1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 . Partis du classicisme de David et d’Ingres, les peintres français ont accompli, durant le xixe siècle, une exploration mervei
2 çon de peindre correspond à la façon de penser du peintre . Souhaitons d’entendre encore M. Meili. Est-il besoin de souligner l’
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
3 cien que dans la création d’un caractère de grand peintre . Pourtant, malgré des longueurs, on ne lira pas sans plaisir ce livre
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 aires à ce regroupement existe : il y a de jeunes peintres neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de discerner parm
5 ublic des jeunes artistes, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en face de ce qu’on nomme le gros public. L’
6 jusqu’à André Evard, qui en a près de 50, si les peintres dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes, c’est par leu
7 e puisse rapprocher, parce qu’il est un des rares peintres de ce pays pour qui la couleur existe avant tout. Mais la nostalgie d
8 etin. Tiens, me dis-je, Bouvier va peindre. Comme peintre religieux, il se cherche encore. On a pourtant l’impression, à voir s
9 ions, présentations : « André Evard. — Les jeunes peintres . — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’on
10 cision de La Chaux-de-Fonds… Avant de quitter les peintres , rappelons le souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune, sans av
11 t une pendule de Ditisheim ; que Vincent Vincent, peintre , romancier et critique d’art, compose des coussins, des couvertures d
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
12 ssée d’une douzaine de lithographies de Meili. Ce peintre se montre plus occidental dans les beaux volumes pleins de ces paysag
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 rimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ho
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 x cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre . Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas-à-pas. Tout
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
15 n’a pas remarqué que les portraits des meilleurs peintres ressemblent à ces peintres sous les traits du modèle. Cet air de fami
16 ortraits des meilleurs peintres ressemblent à ces peintres sous les traits du modèle. Cet air de famille qu’ont tous les personn
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
17 iquette de protestants et de modernes des noms de peintres comme Bosshardt, Raoul Dufy, Lotiron, Zingg, le sculpteur Gimond, l’a
18 n Gogh, en qui nous aimions tout : le pasteur, le peintre et le fou, semait en nous toutes les curiosités de la couleur et de l
19 qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez ces peintres  ? — Certaines rigidités, pensez-vous, certaines austérités de style ?
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
20 emble fortement, comme dans le tableau d’un grand peintre  ». Ah ! la grandeur de ce peuple ramuzien, qui se meut dans je ne sai
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 rimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ho
22 x cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre . Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas à pas. Tout
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
23 rimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ho
24 x cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre . Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas-à-pas. Tout
12 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
25 pereur de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre . « Peins-moi sur ce rouleau un crabe ». — « Il me faut vingt ans », d
26 au un crabe ». — « Il me faut vingt ans », dit le peintre . Et pendant vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre.
27 t vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre . Cependant l’artiste se promène. Sur les plages, il vagabonde, il con
13 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
28 steur, une bouchère, un banquier, une dactylo, un peintre juif — c’était dans son atelier — et une grande vedette de music-hall
14 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
29 pereur de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre . « Peins-moi sur ce rouleau un crabe. » — « Il me faut vingt ans », d
30 au un crabe. » — « Il me faut vingt ans », dit le peintre . Et pendant vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre.
31 t vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre . Cependant l’artiste se promène. Sur les plages, il vagabonde, il con
15 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
32 pereur de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre . « Peins-moi sur ce rouleau un crabe. » — « Il me faut vingt ans », d
33 au un crabe. » — « Il me faut vingt ans », dit le peintre . Et pendant vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre.
