1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
1 re plus que par des qualités de composition ou de perfection formelle. Pour quelques-uns de ces traits d’énergie ou de savante sen
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 à trois dimensions mêlées avec une lenteur et une perfection dont une brève vue verticale donne la clé… Un enterrement bourgeois,
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 ns ces motifs géométriques, pour le plaisir de la perfection exercée par jeu. Mais quel support à de nouvelles songeries ! Ces hor
4 s une recherche de la simplicité savante et de la perfection du métier, un goût pour la construction rigoureuse qui sont des éléme
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
5 mourir », écrivait récemment un économiste. Ford, perfection de l’industriel, offre au monde moderne le premier exemple de son ach
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection n’a pas de plainte »… Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse.
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection , gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jam
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 utres, aimer pour connaître, alors qu’au point de perfection , aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimé
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
9 n continue, mais une fois atteint le moment de sa perfection , ne peut plus que se souvenir, c’est-à-dire souffrir, vieillir. L’amo
9 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
10 s récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante perfection . L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et ho
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection , gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jam
12 t dans une synthèse, comme toujours : au point de perfection , aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimé
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
13 nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection n’a pas de plainte… » Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse.
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
14 s récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante perfection . L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et ho
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection , gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir vu,
16 t dans une synthèse, comme toujours : au point de perfection , aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimé
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
17 nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « …la perfection n’a pas de plainte… » Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse.
15 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
18 tiques, trahissent par leur raffinement, par leur perfection même, une anarchie spirituelle dont elles constituent probablement l’
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
19 , je peux rêver dans le sommeil du désespoir à ma perfection idéale, je peux rêver ma vocation et ses périls… Kierkegaard nous att
17 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
20 mante. M. Meunier atteint sans effort apparent la perfection dans la banalité aimable. Son livre pose une seule question : quel de
18 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
21 parfait de son espèce, dont le sépare enfin cette perfection … Telle est la formule à la fois de la mission et des limites de Goeth
19 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
22 enant sans cesse présente l’exigence inhumaine de perfection , comme une question perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber
23 femmes »), je borne ma vision et mon espoir à une perfection relative, à l’équilibre dans l’imperfection que représente le mariage
20 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
24 us faisons. Les magasins sont magnifiques à voir. Perfection des vitrines, des installations matérielles. Tout cela doit entraîner
21 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
25  — doit s’élever jusqu’à se perdre dans la divine perfection . Que l’homme se n’attache pas aux créatures, puisqu’elles n’ont aucun
26 t, c’était d’abord l’essence intellectuelle de la perfection incréée : l’idée même de toute excellence. Qu’est devenue cette doctr
27 s qu’a traduites C.-A. Cingria (en vers), pour la perfection de leur forme et de leur matière verbale. 48. D. Roché, op. cit., i
22 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
28 faite, croirait-on ; en vérité, c’est le point de perfection d’un équilibre durement conquis, d’une connaissance immédiatement act
23 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
29 ittérature la plus parfaite, en raison même de sa perfection , n’est qu’un sous-produit des mystiques créatrices de formes et de my
30 a fantaisie : Mais las ! elle est parfaite, et sa perfection N’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, po
31 supposée n’y ajoute guère qu’un élément d’exquise perfection , de luxe heureux, dernière touche d’une fantaisie qui sent presque l’
32 nte la découverte que l’objet aimé a de nouvelles perfections . » Ainsi aux mines de sel de Salzburg, lorsqu’on jette un rameau dans
33 ns cette théorie, c’est attribuer à une femme des perfections qu’elle ne possède nullement. Et pourquoi cela ? Parce que l’on a bes
34 dernier stade de sa déchéance. Elle exprime à la perfection la synthèse idéale de deux désirs contradictoires : désir que rien ne
24 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
35 enant sans cesse présente l’exigence inhumaine de perfection , comme une question perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber
36 femmes »), je borne ma vision et mon espoir à une perfection relative, à l’équilibre dans l’imperfection que représente le mariage
25 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
