1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 derrière sa vitre, tremblait si fort qu’il avait peur de trébucher et de faire du bruit. Il songea : — C’est la fin pour mo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 ts d’une éthique. Presque tous sont hantés par la peur d’une morale qui « déforme », qui mutile une tendance naturelle, qui
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 ces dont nous ne comprenons pas toujours l’objet. Peur de perdre le fil de la conscience de soi, peur de subir l’empreinte i
4 t. Peur de perdre le fil de la conscience de soi, peur de subir l’empreinte imprévisible des choses. Amour de soi… Mais moi,
5 ai un trouble que je me refusai pourtant à nommer peur de rire. Cette amertume au fond de tous les plaisirs, cette envie de
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
6 étournai pas mes yeux des yeux de cette femme, de peur qu’elle ne souffrît à cause de moi. Un soir qu’elle pleurait, je l’em
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
7 tastrophiquement dans l’infini de la seconde. Des peurs sans cause, plus vides que la mort. Toutes ces choses mystiques, c’es
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
8 ont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la peur . ao. « Edmond Jaloux : Rainer Maria Rilke (Émile-Paul, Paris) », Bi
7 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
9 der bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs . Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et la rumeur d
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
10 e générale à proclamer le désordre du temps. On a peur de certaines évidences, on préfère affirmer que tout est incompréhens
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
11 e ce soit. Cette ville, qui est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
12 n puissants : s’il les a gâchés, c’est qu’il a eu peur , et s’il a eu peur c’est qu’il n’a pas su aimer. Le sujet de Liszt et
13 les a gâchés, c’est qu’il a eu peur, et s’il a eu peur c’est qu’il n’a pas su aimer. Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était
14 refus de souffrir. Mais chez un être raffiné, la peur d’étreindre aboutit à l’amour de soi dans « l’illusion ». Sachons gré
11 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
15 herche dans d’autres yeux, c’est pourquoi il fait peur à certaines femmes. Un soir, après quelques alcools et un échange de
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
16 , qui embrouille les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrai
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
17 es, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai peur que mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entr
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
18 qui l’empêche de comprendre, ici encore, c’est la peur scolaire des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
19 , qui embrouille les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrai
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
20 es, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai peur que mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entr
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
21 qui l’empêche de comprendre, ici encore, c’est la peur scolaire des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les
18 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
22 . La critique est aisée, répètent ceux qui en ont peur , ceux-là mêmes, bien sûr, qui, sous prétexte de sa difficulté, récuse
19 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
23 adresse d’un ogre. C’est tout près parce que j’ai peur . En même temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des
24 e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas peur … ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne.
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
25 12. Rappelons que notre société est fondée sur la peur du risque. 13. Il faut ajouter aux autres causes de l’incompréhensio
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
26 nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la peur et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
27 des chiffons bariolés et des secrets qui feraient peur aux femmes, cet objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
28 e des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
29 , nous voulons aller de l’avant, nous n’avons pas peur d’essayer vers la beauté de nouvelles routes. On nous connaît mal. De
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
30 ssaire mais nullement suffisante. Ce n’est pas la peur du monde-termitière qui sauvera la condition humaine menacée par le m
24 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
31 ramuzien, c’est celui qu’établissent la mort, la peur , la maladie. Et la joie, ce point commun, « ce point qui est au-delà
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
32 ude, pour un esprit comme celui de Goethe. « On a peur que son feu ne le consume », écrit un de ses amis, vers ce temps. « G
26 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
33 er (ni eux) si c’est de volupté ou de terreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une mêm
27 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
34 le tonnerre roulait au loin mais je n’avais plus peur . Pourtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre. Brève
28 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
35 e ce soit. Cette ville, qui est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
36 nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la peur et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
37 des chiffons bariolés et des secrets qui feraient peur aux femmes, cet Objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
38 e des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
39 7. Rappelons que notre société est fondée sur la peur du risque. Je vis plutôt mal. 8. Il faut ajouter aux autres causes d
30 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
40 e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas peur … Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’attend peut-être, derriè
41 ’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
42 adresse d’un ogre. C’est tout près parce que j’ai peur . En même temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
43 le tonnerre roulait au loin mais je n’avais plus peur . Pourtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre. Brève n
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
44 nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la peur et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
45 des chiffons bariolés et des secrets qui feraient peur aux femmes, cet objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
46 e des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
47 e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas peur … Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’attend peut-être, derriè
48 ’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
49 ances multipliées par une époque qui semble avoir peur qu’on la voie. Il est un grand espoir, très vague encore, qui m’a par
36 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
50 voir réel de « libération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
51 cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend peur et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
37 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
52 qu’il n’a plus d’application, l’esprit qui prend peur . La guérison naîtra d’une résistance retrouvée26. Et Ramuz, apaisé, r
53 nce à saisir les choses. Là réside la cause de la peur , qu’il avoue, et qui n’est sans doute que la méditation d’un esprit d
38 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
54 as rien fini, Car il y a plus. J’ai un péché de peur  : mourrai-je sur la rive Lorsque mon dernier fil aura été filé ? Oh !