34 t vingt ans, l’empereur subvient à l’existence du peintre . Cependant l’artiste se promène. Sur les plages, il vagabonde, il con
16 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
35 re, ses proportions et ses « valeurs », dirait un peintre . Il est remarquable que presque tous les écrivains de ces années épro
17 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
36 tion du chrétien. C’est la triple question que le peintre Gauguin avait choisie pour titre de son fameux triptyque : D’où venon
18 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
37 sible à première vue que dans le cas d’un mauvais peintre , qui ferait à tous ses modèles des yeux écarquillés parce que les sie
19 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
38 sible à première vue que dans le cas d’un mauvais peintre , qui ferait à tous ses modèles des yeux écarquillés parce que les sie
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
39 semble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d’un peintre cubiste, tantôt sous une averse mêlée de rayons, à quelque illustrati
21 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
40 rimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ho
22 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
41 vision manichéenne du monde : la grande œuvre du peintre Otto Runge, Les Quatre Saisons, devait représenter les quatre saisons
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
42 vision manichéenne du monde : la grande œuvre du peintre Otto Runge, les Quatre Saisons, devait représenter les quatre saisons
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
43 vision manichéenne du monde : la grande œuvre du peintre Otto Runge, les Quatre Saisons, devait représenter les quatre saisons
25 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
44 éenne, et musicien comme Goethe encore se voulait peintre (mais Gide est, je crois, plus doué). On l’y découvre enfin, et cela
26 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
45 groupe des Cahiers vaudois), les deux Cingria, le peintre Auberjonois, Ansermet, Stravinsky. Claudel y touche de près. Cocteau
27 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
46 es planches de minéralogie que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les y
28 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
47 maîtres de première grandeur. Nicolas Manuel fut peintre , architecte, soldat, dramaturge et homme d’État ; Gottfried Keller pe
48 at, dramaturge et homme d’État ; Gottfried Keller peintre et romancier ; Rousseau musicien, philosophe et éducateur. 25. La Ge
29 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
49 de la vie organique, à tel point qu’un savant, un peintre , un visionnaire, sont capables de réinventer le « réel » à sa ressemb
30 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
50 de la vie organique, à tel point qu’un savant, un peintre , un visionnaire, sont capables de réinventer le « réel » à sa ressemb
31 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
51 de la vie organique, à tel point qu’un savant, un peintre , un visionnaire, sont capables de réinventer le « réel » à sa ressemb
32 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
52 éenne, et musicien comme Goethe encore se voulait peintre . On l’y découvre enfin, et cela me paraît nouveau, constamment occupé
33 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
53 emble fortement, comme dans le tableau d’un grand peintre . » Il a fallu beaucoup de temps pour que Ramuz consentît à penser dan
54 . ⁂ Tout portrait représente un dialogue entre le peintre et son modèle. Mais comment distinguer la part de chacun des interloc
34 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
55 te à 1393. Cette année-là, Jacquemin Gringonneur, peintre français, dessina et enlumina des cartes pour Charles VI, le roi fou,
56 cdote. Le lendemain de la libération de Paris, le peintre Emlen Etting, attaché aux forces américaines, et son ami André Lhote,
57 au tapis vert était seule restée debout. Les deux peintres s’étant approchés y virent « jetées comme par la main du destin » une
35 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
58 e reste de la nuit dans un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria. Je l’avais connu quelques années auparavant dan
36 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
59 es planches de minéralogie que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les y
37 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
60 à la chaux, où l’on voudrait passer sa vie, où le peintre E. B. passe la sienne. Chaque jour des réfugiés viennent sonner à la
38 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
61 messieurs les speakers, qui sont André Breton, le peintre Amédée Ozenfant et le jeune fils des Pitoëff, se voient priés de pass
