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derrière sa vitre, tremblait si fort qu’il avait
peur
de trébucher et de faire du bruit. Il songea : — C’est la fin pour mo
2
ts d’une éthique. Presque tous sont hantés par la
peur
d’une morale qui « déforme », qui mutile une tendance naturelle, qui
3
ces dont nous ne comprenons pas toujours l’objet.
Peur
de perdre le fil de la conscience de soi, peur de subir l’empreinte i
4
t. Peur de perdre le fil de la conscience de soi,
peur
de subir l’empreinte imprévisible des choses. Amour de soi… Mais moi,
5
ai un trouble que je me refusai pourtant à nommer
peur
de rire. Cette amertume au fond de tous les plaisirs, cette envie de
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étournai pas mes yeux des yeux de cette femme, de
peur
qu’elle ne souffrît à cause de moi. Un soir qu’elle pleurait, je l’em
7
tastrophiquement dans l’infini de la seconde. Des
peurs
sans cause, plus vides que la mort. Toutes ces choses mystiques, c’es
8
ont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la
peur
. ao. « Edmond Jaloux : Rainer Maria Rilke (Émile-Paul, Paris) », Bi
9
der bizarrement et j’étais possédé de joies et de
peurs
. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et la rumeur d
10
e générale à proclamer le désordre du temps. On a
peur
de certaines évidences, on préfère affirmer que tout est incompréhens
11
e ce soit. Cette ville, qui est toute caresses, a
peur
de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien
12
n puissants : s’il les a gâchés, c’est qu’il a eu
peur
, et s’il a eu peur c’est qu’il n’a pas su aimer. Le sujet de Liszt et
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les a gâchés, c’est qu’il a eu peur, et s’il a eu
peur
c’est qu’il n’a pas su aimer. Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était
14
refus de souffrir. Mais chez un être raffiné, la
peur
d’étreindre aboutit à l’amour de soi dans « l’illusion ». Sachons gré
15
herche dans d’autres yeux, c’est pourquoi il fait
peur
à certaines femmes. Un soir, après quelques alcools et un échange de
16
, qui embrouille les règles, qui a sommeil, qui a
peur
de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrai
17
es, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai
peur
que mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entr
18
qui l’empêche de comprendre, ici encore, c’est la
peur
scolaire des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les
19
, qui embrouille les règles, qui a sommeil, qui a
peur
de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrai
20
es, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai
peur
que mon progrès ne soit pas le vôtre, et même que sa nature ne l’entr
21
qui l’empêche de comprendre, ici encore, c’est la
peur
scolaire des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les
22
. La critique est aisée, répètent ceux qui en ont
peur
, ceux-là mêmes, bien sûr, qui, sous prétexte de sa difficulté, récuse
23
adresse d’un ogre. C’est tout près parce que j’ai
peur
. En même temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des
24
e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas
peur
… ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne.
25
12. Rappelons que notre société est fondée sur la
peur
du risque. 13. Il faut ajouter aux autres causes de l’incompréhensio
26
nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la
peur
et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
27
des chiffons bariolés et des secrets qui feraient
peur
aux femmes, cet objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
28
e des villages vides aux portes aveugles (j’avais
peur
du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
29
, nous voulons aller de l’avant, nous n’avons pas
peur
d’essayer vers la beauté de nouvelles routes. On nous connaît mal. De
30
ssaire mais nullement suffisante. Ce n’est pas la
peur
du monde-termitière qui sauvera la condition humaine menacée par le m
31
ramuzien, c’est celui qu’établissent la mort, la
peur
, la maladie. Et la joie, ce point commun, « ce point qui est au-delà
32
ude, pour un esprit comme celui de Goethe. « On a
peur
que son feu ne le consume », écrit un de ses amis, vers ce temps. « G
33
er (ni eux) si c’est de volupté ou de terreur. La
peur
du sang, le goût du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une mêm
34
le tonnerre roulait au loin mais je n’avais plus
peur
. Pourtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre. Brève
35
e ce soit. Cette ville, qui est toute caresses, a
peur
de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien
36
nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la
peur
et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
37
des chiffons bariolés et des secrets qui feraient
peur
aux femmes, cet Objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
38
e des villages vides aux portes aveugles (j’avais
peur
du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
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7. Rappelons que notre société est fondée sur la
peur
du risque. Je vis plutôt mal. 8. Il faut ajouter aux autres causes d