37  — doit s’élever jusqu’à se perdre dans la divine perfection . Que l’homme ne s’attache pas aux créatures, puisqu’elles n’ont aucun
38 t, c’était d’abord l’essence intellectuelle de la perfection incréée : l’idée même de toute excellence. Qu’est devenue cette doctr
39 x » (et formaliste) rendu par l’imperfection à la perfection  », c’est-à-dire par les troubadours et par les croyants inquiets à la
26 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
40 faite, croirait-on ; en vérité, c’est le point de perfection d’un équilibre durement conquis, d’une connaissance immédiatement act
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
41 ittérature la plus parfaite, en raison même de sa perfection , n’est qu’un sous-produit des mystiques créatrices de formes et de my
42 a fantaisie : Mais las ! elle est parfaite, et sa perfection N’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, po
43 supposée n’y ajoute guère qu’un élément d’exquise perfection , de luxe heureux, dernière touche d’une fantaisie qui sent presque l’
44 nte la découverte que l’objet aimé a de nouvelles perfections . » Ainsi aux mines de sel de Salzburg, lorsqu’on jette un rameau dans
45 ns cette théorie, c’est attribuer à une femme des perfections qu’elle ne possède nullement. Et pourquoi cela ? Parce que l’on a bes
46 dernier stade de sa déchéance. Elle exprime à la perfection la synthèse idéale de deux désirs contradictoires : désir que rien ne
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
47 enant sans cesse présente l’exigence inhumaine de perfection , comme une question perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber
48 femmes »), je borne ma vision et mon espoir à une perfection relative, à l’équilibre dans l’imperfection que représente le mariage
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
49 — doit s’élever jusqu’à se perdre dans la divine perfection . Que l’homme ne s’attache pas aux créatures, puisqu’elles n’ont aucun
50 t, c’était d’abord l’essence intellectuelle de la perfection incréée : l’idée même de toute excellence. Qu’est devenue cette doctr
51 x » (et formaliste) rendu par l’imperfection à la perfection  », c’est-à-dire par les troubadours et par les croyants inquiets à la
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
52 faite, croirait-on ; en vérité, c’est le point de perfection d’un équilibre durement conquis, d’une connaissance immédiatement act
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
53 ittérature la plus parfaite, en raison même de sa perfection , n’est qu’un sous-produit des mystiques créatrices de formes et de my
54 a fantaisie : Mais las ! elle est parfaite, et sa perfection N’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, po
55 supposée n’y ajoute guère qu’un élément d’exquise perfection , de luxe heureux, dernière touche d’une fantaisie qui sent presque l’
56 nte la découverte que l’objet aimé a de nouvelles perfections . » Ainsi aux mines de sel de Salzbourg, lorsqu’on jette un rameau dan
57 ns cette théorie, c’est attribuer à une femme des perfections qu’elle ne possède nullement. Et pourquoi cela ? Parce que l’on a bes
58 dernier stade de sa déchéance. Elle exprime à la perfection la synthèse idéale de deux désirs contradictoires : désir que rien ne
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
59 enant sans cesse présente l’exigence inhumaine de perfection , comme une question perpétuelle, un aiguillon qui empêche de retomber
60 femmes »), je borne ma vision et mon espoir à une perfection relative, à l’équilibre dans l’imperfection que représente le mariage
33 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
61 Numquid et tu, La Marche turque, etc.), malgré la perfection constante de l’écriture, et toutes ces aquarelles et ces tableaux de
34 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
62 ndu, je ne puis avancer aucun exemple d’une telle perfection . Mais il fallait indiquer cette limite pour éclairer — précisément —
35 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
63 ousser à bout, j’entends de l’incarner jusqu’à la perfection , l’issue ne peut faire aucun doute. Cette pensée le conduit tout droi
64 e mon désespoir. Certes, je puis rêver mon idéale perfection , je puis rêver ma vocation et ses périls… Kierkegaard nous attend au
36 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
65 Numquid et tu, la Marche turque, etc.), malgré la perfection presque constante de l’écriture, et toutes ces aquarelles et ces tabl
37 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
66 mpte des règles, soit pour les appliquer avec une perfection classique, soit pour y introduire quelque ingénieuse variation. La fi
38 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
67 es lèvres et à révéler le scandaleux secret de sa perfection . Dans la sagesse du Saint-Esprit incarné, il passe, étranger, silenci
39 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
68 ir. Peut-être avons-nous là le seul critère d’une perfection intellectuelle, et l’on conçoit que son application ne puisse être ni
69 plication ne puisse être ni rapportée ni répétée. Perfection et Mort en ceci se confondent, qu’elles sont absolument tragiques, c’
70 andissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection , où tout ce qui voit éclaire aussi, où tout œil rend ce qu’il reçoit,
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
71 s récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante perfection . L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et ho
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
72 objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection , gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jam
73 utres, aimer pour connaître, alors qu’au point de perfection , aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimé
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
74 uit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « … la perfection n’a pas de plainte »… Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse.