62 e la ville où habitent beaucoup d’écrivains et de peintres . 10. Il s’agit du livre intitulé La Part du diable , qui devait par
39 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
63 en plein plexus solaire… Il va se venger ! Notre peintre surréaliste voulut bien s’interrompre dans un problème d’échecs, pour
64 marqua le docteur. — La belle preuve, répliqua le peintre . On avait tout arrangé pour cela ! Quant au jeune poète dont vous ave
40 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
65 en plein plexus solaire… Il va se venger ! Notre peintre surréaliste voulut bien s’interrompre dans un problème d’échecs, pour
66 marqua le docteur. — La belle preuve, répliqua le peintre . On avait tout arrangé pour cela ! Quant au jeune poète dont vous ave
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
67 indivisibles — et c’est créer — le drame entre le peintre et son modèle, ici l’auteur et son époque. Entre le Sujet qui fabriqu
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
68 rimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ho
69 x cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre . Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas à pas. Tout
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
70 semble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d’un peintre cubiste, tantôt sous une averse mêlée de rayons, à quelque illustrati
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
71 es planches de minéralogie que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les y
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
72 à la chaux, où l’on voudrait passer sa vie, où le peintre E. B… passe la sienne. Chaque jour des réfugiés viennent sonner à la
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
73 ssieurs les announcers, qui sont André Breton, le peintre Amédée Ozenfant et le jeune fils des Pitoëff quand ce ne sont par Geo
74 e la ville où habitent beaucoup d’écrivains et de peintres . 91. Il s’agit de La Part du diable , qui devait paraître à New Yor
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
75 pier, comme tous les autres. Vous comprenez, être peintre , c’est copier et multiplier les quelques idées qu’on a eues ici ou là
76 anifester la vie de sa main. Voilà ce qui fait un peintre . Depuis la création d’un marché de la peinture, tout a été radicaleme
77 marqua le docteur. — La belle preuve, répliqua le peintre . On avait tout arrangé pour cela ! Quant au jeune poète dont vous av
48 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
78 messieurs les speakers, qui sont André Breton, le peintre Amédée Ozenfant et le jeune fils des Pitoëff, se voient priés de pass
79 le où habitent beaucoup d’écrivains et surtout de peintres . 7. Il s’agit du livre intitulé La Part du diable , qui devait para
49 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
80 e sur la carte postale La beauté physique Un peintre , riant, … et il disait en rajustant ses écailles oculaires de critiqu
81 pareille ? Un mari. Vous lui avez répondu ?… Le peintre . Naturellement, je lui ai dit que mon cygne n’avait pas besoin de lun
82 u moins cela… Que disait la charmante Ellen ? Le peintre . Comme vous le dites : une Léda, après tout, c’est une femme au cygne
83 ez la même erreur que lui, dans l’autre sens. Le peintre . Vous voulez dire ? Le mari. Qu’il se trompait en parlant de votre L
84 t de leur couple comme s’il était un tableau. Le peintre . Bien ! Dois-je en déduire qu’il existe une morale du cadre, et une a
85 ion, l’homme de chair et non pas son concept. Le peintre . Pardonnez-moi, je ne comprends les choses que si je les vois, et je
86 ais il faudrait expliquer beaucoup de choses… Le peintre . Attendez, attendez ! Revenons à notre Léda. J’essaie de voir. Quelle
87 ans son risque propre, et peut donc la juger. Le peintre . Juger ! Tout cela est bel et bon, mais si l’esthétique et la morale
88 is bien ce que ça signifie ! Le mari. Dites. Le peintre . Vous allez régenter la peinture au nom de vos dogmes, nous fabriquer
89 tableau que vous faites. C’est là votre morale de peintre , et c’est aussi le lieu de votre risque, j’entends le lieu où vous cr
90 lque modèle académique ni un canon universel… Le peintre . Je vois : ce n’est pas une carte postale. Pour moi, je vous l’ai dit
91 e son esprit. Le mari. Je vais vous étonner. Le peintre . Essayez. Le mari. Tel le prestidigitateur, je vais extraire de votr
92 re tête à vous une magnifique carte postale ! Le peintre . Je compte : une ! deux !… Le mari. Trois ! Pourquoi dites-vous d’un
93 me qui n’est pas la vôtre, en aucune manière… Le peintre , après un moment de réflexion. Difficile, à vrai dire. Ne pensez-vous
94  ? Son « type de femme » ? D’ailleurs ce sont les peintres qui créent ces types. Rubens ou Renoir, Ingres, que sais-je ? mes Léd
95 sans doute ne pourriez-vous pas la formuler. Le peintre . Peut-être aussi n’ai-je pas du tout de « mesure réelle » ? Le mari.