55 à jamais ! Et cela fait, tu as fini, Je n’ai plus peur . John Donne e. « Poésie dialectique », Hic et Nunc, Paris, n° 3-
39 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
56 e, la police, c’est-à-dire, psychologiquement, la peur . C’est un état de décadence caractérisée, l’état de démission de la p
40 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
57 ritable hantise, comme le grand lieu commun de la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
58 rueuse agglomération d’individus assemblés par la peur et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
41 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
59 e que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
42 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
60 ès qu’il dit je, n’a pas d’autre mouvement que la peur ou l’amour. Non qu’il ait à choisir : déjà il fuit, déjà il s’offre.
61 raison seule qu’il se révèle, et ce n’est plus la peur du sang qui lui répond, mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil,
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
62 ule, de son sérieux théâtral et fervent, et de sa peur de toute extravagance. « On peut leur faire faire ce qu’on veut, que
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
63 tes leurs espérances. Ce n’est point qu’ils aient peur , mais tout leur apparaît absurde. Et rien n’est plus atroce à support
45 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
64 ritable hantise, comme le grand lieu commun de la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
65 rueuse agglomération d’individus assemblés par la peur et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
46 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
66 e que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
47 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
67 Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ? C’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir
48 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
68 voir réel de « libération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
69 cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend peur et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
49 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
70 ritable hantise, comme le grand lieu commun de la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
71 rueuse agglomération d’individus assemblés par la peur et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
50 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
72 e que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
73 . Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ? C’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir
52 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
74 voir réel de « libération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
75 cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend peur et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
53 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
76 idoles édifiées par ses bons sentiments ou par sa peur de la réalité, celui-là n’est pas né à la foi. Il n’a pas la mâchoire
54 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
77 bles du prochain ni son amour, ni sa haine, ni sa peur , ni sa joie, ni ses derniers défis. C’est ainsi qu’il exprime dans un
55 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
78 a patrie, quand les gauches auront compris que la peur de Chiappe n’est pas un programme, sonnera l’heure de l’Ordre nouveau
56 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
79 mystiques détachées du réel ? Je vois à gauche la peur de Chiappe, et à droite, la peur de la gauche. Je vois à droite une t
80 vois à gauche la peur de Chiappe, et à droite, la peur de la gauche. Je vois à droite une tentation fasciste, trop faible en
81 p faible encore pour oser s’avouer ; à gauche une peur du fascisme assez forte déjà pour que la masse accepte l’idée d’une d
82 e traduisent que des religions vagues, nées de la peur , et comme telles meurtrières. Les faits, ce sont M. de Wendel derrièr
57 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
83 a patrie, quand les gauches auront compris que la peur de Chiappe n’est pas un programme, sonnera l’heure de L’Ordre nouveau
58 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
84 ut cela se fera au hasard, sous la pression de la peur d’un adversaire dont on surestime de part et d’autre les forces. Mais
59 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
85 devient effrayante. (On a toujours beaucoup plus peur loin du combat qu’en pleine lutte.) Il n’ose plus intervenir en force
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
86 ui se fondaient d’une façon ou d’une autre sur la peur et l’angoisse de l’imagination. Au lieu de la résignation, nous avons
61 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
87 e le règne inexorable de la masse — cette immense peur de la mort —, le régime que dès maintenant la volonté blessée des hom
62 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
88 roire qu’ils veuillent guérir, simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolutionnaire, qui songerait à de
63 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
89 ui se fondaient d’une façon ou d’une autre sur la peur et l’angoisse de l’imagination. Au lieu de la résignation, nous avons
64 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
90 e le règne inexorable de la masse — cette immense peur de la mort —, le régime que dès maintenant la volonté blessée des hom
65 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
91 roire qu’ils veuillent guérir, simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolutionnaire, qui songerait à de
66 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
92 te. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais ils ont peur . C’est toujours la question de la place à traverser. — ??? — Oui, vou
93 yance de leurs contemporains. Au fond, ils en ont peur . Or ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations boulever
94 u fond, ils en ont peur. Or ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations bouleversantes qu’il arrive que Dieu no
95 nt irritable de mauvaise conscience, de désir, de peur , de préjugés, de revendications secrètes, de jalousie, de snobisme an
67 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
96 inventées, reprises sans relâche à la base… Ayant peur de la chose, on rabaisse le mot qui la désigne : c’est une espèce de
97 à l’agressivité. Se méfier de la violence, avoir peur des risques féconds qu’elle institue, c’est se priver des meilleures
68 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
98 ns freudien du terme, que les phantasmes de notre peur de vivre. On les ramènerait aisément à ce « complexe de castration »
69 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
99 collectivité : s’ils étaient seuls, ils auraient peur de n’être rien. 23 janvier 1934 (écrit sur la dune) Il ne faut
100 comme une réponse à son ennui — faut-il dire à sa peur  — de vivre. Cette manière romantique, et somme toute vaniteuse, de te
70 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
101 te. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais ils ont peur . C’est toujours la question de la place à traverser. — ? — Oui, vous
102 yance de leurs contemporains. Au fond, ils en ont peur . Or, ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations bouleve
103 fond, ils en ont peur. Or, ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations bouleversantes qu’il arrive que Dieu no