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
75 parfait de son espèce, dont le sépare enfin cette perfection … Telle est la formule à la fois de la mission et des limites de Goeth
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
76 us faisons. Les magasins sont magnifiques à voir. Perfection des vitrines, des installations matérielles. Tout cela doit entraîner
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
77 claire ni moins simple. L’Allemagne a poussé à la perfection le système de l’autarcie. À tel point que ce terme résume la politiqu
46 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
78 ndu, je ne puis avancer aucun exemple d’une telle perfection . Mais il fallait indiquer cette limite pour éclairer — précisément —
47 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
79 ir. Peut-être avons-nous là le seul critère d’une perfection intellectuelle, et l’on conçoit que son application ne puisse être ni
80 plication ne puisse être ni rapportée ni répétée. Perfection et Mort en ceci se confondent, qu’elles sont absolument tragiques, c’
81 andissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection , où tout ce qui voit éclaire aussi, où tout œil rend ce qu’il reçoit,
48 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
82 ux” (et formaliste) rendu par l’imperfection à la perfection  », c’est-à-dire par les troubadours et par les croyants inquiets à la
49 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
83 ffonnerie, probablement insurpassable, porte à sa perfection le style d’un Vychinski, stalinien s’il en fût jamais. Elle n’en marq
50 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
84 ue, portant ainsi du premier coup la musique à sa perfection , chez les Grecs comme parmi nous, mais elle y ajoute aussitôt le myth
51 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
85 fleuve d’un seul tenant reliant « l’origine et la perfection des temps ». Sa faculté de travail n’était guère égalée que par sa fa
52 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
86 ue, portant ainsi du premier coup la musique à sa perfection , chez les Grecs comme parmi nous, mais elle y ajoute aussitôt le myth
53 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
87 ension profonde qui a sans nul doute favorisé les perfections formelles et l’harmonie que l’on sait, aux dépens du pouvoir tragique
54 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
88 nt peuplé ou se sont alliées en Europe, a fait la perfection de notre race. Les Chinois ne se sont abrutis que par la non-mixtion 
55 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
89 atteint à peu près au même degré de culture et de perfection . La prépondérance continuera de passer successivement d’une puissance
90 çais qu’il nomme « Frankgall » : À quel degré de perfection et de bien-être les peuples d’Europe ne parviendraient-ils, avec nous
56 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
91 t presque hostiles, c’est précisément le point de perfection , de maturité dernière dans toute culture et tout art, la marque propr
57 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
92 pline de l’Esprit, l’exemple extraordinaire de la perfection dans tous les ordres. Nous lui devons une méthode de penser qui tend
93 ne conception du monde. Mais, même à son point de perfection , cette façon d’écrire l’histoire est fondamentalement contraire à l’e
94 un principe général : l’existence d’un critère de perfection acceptable pour tous. D’où provient cette présupposition ? De l’intui
58 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
95 ur et portée dans la réalité à son comble ou à sa perfection (nulle société ne saurait y survivre) et elles coexistent en nous. L’
59 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
96 de caractère expérimental) et la recherche de la perfection dans leur réalisation : mais aussi par l’accord de ces œuvres avec l’
60 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
97 imparfaites soient-elles, révèle l’attrait de la perfection . » Aux belles analyses de Spoerri, je voudrais ajouter ceci : s’il es
61 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
98 contrainte et son dynamisme « libérateur ». La «  perfection  » du « plan » réside — réserve faite de toutes les autres conditions
62 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
99 de caractère expérimental) et la recherche de la perfection dans leur réalisation ; mais aussi par l’accord de ces œuvres avec l’
63 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
100 ement, la même langue, voilà ce qu’on proclame la perfection de toute organisation sociale. […] Sur tout le reste, le grand mot au
64 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
101 der à Karol Wojtyla, c’est que plus grande est la perfection ontique d’une espèce, plus grandes sont aussi les différences disting