96 comblé. C’est qu’il n’a plus aucune exigence. Le peintre . Qui n’a pas de carte postale dans l’esprit ? ou mieux encore, quelle
97 omprenne et juge le vrai sens de son trouble. Le peintre . Et alors ? Le mari. Et alors il se tait peut-être définitivement, o
98 uelque horrible projet de subversion sociale… Le peintre . Et l’on n’aurait pas tort. Voyez-vous, ces gens-là ne se fâcheraient
99 sont faites pour que vous sautiez par-dessus. Le peintre . Et vos théories sont faites pour vous rendre la vie impossible ! Le
100 insi, serions-nous véritablement mariés ? 1. Le peintre fait ici allusion à une conversation au cours de laquelle le mari et
50 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
101 e reste de la nuit dans un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria. Je l’avais connu quelques années auparavant dan
51 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
102 ; d’Einstein et des savants ; de Rembrandt et des peintres  ; les députés aussi des auteurs anonymes de la Magna Charta et du Pac
52 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
103 eur telle que le style même d’un écrivain ou d’un peintre peut être attaqué par les fonctionnaires de l’État et qualifié de sab
53 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
104 ; d’Einstein et des savants ; de Rembrandt et des peintres  ; les députés aussi des auteurs anonymes de la Magna Charta et du Pac
54 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
105 trant les structures de l’Inconscient. Qu’il soit peintre , poète ou conteur, plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole
55 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
106 plus loin. Il est clair qu’entre l’activité d’un peintre , d’un savant, d’un écrivain, et les intérêts d’un ministre, les rappo
56 1953, Articles divers (1951-1956). Des conciles à la bombe atomique ou la fin dans le commencement (janvier 1953)
107 ’est celui de leur haine chez beaucoup de mauvais peintres  : on parle alors de désintégration — mais tout ce vocabulaire est à r
57 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
108 plus loin. Il est clair qu’entre l’activité d’un peintre , d’un savant, d’un écrivain, et les intérêts d’un ministre, les rappo
58 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
109 vé. Le peuple suisse n’a pas donné de très grands peintres et n’a pas créé de grands styles — comme tant d’autres petits États d
59 1953, Articles divers (1951-1956). Préface à Photo + scène (1953)
110 s, les metteurs en scène, les photographes et les peintres de méditer non seulement sur leur métier propre, mais sur les surpris
60 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
111 art. Combien de fois n’ai-je pas entendu un jeune peintre ou un jeune compositeur soupirer : « Après X ou Y on ne sait plus que
61 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
112 ésident de l’Académie des beaux-arts de l’URSS et peintre célèbre, répondit : « Ce serait nuisible pour nos peintres… Le chemin
113 célèbre, répondit : « Ce serait nuisible pour nos peintres … Le chemin de l’art décadent est trop facile. Ce qui est facile se ré
62 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
114 re le Grand. Des architectes, des sculpteurs, des peintres russes commencent à collaborer et bientôt à rivaliser avec les innomb
115 s, de techniciens de tout poil, d’architectes, de peintres , de musiciens, de chanteurs et de danseurs, de spécialistes d’art mil
116 es exemples bien connus. En 1897, Diaghilev et le peintre Alexandre Benois fondent à Pétersbourg la revue Le Monde de l’art. Un
63 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
117 ns sur les relations culturelles existantes. ⁂ Le peintre français Chapelain-Midy a été l’hôte des peintres russes, à l’occasio
118 peintre français Chapelain-Midy a été l’hôte des peintres russes, à l’occasion d’une exposition d’art français organisée à Mosc
119  » (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres russes ne s’intéressent qu’aux scènes historiques et aux scènes de ge
120 et aux scènes de genre. « Le client essentiel du peintre est l’État », qui lui commande des sujets déterminés, lui achète des
121 les gares, les bureaux et les grands hôtels. Les peintres russes admirent « Poussin, David. Delacroix, Courbet et Daumier… (à c
64 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
122 ’appauvrir ou de paralyser des milliers de jeunes peintres , poètes et musiciens. « Que peut-on faire après Schönberg et Picasso 
65 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
123 ui occupent tant notre presse. Les auteurs et les peintres que l’on cite à l’appui de la « désintégration de nos valeurs » n’exe
66 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
124 des rêveurs, quelquefois des théologiens, ou des peintres , ou des touche-à-tout. La brouette, la roulette et les lois du hasard
67 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
125 quelles fins utiles. Pour se faire le mécène d’un peintre ou d’un auteur, il suffisait d’avoir de l’argent et du goût, une cert