104 ns freudien du terme, que les phantasmes de notre peur de vivre. On les ramènerait aisément à ce « complexe de castration »
105 nt irritable de mauvaise conscience, de désir, de peur , de préjugés, de revendications secrètes, de jalousie, de snobisme an
71 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
106 eux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une partie d’I
107 n’en épousaient point qui aient été captives, de peur qu’elles n’aient eu quelque commerce avec des étrangers. Peut-il y av
72 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
108 la question est là : — la liberté fait-elle plus peur qu’envie ? Ne sait-on plus en voir que les revers ? Ou prendrons-nous
73 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
109 s sur nos épaules, et qu’ils feront mieux d’avoir peur de nous que du communisme. » a. « La vraie défense contre l’esprit t
74 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
110 plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
111 u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a peur , en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
75 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
112 e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
76 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
113 erre. Un éclair, et tout sera terminé. N’ayez pas peur pour la paix, nous savons calculer, et tout est calculé dans cette af
114 à des canons. C’était couru. Pourtant, ils ont eu peur , ici. Une dame me téléphone, encore anxieuse : « Dès que le discours
115 s veulent la guerre. Je réponds : non, ils en ont peur . On me dit qu’ils sont capitalistes et bourgeois. Je réponds : non, i
116 ande, un moyen de séduire les droites et de faire peur à l’étranger ; mais l’arrière-pensée du régime, c’est le socialisme d
117 l’Hitler de M. Bailby. Ils sont fatigués d’avoir peur . Un peu de vérité les tuerait. Avril 1936 (De retour en Allemagne.
118 ie avec une sombre rage honteuse. Pour nous faire peur  ? Non, pour se rassurer par la peur qu’elle se fait à elle-même. Au c
119 ur nous faire peur ? Non, pour se rassurer par la peur qu’elle se fait à elle-même. Au cri d’Allemagne réveille-toi ! Hitler
120 foi seule nous délivrera des religions nées de la peur des hommes. 1. « Propagande de haine » : on désigne ainsi, en Alle
77 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
121 . À celles qui nourrissent l’espérance, et non la peur ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux que l’adversair
78 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
122 connu de « vrai croyant » qui ne vive « selon la peur  ». Serait-ce qu’il n’a jamais rencontré que des hommes « religieux »,
79 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
123 eulent diriger, ce sont nos lourds instincts, nos peurs , nos haines et nos orgueils puérils, nos réflexes d’animaux attroupés
80 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
124 qu’on croyait préparer, et qui nous trouvent sans peur et sans préparation dès l’instant qu’elles deviennent présentes, cess
81 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
125 mît fin à sa vie non par lassitude de vivre, par peur ou par douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matièr
126 qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par peur ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière…48
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
127 plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
128 u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a peur , en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
83 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
129 e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
84 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
130 ça, par ici. Le frère Claus leur fait une de ces peurs  ! Y a pas plus superstitieux que les montagnards. 3e valet. —  Toi
85 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
131 qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par peur ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière…48
132 Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens p
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
133 plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
134 u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a peur , en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
135 e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
88 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
136 qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par peur ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière… »
137 Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens p
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
138 plus intimes et les plus solidement ancrées. On a peur de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
139 u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a peur , en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
90 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
140 e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
91 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
141 te chance. Ils n’ont pas vu le danger, ils ont eu peur de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvrir le grand ennemi
92 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
142 ne sont pas ceux qui la feront qui peuvent avoir peur de la guerre. Car avoir peur d’un accident, c’est entrevoir, imaginer
143 nt qui peuvent avoir peur de la guerre. Car avoir peur d’un accident, c’est entrevoir, imaginer ses conséquences, et la guer
144 qui vient n’augmente en nous ni le courage ni la peur , mais plutôt un certain cynisme. Peut-être aussi une certaine modesti
93 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
145 t du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien si la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépassement de
146 ’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que méritons. Nous sommes payés et nous p
94 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
147 t du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien si la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépassement de
148 ’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que nous méritons. Nous sommes payés et n
95 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
149 . Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a peur du voisin. Les Romands qui se rétractent au seul mot de germanisme ne
150 au, Constant, Madame de Staël, Vinet n’ont pas eu peur du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écri
96 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
151 nvite à la danse avec une fougue adolescente, une peur naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort
97 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
152 — forces négatives de défaitisme intérieur ou de peur . D’ores et déjà, nous pouvons constater trois résultats de notre acti
98 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
153 te chance. Ils n’ont pas vu le danger, ils ont eu peur de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvrir le grand ennemi
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
154 urope ». Oui certes, mais ici encore, n’ayons pas peur d’y regarder de près. Que sont devenues en fait ces libertés antiques
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
155 . Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a peur du voisin. Les Romands qui se rétractent au seul mot de germanisme ne
156 au, Constant, Madame de Staël, Vinet n’ont pas eu peur du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écri