40
e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas
peur
… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’attend peut-être, derriè
41
’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus
peur
d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans
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adresse d’un ogre. C’est tout près parce que j’ai
peur
. En même temps c’est très loin parce que je me réjouis. La Maison des
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le tonnerre roulait au loin mais je n’avais plus
peur
. Pourtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre. Brève n
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nt, toutes choses disparaîtraient… Le vertige (la
peur
et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se
45
des chiffons bariolés et des secrets qui feraient
peur
aux femmes, cet objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes
46
e des villages vides aux portes aveugles (j’avais
peur
du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les cha
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e celle qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas
peur
… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’attend peut-être, derriè
48
’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus
peur
d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-même, sourdement, dans
49
ances multipliées par une époque qui semble avoir
peur
qu’on la voie. Il est un grand espoir, très vague encore, qui m’a par
50
voir réel de « libération ». La liberté fait plus
peur
qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
51
cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend
peur
et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
52
qu’il n’a plus d’application, l’esprit qui prend
peur
. La guérison naîtra d’une résistance retrouvée26. Et Ramuz, apaisé, r
53
nce à saisir les choses. Là réside la cause de la
peur
, qu’il avoue, et qui n’est sans doute que la méditation d’un esprit d
54
as rien fini, Car il y a plus. J’ai un péché de
peur
: mourrai-je sur la rive Lorsque mon dernier fil aura été filé ? Oh !
55
à jamais ! Et cela fait, tu as fini, Je n’ai plus
peur
. John Donne e. « Poésie dialectique », Hic et Nunc, Paris, n° 3-
56
e, la police, c’est-à-dire, psychologiquement, la
peur
. C’est un état de décadence caractérisée, l’état de démission de la p
57
ritable hantise, comme le grand lieu commun de la
peur
qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
58
rueuse agglomération d’individus assemblés par la
peur
et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
59
e que créent la Presse et la Publicité, et par la
peur
des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
60
ès qu’il dit je, n’a pas d’autre mouvement que la
peur
ou l’amour. Non qu’il ait à choisir : déjà il fuit, déjà il s’offre.
61
raison seule qu’il se révèle, et ce n’est plus la
peur
du sang qui lui répond, mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil,
62
ule, de son sérieux théâtral et fervent, et de sa
peur
de toute extravagance. « On peut leur faire faire ce qu’on veut, que
63
tes leurs espérances. Ce n’est point qu’ils aient
peur
, mais tout leur apparaît absurde. Et rien n’est plus atroce à support
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ritable hantise, comme le grand lieu commun de la
peur
qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
65
rueuse agglomération d’individus assemblés par la
peur
et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
66
e que créent la Presse et la Publicité, et par la
peur
des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
67
Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une
peur
de moi-même ? C’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir
68
voir réel de « libération ». La liberté fait plus
peur
qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
69
cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend
peur
et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
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ritable hantise, comme le grand lieu commun de la
peur
qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi
71
rueuse agglomération d’individus assemblés par la
peur
et la faim, et la haine, parqués dans des casernes ou des camps de tr
72
e que créent la Presse et la Publicité, et par la
peur
des bouleversements, qui apparaissent d’ailleurs de plus en plus inév
73
. Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une
peur
de moi-même ? C’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir
74
voir réel de « libération ». La liberté fait plus
peur
qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face
75
cès inespéré de ses efforts techniques, qui prend
peur
et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du pr
76
idoles édifiées par ses bons sentiments ou par sa
peur
de la réalité, celui-là n’est pas né à la foi. Il n’a pas la mâchoire
77
bles du prochain ni son amour, ni sa haine, ni sa
peur
, ni sa joie, ni ses derniers défis. C’est ainsi qu’il exprime dans un
78
a patrie, quand les gauches auront compris que la