68 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
126 elui qui exerce un art est un artisan, qu’il soit peintre ou ingénieur. Mais à partir du romantisme, celui qui exerce un art es
69 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
127 lui rappeler ce précepte donné par un maître à un peintre  : « Observe le bambou pendant dix ans, deviens bambou toi-même, puis,
70 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
128 le décor printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occidentaux feront jouer leur imagination sensuelle
129 ne sera plus qu’un « beau sujet », soit pour les peintres , soit pour les poètes. Rémy Belleau, Ronsard, André Chénier, Victor H
71 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
130 capitale. Vuillard, Bonnard et Laprade, parmi les peintres , André Gide, Arnold Bennett, Larbaud, Paul Valéry et Léon-Paul Fargue
131 e capitaine du « Roger de Lluria » était un jeune peintre , le premier-maître un mathématicien, et le second-maître s’essayait à
72 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
132 des rêveurs, quelquefois des théologiens, ou des peintres , ou des touche-à-tout. La brouette, la roulette et les lois du hasard
73 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
133 lui rappeler ce précepte donné par un maître à un peintre  : Observe le bambou pendant dix ans, deviens bambou toi-même, puis,
74 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
134 ire un grand musicien, un grand poète ou un grand peintre , il faut un milieu, une école, un public excité, un snobisme ou une c
135 Nous n’avons pas en Suisse de purs poètes, ni de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus haut rang. Hölderli
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
136 le décor printanier où les poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occidentaux feront jouer leur imagination sensuelle
137 ne sera plus qu’un « beau sujet », soit pour les peintres , soit pour les poètes. Rémy Belleau, Ronsard, André Chénier, Victor H
76 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
138 téral du mot par Claude Lorrain ou par les grands peintres du xixe siècle, voire par nos peintres contemporains, qui nous sembl
139 es grands peintres du xixe siècle, voire par nos peintres contemporains, qui nous semblent souvent si exotiques et qui pourtant
77 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
140 s pour que s’y développent à foison des écoles de peintres , des galeries d’exposition, des troupes d’acteurs, des groupes d’écri
78 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
141 les Flandres, redescendent par la Bourgogne. Les peintres flamands vont faire des portraits à Gênes. Plus tard, les Allemands p
79 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
142 ises en verre et en ciment armé, décorées par des peintres d’avant-garde : elles intègrent toutes les conquêtes de l’ère techniq
80 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
143 rnhard des Pays-Bas, l’ambassadeur P. Quaroni, le peintre F. Topolski, K. Jelenski, D. de Rougemont, etc., Bulletin du CEC, n° 
81 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
144 rain d’écrire. Combien d’écrivains véritables, de peintres et de musiciens, se voient offrir chez nous ces possibilités — à tous
82 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
145 même existentialiste. Il s’est fait un langage de peintre , en prose. Plutôt que d’une « rationalité adéquate », le jeune Suisse
83 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
146 misme. Les musiciens (comme le dit Ansermet), les peintres , les écrivains refusent de donner forme à l’irrationnel, ils ne veule
84 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
147 alement la connaissance de Saint-John Perse et du peintre Marcel Duchamp, qui réalisa une extraordinaire vitrine surréaliste da
85 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
148 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale dans laquelle il s’est formé. D’où v
149 s pour que s’y développent à foison des écoles de peintres , des galeries d’exposition, des troupes d’acteurs, des groupes d’écri
86 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
150 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale dans laquelle il s’est formé. D’où v
87 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
151 t à dire qu’un musicien composait un opéra, qu’un peintre composait un tableau. Aujourd’hui, on dit qu’il « crée » une symphoni
88 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
152 s n’avons pas en Suisse de poètes de génie, ni de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus haut rang. Hölderli
89 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
153 Aix-en-Provence, qui a la réputation d’offrir aux peintres un « génie du lieu » favorable, j’observerai qu’Aix n’a produit aucun
154 qu’Aix n’a produit aucune école, et un seul grand peintre , Cézanne, tandis que les van Loo, avant lui, étaient venus de la Holl
155 rouvaient des clients, cependant que les nombreux peintres qui vivent près d’Aix de nos jours y sont attirés par le souvenir de
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
156 , comme le rappelait la devise de Nicolas Manuel, peintre , poète, soldat, réformateur, banneret de Berne, et Suisse selon mon c
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
157 se, de tous ces hallebardiers empanachés dont les peintres du temps, Urs Graf, Manuel, Holbein, nous ont laissé l’image truculen
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
158 s n’avons pas en Suisse de poètes de génie, ni de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus haut rang. Hölderli
159 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
160 asme, Thomas Platter et Paracelse, Holbein et les peintres de l’école rhénane, et les grands éditeurs humanistes, dont le premie
161 e un mot plus haut que l’autre. Une exposition de peintres suisses au xvie siècle me fit écrire sur le plus grand d’entre eux —
162 es planches de minéralogie que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les y
163 ble, comme Blake, Shelley et Bakounine), c’est un peintre de genre fantastique, dont les « sujets » sont pris au rêve. Une sort
164 o, hélas ! », répondait André Gide. Le plus grand peintre suisse, c’est Ferdinand Hodler 90. Les critiques d’art alémaniques et
165 este qu’il touche les Suisses plus qu’aucun autre peintre , et qu’on le trouve partout dans ce pays, dans les trains et dans les
166 berto Giacometti Les Grisons ont eu trois bons peintres  : Segantini, berger dans sa jeunesse et paysagiste de l’Engadine, Gio
167 ague de maîtres bavarois, et l’école d’Avignon de peintres italiens, l’opéra français de Lully, et ainsi de suite à l’infini. À
93 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
168 lternant les voix devant le micro : parmi eux, le peintre Ozenfant (qui vient de mourir), Lévi-Strauss, un des fils Pitoëff, et
169 t dégonflé. (Combien de poètes, et plus encore de peintres , n’ont jamais pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breto
170 arrivée à New York. Il avait pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts, Max Ernst, Matta, Tang
94 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
171 lternant les voix devant le micro : parmi eux, le peintre Ozenfant (qui vient de mourir), Lévi-Strauss, un des fils Pitoëff, et
172 t dégonflé. (Combien de poètes, et plus encore de peintres , n’ont jamais pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breto
173 arrivée à New York. Il avait pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts : Max Ernst, Matta, Tan
95 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
174 ui doit exécuter exactement les rites, ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’est qu’un moyen de m
175 on de soi et de la communication ou communion. Un peintre , un poète, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir
176 ands » parmi les maîtres de leur jeunesse que les peintres fondent une nouvelle école, et découvrent leur style. Or, presque tou
177 rites, curieusement « modernes » à leurs yeux, de peintres beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiats avaient fai
178 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
179 uelles, de même que Grünewald n’est pas devenu un peintre français du fait de l’annexion de Colmar à la France des siècles aprè
96 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
180 pier, comme tous les autres. Vous comprenez, être peintre , c’est copier et multiplier les quelques idées qu’on a eues ici ou là
181 anifester la vie de sa main. Voilà ce qui fait un peintre . Depuis la création d’un marché de la peinture, tout a été radicaleme
182 marqua le docteur. — La belle preuve, répliqua le peintre . On avait tout arrangé pour cela ! Quant au jeune poète dont vous ave
97 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
183 st la base indispensable d’une création. Quand un peintre commence une toile il doit sans cesse lutter contre le doute (est-ce
98 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
184 eur telle que le style même d’un écrivain ou d’un peintre peut être attaqué par les fonctionnaires de l’État, qualifié de sabot
99 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
185 trant les structures de l’Inconscient. Qu’il soit peintre , poète ou conteur, plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole
100 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
186 ui doit exécuter exactement les rites, ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’est qu’un moyen de m
187 on de soi et de la communication ou communion. Un peintre , un poète, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir
188 ands » parmi les maîtres de leur jeunesse que les peintres fondent une nouvelle école, et découvrent leur style. Or, presque tou
189 rites, curieusement « modernes » à leurs yeux, de peintres beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiats avaient fai
190 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est