1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 à travers, opposent à toute critique un peu trop perspicace . Ils ont au fond raison, leur instinct a raison, qui veut qu’on n’aba
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
2 avoir pas été soumises dès le début à une volonté perspicace et fanatique de libération, ne tardent pas à se retourner contre les
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
3 force, et la joie de les accomplir. Les critiques perspicaces et pessimistes de notre état social et culturel en plein déclin n’abo
4 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
4 force, et la joie de les accomplir. Les critiques perspicaces et pessimistes de notre état social et culturel en plein déclin n’abo
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
5 ur la satisfaction de se paraître à soi-même plus perspicace , et l’on a grande tendance, par contre, à négliger, de peur de se sur
6 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
6 ous montre, à la fin de sa vie, un regard doux et perspicace , un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait
7 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
7 t plus de pouvoir, si les critiques même les plus perspicaces de notre temps sont autant de cris dans le désert, alors ? Laissons l
8 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
8 ur la satisfaction de se paraître à soi-même plus perspicace , et l’on a grande tendance, par contre, à négliger, de peur de se sur
9 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
9 ous montre, à la fin de sa vie, un regard doux et perspicace , un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
10 ous montre, à la fin de sa vie, un regard doux et perspicace , un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
11 t parcourue en tous sens. L’artifice du « barbare perspicace  » n’est pour lui qu’une manière d’exposer sa méthode d’observation so
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
12 crivains, adoptées par les hommes d’État les plus perspicaces , elles semblaient bien avoir trouvé le chemin de plus d’un trône. Ain
13 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
13 le montre à la fin de sa vie : un regard doux et perspicace , un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait