le Parlement , ou la révolution, ont été conçues et créées par l’Europe et par elle
72 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
139 os armements, là nos formes politiques, partis et parlements . Plus tard, telle nation neuve ou telle fraction de son intelligentsi
140 une et les syndicats ; le suffrage universel, les parlements , l’État centralisé, la bureaucratie et les partis ; l’instruction pub
73 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
141 nt A.-P. de Candolle) pouvait s’écrier en 1832 au Parlement de Genève : « Que veulent les partisans du nouveau Pacte ?… Une répub
142 le 1er septembre. Dans la plupart des cantons, le Parlement se prononça d’abord, puis le peuple. Les votes populaires eurent lieu
74 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
143 s savons bien que tous les pays neufs imitent nos parlements , partis et syndicats, et même parfois nos dictatures. Et nous savons
75 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
144 uprès des Premiers ministres et des présidents du parlement en Belgique, France, Grande-Bretagne, Hollande et Italie. Il transfor
145 t les pouvoirs, c’est-à-dire les gouvernements et parlements , les milieux politiques et financiers. C’est Retinger en étroite coop
76 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
146 u à plaider devant le juge compétent ou devant le Parlement ou Consistoire ci-dessous désigné. Et si, du fait et par défaut de l’
77 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
147 urs délégués, dans une Diète générale, un État ou Parlement , et y établir des règles de justice à observer mutuellement par eux t
148 ne pas être découverts. Il me semble que dans ce Parlement impérial, rien ne pourrait être décidé qu’à une majorité des trois qu
149 s très recommandables. Cela prépare le citoyen au parlement et au conseil de l’intérieur, aux cours des princes et à la Diète gén
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
150 lle. La pure nature n’a jamais connu ni débats de parlement , ni prérogatives de la couronne, ni compagnie des Indes, ni impôts de
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
151 qu’elle renferme, étant gouvernées chacune par un parlement , reconnaissaient la suprématie d’un parlement général placé au-dessus
152 un parlement, reconnaissaient la suprématie d’un parlement général placé au-dessus de tous les gouvememens nationaux et investi
153 s nationaux, sera pour ceux qui doivent former le parlement européen, un fruit nécessaire de son établissement. Il est vrai ; mai
154 sité de n’admettre dans la chambre des députés du parlement européen, c’est-à-dire dans l’un des deux pouvoirs actifs de la const
155 térêt général qui doit être l’intérêt de corps du parlement européen. Des négocians, des savans, des magistrats et des administra
156 seuls à composer la chambre des députés du grand parlement . Et en effet, tout ce qu’il y a d’intérêts communs à la société europ
157 devra députer à la chambre des communes du grand parlement un négociant, un savant, un administrateur et un magistrat. Ainsi, en
158 la société européenne sera portée devant le grand parlement , et examinée et résolue par lui. Il sera le seul juge des contestatio
159 s qui pourront s’élever entre les Gouvememens. Le parlement européen devra avoir en propriété et souveraineté exclusive une ville
160 raineté exclusive une ville et son territoire. Le parlement aura le pouvoir de lever sur la confédération tous les impôts qu’il j
161 société européenne, seront dirigées par le grand parlement  : ainsi, par exemple, il joindra par des canaux le Danube au Rhin, le
162 omme l’Europe, voilà l’entreprise par laquelle le parlement européen devra continuellement exercer l’activité de l’Europe, et la
163 ise sous la direction et la surveillance du grand parlement . Un code de morale tant générale que nationale et individuelle, sera
164 individuelle, sera rédigé par les soins du grand parlement , pour être enseigné dans toute l’Europe. Il y sera démontré que les p
165 humaine, et par l’état de ses lumières. Le grand parlement permettra l’entière liberté de conscience, et l’exercice libre de tou
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
166 ongue au manque et au changement de tendance. Les parlements , les états généraux, les droits civils et politiques, les immunités e
81 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
167 s cantons suisses décidaient de se fédérer, qu’un Parlement fédéral allemand se réunissait à Francfort, et que Milan, Budapest et
168 and sénat souverain qui sera à l’Europe ce que le parlement est à l’Angleterre, ce que la diète est à l’Allemagne, ce que l’assem
169 eront au-dessus d’eux un monarque universel ni un parlement européen unique. C’est pourquoi toute constitution européenne instaur
82 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
170 uvements, déclarations de congrès, résolutions de parlements , discours d’hommes d’État, préambules aux traités et conventions, qui
83 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
171 future. Ainsi de la commune, de la fédération, du parlement et du régime bicaméral, des syndicats et des coopératives ; ainsi de
84 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
172 es écoles et des plantations, des journaux et des parlements . S’imposant par la force ou reçus comme des dieux — ainsi Cortés à Me
85 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
173 discutent aujourd’hui toute la presse et tous les parlements , est essentiellement une réalité économique, on oublie que notre écon
