1 ables ? Le père Reinecke, un barberousse aux yeux perçants , ex-nouveau riche ruiné par l’inflation, partage sa vie entre la vent

2 ables ? Le père Reinecke, un barberousse aux yeux perçants , ex-nouveau riche ruiné par l’inflation, partage sa vie entre la vent

3 arrive aussi que cet homme se sente trop lucide, perçant toutes choses à jour, et lui-même, d’où l’impression qu’il a d’être m

4 ui est beau et noble. Le génie seul a les yeux si perçants , le génie seul pouvait déjouer la ruse infâme de mon auteur. Car, sou

5  ! (Brusque fanfare, finissant sur quelques notes perçantes et hautes.) Interlude. (Comme entre les Actes I et II. Reprise du Ch

6 ables ? Le père Reinecke, un barberousse aux yeux perçants , ex-nouveau riche ruiné par l’inflation, partage sa vie entre la vent

7 arrive aussi que cet homme se sente trop lucide, perçant toutes choses à jour, et lui-même, d’où l’impression d’être mal défen

8 -vêtement ou d’une chaussette, un clou de soulier perçant un peu la semelle — détails infimes et insensibles au départ, qui se

9 , chacun à sa manière, par des cris d’autant plus perçants qu’ils ont l’impression de n’être pas entendus. 15 mai 1970 L’homme d