peur
de Chiappe n’est pas un programme, sonnera l’heure de l’Ordre nouveau
79
mystiques détachées du réel ? Je vois à gauche la
peur
de Chiappe, et à droite, la peur de la gauche. Je vois à droite une t
80
vois à gauche la peur de Chiappe, et à droite, la
peur
de la gauche. Je vois à droite une tentation fasciste, trop faible en
81
p faible encore pour oser s’avouer ; à gauche une
peur
du fascisme assez forte déjà pour que la masse accepte l’idée d’une d
82
e traduisent que des religions vagues, nées de la
peur
, et comme telles meurtrières. Les faits, ce sont M. de Wendel derrièr
83
a patrie, quand les gauches auront compris que la
peur
de Chiappe n’est pas un programme, sonnera l’heure de L’Ordre nouveau
84
ut cela se fera au hasard, sous la pression de la
peur
d’un adversaire dont on surestime de part et d’autre les forces. Mais
85
devient effrayante. (On a toujours beaucoup plus
peur
loin du combat qu’en pleine lutte.) Il n’ose plus intervenir en force
86
ui se fondaient d’une façon ou d’une autre sur la
peur
et l’angoisse de l’imagination. Au lieu de la résignation, nous avons
87
e le règne inexorable de la masse — cette immense
peur
de la mort —, le régime que dès maintenant la volonté blessée des hom
88
roire qu’ils veuillent guérir, simplement ils ont
peur
du remède radical. Sans la menace révolutionnaire, qui songerait à de
89
ui se fondaient d’une façon ou d’une autre sur la
peur
et l’angoisse de l’imagination. Au lieu de la résignation, nous avons
90
e le règne inexorable de la masse — cette immense
peur
de la mort —, le régime que dès maintenant la volonté blessée des hom
91
roire qu’ils veuillent guérir, simplement ils ont
peur
du remède radical. Sans la menace révolutionnaire, qui songerait à de
92
te. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais ils ont
peur
. C’est toujours la question de la place à traverser. — ??? — Oui, vou
93
yance de leurs contemporains. Au fond, ils en ont
peur
. Or ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations boulever
94
u fond, ils en ont peur. Or ils devraient n’avoir
peur
que de Dieu, et des vocations bouleversantes qu’il arrive que Dieu no
95
nt irritable de mauvaise conscience, de désir, de
peur
, de préjugés, de revendications secrètes, de jalousie, de snobisme an
96
inventées, reprises sans relâche à la base… Ayant
peur
de la chose, on rabaisse le mot qui la désigne : c’est une espèce de
97
à l’agressivité. Se méfier de la violence, avoir
peur
des risques féconds qu’elle institue, c’est se priver des meilleures
98
ns freudien du terme, que les phantasmes de notre
peur
de vivre. On les ramènerait aisément à ce « complexe de castration »
99
collectivité : s’ils étaient seuls, ils auraient
peur
de n’être rien. 23 janvier 1934 (écrit sur la dune) Il ne faut
100
comme une réponse à son ennui — faut-il dire à sa
peur
— de vivre. Cette manière romantique, et somme toute vaniteuse, de te
101
te. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais ils ont
peur
. C’est toujours la question de la place à traverser. — ? — Oui, vous
102
yance de leurs contemporains. Au fond, ils en ont
peur
. Or, ils devraient n’avoir peur que de Dieu, et des vocations bouleve
103
fond, ils en ont peur. Or, ils devraient n’avoir
peur
que de Dieu, et des vocations bouleversantes qu’il arrive que Dieu no
104
ns freudien du terme, que les phantasmes de notre
peur
de vivre. On les ramènerait aisément à ce « complexe de castration »
105
nt irritable de mauvaise conscience, de désir, de
peur
, de préjugés, de revendications secrètes, de jalousie, de snobisme an
106
eux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, de
peur
que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une partie d’I
107
n’en épousaient point qui aient été captives, de
peur
qu’elles n’aient eu quelque commerce avec des étrangers. Peut-il y av
108
la question est là : — la liberté fait-elle plus
peur
qu’envie ? Ne sait-on plus en voir que les revers ? Ou prendrons-nous
109
s sur nos épaules, et qu’ils feront mieux d’avoir
peur
de nous que du communisme. » a. « La vraie défense contre l’esprit t
110
plus intimes et les plus solidement ancrées. On a
peur
de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
111
u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a
peur
, en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
112
e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de
peur
que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
113
erre. Un éclair, et tout sera terminé. N’ayez pas
peur
pour la paix, nous savons calculer, et tout est calculé dans cette af
114
à des canons. C’était couru. Pourtant, ils ont eu
peur
, ici. Une dame me téléphone, encore anxieuse : « Dès que le discours
115
s veulent la guerre. Je réponds : non, ils en ont
peur
. On me dit qu’ils sont capitalistes et bourgeois. Je réponds : non, i
116
ande, un moyen de séduire les droites et de faire
peur
à l’étranger ; mais l’arrière-pensée du régime, c’est le socialisme d
117
l’Hitler de M. Bailby. Ils sont fatigués d’avoir
peur
. Un peu de vérité les tuerait. Avril 1936 (De retour en Allemagne.
118
ie avec une sombre rage honteuse. Pour nous faire
peur
? Non, pour se rassurer par la peur qu’elle se fait à elle-même. Au c
119
ur nous faire peur ? Non, pour se rassurer par la
peur
qu’elle se fait à elle-même. Au cri d’Allemagne réveille-toi ! Hitler
120
foi seule nous délivrera des religions nées de la
peur
des hommes. 1. « Propagande de haine » : on désigne ainsi, en Alle
121
. À celles qui nourrissent l’espérance, et non la
peur
ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux que l’adversair
122
connu de « vrai croyant » qui ne vive « selon la
peur
». Serait-ce qu’il n’a jamais rencontré que des hommes « religieux »,
123
eulent diriger, ce sont nos lourds instincts, nos
peurs
, nos haines et nos orgueils puérils, nos réflexes d’animaux attroupés
124
qu’on croyait préparer, et qui nous trouvent sans
peur
et sans préparation dès l’instant qu’elles deviennent présentes, cess
125
mît fin à sa vie non par lassitude de vivre, par
peur
ou par douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matièr
126
qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par
peur
ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière…48
127
plus intimes et les plus solidement ancrées. On a
peur
de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
128
u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a
peur
, en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
129
e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de
peur
que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
130
ça, par ici. Le frère Claus leur fait une de ces
peurs
! Y a pas plus superstitieux que les montagnards. 3e valet. — Toi
131
qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par
peur
ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière…48
132
Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de
peur
que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens p
133
plus intimes et les plus solidement ancrées. On a
peur
de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
134
u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a
peur
, en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
135
e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de
peur
que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
136
qu’on mît fin à sa vie « non par lassitude ni par
peur
ou douleur, mais dans un état de parfait détachement de la matière… »
137
Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de
peur
que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens p
138
plus intimes et les plus solidement ancrées. On a
peur
de paraître « puritain ». On s’efforce de faire la part du feu, et l’
139
u’il y a là quelque chose d’inquiétant, mais on a
peur
, en le combattant, de parler comme un philistin. (Ce qui se produirai
140
e vaquer à la prière ; puis retournez ensemble de
peur
que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par conde
141
te chance. Ils n’ont pas vu le danger, ils ont eu
peur
de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvrir le grand ennemi
142
ne sont pas ceux qui la feront qui peuvent avoir
peur
de la guerre. Car avoir peur d’un accident, c’est entrevoir, imaginer
143
nt qui peuvent avoir peur de la guerre. Car avoir
peur
d’un accident, c’est entrevoir, imaginer ses conséquences, et la guer
144
qui vient n’augmente en nous ni le courage ni la
peur
, mais plutôt un certain cynisme. Peut-être aussi une certaine modesti
145
t du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien si la
peur
et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépassement de
146
’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons la
peur
et la guerre. Nous avons ce que méritons. Nous sommes payés et nous p
147
t du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien si la
peur
et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépassement de
148
’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons la
peur
et la guerre. Nous avons ce que nous méritons. Nous sommes payés et n
149
. Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a
peur
du voisin. Les Romands qui se rétractent au seul mot de germanisme ne
150
au, Constant, Madame de Staël, Vinet n’ont pas eu
peur
du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écri
151
nvite à la danse avec une fougue adolescente, une
peur
naïve, un courage chrétien. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort
152
— forces négatives de défaitisme intérieur ou de
peur
. D’ores et déjà, nous pouvons constater trois résultats de notre acti
153
te chance. Ils n’ont pas vu le danger, ils ont eu
peur
de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvrir le grand ennemi
154
urope ». Oui certes, mais ici encore, n’ayons pas
peur
d’y regarder de près. Que sont devenues en fait ces libertés antiques
155
. Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a
peur
du voisin. Les Romands qui se rétractent au seul mot de germanisme ne
156
au, Constant, Madame de Staël, Vinet n’ont pas eu
peur
du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écri