86 1962, Articles divers (1957-1962). La commune, base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)
174 place qui se traduit dans la vie des conseils et parlements , caractéristiques de l’Europe. (La dernière image qui subsiste de cet
175 ge qui subsiste de cette origine très précise des parlements , c’est la Landsgemeinde des petits cantons suisses, formant le Ring s
87 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
176 place qui se traduit dans la vie des conseils et parlements , caractéristiques de l’Europe. (La dernière image qui subsiste de cet
177 ge qui subsiste de cette origine très précise des parlements , c’est la Landsgemeinde des petits cantons suisses, formant le Ring s
178 future. Ainsi de la commune, de la fédération, du parlement et du régime bi-caméral, des syndicats et des coopératives ; ainsi de
88 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
179 n des intérêts franco-anglais et la création d’un parlement européen élu par les élites professionnelles et « placé au-dessus de
180 and sénat souverain qui sera à l’Europe ce que le parlement est à l’Angleterre, ce que la diète est à l’Allemagne, ce que l’assem
89 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
181 es écoles et des plantations, des journaux et des parlements . S’imposant par la force ou reçus comme des dieux — ainsi Cortés à Me
90 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
182 n économiques ou idéologiques, amèneront quelques parlements à soutenir des projets fédéraux, c’est-à-dire supranationaux. On ne v
91 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
183 1959. Les États, les services ministériels et les parlements ne se croient pas encore en mesure « d’aller plus loin ». Mais dans n
184 érale du problème dans la presse, les partis, les parlements , les congrès et les déclarations des hommes d’État témoigne de la plu
92 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
185 ffaiblir la situation du gouvernement aux yeux du parlement et du pays. » Sur quoi l’un des journalistes romands qui commentent c
186 mme discréditerait-il le gouvernement aux yeux du parlement et du peuple ? » Et il conclut : « Confusione hominum et providentia
93 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
187 guisé en pléonasme — ou du système occidental des parlements , partis, presse et groupes de pression, le tout manipulé par la télév
94 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
188 stes qui provoqua la guerre de Sécession. 52. Au Parlement genevois, le grand naturaliste A.-P. de Candolle déclare en 1832 : « 
95 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
189 e des partis ne se manifestent guère que dans les parlements des cantons à prédominance citadine, comme Genève. Partout ailleurs,
190 seil étudie des projets de loi et les présente au Parlement . Si un projet est rejeté, le Conseil ne démissionne pas : il reprend
191 rouages principaux de notre système fédéral : le Parlement bicaméral et le gouvernement collégial ; 2° de marquer le rôle des pa
192 paysannes, dont ils représentent les intérêts au Parlement . Les libéraux ne trouvent pas d’appuis équivalents chez les pasteurs
193 hambres fédérales. Ils ont coutume de comparer ce parlement à un conseil d’administration. L’éloquence, à vrai dire, n’y est pas
194 édéraux. Il serait donc injuste d’affirmer que le Parlement manque de contact avec la population. Allons plus loin : cette absenc
195 tes. Mais la loi, comme toutes celles que vote le Parlement (sauf clause d’urgence), ne peut entrer en vigueur que trois mois apr
196 centimes, et présente un nouveau texte de loi au Parlement , qui l’accepte, sans provoquer cette fois d’opposition populaire. Fau
197 oles de sept partis, à la veille des élections au Parlement , récapitule ainsi les thèmes qui furent discutés : « Promotions des n
96 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
198 il devient rapidement la vedette inquiétante d’un parlement prudent, qui ne le suit guère. Un jour, exaspéré par l’attitude de se
97 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Interaction de l’économique et du politique
199 erne, spécialiste de l’analyse des motivations du parlement  : Avec la formation de ce que l’on a appelé une société de classes m
98 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
200 motiva trois navettes entre les deux Conseils du parlement  : il s’agissait d’un objet culturel, on l’a deviné. Le cas des univer
99 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
201 ffaiblir la situation du gouvernement aux yeux du Parlement et du pays. » Sur quoi l’un des journalistes romands qui commentent
202 mme discréditerait-il le gouvernement aux yeux du Parlement et du peuple ? » Et il conclut : « Confusione hominum et providentia
100 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
203 d’avoir été acceptées par l’opinion, donc par les parlements et les gouvernements qui en dépendaient alors dans nos pays. Des hist
204 oles, patronaux ; coopératives ; magistratures et parlements  ; mouvements de jeunesse ; Églises… On les prierait de rédiger des ca
205 lle des Chevaliers, qui est celle d’un très vieux Parlement , mille personnes, mille Européens. Je reconnais dans la foule quelque
206 nent, et une assemblée délibérante nommée par les parlements . Mais la résolution politique (votée aussi par les fédéralistes) ne p
207 mblée « élue, dans leur sein ou au-dehors par les parlements  ». Enfin, le Message aux Européens revendiquait « une assemblée… où
208 consultative, formée de députés désignés par les parlements nationaux. Dès ce moment, la teneur en fédéralisme, non seulement des